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词典释义:
symphonie
时间: 2023-07-27 17:26:12
TEF/TCF常用TEF/TCF专八
[sɛ̃fɔni]

交响乐,交响曲

词典释义
n.f.
1. 〈古〉 和音
2. 交 乐,交
les neufs symphonies de Beethoven多芬九部交
3. 〈转〉(事物的)交织
symphonie de couleurs 几种颜色的和谐交织


常见用法
jouer une symphonie de Beethoven演一场多芬的交

近义、反义、派生词
助记:
sym共同+phon声音+ie阴性名词后缀

词根:
phon 声音

名词变化:
symphoniste
形容词变化:
symphonique
近义词:
harmonie,  hymne
反义词:
discordance
联想词
sonate ; concerto ; symphonique 乐的, 交的; mélodie 旋律,调; cantate 大合唱; musique 音乐; orchestration 谱管弦乐,配器法; valse 华尔兹舞; orchestre 管弦乐队; partition 划分,分割; harmonique 和声的,调和的,调的, 和谐的;
短语搭配

enregistrer une symphonie sur disques把一部交响乐灌成唱片

jouer une symphonie de beethoven演奏一场贝多芬的交响乐

suivre une symphonie sur la partition看着总谱听交响乐

écouter une symphonie en entier, ère听一部完整的交响曲

symphonie concertante协奏式交响曲

Beethoven n'a écrit qu'une symphonie avec chœur, la neuvième.贝多芬只创作了一首带合唱曲的交响曲,即第九交响曲。

entendre une symphonie dans une salle de concert在音乐厅里听交响曲

un enregistrement de 5e la symphonie de Beethoven贝多芬第五交响乐的录音

symphonie de couleurs几种颜色的和谐交织

symphonie concertant, ee协奏式交响曲

原声例句

Les programmes proposés aux amateurs de musique classique, sont très variés : musique vocale ou instrumentale, ancienne ou contemporaine ; symphonies, concertos, musique de chambre ou récitals de solistes connus.

声乐表演或器乐表演,古典的或近代的;交响乐协奏曲、室内乐或著名的独奏表演。

[法语词汇速速成]

Le quartier-maître ne se trompait pas. L’épaisse nuée s’approcha. Il s’en échappait tout un concert de bêlements, de hennissements et de beuglements. La voix humaine sous forme de cris, de sifflets, de vociférations, se mêlait aussi à cette symphonie pastorale.

水手长并未判断错。那片烟渐渐飘近,里面传出羊咩、马嘶、牛哞的合奏曲,在这牧区交响曲中,还夹杂着人的叫喊、吹口哨和叫骂声。

[格兰特船长的儿女 Les Enfants du capitaine Grant]

Les symphonies de Beethoven ou de Schumann, c'est bien naturel, n'est-ce pas?

贝多芬、舒曼的交响乐,那也是十分正常的,对吗?

[北外法语 Le français 第三册]

À peine cette pensée lui eut-elle traversé l'esprit que la messagerie de son portable retint son attention par une discrète et courte symphonie de clochettes..

她的思绪才刚刚被挑起,手机邮箱的的铃声,一段简短而不起眼的曲调吸引了她的注意。

[法语综合教程3]

D'accord, voici l'album Wolfgang Amadeus Mozart, symphonie numéro 40 G Minor K 550 sur Spotify.

收到,这是Mozart的Wolfgang Amadeus的专辑,第四十交响曲

[YouCook Cuisine 小哥厨房]

Ceci est notre espoir. C'est avec cet espoir que je rentre dans le Sud. Avec cette foi, nous pourrons transformer les discordances de notre nation en une belle symphonie de fraternité.

这就是我们的希望。我怀着这种信念回到南方。有了这个信念,我们将能从绝望之岭劈出一块希望之石。有了这个信念,我们将能把这个国家刺耳的争吵声,改变成为一支洋溢手足之情的优美交响曲

[经典演讲精选]

Percevoir une odeur, c’est comme percevoir un accord musical sur un piano à 400 touches, et donc on peut imaginer le nombre immense virtuellement infini de symphonies qu’on peut faire sur un tel piano.

感知一种气味就像在一架有400个键的钢琴上感知一个和弦,因此我们可以想象在这样一架钢琴上可以弹出恢弘的几乎无数个交响曲

[聆听自然]

Et en no 1 de notre top: Mozart compose sa 1re symphonie à seulement 8 ans.

莫扎特仅8岁就创作了他的第一部交响曲

[Vraiment Top]

Comme c'est ma 1re, je l'ai appelée" Symphonie No. 1." Ha! Ha! Original, n'est-ce pas?

因为这是我的第一首曲子,所以我叫它 " 第一交响曲" 。哈! 哈!原创的,不是吗?

[Vraiment Top]

Ça laisse le temps aux conducteurs d'écouter une partie de la 5e symphonie de Beethoven!

它让司机有时间听贝多芬第五交响曲的一部分!

[Vraiment Top]

例句库

Dans la salle de gym, je prends pour jouir de la gloire lumineuse salle de basket, dans la classe de piano, je l'utilise pour jouer une belle symphonie de sons.

在体育课上,我带着它享受篮球赛场闪耀的荣光;在钢琴班里,我用它弹奏优美的乐章

Au bout d'un instant, une symphonie qui devait produire le plus grand effet à l'arrivée de la sainte Vierge, manqua.

过了一会儿,当演到圣母登场时,本来应当演奏一曲交响乐,以造成最宏伟壮丽的戏剧效果,却卡住了。

La symphonie de l'éternel retour.

归于永恒的交响乐

Les musiciens jouent une symphonie de Beethoven.

音乐家在演奏一曲贝多芬的交响乐

L'automne, la nature se pare d'une symphonie de couleurs. C'est le temps de la cueillette des pommes et de l'observation des oies blanches.

秋天,大自然披上了多彩的盛装。这是苹果的采摘期和鹅的观察期。

L'automne, la nature se pare d'une symphonie de couleurs.

秋天,大自然披上了多彩的盛装

法语百科

Une symphonie est une composition instrumentale savante, de proportions généralement vastes, comprenant plusieurs mouvements joints ou disjoints, et faisant appel aux ressources de l'orchestre symphonique.

Le mot lui-même, directement emprunté au grec, apparaît vers le XVI siècle dans le vocabulaire musical des principales nations européennes. À l’origine, pris dans son sens étymologique, il est presque synonyme de « musique » et peut désigner indifféremment n’importe quelle sorte de composition, à l’exception, sans doute, de la monodie pure. Cependant, l’usage tend à limiter son application à la musique instrumentale – par opposition à la musique vocale – et plus spécialement à la musique d’ensemble. Puis, peu à peu, il en vient à désigner un certain genre d’écriture et un certain type de concert, et enfin une forme particulière d’œuvre pour orchestre, assez rigoureusement définie, dont Haydn, Mozart et Beethoven donnent des illustrations magistrales. Mais déjà prend naissance, dès les premières années du XIX siècle, une tradition symphonique qui s’éloignera de plus en plus du modèle classique. C’est à peine si l’on peut encore parler de forme à propos de la symphonie, qui ne cesse d’évoluer, enrichissant sa palette et modifiant sa syntaxe au point d’en faire éclater les structures. Aujourd’hui, la pâte symphonique, nourriture quotidienne de tous les orchestres du monde entier, dépasse largement le cadre de la symphonie.

Provenant étymologiquement du grec σύν (syn), signifiant avec et φωνή (phônê), signifiant voix ou son, le terme fait référence à la consonance des sons. Au Moyen Âge, la chifonie (ou chifoine) désigne un instrument, ancêtre de la vielle à roue, qui fait intervenir plusieurs cordes (donc plusieurs notes) simultanément. Au début du XVI siècle, le terme s'étend aux œuvres polyphoniques destinées aux instruments, puis s'applique à toutes compositions instrumentales par opposition à la musique vocale.

Ce n'est que dans le deuxième tiers du XVIII siècle, en pleine période de classicisme que le genre est fixé dans son acception actuelle.

Historique

L'évolution de sa structure est parallèle à celle de la forme sonate tant dans l'agencement des différents mouvements que dans la construction interne de chacun d'eux. Mis en place lentement au cours du XVIII siècle – les musicologues dénombrent 7 000 œuvres entre 1740 et 1800 –, la forme se développe grâce aux symphonistes de la période romantique naissante, par exemple en 1824 la « neuvième symphonie » de Ludwig van Beethoven. Mais certains compositeurs s'affranchissent de ce cadre, tel Hector Berlioz, six ans plus tard en 1830, dans sa « Symphonie fantastique ».

Il ne faut pas non plus oublier le rôle de la sinfonia d'ouverture à l'italienne (c'est-à-dire deux mouvements vifs qui encadrent un mouvement lent) de l'opéra qui marquera aussi de son empreinte la naissance de cette forme à succès.

Le nombre de mouvements qui constituent la symphonie varie, pouvant aller de un à huit ou davantage, mais, dans sa forme la plus classique (haydnienne) il est de trois ou, encore plus fréquemment, de quatre.

L'œuvre est interprétée par un orchestre symphonique (on emploie aussi l'expression orchestre philharmonique) sous la direction d'un chef d'orchestre, apparu en tant que tel autour de 1810/1820. Ce dernier est chargé de garantir la justesse rythmique, de surveiller la balance sonore, de maîtriser les détails, la cohérence ou les équilibres et surtout d'insuffler un esprit commun à cent instrumentistes.

Au XVIII siècle, la symphonie remplace progressivement le concerto grosso, pour les grands ensembles musicaux. Avant Mozart, c'est surtout Joseph Haydn qui contribua à fixer sa forme, lui donnant ses lettres de noblesse. Mais c'est Ludwig van Beethoven qui en fit l'une des formes musicales les plus prestigieuses du répertoire classique, agrandissant l'orchestre jusqu'à ajouter un chœur dans le final de sa neuvième symphonie. Il a été suivi par les compositeurs romantiques (Weber, Schubert, Berlioz, Schumann, Brahms, Dvořák, Saint-Saëns Tchaikovski...), puis post-romantiques (Mahler, Rachmaninov, Sibelius, Vaughan Williams...) et enfin modernes (Ives, Enesco, Prokofiev, Chostakovitch, Martinů, Milhaud, Tippett, Hartmann...).

Si le XIX siècle a créé le poème symphonique qui libère nombre de compositeurs du cadre rigide d'une grande forme, une autre prend vie au XX siècle : le concerto pour orchestre, défendu par Bartók. Toutefois, la symphonie reste encore parmi les formes musicales privilégiées par un grand nombre de compositeurs contemporains par ses potentiels de renouvellement et ses possibilités protéiformes, par exemple d'éclatement de l'orchestre : Elliott Carter (Symphonie de trois orchestres) ou Henri Dutilleux (Symphonie le Double).

Certains compositeurs étaient d'excellents orchestrateurs, sans pour autant avoir composé des œuvres orchestrales strictement apparentées à la symphonie. On pense par exemple à Maurice Ravel et à Modeste Moussorgsky.

Il est quelquefois difficile de classer une œuvre orchestrale comme symphonie, tant le genre a évolué au cours du XIX siècle et du XX siècle.

Au-delà des chiffres

L'investissement personnel du compositeur se mesure à la diminution du nombre de symphonies composées au cours d'une carrière : dans ce domaine, la qualité et le caractère personnel de l'inspiration deviennent incompatibles avec une production de série : si Haydn compose 104 symphonies (107 selon certaines sources), Johann Melchior Molter 170 et Ignaz Holzbauer 200, Mozart n'en écrit pas plus de 41 et Beethoven 9.

Cela dit, toute comparaison par les chiffres est forcée et peut-être même déplacée. Il faut donc citer certains compositeurs, ayant, pour des raisons multiples, abordé une seule fois le genre. D'abord les incontournables Franck, Chausson, Bizet ou Dukas et ajoutons même La Mer, chef-d'œuvre de Debussy, qui est une symphonie sans le nom. Toutes ces œuvres capitales pour l'histoire de la musique et notre admiration, marquent et nourrissent sans doute plus la vie musicale que les dix de Joseph Joachim Raff, les douze de Darius Milhaud ou les soixante-sept d'Alan Hovhaness.

Et puis, il faut attirer l'attention sur quelques symphonies à (re)découvrir : Cherubini (unique symphonie de maturité), Arriaga (unique symphonie d'un compositeur mort à vingt ans), Rott (unique symphonie d'un compositeur mort à vingt-six ans dont le style était très proche de Bruckner et de Mahler ; Rott est une sorte de chaînon manquant entre les deux grands symphonistes), Paul Dukas, Zoltán Kodály qui satisferont les curieux du contenu plus que de retenir des chiffres affolants des Haydn et autres Segerstam.

Évolution de l'orchestre

La composition de l'orchestre symphonique a évolué avec le temps.

À l'époque pré-classique (1730 - 1760) l'orchestre se compose principalement des cordes (violons I et II, altos, violoncelles et contrebasses (jouent ensemble)) avec la basse continue (Cf. : Carl Philipp Emanuel Bach ; Wilhelm Friedemann Bach ; Anton Fils ; François-Xavier Richter ... ) auxquels peuvent s'ajouter un nombre réduit d'instruments à vent : généralement deux cors ainsi qu'une seule paire d'instruments de la famille des bois (généralement : deux flûtes traversières ou deux hautbois) avec parfois un basson utilisés pour soutenir la basse continue ; la trompette est rarement utilisée ainsi que la clarinette encore peu développée à l'époque.

Les symphonistes de la période classique tel que Haydn et Mozart enrichissent l'orchestre qui peut comprendre dans sa formation alors maximum et en plus des cordes : 2 flûtes traversières ; 2 hautbois ; 2 clarinettes ; 2 bassons ; 2 cors ; 2 trompettes et timbales - Le contrebasson et le trombone étant réservés à l'opéra et à la musique religieuse. Cet effectif peut être parfois légèrement augmenté comme pour la Symphonie nº 100 en sol majeur, « Militaire » de Haydn qui utilise en plus de l'effectif cité ci-dessus : un triangle, une grosse caisse et des cymbales.

L'effectif s'élargit parfois comme dans la symphonie nº 25 de Mozart (Sol mineur) qui emploie 4 cors au lieu de deux. Beethoven agrandit ensuite notablement cet effectif : dans sa cinquième symphonie : un piccolo, un contrebasson et 3 trombones ; il culmine avec sa neuvième symphonie où l'orchestre comprend, outre les cordes : 1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois,2 clarinettes, 2 bassons, 1 contrebasson, 4 cors, 2 trompettes, 3 trombones, 2 timbales, 1 triangle, 1 grosse caisse, des cymbales et (innovation majeure) 1 soprano, 1 alto, 1 ténor, 1 basse et 1 chœur.

La harpe apparaît dans la forme symphonique avec la Symphonie fantastique de Berlioz en 1830, mais elle était utilisée parfois dans l'orchestre depuis au moins 1810, car c'était un instrument très populaire (voir œuvres de Salieri ou Spohr) .

Puis dans un sillon initié par la musique de Wagner, les effectifs ne cessent de grossir avec l'orchestre de Schumann, Brahms, puis Bruckner, Mahler et leurs descendants.

À l'instar de Beethoven, d'autres compositeurs ont utilisé des voix comme Gustav Mahler dans quatre de ses symphonies (les numéros 2, 3, 4 et 8) ou Chostakovitch dans ses Troisième, Treizième et Quatorzième Symphonies.

L'orchestre symphonique peut inclure également un piano ou un orgue (Camille Saint-Saëns), mais le plus souvent un célesta.

Une autre transformation de la symphonie est née avec Mahler, c'est la symphonie vocale, pour un soliste ou plus, sur un texte poétique. Le Chant de la terre (composé entre 1907 et 1908) marque cette tentative (quasi parfaite, on peut le dire) de fusionner lied et symphonie, et notons-le, au service d'un pessimisme des plus profonds, comme bien plus tard l'extraordinaire Quatorzième de Chostakovitch. La structure symphonique dans le Das Lied est respectée même pour le Scherzo qui occupe les quatrième et cinquième mouvements. Mahler avait déjà dans la Symphonie n° 4 (1901) inauguré le principe, mais dans un seul mouvement.

Arthur Honegger, dans sa Deuxième symphonie de 1941, infléchira la démesure de l'orchestration au service d'une intensité nouvelle que réclame le contexte dramatique, en n'utilisant que les cordes et une trompette solo dans le choral du finale où la musique retrouve la lumière de l'espoir.

Symphonie pour instrument soliste

En dehors de l'orchestre, l'orgue est le seul instrument soliste pour lequel plusieurs compositeurs ont écrit des symphonies.

Suivant le mouvement de l'évolution musicale, la facture d'orgue française du XIX siècle, après une courte période dite de l’orgue romantique, aboutit à l’orgue symphonique sous l'impulsion du facteur d'orgues Aristide Cavaillé-Coll et de plusieurs organistes. La symphonie pour orgue se révèle donc comme la fille de l'école française d'orgue. C'est cependant un genre nouveau, qui rompt avec la tradition classique de l'orgue et cherche, tant par la forme que par les timbres, à se rapprocher de l'orchestre. Elle participe d'un renouveau sans précédent dans l'histoire de la musique d'orgue, tant du point de vue des nouveaux principes de composition et de registration qu'elle engendre que des nouvelles techniques de jeu qu'elle demande à l'interprète.

Signalons également l'existence de la Symphonie pour piano solo, de Charles-Valentin Alkan, extraite de ses Douze études dans les tons mineurs, op. 39 (numéros 4 à 7). Cette symphonie se distingue de la sonate ordinaire pour piano par son écriture, plus massive et plus orchestrale, qui lui vaut sa dénomination.

La « malédiction » de la neuvième

C'est après Beethoven qu'est née la légende de la « malédiction de la neuvième symphonie », qui serait fatale aux compositeurs. En effet, tous les grands compositeurs symphonistes du XIX et du début du XX siècle ont composé au plus neuf symphonies (Schubert, Dvořák, Bruckner, Mahler et Vaughan Williams en ont composé, comme Beethoven, exactement neuf). Il faudra attendre le XX siècle pour que Chostakovitch brise la « malédiction » en ne complétant pas moins de quinze symphonies.

Tous les musiciens d'envergure du XIX se mesurent à l'aune du maître Beethoven et aucun n'y échappe. Il est donc possible de voir en cette « malédiction » une sorte de fascination beethovénienne en mouvement. D'autres œuvres comme le concerto pour violon a marqué les compositeurs qui se confrontaient au genre. Brahms et Tchaikovski ne composent eux aussi qu'un seul concerto... en ré majeur, comme leur aîné. Beethoven, même au-delà du XIX siècle, étreint chaque compositeur qui doit lutter pour espérer franchir un au-delà musical si loin repoussé et avec force par Ludwig van Beethoven. À la fois humaine et inhumaine figure du musicien, l'image de Beethoven alimente ce qui reste une légende.

中文百科
交响乐队
交响乐队

包含歌唱家的交响乐队

交响曲(不等同交响乐)是包含多个乐章的大型管弦乐曲,一般是为管弦乐团创作。

发展历史

文艺复兴时期就有了交响曲这个说法,当时的交响曲泛指包括了声乐和器乐的一切多声部音乐。 16至17世纪,交响曲用来称呼歌剧和清唱剧中的序曲和间奏曲,这时声乐已经排除在了交响曲的概念以外,“交响曲”从此成为纯粹的器乐曲。 18世纪初,序曲和间奏曲开始脱离歌剧,并开始在音乐会上单独演奏。这对交响曲的发展起重要的作用,意大利那不勒斯的作曲家亚历山大·史卡拉第在自己的作品中为序曲奠定“快板-慢板-快板”(舞曲风格)的三段体式,给后来的交响曲的乐章格式创建了最基本的格式。 18世纪下半叶,德国的曼海姆乐派在序曲的创作中开创主调音乐的手法,提高乐器的表现能力和音乐的戏剧性,并在三段式序曲的基础上增加了快板的终曲,就形成了4乐章器乐套曲的雏形。 海顿、莫札特和贝多芬把维也纳古典乐派发展到了颠峰的状态,也使得交响曲进入黄金时期。贝多芬把交响曲的内涵和思想性发展到更高境界,现代意义上的交响曲概念从这个时期形成。 从贝多芬去世到1848年革命期间,4乐章的传统交响曲无论在形式还是内容方面都没有太大的革新。奥地利作曲家弗朗茨·舒伯特在他的第8和第9交响曲中所展现的才能和对未来音乐的预示如果不是因为作曲家的早逝,很可能就此改写欧洲19世纪音乐史。 与贝多芬同时代的德国作曲家路易斯·施波尔一生创作9首交响曲。在第九交响曲中更是融合了传统交响曲和标题音乐的很多特征与因素,这一点可谓后来法国的埃克托·白辽士提出标题音乐的先声。 同时期却稍晚的德国作曲家费利克斯·门德尔松一生共创作5首交响曲,其中最为著名的第3号a小调(苏格兰)和第4号A大调(意大利)。然而对后代作曲家影响更大的却是第2和第5号。第2交响曲的副标题为「赞美诗」,在这里作曲家没有采用传统的4乐章曲式,而是以一种**时期的清唱剧模式来构建整个作品,他自己称之为“为独唱,合唱与乐队而作的圣经**交响康塔塔”。第5交响曲又被称为「宗教改革交响曲」,作曲家虽然仍旧采用了传统的4乐章曲式,可许多重要主题确是直接引用马丁·路德的众赞歌“上帝是我们坚强的堡垒”以及“德累斯顿阿门”。 在门德尔松去世的时候,德奥音乐已经严重分裂为两大阵营,以李斯特·费伦茨、理察·华格纳、安东·布鲁克纳为首的「新德意志乐派」,和以约翰内斯·勃拉姆斯、音乐理论家爱德华·汉斯力克为首的「保守派」。两者之间的争论和分歧主要是如何界定音乐的性质和内容。在新德意志乐派看来,音乐不仅仅是作为纯粹和抽象的声音艺术和音乐的绝对美,而更应该与文学、诗、哲学及各种意识形态联系。对他们来说,音乐不再是呈现客观美的过程,而是主观意志的直接表现,音乐则是这种表现的方式。而保守派则坚信音乐是一种纯粹的结构与形式之美,在交响曲这个体裁里滥用文本暗示和诗歌隐喻会导致这种已经趋于完美的经典形式走向崩溃。 约翰内斯·勃拉姆斯一生共创作4首完整的交响曲,全按照经典的4乐章构架、奏鸣曲式、回旋曲式等传统体裁创作,在贝多芬等诸位古典大师的盛名之下仍具独创性,无论在和声还是曲式方面,布拉姆斯都大大地扩展了这一体裁。第4号交响曲作于1885年,在末乐章里,他更是将已经被大多数作曲家抛弃的古老变奏曲式帕萨卡利亚舞曲(passacaglia)运用得炉火纯青,整个乐章在33段变奏之后结束于一片彻底的悲剧与毁灭中。作为一个内心相当感性与伤感的布拉姆斯,却一生效忠于古典大师的音乐与精神,在这里,他情感与理智的冲突终于在这样一个完美的形式中得到最好呈现,而伴随着它的结束,整个古典交响曲的大厦也随之轰然倒塌了。 安东宁·德弗札克的第九交响曲第一页 同时期的布鲁克纳虽然一生倾心于瓦格纳的艺术,而且也一直被保守派攻击,但他却留下了9首在形式上非常古典的交响曲,其中除了未完成的第9,其他都具备4个乐章,而所有的首乐章又都按照大型奏鸣曲式来写作。布鲁克纳一生任职于教堂,且为有声誉的管风琴家,他的交响曲却常常被当时同行讥讽为过于庞大笨拙,并且在配器上过于单一,往往把乐队当作管风琴的另一种表现载体。确实,在他早中期的一些作品中,这样的缺点的确存在,但他晚年的最后3部交响曲却完全摆脱了这些毛病。在最后一首交响曲里,和声的运用已经非常大胆,调性的功能在某些段落已经相当模糊,这一点被他的学生古斯塔夫·马勒发展到了极限,到最后才由勋伯格终结了调性写作的时代。 进入20世纪后,交响曲仍然在发展,越来越多的新元素添加到交响曲中。气势恢弘,感情细腻,表现力无限丰富的交响曲仍然拥有大量坚定的爱好者。

乐曲结构

第一乐章:奏鸣曲式,快板,有时有一个慢速度引子——通常是奏鸣曲式,并且是整部作品智能的核心。

第二乐章:又称慢乐章,复三部曲式或变奏曲,慢板

第三乐章:又称小步舞曲乐章,一般是三段体,中、快板

第四乐章:又称终乐章,奏鸣曲或回旋曲式,快板。在早期的交响曲作品中,第四乐章通常是短小而且分量轻的一个乐章,但是作曲家后来开始感到需要有某种能够与第一乐章取得平衡并为其补充实质内容的音乐。

表现手法

快而鲜明

乐队

交响曲是由管弦乐团演奏,每个国家乃至每个城市都以拥有一支水平精湛的管弦乐团而感到自豪。

著名作曲家及作品

贝多芬第五交响曲

贝多芬第九交响曲

莫札特第二十五交响曲

莫札特第四十交响曲

德弗札克第九交响曲《新世界交响曲》

法法词典

symphonie nom commun - féminin ( symphonies )

  • 1. composition musicale comportant classiquement plusieurs mouvements et utilisant un grand orchestre d'instruments à cordes souvent augmenté d'instruments à vent et de percussions

    la grande symphonie romantique

  • 2. impression sensible évoquant les qualités d'ampleur et de profusion généralement conférées au grand orchestre (soutenu)

    une symphonie de couleurs

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infect a. (m) 1发出恶臭, 散发恶臭:2<口>令人厌恶, 惹人讨厌3坏透, 极恶劣常见用法

boss n. m<英><口>工头, 领, ; 上; 头儿

opalin opalin, e a. 白色的,光的 n.f. 白,瓷;白品

débuter 首次参加,开始

celles 这些个

dépendance n. f. 1. 从, 附, 隶, 依赖, 依靠2. pl. 附建筑物, 3. 相关, 相依4. [](一国对另一国的)依赖(关系)5. (毒)瘾

asservissant a.奴役, 奴化