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externalisation
时间: 2024-01-13 11:22:10
短语搭配

externalisation de processus métiers业务流程外包

externalisation de processus d'affaires业务流程外包

externalisation des tâches auprès des internautes众包

原声例句

En somme, frontières nationales et frontières du contrôle ne coïncident plus. On parle alors d’extra-territorialisation ou d’externalisation du contrôle.

简言之,国界和边境管制不再重合。这被称为治外法权或控制外包。

[TV5每周精选 2014年8月合集]

Nous achèverons pour l'essentiel l'externalisation des services non productifs de ces entreprises et résoudrons les problèmes dont elles souffrent de longue date.

基本完成剥离办社会职能和解决历史遗留问题。

[第十三届全国人大政府工作报告]

Face à cette externalisation de l'aide aux devoirs, Hervé-Jean Le Niger réclame un renforcement de l'accompagnement au sein de l'école. Selon lui, l'essor du marché de l'accompagnement scolaire est dû au manque de ressources nécessaires dans l'éducation nationale.

[法语哥说杂志]

例句库

Les dispositions relatives à l'externalisation des services sont désormais définitivement arrêtées.

这方面的外包安排现均已最后敲定。

Les mêmes motifs et le souci de confidentialité interdisaient en outre l'externalisation de ces tâches.

出于同样的理由以及对保密的需要,也不能将这些任务外包。

L'externalisation est limitée à des tâches individuelles et non essentielles.

境外外包只限于个别的和非关键性的业务。

Le projet de résolution III est intitulé « Pratiques en matière d'externalisation ».

决议草案三题为“外包做法”。

Le Comité accueille avec satisfaction l'externalisation des services en question et l'économie qu'elle a permis de réaliser.

委员会欢迎这些服务的外包和所导致的节省。

Il a collaboré avec le PNUD pour l'externalisation du projet de renouvellement des systèmes de gestion, comme indiqué ci-dessus.

前文已经提到,难民专员办事处已就信息系统更新项目的外包事宜与开发计划署制定联合行动。

La délocalisation peut prendre deux formes différentes: la délocalisation à l'interne et l'externalisation.

它可以采取两种形式:境外内包和境外外包。

L'externalisation de la recherche et développement peut permettre aux concepteurs de ces technologies de réaliser des économies.

国际研究和开发工作的外包能够给予技术开发者成本效益。

Le Président : Le projet de résolution III est intitulé « Pratiques en matière d'externalisation ».

主席(以法语发言):决议草案三题为“外包做法”。

Il sera alors procédé au transfert matériel du réseau, dernière étape de l'externalisation du volet technique du Programme.

此后应开展向联合会实际转让这一网络的工作,这将标志着最终完成对外转交贸易点方案技术工作。

L'annexe I dresse une liste des activités de délocalisation et d'externalisation au sein des organismes des Nations Unies.

附件一是联合国系统各组织境外内包和境外外包活动的清单。

Un exemple en est fourni par l'importance grandissante de l'externalisation de la production de certains biens et services intermédiaires.

这方面的一个例子是,中间产品和服务的外包正在变得越来越重要。

Un système économique international basé traditionnellement sur l'externalisation des conséquences de la pollution est à la fois injuste et impraticable.

历来以输出污染后果为基础的国际经济体制,是不公正和不切实的。

De même, les équipes de direction ont plus de difficulté pour déterminer si l'externalisation de ces activités pourrait être rentable.

这个问题也妨碍了管理小组对于将此种活动外包是否符合成本效益进行评估的能力。

La mondialisation, combinée au rôle croissant des TIC dans tous les secteurs, s'est traduite par une forte progression de l'externalisation.

全球化,加上信通技术在所有商业进程中日益扩大的作用,导致服务的外包锐增。

S'agissant des pratiques d'externalisation, les critères fixés à ce sujet dans les résolutions pertinentes de l'Assemblée générale doivent être respectés.

关于外部承包做法的问题,大会相关决议制定的外包标准必须遵守。

L'externalisation peut améliorer l'efficacité des institutions en renforçant la compétence, l'indépendance et la légitimité des organismes chargés de la réglementation.

外包能提高监管能力、独立性和合法性,从而加强机构的效力。

Très peu de femmes sont recrutées au niveau professionnel ou dans les services de gestion de l'externalisation des processus des entreprises.

在专业一级,或在业务流程外包管理中,很少雇用妇女。

En réponse à sa demande, il a été précisé au Comité que l'externalisation concernait des services du quartier général de la Force.

经查询后,咨询委员会得知该部队总部已实行外包项目。

Le Commissaire aux comptes a pris note des initiatives de décentralisation, externalisation et gestion axée sur les résultats prises par la Direction.

管理层在权力下放、外包和注重实效的管理领域采取的举措得到了外聘审计员的认可。

法语百科

L'externalisation sous-traitance ou impartition (Québec), en anglais : Outsourcing, désigne le transfert de tout ou partie d'une fonction d'une organisation (entreprise ou administration) vers un partenaire externe.

Description

Elle consiste très souvent en la sous-traitance des activités jugées non essentielles et non stratégiques : pour une entreprise, il s'agit de celles qui sont les moins productrices de revenus. Il s'agit d'un outil de gestion stratégique qui se traduit par la restructuration d’une entreprise au sein de sa sphère d’activités : ses compétences de base et son activité principale (core business en anglais).

L'externalisation diffère de la simple prestation extérieure de services, et de la simple sous-traitance, dans la mesure où il y a :

pilotage étroit par l'entreprise donneuse d'ordre ;

engagement du prestataire externe.

Le terme d’infogérance désigne quant à lui les services d'externalisation informatique proposés par des SSII.

Le processus inverse, c'est-à-dire la reprise à l'interne de l'entreprise des activités externalisées est parfois observé. On parle alors de réinternalisation confondue avec la relocalisation ou backsourcing.

Approches économique et juridique

L'externalisation du point de vue économique est un accord passé entre une organisation et un tiers pour la prise en charge, l'exploitation, la gestion continue et l'amélioration :

de fonctions entières de l'organisation (ex. : informatique, nettoyage, ressources humaines, paie/revenus, facturation, comptabilité, marketing et communication) ;

d'infrastructures (ex. : système d'informations, systèmes de sécurité, réseaux de télécommunications) ;

de processus opérationnels (ex. : exploitation de matières premières, production industrielle, exploitation d'un réseau de télécommunications, stockage, logistique, transports) en amont ou aval de l'organisation.

L'externalisation repose en termes juridiques sur un contrat à durée fixe portant sur le transfert de toute ou partie de la fonction, du service et/ou de l'infrastructure ou du processus opérationnel de l'organisation entre l'organisation propriétaire et un opérateur. Les clauses de retour ou de réversibilité sont la clef d'une externalisation réussie.

Ce contrat peut inclure un transfert d'actifs et/ou de personnel. Le client se concentre sur la définition des résultats à atteindre.

L'externalisation est susceptible de toucher des organisations publiques et privées.

De plus en plus d'administrations cherchent à leur tour à sonder l'intérêt de telles démarches y compris pour des missions régaliennes telles que la défense pour ce secteur important de la commande publique. C'est désormais une question de stratégie administrative qui se pose.

Concernant les modes de gestion des services publics qu'ils soient économiques voire sociaux, l'externalisation est opérée dès lors que le mode de gestion choisi d'un service n'est plus géré en interne (concept de « in-house services ») sous la responsabilité de l'autorité publique. On parle alors de gestion déléguée, de concession et plus généralement de partenariat public-privé ou en termes plus anglo-saxons de BOT.

La logique de « cœur de métier » a été revendiquée par le Gouvernement français au nom de la Révision générale des politiques publiques (ou RGPP). Éric Woerth, ex Ministre du Budget au nom de la réforme de l'État français a rappelé le 4 août 2008 « que dans tous les ministères, les réformes identifiées permettent de mutualiser certaines tâches de support (le back office) et de développer l’externalisation sur des fonctions qui ne sont pas au cœur du métier de l’État ».

Démarche opérationnelle

Identification des processus externalisables

Avoir recours à une solution d’externalisation est semblable à l’adoption de tout nouveau processus. Les étapes initiales comprennent l’établissement d'une politique générale, la définition du cœur de métier de l'entreprise et d’une liste de fonctions susceptibles d’être externalisées, puis la sélection de fournisseurs.

À titre d'illustration, les métiers de l'action commerciale (merchandising, animation, vente...) sont faiblement externalisés à hauteur de 2% en France selon le baromètre Outsourcing 2008 d'Ernst & Young. Par contre, les processus des systèmes d'information ou des métiers d'administration des ventes et de gestion de la relation client seraient externalisés à hauteur de 30% et potentiellement jusqu'à 85 %.

Validation économique

Il est nécessaire d’effectuer une analyse coûts-bénéfices pour mesurer la valeur du modèle d’externalisation ainsi qu'une analyse de risques (gestion des risques et coût du backsourcing).

Mise en œuvre détaillée par contrat

La mise en œuvre auprès d’un fournisseur de services est un processus complexe qui s'étudie sérieusement et donne lieu en général après des études de faisabilité, comportant des indicateurs de services mesurables et des matrices de responsabilités réciproques, à la rédaction d'une convention de services (SLA).

Du point de vue de la technique contractuelle, un conseil juridique s'avère indispensable pour examiner les points critiques du contrat à savoir :

la définition du service attendu selon l'état de l'art, les spécifications techniques mesurables objectivement et pratiques pour être parfaitement appréhendées ;

la définition du niveau de(s) performance(s) qui conditionnera les malus et bonus en termes de rémunération du prestataire ;

la responsabilité des parties et les couvertures de transferts de risques (assurance, etc) suivant la grille de risques appliquée à l'opération d'externalisation ;

la procédure de transfert de l'activité externalisée qui comprendra des audits et inventaires préalables validés ;

les modalités permettant la continuité du service et de la performance (en cas de changement progressif, brutal d'activité voire en cas de crise) ;

les modalités quant à la mise en œuvre de la clause de réversibilité de l'externalisation (backsourcing) ;

les procédures de contrôle de l'externalisation (suivi, audits).

Enfin, en termes de gestion de projet et alors que le contrat est désormais signé après un appel à la concurrence dont la négociation prendra du temps, toute externalisation réussie demandera une communication interne et externe parfaitement préparée et mise en œuvre par les cocontractants pour éviter les blocages toujours possibles des parties prenantes (autres fournisseurs, clients, salariés, syndicats, tiers) en particulier en cas de délocalisation totale ou partielle.

Justifications

Les motifs d'externalisation dans une entreprise sont multiples :

assurer une plus grande disponibilité pour se concentrer sur le cœur de métier (sur les activités à valeur ajoutée) ;

bénéficier de compétences étendues : par-rapport à la structure interne, le prestataire de services peut mettre les meilleurs spécialistes en face de problèmes parfois complexes ;

disposer pour sa structure économique d'une meilleure fle**bilité en cas d’augmentation ou de diminution du nombre de collaborateurs/d'activité de l'entreprise ; le prestataire peut s’adapter plus facilement à toute modification de la marche de l’entreprise ; l'entreprise qui externalise n'a d'autre part pas les soucis d’absence du personnel interne pour vacances, maladie ou autre ;

enfin et surtout avec la montée en puissance d'une compétitivité globalisée, favoriser un meilleur contrôle des coûts liés à la fonction, à l'infrastructure, au processus externalisé ; étant contractuels, donc connus d’avance et fixes (engagements très souvent forfaitaires), ils peuvent être à terme moins élevés que des coûts internes grâce à leur mutualisation.

Selon P. Veltz, « On ne comprend donc pas la puissance de la vague d'externalisation si on ne réalise pas que, dans la plupart des cas, elle renvoie à trois constats simples :

a) on maîtrise souvent mieux un fournisseur externe qu'un atelier ou une unité interne, parce qu'on dispose de moyens de pression beaucoup plus efficace, sur les délais, les prix, la qualité ;

b) en cas de baisse d'activité, il est tellement plus facile de se séparer d'un fournisseur que de licencier des salariés ;

c) il est souvent beaucoup plus simple - réducteur de comple**té - d'e**ger une prestation externe que d'organiser soi-même un processus de production, quitte à payer un surcoût.

Contrôle, diffusion du risque, simplification sont donc les trois en jeux de l'externalisation ».

Responsabilité

L’étendue de la responsabilité dépend des tâches confiées. Ainsi dans le cadre de la gestion de la paie, il faut bien distinguer :

L’externalisation du système informatique de gestion de la paie (A) et

L’externalisation de la gestion de la paie (B).

Dans le cas (A), l’entreprise saisit elle-même les informations dans un outil qui lui a été mis à disposition, elle reste donc responsable des erreurs liées au traitement de la paie. Dans le cas (B), le prestataire prenant totalement en charge le traitement de la paie il y a transfert de responsabilité pour les erreurs qui pourraient lui être imputables

Avantages et inconvénients

Les quatre principales motivations sont les suivantes :

Contrôler et réduire les coûts opérationnels de l'entreprise avec pour objectifs d'améliorer certains ratios, de connaitre et de prévoir les montants avec précision. L'externalisation permet une vision à moyen et long terme étant donné l'évolution plus lente des coûts externes par rapport aux coûts internes de l'entreprise.

Investir dans les secteurs clés les plus productifs de l'entreprise. Externaliser consiste alors à se focaliser sur son cœur de métier. C'est d'autant plus intéressant lorsque les activités externalisées sont peu maîtrisées au sein de l'entreprise, et sont donc réalisées avec plus ou moins de succès dans des délais assez importants. De plus, la perspective d'un travail de qualité nécessiterait en interne des investissements élevés.

Augmenter sa compétitivité en bénéficiant de compétences humaines, technologiques et matérielles récentes : les entreprises spécialisées dans l’externalisation effectuent sans cesse des investissements pour rester compétitives et grâce à la mutualisation, ces prestataires peuvent proposer les meilleurs profils, processus et matériels élaborés à des prix très compétitifs.

Anticiper, afin d'accélérer des changements structurels : par exemple, lorsque le facteur temps est prioritaire, le recours à l'externalisation va fluidifier et accélérer la mise en œuvre, du fait de la rapidité du processus. Ainsi, plus l'environnement aura tendance à évoluer rapidement, plus le recours à un prestataire externe aura du sens car il pourra mettre en place les équipes et les moyens nécessaires à la situation. La fle**bilité du prestataire sera appréciable, autant lors des phases de croissance que des phases de décroissance.

L'externalisation présente également des inconvénients :

La perte de maîtrise et des compétences au sein de l'entreprise ainsi que le manque de formations des employés qui n'ont pas les outils nécessaires pour accomplir leurs fonctions.

Le sentiment d'appartenance moins importante à l'entreprise qui sous-traite et à ses projets de l'équipe externalisée par rapport à une équipe interne.

La dépendance vis-à-vis du prestataire, comme des délais trop longs ou une détérioration du service.

Un manque d'information et de transparence.

La diminution des salaires versés aux employés.

La détérioration que la qualité de la production ou du service fournies par celle-ci (par exemple les lignes aériennes qui sous-traitent Swissport pour leur services au sol.)

La déresponsabilisation envers les entreprises, ainsi que le conflit sur les procédures à suivre ce qui crée un climat de travail malsain.

La crainte d'une irréversibilité.

Les facteurs psychologiques, notamment pour les cadres et les personnels en place s'interrogeant sur leur maintien en poste en cas de recours par leur employeur à une équipe externalisée ou sur une remise en question sur la crédibilité des employeurs ainsi que le manque d'avantages sociaux.

Risques

Principaux risques

Il e**ste également certains risques en matière d’externalisation :

Coûts cachés avant externalisation révélés après qui réduit voire annihile l'avantage économique initialement prévu dans la chaîne de valeur (effet devise, coûts du transport, gestion du personnel voire de l'encadrement, etc.).

Perte de confiance auprès du fournisseur sous-traitant ou la création de conflits d'intérêts ce qui diminue le rendement et la performance de la société sous-traitante.

Perte de la qualité du produit ou de la prestation entraînant une perte de compétitivité voire une perte de part de marché.

Perte de substance au sein de l'entreprise par la perte du contrôle des opérations ou la perte de connaissances fondamentales dans l’entreprise, de son capital immatériel.

Diminution de la maîtrise des informations par la perte de la confidentialité d'informations sensibles.

Fiabilité et pérennité du partenaire externe choisi (risque de réputation notamment).

Mauvaise réversibilité de l'opération en cas de « réinternalisation » (ou backsourcing).

Moyens de la prévention

Il faut examiner ces risques de près ultérieurement avec son fournisseur avant de signer tout contrat. Il importe également de diagnostiquer le rythme habituel d'évolution du périmètre à externaliser; plus ce changement est fréquent, mieux devront être définis contractuellement avec le prestataire de services quelles sont les modalités d'étude et de réalisation de ces changements.

Il faut tenir compte des stratégies de limitation des risques dans le contrat d’externalisation. Par exemple, il est possible de régler le problème du manque de confidentialité en donnant seulement accès à l’information pertinente au processus externalisé.

L'effet de mode ou d'imitation de la concurrence est en tous les cas à proscrire comme cela a pu être le cas en matière d'infogérance informatique avec l'effet Kodak entre Kodak et IBM. Dans le secteur de la construction d'avions, les limites de l'externalisation semblent atteintes dès lors que les compétences internes ne sont plus suffisantes pour maîtriser les délais de lancement annoncés (retards de livraison de l'A380 comme du dernier né de Boeing).

Externalisation et délocalisation

L'externalisation est fréquemment associée d'une manière erronée au phénomène de la délocalisation.

Les deux modes de gestion des organisations ne doivent pas être confondus pour autant :

Toute externalisation n'entraîne pas de délocalisation, puisqu'elle ne fait souvent appel qu'à de la sous-traitance locale.

Toute délocalisation n'est pas forcément de l'externalisation, par exemple dans le cas où c'est l'entreprise elle-même qui déplace l'un de ses propres sites de production.

Externalisation sans délocalisation

À titre d'illustration, selon une étude Markess International intitulée « Contribution de l’Externalisation des Applications et Processus RH », 2006-2008, basée sur les interviews de 400 responsables d’organisations privées et publiques basées en France, une entreprise sur deux externalise ou externalisera d’ici 2008 ses applications ou processus RH.

Parmi les avantages d'une externalisation a priori sans délocalisation, les expertises locales, le respect des réglementations nationales et la maîtrise des coûts sans effet de change sont au hit parade des motifs des dirigeants qui e**ge un service irréprochable pour une prestation de plus en plus complexe avec la stratification des règlementations.

Externalisation avec délocalisation

Dans le domaine de la production, le secteur textile et de la confection est sans doute le premier secteur industriel à avoir connu ce phénomène dès les années 70. D'autres secteurs ont suivi : maroquinerie, chaussure par exemple pour gagner des secteurs plus sophistiqués comme aujourd'hui celui de l'automobile où les délocalisations vers l'est européen ne sont plus des chimères.

Dans le domaine des services, c'est surtout dans le secteur informatique que le mouvement a pris une ampleur très forte notamment vers l'Inde et les pays de l'Est (Russie) compte tenu de la capacité à réaliser des prestations intellectuelles à distance. On parle alors d'externalisation « offshore » ou délocalisée.

Selon Luc Fayard, alors directeur de la rédaction de la revue 01 Informatique, ce mouvement est visible depuis 2004. « Des pans entiers de l'économie mondiale se modifient profondément à cause de l'offshore. Le mouvement amorcé aux États-Unis a pris de l'ampleur en Grande-Bretagne et en Allemagne. Pour l'instant, il est encore sporadique en France. Mais il est clair, désormais, que peu de pays développés vont y échapper. Selon McKinsey, 40 % des 500 premières entreprises européennes ont commencé à délocaliser une partie de leurs opérations. Rien qu'en informatique, selon une enquête CRM Buyer, 30 % des entreprises interrogées ont prévu de passer leur infrastructure en offshore dans les douze prochains mois, et 30 % sont en phase d'évaluation ; quant au développement de logiciels, deux tiers des répondants pensent l'externaliser d'ici à un an ! ».

Les entreprises choisissent souvent leur destination en fonction de la langue d’usage. Certains pays, à l’instar de l’ile Maurice, proposent des services bilingues en anglais et en français.

Ré-internalisations ou relocalisations

Mais des mouvements de réinternalisation ou backsourcing sont déjà avérés y compris en France en particulier dans le domaine informatique, celui des centres d'appel comme celui des compagnies d'assurance.

Simon Scarott de Compass MC indique pour ce secteur :

« Les augmentations des coûts de personnel peuvent atteindre désormais jusqu'à 15 % par an dans des pays comme l'Inde, réduisant ainsi l'intérêt économique de l'offshore ».

« Comme pour toute prestation d'externalisation, « Il est insuffisant de simplement se décharger des opérations problématiques et des processus inefficaces vers d'autres pays, dans l'espoir de les voir s'améliorer. Trop d'exemples montrent que ces pratiques peuvent mettre en péril la qualité du service et n'aboutissent pas aux économies attendues. En fait, il s'agit de savoir dans quelle mesure les économies sont réelles et durables et continueront à satisfaire le consommateur. »

Outre la réinternalisation pure et simple, l'externalisation avec relocalisation ne sont plus rares.

Ces mouvements illustrent un retour de balancier naturel dès lors que les avantages initiaux de l'externalisation ont disparu. L'optimum initial à l'origine de la première décision se trouve ainsi changé pour le décideur économique.

En France, Atol (Lunetiers) et Samas (Fabrication de caissons à roulettes) illustrent ces choix du retour au « made in France » .

Dans le premier cas, pour Atol, à technicité égale entre le pays local et le pays de délocalisation, la relocalisation peut être un avantage commercial au vu de la demande client d'un produit local plus cher. Elle permet aussi des circuits de production plus courts, moins chers en logistique, plus réactifs et innovants du fait de la pro**mité du marché.

Dans le second cas, pour Samas, les avantages apparents (salaires, prix et qualité) se sont estompés. Problèmes de qualité, coûts salariaux en rattrapage dans le pays de délocalisation, coût de logistique ont eu raison de la décision initiale. Ce mouvement de relocalisation se confirme depuis ces dernières années dans tous les secteurs (Geneviève Lethu (Arts de la table), La Mascotte (Textile)) avec une analyse des coûts masqués qui apparaissent après plusieurs années d'externalisation et/ou de délocalisation comme le coût du transport, de la non-qualité, du non-respect de la propriété intellectuelle, de l'incapacité d'honorer les législations internationales (Iso 14001, Iso 26000) ou européennes (sécurité des produits).

Dernier phénomène constaté lorsque l'externalisation s'est délocalisée en particulier dans des pays dont la sécurité est incertaine : plus d'une entreprise sur deux (52 %) reconnaît que « l'activité criminelle tend à annihiler le bénéfice d'une délocalisation dans un pays à bas coût de main-d’œuvre », selon un dernier sondage publié en 2010 (EDHE-CDSE).

Comme toute modification d'un processus industriel et d'une chaîne de valeurs, ces mouvements d'investissements ont à chaque fois un coût économique et social qu'il faut réintégrer dans le calcul économique des acteurs comme des autorités chargées d'établir la règlementation applicable.

中文百科

香港麦当劳麦麦送服务职位属于外判。

委外或称外包(英语:outsourcing)为于1980年代流行起来的商业用语,是商业活动决策之一,指将承包合约之一部或甚至全部,委托或发交给承包合约当事人以外的第三人,以节省成本、或集中精力于核心业务、或善用资源、或为获得独立及专业人士的专业服务等。外包和离岸委外经常被混用,委外的承包合约当事人主要是借用第三方的时间、人力资源、及核心业务能力或资源,以完成特定的制程、或商业流程;选用的第三方以国境内,易于掌握及监督其工作方式及工作进度为主。而离岸外包是指国土以外,能自行治理,完成特定的企业主要活动;换言之,其承包之第三方为国外公司,能独力完成制造加工、行销、销售、客户服务,或主要之支持服务例如产品开发为主。

概述

“外包”指将一个业务功能的管理控制和/或业务决策转移或者共享给外部的供应商。这将产生一定程度的双向信息交流和沟通,外包供应商和客户之间的协调和信任。这种不同经济个体间的关系与传统的服务买家和卖家的关系有着本质的不同。在外包关系中,双方动态的集成和共享对于劳动力流程的管理控制,而传统的买卖关系保持双方的完全独立。经常被外包的业务领域包括:信息技术,人力资源,物业设施管理,房地产管理和会计。很多公司也外包客户支持(英文:Customer Support)、电话服务中心(调用中心)等业务,以及工程和制造。现在有一些争论,一些是针对外包的利益和成本,一些是针对如何对外包进行分类。 外包和离岸外包:对比和差别 “外包”、“离岸外包”经常会在公开场合下被混用,但他们有着重要的技术区别。为了一致,“外包”是一个企业词汇、特指将组织功能转移给第三方的一种组织实践。 当这个第三方是位于另外一个国家时,“离岸外包”才是比较准确的术语。“离岸外包”是指将一个组织功能转移到另一个国家,不管这个工作是否会在组织内部还是在组织外部。简而言之,“外包”是指与另一个组织共享组织控制,或者在一个组织内部创建网络关系的过程。“离岸外包”特指将一个组织功能搬至另一个国家,但并不一定会产生组织内部控制的变更。

常见外判工序

文化娱乐业:配音、电影特技、印刷、字幕、中文打字、插图、广告及公共关系

物业管理:清洁工人、保安员、环保工作

地产发展:打桩、地盘整理、项目管理

工程项目:电脑生产、贴牌生产、软件开发、数据挖掘

工厂生产:塑胶花

旅游业:旅行社、接待单位、导游

IT业: 上世纪80年代末随着柯达公司宣布柯达的全部IT功能外包给IBM、迪吉多及Businessland公司,外包开始在信息技术领域有明显的飞越。在这以前从来没有将IT作为战略资源的知名大企业将自己的信息系统交给外部公司来完成。柯达公司高达一亿美元的外包合同是IT外包发展史的一个重要转折点,后来常被作为「柯达效应」引用。它使信息系统的外包合法化和普遍化持续到今天。 与企业其他领域相比,信息管理领域有自己的特点,这些特点将信息系统的外包与其他企业功能外包区分开: IT的快速发展:信息技术和IT能力高速发展。IT需求很难提前三年做计划,受不稳定因素影响。 快速变化的IT经济学:由于信息技术对象的发展容易改变,IT成本随着时间难以估计。 IT无处不在的扩散:虽然信息系统功能没有在每个企业被看做必要的战略资源,IT的扩散对所有企业来说都是强有力的,而且多数对生意来说很重要。IT与众多企业紧密连接,很难作为孤立的功能被启动。

IT的快速发展:信息技术和IT能力高速发展。IT需求很难提前三年做计划,受不稳定因素影响。

快速变化的IT经济学:由于信息技术对象的发展容易改变,IT成本随着时间难以估计。

IT无处不在的扩散:虽然信息系统功能没有在每个企业被看做必要的战略资源,IT的扩散对所有企业来说都是强有力的,而且多数对生意来说很重要。IT与众多企业紧密连接,很难作为孤立的功能被启动。

其他外判工种:速递、市场调查、信息技术、数据输入、数据开发、客户关系管理、法律顾问、会计服务、内部审计等。

市场架构

外包是以多种型态出现在市场上,诸如:统包、分包及承揽或接案...等,他们之间可能有专业分工,或组织解构之类的关系。过去企业常用的外包来源,多半是既有厂商名单或请同业推荐,但随着网络及相关资通信技术的发展,专业的工作外包平台或群众外包网站已逐渐获得发案方及接案方的信任,为外包开辟出另一个全新的蓝海市场。

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