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词典释义:
truisme
时间: 2023-09-12 21:48:07
[trɥism]

n. m 自明之理, 显而易见的道理, 不言而喻的事

词典释义
n. m
自明之理, 显而易见的道理, 不言而喻的事
近义、反义、派生词
词:
banalité,  lapalissade,  tautologie,  trivialité,  platitude,  évidence
联想词
paradoxe 论,奇论; banal 平凡的,平庸的,平常的; paradoxal 论的,悖论的; assertion 主张,说法,断言,论点; absurde 荒谬的,荒唐的,荒诞的; postulat 公设; énoncer 陈述,发表,说明; populisme 民众主; banalité 平凡,平庸; absurdité 荒谬,荒唐,不合逻辑; cynisme 犬儒主;
例句库

À cet égard, le «sens positif» n'est qu'un truisme.

在这方面,“积极的意义“仅反映了一个事实。

Mme Ndiaye (Organisation internationale pour les migrations) : C'est un truisme de rappeler que les engagements financiers pris à Monterrey en faveur du développement tardent à se concrétiser.

恩迪亚耶夫人(国际移徙组织)(以法语发言):不言而喻,在蒙特雷所作的关于发展筹资的承诺一直履行缓慢。

C'est devenu un truisme de dire que chaque opération de maintien de la paix des Nations Unies est unique et correspond à l'environnement stratégique, politique et opérationnel particulier dans lequel elle est déployée.

人们不难看出每一项联合国维持和平行动都具有其独特性,反映其部署的环境在战略、政治和行动方面的特殊性。

C'est là un truisme qui se manifeste dans le nombre croissant de conflits que connaissent les pays en développement.

这个自明之理表现在发展中国家冲突的数目的日益增加。

C'est un truisme de dire qu'à l'aube d'un nouveau millénaire la menace posée par les armes nucléaires reste une très dure réalité.

不言而喻,在进入新千年际核武器构成的威胁仍然是一个阴暗的现实。

Dire que l'ONU est la seule organisation qui rassemble tous les pays du monde est un truisme, mais nous ne devons jamais sous-estimer le simple fait que c'est la seule organisation dotée d'une composante universelle et d'un mandat de portée mondiale qui nous appartient à tous, à tous les peuples du monde.

说联合国是唯一使世界各国相聚一堂的组织只是指出了一个明显事实,但我们绝不应低估这样一个简单事实,即联合国是唯一一个确实属于我们大家——属于世界各国人民的、具有成员资格普遍性和广泛代表性的组织。

C'est un truisme que de dire que ces subventions contribuent à appauvrir les pays producteurs d'Afrique et, subséquemment, à accroître le taux de chômage.

的确,可以说这些补贴促使非洲的生产国贫困化了,增加了失业。

C'est un truisme de dire qu'à elles seules ces mesures ne peuvent épargner le monde d'un holocauste nucléaire.

这是一条不言而喻的道理:这些措施本身并无法拯救世界,使其免除核灾难。

Bien que cela puisse sembler un truisme au Conseil de sécurité, je tiens à préciser que la FIAS est ouverte à tous.

或许在安理会内这是不言自明,我还是要强调,安援部队是包容性的。

C'est un truisme que de dire qu'il ne peut y avoir de sécurité durable sans désarmement.

不言而喻,没有裁军不可能有持久安全。

Enfin, sa délégation estime que l'alinéa du préambule est répétitif et constitue un truisme.

最后,埃及代表团认为建议序言部分的段落重复和赘述。

En prenant ce truisme en considération, il faut s'efforcer durablement d'approfondir les divers aspects complexes d'une question qui empiète sur les intérêts vitaux de tous les pays.

认识到这一事实,就持续努力探讨处理这一影响各国重要利益的问题所涉及到的复杂性的各个方面。

Une telle observation peut s'apparenter à un truisme, mais il vaut la peine de la réitérer.

这一点听来可能象陈词滥调,但我们认为值得重复。

Ce serait un truisme que de parler de la « misère juridique » des populations rurales d'Haïti.

说海地农民是“法律贫穷”,当不为过。

Si vous me permettez un truisme, je dirais que nous devons nous conformer au principe « la fonction fait l'organe ».

如果我可以讲一个不言自明的道理的话,我们的思想方法应该是“使形式适应职能”。

法语百科

Une lapalissade (ou vérité de La Palice) consiste à affirmer une évidence immédiatement perceptible, ce qui déclenche en général le rire de l'interlocuteur, ou encore sa réponse : « La Palice en aurait dit autant ! ». C'est un synonyme de truisme.

Une tautologie correspond également à une proposition toujours vraie, mais sans que cela soit nécessairement perceptible d'emblée, de sorte que le terme n'a pas la connotation péjorative attachée à lapalissade.

Exemple

« Certains hommes sont grands, d’autres pas. » Affirmer que certains hommes sont grands suppose une différence entre ces individus et le reste de la population. Préciser d’autres pas est par conséquent inutile, puisque cela revient à dire la même chose.

Une lapalissade énonce une évidence reconnue de tous, ce qui est habituellement source d'hilarité, que le locuteur y ait recours à dessein, pour plaisanter, ou non.

Étymologie

Le mot lapalissade vient du nom de Jacques II de Chabannes, seigneur de La Palice, maréchal de François I, mais contrairement à ce que l’on pourrait croire, il n’a été l’auteur d’aucune lapalissade. Les soldats de La Palice, pour illustrer le courage dont fit preuve ce maréchal lors du siège de Pavie (1525) où il trouva la mort, écrivirent une chanson à sa mémoire, dans laquelle se trouve la strophe suivante :

Hélas, La Palice est mort,
Il est mort devant Pavie ;
Hélas, s’il n’était pas mort,
Il ferait encore envie

Sa veuve, Marie de Melun, s'inspirant de cette chanson fit graver comme épitaphe sur son somptueux monument funéraire :

"Un quart d'heure avant sa mort, il était encore en vie", Joëlle Chevé, Historia Special, n° 9, janvier-février 2013, pages 120 et 121/

Il existait à l'époque deux graphies pour le s minuscule : le s rond (s) et le s long (ſ), ce dernier pouvant être confondu avec un f. Une erreur de lecture a fait lire « Hélas, s’il n’était pas mort, il ſerait (serait) encore en vie ». Aujourd’hui, on retrouve encore cette phrase déformée en « Un quart d’heure avant sa mort, il était encore en vie ».

Au XVIII siècle, Bernard de La Monnoye reprit alors l’ensemble de cette chanson sur ce modèle : "Il est mort le vendredi, passée la fleur de son âge, s'il fut mort le samedi, il eût vécu davantage."

L’orthographe de lapalissade provient du nom moderne de la ville de Lapalisse, dans le Bourbonnais, qui abrite le château historique de Jacques de La Palice.

Chanson de La Palisse

Paroles de Bernard de la Monnoye.

On y relèvera les lapalissades en italique dans le texte, presque toutes formées sur le dernier vers de chaque strophe :

Messieurs, vous plaît-il d’ouïr
L’air du fameux La Palisse ?
Il pourra vous réjouir
Pourvu qu’il vous divertisse.

La Palisse eut peu de bien
Pour soutenir sa naissance,
Mais il ne manqua de rien
Dès qu’il fut dans l’abondance.

Bien instruit dès le berceau,
Jamais, tant il fut honnête,
Il ne mettait son chapeau,
Qu’il ne se couvrît la tête.

Il était affable et doux,
De l’humeur de feu son père,
Et n’entrait guère en courroux
Si ce n’est dans la colère.

Il buvait tous les matins,
Un doigt, tiré de la tonne,
Et mangeant chez ses voisins,
Il s’y trouvait en personne.

Il voulait aux bons repas
Des mets exquis et fort tendres,
Et faisait son Mardi Gras,
Toujours la veille des Cendres.

Ses valets étaient soigneux
De le servir d’andouillettes,
Et n’oubliaient pas les œufs,
Surtout dans les omelettes.

De l’inventeur du raisin,
Il révérait la mémoire ;
Et pour bien goûter le vin
Jugeait qu’il en fallait boire.

Il disait que le nouveau
Avait pour lui plus d’amorce ;
Et moins il y mettait d’eau
Plus il y trouvait de force.

Il consultait rarement
Hippocrate et sa doctrine,
Et se purgeait seulement
Lorsqu’il prenait médecine.

Il aimait à prendre l’air
Quand la saison était bonne ;
Et n’attendait pas l’hiver
Pour vendanger en automne.

Il épousa, se dit-on,
Une vertueuse dame ;
S’il avait vécu garçon,
Il n’aurait pas eu de femme.

Il en fut toujours chéri,
Elle n’était point jalouse ;
Sitôt qu’il fut son mari,
Elle devint son épouse.

D’un air galant et badin
Il courtisait sa Caliste,
Sans jamais être chagrin,
Qu’au moment qu’il était triste.

Il passa près de huit ans,
Avec elle, fort à l’aise ;
Il eut jusqu’à huit enfants :
C’était la moitié de seize.

On dit que, dans ses amours,
Il fut caressé des belles,
Qui le suivirent toujours,
Tant qu’il marchât devant elles.

Il brillait comme un soleil ;
Sa chevelure était blonde :
Il n’eût pas eu son pareil,
S’il avait été seul au monde.

Il eut des talents divers,
Même on assure une chose :
Quand il écrivait des vers,
Qu’il n’écrivait pas en prose.

Au piquet, par tout pays,
Il jouait suivant sa pente,
Et comptait quatre-vingt-dix,
Lorsqu’il faisait un nonante.

Il savait les autres jeux,
Qu’on joue à l’académie,
Et n’était pas malheureux,
Tant qu’il gagnait la partie.

En matière de rébus,
Il n’avait pas son semblable :
S’il eût fait des impromptus,
Il en eût été capable.

Il savait un triolet,
Bien mieux que sa patenôtre :
Quand il chantait un couplet,
Il n’en chantait pas un autre.

Il expliqua doctement
La physique et la morale :
Il soutint qu’une jument
Est toujours une cavale.

Par un discours sérieux,
Il prouva que la berlue
Et les autres maux des yeux
Sont contraires à la vue.

Chacun alors applaudit
À sa science inouïe :
Tout homme qui l’entendit
N’avait pas perdu l’ouïe.

Il prétendit, en un mois,
Lire toute l’Écriture,
Et l’aurait lue une fois,
S’il en eût fait la lecture.

Il fut à la vérité,
Un danseur assez vulgaire ;
Mais il n’eût pas mal chanté,
S’il avait voulu se taire.

Il eut la goutte à Paris,
Longtemps cloué sur sa couche,
En y poussant des hauts cris,
Il ouvrait bien fort la bouche.

Par son esprit et son air
Il s’acquit le don de plaire ;
Le Roi l’eût fait Duc et Pair,
S’il avait voulu le faire.

Mieux que tout autre il savait
À la cour jouer son rôle :
Et jamais lorsqu’il buvait
Ne disait une parole.

On s’étonne, sans raison,
D’une chose très commune ;
C’est qu’il vendit sa maison :
Il fallait qu’il en eût une.

Il choisissait prudemment
De deux choses la meilleure ;
Et répétait fréquemment
Ce qu’il disait à tout heure.

Lorqu’en sa maison des champs
Il vivait libre et tranquille,
On aurait perdu son temps
À le chercher à la ville.

Un jour il fut assigné
Devant son juge ordinaire ;
S’il eût été condamné,
Il eût perdu son affaire.

Il voyageait volontiers,
Courant par tout le royaume ;
Quand il était à Poitiers,
Il n’était pas à Vendôme.

Il se plaisait en bateau ;
Et soit en paix, soit en guerre,
Il allait toujours par eau,
À moins qu’il n’allât par terre.

On raconte, que jamais
Il ne pouvait se résoudre
À charger ses pistolets,
Quand il n’avait pas de poudre.

On ne le vit jamais las,
Ni sujet à la paresse :
Tant qu’il ne dormait pas,
On tient qu’il veillait sans cesse.

Un beau jour, s’étant fourré
Dans un profond marécage,
Il y serait demeuré,
S’il n’eût pas trouvé passage.

Il fuyait assez l’excès ;
Mais dans les cas d’importance,
Quand il se mettait en frais,
Il se mettait en dépense.

C’était un homme de cœur,
Insatiable de gloire ;
Lorsqu’il était le vainqueur,
Il remportait la victoire.

Les places qu’il attaquait,
À peine osaient se défendre ;
Et jamais il ne manquait
Celles qu’on lui voyait prendre.

Dans un superbe tournoi,
Prêt à fournir sa carrière,
Il parut devant le Roi :
Il n’était donc pas derrière.

Monté sur un cheval noir,
Les dames le reconnurent ;
Et c’est là qu’il se fit voir
À tous ceux qui l’aperçurent.

Mais bien qu’il fût vigoureux,
Bien qu’il fût le diable à quatre,
Il ne renversa que ceux
Qu’il eut l’adresse d’abattre.

Un devin, pour deux testons,
Lui dit, d’une voix hardie,
Qu’il mourrait delà des monts
S’il mourait en Lombardie.

Il y mourut, ce héros,
Personne aujourd’hui n’en doute ;
Sitôt qu’il eut les yeux clos,
Aussitôt il n’y vit goutte.

Monsieur d’la Palisse est mort,
Il est mort devant Pavie,
Un quart d’heure avant sa mort,
Il était encore en vie.

Il fut, par un triste sort,
Blessé d’une main cruelle.
On croit, puisqu’il en est mort,
Que la plaie était mortelle.

Regretté de ses soldats,
Il mourut digne d’envie ;
Et le jour de son trépas
Fut le dernier jour de sa vie.

Il mourut le vendredi,
Le dernier jour de son âge ;
S’il fût mort le samedi,
Il eût vécu davantage.

J’ai lu dans les vieux écrits
Qui contiennent son histoire,
Qu’il irait en Paradis,
S’il n'était en Purgatoire.

法法词典

truisme nom commun - masculin ( truismes )

  • 1. chose évidente (soutenu) Synonyme: lapalissade

    échanger des truismes

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