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词典释义:
usurier
时间: 2024-02-06 20:44:37
[yzyrje]

usurier, èren. m 高利贷者

词典释义
usurier, ère

n. m
高利贷者
近义、反义、派生词
近义词:
prêteur
联想词
prêteur 愿出借的,愿贷款的; banquier 银行家; escroc 骗子,诈骗者; créancier 有债权的; mendiant 乞丐; débiteur 开料工人; voyou 流氓,二流子; voleur 贼,强盗; gangster 匪徒,歹徒,强盗; bandit 强盗,匪徒; mafieux 黑手党的;
短语搭配

usurier rapace贪得无厌的高利贷者

la voracité d'usurier高利贷者贪得无厌

la rapacité de l'usurier高利贷者的贪婪

Cet usurier est un égorgeur.这个高利贷者是一个敲诈者。

Cet homme est le plus froid des usuriers.这个人是最冷酷的高利贷者。

Quelle sale race que la race des usuriers!没有比那些高利贷者更无耻的家伙了!

Cet usurier a saigné plus d'un imprudent.这个放高利贷者使不少轻率的人倾家荡产。

原声例句

Ce publiciste a prouvé que le préjugé qui frappait de réprobation les usuriers était une sottise.

他曾经证明,大家谴责高利贷的成见是荒谬的。”

[欧也妮·葛朗台EUGÉNIE GRANDET]

Chez un usurier. En nous en allant donc, je vous raconterai le début de l’ami Ravenouillet à Paris.

“在一个高利贷者家里,… … 我们一面走,我一面把拉弗努耶老弟在巴黎起家的故事讲给您听。”

[不自知的喜剧演员 Les Comédiens sans le savoir]

Vous allez voir l’usurière des rats, des marcheuses, une femme qui possède autant de secrets affreux que vous apercevez de robes pendues derrière son vitrage, dit Bixiou.

“你会看到那些雏儿和跑龙套的女债主,这女人掌握的骇人听闻的秘密,就和您看见在她橱窗后面挂着的连衣裙一样多。”毕西沃说。

[不自知的喜剧演员 Les Comédiens sans le savoir]

Il y avait dans l’auditoire un riche marchand retiré, un peu usurier, nommé M. Géborand, lequel avait gagné deux millions à fabriquer de gros draps, des serges, des cadis et des gasquets.

他要求富人拯救穷人,以免堕入他尽力形容的那种阴森可怕的地狱,而进入据他所说非常美妙动人的天堂。在当时的听众中,有个叫惹波兰先生的歇了业的商人,这人平时爱放高利贷,在制造大布、哔叽、毛布和高呢帽时赚了五十万。

[悲惨世界 Les Misérables 第一部]

C'est-à-dire on leur avance, ce qui change tout, ce qui leur permet d’éviter de recourir à nos fameux aux fameux usuriers qui leur faisaient des prêts mais à un taux excessif et qui donc contribuaient à leur endettement.

也就是说,我们推进它们,这改变了一切,使它们能够避免诉诸于我们著名的高利贷者,这些高利贷者向他们提供了贷款,但利率过高,因此促成了他们的债务。

[ABC DALF C1/C2]

Certes, pour devenir chevalier de cet ordre, il suffit aujourd'hui de payer mille couronnes de Novigrad au trésorier du chapitre, ce qui fait que l'ordre est rempli de fils d'usuriers et de tailleurs.

[巫师 Sorceleur: Le Dernier Vœu (Tome 1)]

例句库

L'usurier veut nous saigner.

放高利贷的人要把我们榨光。

Comme leurs frais sont peu élevés et qu'elles ne cherchent pas à faire des bénéfices importants, les coopératives financières peuvent se permettre de proposer des crédits à des taux attrayants, et donc de se substituer aux usuriers et de protéger les pauvres de l'exploitation.

金融合作社的低成本结构和低利润目标使得它们能够以有吸引力的利率提供信贷产品,从而替代掠夺性贷款,减轻穷人遭受剥削的伤害。

Certaines agences de placement exigent des sommes exorbitantes, ce qui peut plonger les femmes, qui disposent généralement de moins de moyens que les hommes, dans une plus grande détresse financière et une plus grande dépendance, notamment si elles doivent emprunter à leur famille ou à leurs amis, voire à des usuriers.

就业经纪人可能收取剥削性费用,由于妇女拥有的资产通常少于男子,这又使妇女遭受更大的财务困难,增加妇女的依赖性,例如妇女需要向家人、朋友或放债人借高利贷。

Mme McMillan (Royaume-Uni) propose de modifier le membre de phrase “Si le cédant ou le cessionnaire exerce une activité bancaire” pour qu'il se lise ainsi: “Si le cédant est autorisé à exercer une activité bancaire” Si le texte proposé ne visait pas l'idée d'autorisation, on pourrait interpréter la Convention comme englobant les activités d'entités non autorisées, comme des usuriers.

McMillan女士(联合王国)提议将“如果转让人或受让人从事的是银行业务……”一语改为“如果转让人有权从事银行业务……”。 如果拟议案文不包含授权的思想,公约就可能会被解释为将高利贷者等未经许可的实体的活动也包括在内。

法语百科

Les usuriers, tableau de Quentin Metsys (1520).

L'usure désigne l'intérêt d'un prêt au taux abusif.

Anciennement, l'usure désignait tout intérêt indépendamment du taux.

Le prêt consiste en un capital ou une marchandise vendue à crédit. Le taux à partir duquel les intérêts deviennent usuraires est défini par l'État ou bien fixé par la coutume.

Histoire

Le prêt à intérêt est attesté en Mésopotamie. Dès -1750, le code d'Hammurabi prévoit une régulation des taux autorisés, avec un ma**mum de 20 % ou 33 % selon le produit prêté (argent ou semences). Dans l'empire romain, il était admis comme une activité annexe de l'agriculture et du commerce, mais ses excès étaient punis, comme l'indique Caton : « Majores nostri sic habuere, et ita in legibus posuere, ut cum fures quidem duplici poena luerunt, foenoratores in quadruplum condamnarent. ». Tacite rapporte qu'en l'an 33, une grave crise financière entraîna la création par l'État d'un fonds hypothécaire de 100 millions de sesterces. À partir du IV siècle, la littérature épiscopale et monastique utilise un langage métaphorique (thésaurisation, usure, termes empruntés au monde économique gréco-romain) pour analyser le prêt à intérêt.

Dès le Haut-Moyen Âge, l'Église catholique romaine reprend la distinction que fait le Droit romain pour le prêt de biens mobiliers : celui des choses qui se consument par l'usage et celui des choses qui ne se consument pas, appelé commodatum. E**ger un paiement pour le commodat est contraire à la charité, et l'argent est un bien qui ne se consume pas. Dès cette époque, on voit le prêt à intérêt condamné par le Concile de Nicée sur le fondement de l'Ancien et du Nouveau Testament, puis par le capitulaire de Nimègue de Charlemagne en 806 et le capitulaire d'Olonne de Lothaire en 825.

Plus tard, au **I siècle, l'économie redevient monétaire et la question du prêt à intérêt et de son interdiction réapparaît. L'Église continue à interdire la pratique de l'usure, toujours en s'appuyant sur les Saintes-Écritures, mais en prenant aussi appui sur la critique de la chrématistique par Aristote, c'est-à-dire la critique du prêt à intérêt comme un moyen injuste, déshonorant et contre nature de s'attribuer le bien d'autrui. La doctrine de l'usure, objet de nombreux et subtils débats entre les scolastiques, évolue cependant tout au long de l'époque médiévale. Thomas d'Aquin condamne le prêt à intérêt : « Recevoir un intérêt pour l’usage de l’argent prêté est en soi injuste, car c’est faire payer ce qui n’e**ste pas ; ce qui constitue évidemment une inégalité contraire à la justice... c’est en quoi consiste l’usure. Et comme l’on est tenu de restituer les biens acquis injustement, de même l’on est tenu de restituer l’argent reçu à titre d’intérêt ».

En France, les ordonnances et la jurisprudence montrent qu'une doctrine se dégage qui commence à distinguer ce que nous appelons le crédit dans les affaires, et le crédit à la consommation.

En matière de commerce et d'industrie, le prêt d'argent est permis lorsqu'il est un véritable contrat d'association ou d'exploitation en commun qui fait participer aux risques, mais il reste interdit lorsqu'il est une simple prise d'intérêt sur les profits escomptés, appelée prêt à la grosse aventure, qui est condamné par le pape au **II siècle. Une différence sociale s'établit entre les prêteurs : les Juifs prêtent généralement pour les pauvres, les petits commerçants bourgeois chrétiens pour des classes plus aisées, les grands marchands italiens de céréales qui deviennent des banquiers à la fin du **II siècle prêtent aux plus riches (Cahorsins et notamment les Florentins qui prêtent aux grands princes). Dans la réalité des affaires commerciales et souvent maritimes, l'intérêt de l'argent avancé est souvent masqué par la comple**té très précoce des pratiques et par la multiplicité des monnaies qui obligent à des opérations de change.

À partir du XV siècle, des compagnies de commerce, des banques, puis des manufactures peuvent être fondées en France et rémunérer des fonds empruntés, mais sur la base d'une dérogation du roi (privilège donné par Lettres patentes) et avec des obligations précisément réglementées (publicité, comptabilité, coresponsabilité des associés, etc.). En matière immobilière, l'intérêt des sommes prêtées n'est permis que s'il y a une aliénation du fonds, c'est-à-dire soit un paiement de sa valeur sans prise de possession, soit une prise de possession sans paiement; il correspond alors au paiement de l'usufruit d'un fonds immobilier par une personne qui n'en est pas propriétaire, c'est-à-dire à en droit moderne à une location. Dans toutes les autres situations, c'est-à-dire pour ce que nous appelons crédit à la consommation, le prêt à intérêt reste condamné par l'Église. Plusieurs ordonnances royales interdisent l'avance de fonds rémunérés pour l'agriculture, y compris sous des formes déguisées comme les prêts de semences ou les contrats d'achat de récoltes sur pied.

Le premier théologien à accepter le prêt à intérêt fut Jean Calvin. La pratique du prêt à intérêt se propagea dès lors rapidement à partir des réseaux de banques dont les sièges étaient établis à l'étranger, soit dans les pays d'obédience calviniste comme Genève, les Pays-Bas et l'Angleterre, mais aussi dans des États comme Venise et le Portugal où des banques sont spécialisées dans le commerce maritime. L'interdiction de cette rente foncière est définitivement levée par l'Église catholique en 1713 par l'université catholique d'Utrecht.

Au XVIII siècle, on trouve, dans la plupart des grandes villes de commerce, à côté des banques dont la liste officielle est publiée chaque année dans l'Almanach royal et dont l'activité est de remise et d'escompte de billets ou d'effets de commerce de place en place, des banques de crédit, presque toutes d'origine protestante.

Avec la Révolution française, l'activité bancaire et le prêt à intérêt deviennent complètement libres, et de nouvelles banques sont créées dans presque toutes les villes, avec des fonds considérables provenant presque toujours de la spéculation sur les biens nationaux et la fourniture aux armées.

On peut citer pour les Français les banques Gabriel-Julien Ouvrard, Récamier, et pour les étrangers l'installation à Paris en 1811 de Jacob Rothschild, etc.

À partir de 1830, ces nouvelles banques sont les bailleurs de fonds de l'industrie minière et manufacturière.

L'église catholique lève sa condamnation du prêt à intérêt en 1830, mais le Vatican ne l'a rendu licite qu’en 1917. « Si une chose fongible est donnée à quelqu’un en propriété et ne doit être restituée ensuite qu’en même genre, aucun gain à raison du même contrat ne peut être perçu ; mais dans la prestation d’une chose fongible, il n’est pas illicite en soi de convenir d’un profit légal, à moins qu’il n’apparaisse comme immodéré, ou même d’un profit plus élevé, si un titre juste et proportionné peut être invoqué. »

Aujourd'hui, en partie sur la base de cette vieille distinction entre un taux d'intérêt acceptable et un taux excessif, quelques législations condamnent l'usure (France, Italie), et dans ce but fixent des taux ma**maux, dits taux de l'usure, pour les crédits qui sont accordés, cela en fonction du type de prêt.

De nos jours encore, certains pays, surtout des pays "émergents", ferment les yeux sur les taux excessifs des prêts dans les banques. Au Brésil, par exemple, les banques pratiquent des taux de prêts hypothécaires de 4 à 5% par mois, soit 60 à 70% par an (intérêts combinés). Sur les découverts bancaires, les intérêts mensuels peuvent aller jusqu'à 14,5%, soit un taux annuel de 230% en comptant les intérêts sur les intérêts. Par exemple, un découvert bancaire de 1 000 euros se transforme en 3 300 euros après un an, ou un peu plus de 10 000 euros après 2 ans, ou encore un peu plus de 100 000 euros après 4 ans. Les débiteurs sont maintenus dans un état de dépendance totale face au banquier. On peut vraiment parler d'esclavage financier.

Législation (Canada)

Au Canada, la limite légale pour tout intérêt e**gible a été fixé le 1 avril 1981 à un ma**mum de 60 %.

Plus précisément, un taux d'intérêt usuraire est défini comme étant : « tout taux d’intérêt annuel effectif, appliqué au capital prêté et calculé conformément aux règles et pratiques actuarielles généralement admises, qui dépasse soixante pour cent. »

Législation (France)

En France, dans le but de protéger les particuliers, le législateur a déterminé les principes généraux de l'usure, autrement dit le taux ma**mal effectif s'appliquant aux opérations de prêt.

Il est fixé à 133 % du taux effectif moyen pratiqué au cours du trimestre précédent par les établissements de crédit pour des opérations de même nature comportant des risques analogues.

Publié trimestriellement par la Banque de France, il comprend plus d'une dizaine de catégories d'opérations et concerne la plupart des prêts aux entreprises, ainsi que quasiment tous les prêts aux particuliers : prêts immobiliers, découverts en compte, prêts à la consommation, etc.

Ces définitions nombreuses ont remplacé l'ancienne définition unique et générale « deux fois le taux du marché obligataire (TMO) du mois précédent » qui avait failli provoquer un casse-tête juridique lors des crises monétaires des années 1990.

Le taux de l'usure ne doit pas être confondu avec le taux d'intérêt légal en France, qui détermine le taux d'intérêt applicable à certaines situations ou décisions légales.

中文百科

17世纪地下钱庄高利贷油画

16世纪高利贷者形象
16世纪高利贷者形象

高利贷(又称放数)指要求特别高利息的贷款。元代称羊羔利。高利贷债权人通常称作大耳窿或地下钱庄;在马来西亚,新加坡一带又称为“阿窿”。由于高利贷在很多地区是非法或受很大的法律限制,这些契约一般必须抵押,甚至必须立下字据。非法的高利贷借款契约不受法律保护,契约很可能在法庭会被宣告无效。

法法词典

usurier nom commun - masculin, féminin ( usurière, usuriers, usurières )

  • 1. personne qui accorde un prêt à un taux d'intérêt dépassant celui autorisé par la loi ou celui ordinairement pratiqué

    il a été ruiné par un usurier

  • 2. personne qui accorde un prêt avec intérêt (vieilli) Synonyme: prêteur

    le quartier des usuriers

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