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词典释义:
bolchevik
时间: 2023-12-02 09:36:17
[bɔl∫evik]

n. 维克, 维克拥护者; 俄罗斯会民主劳动员; (1918~1991年的)苏维埃联盟共产[员], 苏维埃联盟维克[员]; [贬]共产主义者adj. 维克的, 共产的

词典释义
n.
维克, 维克拥护者;
俄罗斯会民主劳动员;
(1918~1991年的)苏维埃联盟共产[员], 苏维埃联盟维克[员];
[贬]共产主义者


adj.
维克的, 共产
近义、反义、派生词
近义词:
communiste,  léniniste
联想词
communiste 共产主义的; prolétariat 无产阶级; soviétique 苏维埃的; social-démocrate 会民主; marxiste 马克思主义的; tsar 沙皇; fasciste 法西斯分子; russe 俄国的; communisme 共产主义; nazi 纳粹; révolutionnaire 革命的;
原声例句

Karl Marx étant juif comme certains des bolcheviks, cette révolution n'est-elle pas la réalisation du complot annoncé dans le livre ?

像一些布尔什维克一样,卡尔·马克思也是犹太人,这场革命不就是书中宣布的情节的发生吗?

[硬核历史冷知识]

Pendants les émeutes des retraites, j'avais du mal à courir après tous ces vilains bolcheviks !

在撤退骚乱期间,我很难追逐所有这些讨厌的布尔什维克

[Palmashow]

例句库

2 L'auteur conteste que le tract contenait quoi que ce fût d'interprétable comme un appel à prendre modèle sur la lutte contre les bolcheviks en vue d'assurer l'indépendance du Bélarus aujourd'hui.

2 提交人反驳说,传单中没有任何内容可以解释为是呼吁人们今天学习对布尔什维克的斗争,以争取白俄罗斯的独立。

C'est précisément cette décision arbitraire prise sans mandat légal par l'organe du parti régional des Bolcheviks et adoptée sans tenir compte de la volonté de la population du Karabakh qui permet à ce jour aux dirigeants azerbaïdjanais de conférer un caractère de légitimité à leurs revendications sur le Karabakh et d'autres territoires arméniens.

正是这一未经布尔什维克区域党政机关合法授权、也未考虑到卡拉巴赫居民的意愿通过的非法决定,迄今仍使阿塞拜疆领导人得以使其对卡拉巴赫和亚美尼亚其他领土的要求合法化。

2 L'État partie déclare également que "les tracts distribués par l'auteur contiennent des indications fallacieuses concernant l'histoire de l'État du Bélarus, la description d'une prétendue occupation par les bolcheviks et de la lutte armée menée par les Biélorussiens contre les 'occupants', de même qu'un appel à prendre modèle sur 'cette lutte' pour assurer l'indépendance du Bélarus aujourd'hui".

2 缔约国还说,“提交人所发的传单载有歪曲白俄罗斯国家历史形成过程的文字,传单讲述了所谓的布尔什维克的占领和白俄罗斯人民对“占领者”的武装斗争,传单还呼吁在今天学习“这种斗争”,争取白俄罗斯的独立。”

法语百科

Réunion du Parti bolchévique (Lénine est à droite sur la photographie).

Les bolcheviks, bolcheviques ou bolchéviques sont les membres d'une fraction du Parti ouvrier social-démocrate de Russie, créée en 1903 sous la direction de Lénine, devenue un parti indépendant en 1912.

Après la révolution russe de février 1917, les bolcheviks prennent le pouvoir au nom des soviets en octobre 1917 dans le cadre de la République socialiste fédérative soviétique de Russie. En 1918, le Parti bolchévique est renommé Parti communiste. Après la mise en place de l'URSS (1922), il devient le Parti communiste de l'Union soviétique (PCUS), ajoutant jusqu'en 1952 à ce nom l'adjectif bolchevik (placé entre parenthèses).

Historique

La création de la tendance bolchévique

En 1883 à Genève, les premiers marxistes russes, Gueorgui Plekhanov, Véra Zassoulitch et Pavel Axelrod créent le « Groupe pour la libération du travail ». En 1901, avec leurs cadets Lénine et Martov, ils créent l'Iskra (« L'Étincelle »), qui se fixe comme objectif d'introduire les idées socialistes dans la classe ouvrière russe. Ils constituent le Parti ouvrier social-démocrate de Russie. Soumis à la répression de l'appareil policier tsariste, ce parti se veut centralisé, discipliné, et la plupart de ses militants sont clandestins.

La scission qui donne naissance à la fraction bolchevique se produit en 1903, lors du deuxième congrès du parti (en), qui se tient à Bruxelles puis à Londres. Le parti adopte un programme rédigé par Plekhanov et Lénine, qui donne le mot d'ordre de « dictature du prolétariat », « condition indispensable de la révolution sociale ».

Cependant, c'est sur la question des statuts du parti que se fait la division. Lénine propose que l'adhésion au parti soit réservée à ceux qui « participent activement à l'une de ses organisations », Martov à ceux qui adhèrent au programme du Congrès. Derrière ces formulations est en jeu la conception d'un parti constitué de révolutionnaires professionnels pour Lénine, ou au contraire d'un parti de masse, largement ouvert à l'intelligentsia pour Martov.

Le bolchevik (Boris Koustodiev).

Les bolcheviks constituent dans un premier temps la fraction majoritaire du Parti ouvrier social-démocrate de Russie (le nom venant de большинство, bolchinstvo, qui signifie « majorité »), par opposition aux mencheviks (du russe : меньшинство, menchinstvo, « minorité »).

Vivement critiquée dans l'Internationale, notamment par Rosa Luxemburg, qui dénonce le « danger bureaucratique de l'ultracentralisme », la conception de Lénine remporte toutefois des succès en Russie : en 1905, il y a 8 000 bolcheviks dans les organisations clandestines (à mettre en comparaison avec les 12 000 mencheviks à la même époque et les socialistes-révolutionnaires, qui étaient encore plus nombreux).

La révolution de 1905 et la fusion

Lors de la révolution russe de 1905, le parti peut faire de la propagande ouvertement ; les querelles du passé semblent de peu d'importance devant les tâches du moment. Un accord est trouvé entre Lénine et Martov, et un congrès d'unification se réunit en avril 1906. Selon Pierre Broué, le congrès de Londres en 1907, à majorité bolchevique, est élu par 77 000 militants. Mais avec le reflux de la révolution, beaucoup de militants abandonnent leur activité et le parti s'effondre, passant à moins de 10 000 militants en quelques années.

Rapidement, les divergences entre bolcheviks et mencheviks ressurgissent, les mencheviks voulant orienter le parti vers l'action parlementaire sans pouvoirs législatifs organisée par le gouvernement tsariste (une Douma d'État), l'action clandestine leur semblant sans perspectives. Ils préconisent l'alliance avec la bourgeoisie progressiste qui s'apprête à partager le pouvoir avec le tsar. Lénine écrit « Le prolétariat lutte, la bourgeoisie se faufile vers le pouvoir » à propos de la tactique de la classe ouvrière et de la tactique de la bourgeoisie libérale. Alexandre Martynov écrit que le parti doit « pousser en avant la démocratie bourgeoise ». Les bolchéviks préconisent la reprise du travail clandestin dans les centres industriels commencé avant 1905. Ils appellent au boycott de la Douma, en se fixant le but de faire tomber cette « caricature » de représentation populaire. Les menchéviks, au contraire, décident de ne pas faire échec à la Douma ; ils estiment d'ailleurs nécessaire d'y entrer.

La scission de 1912

À partir de 1912, le mouvement ouvrier reprend en Russie, des manifestations étudiantes puis des grèves ouvrières se multiplient (400 000 grévistes le 1 mai 1911). Lénine estime qu'il faudra un parti fortement structuré pour organiser le mouvement révolutionnaire et il est convaincu que les bolcheviks sont en train de gagner la majorité du mouvement ouvrier. Il défend en conséquence la scission avec les mencheviks sur le plan organisationnel.

Le 18 janvier 1912, à la conférence de Prague, les bolcheviks décident de l'exclusion des mencheviks et de la création de « noyaux social-démocrates illégaux entourés d'un réseau aussi étendu que possible de sociétés ouvrières légales ».

Les idées du parti bolchévique

Les bolcheviks se refusaient résolument à reconnaître que la bourgeoisie russe fût capable de mener à bien sa propre révolution et poussaient au contraire à une alliance entre les paysans et les ouvriers pour mener à bien la révolution socialiste.

À l'opposé, les mencheviks, pour qui le socialisme devait être atteint de manière progressive et par « étapes », voulaient préparer la révolution démocratique bourgeoise, qui permettrait selon eux l'élévation du niveau de vie des masses, condition nécessaire à une révolution socialiste ultérieure. Or, la bourgeoisie tenait elle-même à faire alliance avec la monarchie : en effet, la bourgeoisie russe restait hostile à l’expropriation de la grande propriété foncière, et c’est précisément pour cette raison qu'elle était pour un compromis avec la monarchie, sur la base d’une constitution du type prussien.

Déjà à l'époque, Lénine mettait en avant la question agraire comme le problème central de la révolution démocratique en Russie. « Le nœud de la révolution russe, répétait-il, c’est la question agraire. Il faut conclure à la défaite ou à la victoire de la révolution… selon la manière dont on apprécie la situation des masses dans la lutte pour la terre. »

À l’idée de Georgui Plekhanov d’une alliance du prolétariat avec la bourgeoisie libérale, Lénine opposait l’idée d’une alliance du prolétariat avec la paysannerie. Il proclamait que la tâche de la collaboration révolutionnaire de ces deux classes était d’établir une « dictature démocratique » comme le seul moyen de purger radicalement la Russie du bric-à-brac féodal, de créer une couche de petits cultivateurs libres et d’ouvrir la voie au développement du capitalisme, non pas à la manière prussienne, mais américaine.

La victoire de la révolution, écrivait-il, ne peut être accomplie que « par la dictature, parce que la réalisation des réformes qui sont immédiatement et absolument nécessaires au prolétariat et à la paysannerie provoquera une résistance désespérée chez les propriétaires fonciers, les grands bourgeois et le tsarisme. Sans dictature, il est impossible de briser cette résistance, de repousser les tentatives contre-révolutionnaires. Ce sera une dictature, non pas socialiste, mais démocratique. Elle ne pourra porter atteinte aux fondements du capitalisme (sans toute une série d’étapes intermédiaires dans le développement révolutionnaire). Elle pourra, dans le meilleur des cas, introduire une redistribution radicale de la propriété foncière en faveur de la paysannerie, établir une démocratie importante et complète allant jusqu’à la république, extirper tous les traits asiatiques, tout le legs du servage, non seulement au village, mais aussi dans les usines, poser la base d’une amélioration sérieuse de la situation des ouvriers et de l’élévation de leur niveau de vie ; enfin, porter la conflagration [l'embrasement] révolutionnaire en Europe. »

En dépit des espoirs des mencheviks, la bourgeoisie considérait de plus en plus que son rôle était de lutter contre la révolution. C'est dans les « soviets », c’est-à-dire les assemblées de délégués démocratiquement élus et révocables à tout instant comprenant les travailleurs, les soldats et les paysans pauvres que les bolcheviks devinrent majoritaires.

Dès 1917, grâce à l'aide financière et logistique prêtée par l'Allemagne, cherchant à déstabiliser la Russie pendant la Première Guerre mondiale, les bolcheviks comptent sur plus de 2 millions de marks donnés par le gouvernement du kaiser Guillaume II d'Allemagne, pour faire une ample propagande.

Les résistances politiques

Près de la moitié des principaux leaders bolcheviques après la Révolution d'Octobre ont, à un titre ou à un autre, lutté dans le passé contre la politique de Lénine. Le rassemblement de ces militants dans une même organisation ne signifiait pas pour autant la disparition de divergences prêtes à éclater sous les pressions de la situation sociale.

L'opposition de la tendance « Communistes de gauche » rebondit en 1918 avec le débat entourant la signature du traité de Brest-Litovsk. Lorsque Lénine propose d'accepter les termes de l'accord avec l'Allemagne, il est soutenu par une faible partie du Comité Central. L'avancée allemande et les manœuvres de Lénine lui permettront d'obtenir l'approbation de ses positions et le rejet des propositions du groupe « Kommunist » pour une guerre révolutionnaire. L'argumentation des communistes de gauche s'opposait au nationalisme de la direction bolchevique : l'engagement dans une guerre révolutionnaire occuperait une bonne partie des troupes allemandes, accélérant la chute de la machine de guerre et l'avènement de la révolution allemande.

Plus généralement, les Communistes de gauche qualifiaient la politique léniniste de médiation avec le capital national et international, et estimaient qu'elle serait mortelle pour la révolution. Dans leur texte d'avril 1918, les Thèses sur le moment présent, ils écrivent : « La révolution des ouvriers russes ne peut pas « se sauver » en quittant le chemin de la révolution internationale et faisant des concessions au capital « patriotique ». »

Le 4 mars, le comité du parti de Petrograd fait paraître le premier numéro de Kommunist, qui devient l'organe des Communistes de gauche. Leur opposition ne se limite pas à la question du Brest-Litovsk et est telle qu'ils envisagent de se séparer du parti bolchevique et de se battre sur leurs propres bases politiques dans une nouvelle organisation. « Le Parti devra vite décider jusqu'à quel degré la dictature d'individus devra être étendue des chemins de fer et d'autres branches de l'économie au Parti lui-même » ».

Certains communistes de gauche (Smirnov, Nikolaï Ossinski, Sapronov, etc.) se retrouveront dans le groupe « Centralisme démocratique » dont l'origine remonte à 1919. En 1920, au IX Congrès de mars-avril, ce groupe dénonce la centralisation et les méthodes autoritaires du Comité Central, le « centralisme bureaucratique » et le « centralisme autoritaire ». Les centralistes démocratiques, dont la revendication ne dépassera jamais le cadre de la démocratie interne du Parti, seront actifs dans la préparation et le déroulement du X Congrès. Mais leur rôle sera alors éclipsé par celui de « l'Opposition ouvrière ».

Anton Ciliga caractérise les « décistes » de cette époque comme « l'opposition de sa Majesté » : « sans vouloir se l'avouer, il opposait au léninisme de la période décadente de la révolution le Lénine de la période ascendante ». Ils purent ainsi se survivre une dizaine d'années, une partie d'entre eux se ralliant au léninisme, alors que d'autres allaient évoluer vers des positions voisines de celles du Groupe Ouvrier de Gavril Miasnikov.

Tout comme le groupe Centralisme démocratique, l'Opposition ouvrière se crée en 1919, mais à la différence de celui-ci, elle s'appuie sur une base ouvrière, principalement au travers des syndicats.

La « bolchévisation » des Partis communistes

La « bolchévisation » à partir de 1924, sous Staline, signifie la mise au pas des sections nationales du mouvement communiste pour qu'elles répercutent purement et simplement les points de vue de Moscou.

Le centre de l'Internationale communiste luttait contre les tendances divergentes qui continuaient d'exister au sein de divers mouvements communistes. La bolchévisation a marqué la prise en main complète des partis nationaux par Moscou, et a été le prétexte à de nombreuses exclusions.

Liste de dirigeants bolcheviques

Andreï Andreïev

Lavrenti Beria

Alexander Bogdanov

Andreï Boubnov

Nikolaï Boukharine

Nikolaï Boulganine

Alexandre Chliapnikov

Nikolaï Chvernik

Félix Dzerjinski

Mikhaïl Frounze

Andreï Jdanov

Lazare Kaganovitch

Mikhaïl Kalinine

Lev Kamenev

Nikita Khrouchtchev

Sergueï Kirov

Alexandra Kollontaï

Vladimir Ilitch Lénine

Gueorgui Malenkov

Gavril Miasnikov

Anastase Mikoyan

Viatcheslav Molotov

Grigory Ordjonikidze

Moïsseï Ouritsky

Karl Radek

David Riazanov

Ian Roudzoutak

Alexeï Rykov

Joseph Vissarianovitch Djougachvili-Staline

Iakov Sverdlov

Mikhaïl Tomsky

Lev Davidovitch Bronstein-Trotsky

Kliment Vorochilov

Grigory Ievseïevitch Zinoviev

Acception péjorative

Depuis la Révolution d'Octobre, les mots bolchevik et bolchevisme ont été utilisés non seulement en référence aux bolcheviks au sens strict, mais aussi pour désigner les communistes en général, avec une connotation fréquemment péjorative, et ne sont que progressivement tombés en désuétude (l'abréviation insultante bolcho en étant le dernier avatar).

中文百科

布尔什维克正举行会议。最右边是列宁 。

库斯妥迪耶夫1920年的作品
库斯妥迪耶夫1920年的作品 "布尔什维克"

布尔什维克(俄语:большевик,旧译布尔塞维克),在俄语中意为“多数派”,是**中的一个派别。布尔什维克派的领袖人物列宁认为,社会**工党应该创建一个以少数“职业革命家”为核心、多数党员对其绝对服从的组织模式,即所谓**。遭到了党内另一派的质疑和反对。1903年在布鲁塞尔和伦敦举行的俄国社会**工党第二次代表大会上,布尔什维克派与党内的另一派孟什维克因意见不合最终分道扬镳。在《火星报》编辑部领导层选举时,由于布尔什维克人数多于对方,因此以俄语“多数派”得名。1917年,布尔什维克通过十月革命以暴力夺取了俄国政权,最终在日后成为***。虽然布尔什维克在俄语当中的意思是多数派,但是直到1917年十月革命的时候,布尔什维克在俄国社会**工党当中实际上一直是少数派。

名字起源

布尔什维克在俄语中意为“多数派”,孟什维克在俄语中意为“少数派”。实际上在1903年俄国社会**工党第二次代表大会的大部分时间里,以列宁为首的派别都处于少数的地位,反对派马尔托夫的条文则以28票赞成、22票反对和1票弃权最终获胜通过。而在大会闭幕不久后的第27次会议中,由于“崩得”与经济派代表的退出,列宁派以24:20居微弱多数,故从此以“多数派”自居。

两派分裂

在俄国社会**工党第二次代表大会中,列宁提出效仿民意党,创建一套围绕少数“职业革命家”为核心、党员对核心高度服从的集权化的组织模式,即**。并认为党员应严密组织化,人数应受到限制,“凡承认党纲、在物质上支持党并亲自参加党的一个组织的人,才可以作为党员”。认为普通的支持者必须排除于党外。而列宁的老友兼同学马尔托夫反对列宁的观点,坚持以第二国际为建党模式,主张把一切愿意入党的人全部吸收进来,并认为党员并不需要高度集中化组织化,只需“经常亲自协助党”就行了。列宁的**也同样受到罗莎·卢森堡和托洛茨基等人的质疑,后者严厉的批评列宁不是真正的马克思主义者而是“雅各宾俱乐部分子”,是“新的罗伯斯庇尔”。起初两派的争执尚未达到不可调和的程度。但在火星报编委会选举中,列宁要求裁减编委的人数以削减马尔托夫支持者比例,引起后者的不满和退出编辑社,最终使两派逐渐走向分裂。

历史

1903–1905 两派的人员组成处于不稳定状态,经常有重要的成员转换派别。原本支持布尔什维克的“俄国马克思主义之父”**,在1904年后转而支持孟什维克的观点。而早先拥护孟什维克的托洛斯基,则在1904年9月共同反对自由派时,与列宁和布尔什维克派达成和解并结盟。而托洛茨基个人始终以“中立的社会**党人”自称。1905年4月,布尔什维克在伦敦召开了只有布尔什维克派参加的会议,布党称之为“俄国社会**工党第三次代表大会”。而孟什维克也独立召开了自己的会议,两派正式走向分裂。 布尔什维克派在1905年俄国革命中仅仅扮演了次要角色,以托洛茨基为领袖的圣彼得堡苏维埃工人代表中孟什维克居多,布党只有少数。相反的是在莫斯科苏维埃中,布党则占据了支配地位。

简史

在俄国社会**工党第二次代表大会中,由于列宁提出实行所谓**集中制,导致社民党于会后发生实质性分裂为孟什维克和布尔什维克。 1905年俄国革命后,布尔什维克实际上是少数,直到1917年9月十月革命大规模清洗多数派孟什维克后才重新成为多数。 1912年,第六次会议上,把孟什维克驱逐出党后,成为独立的无产阶级政党,称社会**党(布)。 1918年,改称俄国***(布尔什维克),简称俄共(布); 1925年,改称***(布尔什维克),简称联共(布); 1952年,改称***,简称苏共。

法法词典

bolchevik nom commun - masculin ou féminin ( bolcheviks ) S'écrit aussi: bolchevique

  • 1. histoire partisan de la doctrine élaborée par Lénine et Plekhanov à partir de la théorie marxiste

    un ennemi de classe des bolcheviks

  • 2. communiste russe ou partisan des communistes russes [Remarque d'usage: souvent péjoratif ou injurieux]

    se faire traiter de bolchevik

bolchevik adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel bolcheviks ) S'écrit aussi: bolchevique

  • 1. histoire qui prône la doctrine élaborée par Lénine et Plekhanov à partir de la théorie marxiste

    un dirigeant bolchevik

  • 2. de communiste russe [Remarque d'usage: souvent péjoratif ou injurieux]

    lui et ses tendances bolcheviks!

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