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词典释义:
gisant
时间: 2023-10-03 12:39:10
[ʒizɑ̃]

gisant, ea.平卧的, 躺着的;横陈的 — n.m.(雕塑在墓石上的)死卧像

词典释义

gisant, e
a.
平卧的, 躺着的;横陈的
bois gisant 伐倒的树木
fenêtre gisante【建筑】横窗
meule gisante固定磨盘
navire gisant 【航海】搁浅的船

— n.m.
(雕塑在墓石上的)死卧像
近义、反义、派生词
反义词:
debout
联想词
cadavre 死尸,尸体; tombeau 陵墓; cercueil 棺材; sarcophage 石棺; dépouille 战利品,掠夺; bas-relief 浅浮雕; sculpté 雕刻的, 雕花的; sépulture 埋葬; mausolée 陵,陵墓; ossements 骸骨,枯骨; mourant 垂死,垂危;
当代法汉科技词典

gisant m. 落地数

短语搭配

bois gisant伐倒的树木

navire gisant【航海】搁浅的船

navire gisant, e〔海〕搁浅的船

fenêtre gisant, ee〔建〕横窗

bois gisant, e伐倒的树木

ruines gisant, ees dans l'herbe草地里的废墟

blessés gisant, es, semblables à des cadavres像死人般横躺着的伤员

Les gisants caractérisent un aspect capital de la sculpture à la fin du Moyen ge.在墓石上刻死者卧像是中世纪末期雕刻艺术的主要特点。

原声例句

Et le gisant du journaliste Victor Noir, montrant une rigidité bien placée, reçoit des caresses bien placées, à ne pas rester de marbre !

而记者维克多-诺伊尔的卧姿雕像,则显示出一种恰到好处的僵硬,接受着大家的爱抚,不甘落后!

[德法文化大不同]

Le panneau du bas révèle des soldats gisant, dont on ne sait pas s'ils sont morts ou vivants.

最下面的面板上显示着在那里的士兵,他们生死不明。

[历史小问题]

Les lointaines espérances qui pour elle commençaient à poindre dans son cœur fleurirent soudain, se réalisèrent et formèrent un faisceau de fleurs qu’elle vit coupées et gisant à terre.

遥远的希望刚刚在她心里萌芽,就开花,长成,结成一个花球,现在她眼看剪成一片片的,扔在地下。

[欧也妮·葛朗台EUGÉNIE GRANDET]

Il sentait près de lui les jambes du malade, longues et dures comme des membres de gisant.

他感觉到身边的病人两条腿又长又僵直,就像死人的肢体。塔鲁的呼吸更粗重了。

[鼠疫 La Peste]

Morrel y avait bien fait mettre une croix, mais cette croix était tombée, et le fossoyeur en avait fait du feu, comme font les fossoyeurs de tous ces vieux bois gisant dans les cimetières.

老莫雷尔的确在那个地方插过一个十字架,但十字架早已倒了,掘坟的人已经把它烧毁,象他们的坟场里所有腐朽的木头十字架一样。

[基督山伯爵 Le Comte de Monte-Cristo]

Morrel tendit la main à son amie. Valentine, pour tout excuse de ce qu’elle n’avait point été le trouver, lui montra le cadavre gisant sous le drap funèbre, et recommença à sangloter.

莫雷尔向她伸出手。瓦朗蒂娜指一指床上的尸体,表示这是她所以不能赴约的原因,然后又开始啜泣起来。

[基督山伯爵 Le Comte de Monte-Cristo]

Ce fut le 17 mai, à cinq cents milles environ de Heart’s Content, par deux mille huit cents mètres de profondeur, que j’aperçus le câble gisant sur le sol.

那天是5月17日,在离赫尔斯堪敦港500海里的2800海米深处,我看到了横卧在地上的电缆。

[海底两万里 Vingt mille lieues sous les mers]

– Mon père est parti de la même manière. J'étais allée faire des courses, quand je suis revenue, je l'ai trouvé gisant sur le perron de la maison.

“我父亲就是这样离开的。当我逛完街回家的时候,看见他在家门口的台阶上。”

[《第一日》&《第一夜》]

Poignardé hier lors d'une conférence dans l'Etat de New York, on le voit ici, gisant au sol, pris en charge par des spectateurs.

昨天在纽约州的一次会议上被刺伤,在这里被看到,躺在地上,得到观众的支持。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年8月合集]

Des blindés et des corps gisants de soldats.

装甲车和士兵的尸体。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年10月合集]

例句库

La vidéosurveillance de la station Loubianka a enregistré les images des victimes des attentats meurtriers gisant sur le sol.

卢比扬卡地铁站的电子监控系统记录下了爆炸发生后站内尸横遍地的情形。

Ces deux éléments auraient pour effet de réduire les dangers présentés par les roquettes armées gisant au sol et surtout par celles qui sont équipées d'un dispositif de mise à feu à activation piézoélectrique.

两种装置都会减少落在地面的待发导弹构成的危险,特别是那些装有压电引信的导弹。

法语百科

Gisants de Richard Cœur de Lion (au premier plan) et d'Isabelle d'Angoulême (au second plan) à l'abbaye de Fontevraud.

Un gisant est une sculpture funéraire de l'art chrétien représentant un personnage couché (par opposition à orant ou priant) généralement à plat-dos, vivant ou mort dans une attitude béate ou souriante (par opposition au transi), l'effigie étant habituellement placée sur le dessus d'un cénotaphe ou, plus rarement, d'un sarcophage. C’est, lorsqu’il existe, l'élément principal de décoration d’un tombeau ou d’un enfeu. Par extension, un gisant gravé ou sculpté en bas ou demi-relief sur une dalle funéraire peut également représenter l'effigie d'un grand personnage.

Étymologie

Gisant est le participe présent du verbe gésir : être couché, étendu (généralement malade ou mort). Le même verbe est employé dans la formule « ci-gît » (ici repose).

Évolution du style

Le gisant est généralement associé à l'iconographie médiévale mais il est une résurgence païenne antique, un débat historiographique existant pour savoir si le gisant médiéval s'inspire du gisant antique. Les gisants étrusques sont éveillés et sur leur séant. Les gisants romains sont représentés dans des attitudes de sommeil ou de convive, à demi-couché sur un « lectus triclinaris ».

Au Moyen Âge, les aristocrates français et anglais préfèrent l'embaumement au mos Teutonicus (technique funéraire d'excarnation), pratiquant pour certains une partition du corps (dilaceratio corporis, « division du corps » en cœur, entrailles et ossements) avec des sépultures multiples qui devient à partir du XIII siècle un privilège de la dynastie capétienne dans le royaume de France (majoritairement les rois, parfois les reines ou les proches). Cette dilaceratio permet la multiplication des cérémonies (funérailles du corps, la plus importante, puis funérailles du cœur et funérailles des entrailles) et des lieux (avec un tombeau de corps, un tombeau de cœur et un tombeau d'entraille) où honorer le roi défunt. Pour chacun de ces tombeaux, on réalise un gisant différent : gisant d'entrailles pour le tombeau des viscères, gisant de cœur pour le tombeau du cœur, et gisant de corps pour le tombeau du reste du corps. On identifie un gisant d'entrailles par la présence d'un petit sac dans une main, et un gisant de cœur par la présence d'un petit cœur ou d'un petit sachet censé le contenir, sculpté dans la main gauche du personnage et posé sur son cœur .

Les gisants médiévaux les plus anciens, exécutés dans la pierre, représentent le personnage debout, comme en témoigne la manière dont tombe le plissé des vêtements. À partir du XIII siècle, ils sont parfois exécutés dans des matériaux plus précieux (bronze, cuivre doré ou émaillé).

Par la suite, le personnage est représenté couché, mais vivant, à plat-dos, à l'exception des chevaliers anglais des XIII siècle et XIV siècle représentés « en mouvement » (couchés sur le flanc, jambes croisées et dégainant leur épée).

Au XII et XIII siècles av. J.-C., les gisants gardent les yeux ouverts et leur attitude rappelle celle de personnes vivantes. Vers le milieu du XIV siècle, les sculpteurs ferment leurs yeux, leur donnant l'apparence du sommeil mais pas de la mort. Au cours du dernier tiers du XIV siècle, on représentera des cadavres réalistes, les transis avec leurs têtes posées sur un coussin. Originalité du XVI et XVII siècles av. J.-C., le demi-gisant (appelé aussi accoudé) qui s'appuie sur l'un de ses bras s'inspire de la statuaire étrusco-romaine. À partir du XVII siècle, le gisant tend à disparaître au profit de l'orant

VI siècle : gisant gravé sur dalle funéraire (Frédégonde)

XIII siècle : gisant couché (Aliénor d'Aquitaine)

XVIII siècle : gisant réaliste (Mise au tombeau du Christ)

Demi-gisant XVII siècle

Le gisant peut représenter soit le personnage lui-même, habituellement dans une habitude pieuse (joignant les mains, comme pour prier, ou lisant un livre saint), royale (une main tenant le sceptre royal) ou se reposant ou même le Christ.

Exemples de gisants

XI siècle

Gisant sur le tombeau du duc d’Aquitaine Guillaume VIII (1027-1086)

XII siècle

Gisant de pierre de Sibylle de Jérusalem (ou de Lusignan), sœur de Baudouin IV, comte de Namur et roi de Jérusalem, dans l'église de Namêche (Belgique). Sur cette pierre tombale, on peut lire l’inscription suivante : « Yci reposent les ossements de Sybille de Lusignant, reine de Jérusalem, décédée en l'an 1187 ».

Gisants de l'abbaye de Fontevraud : Henri II Plantagenêt (1133-1189) Richard Cœur de Lion (1157-1199)

Henri II Plantagenêt (1133-1189)

Richard Cœur de Lion (1157-1199)

Gisants de la cathédrale de Rouen Hugues III d'Amiens, premier abbé de Reading en Angleterre, puis archevêque de Rouen

Hugues III d'Amiens, premier abbé de Reading en Angleterre, puis archevêque de Rouen

Gisants de la collégiale Notre-Dame-et-Saint-Laurent d'Eu Laurent O'Toole, archevêque de Dublin

Laurent O'Toole, archevêque de Dublin

XIII siècle

Gisant de Richard Cœur de Lion à Rouen
Gisant de Richard Cœur de Lion à Rouen

Gisants de la cathédrale Notre-Dame de Rouen Richard Cœur de Lion (1157 - 1199) Henri le Jeune, son frère aîné

Richard Cœur de Lion (1157 - 1199)

Henri le Jeune, son frère aîné

Gisants de l'abbaye de Fontevraud : Aliénor d'Aquitaine (1122-1204) : gisant couché en tuffeau polychrome, représentée à une trentaine d’années, coiffée de la couronne royale, avec pour la première fois en Occident médiéval le thème de la femme lectrice (lisant probablement un psautier) Isabelle d'Angoulême (1188-1246)

Aliénor d'Aquitaine (1122-1204) : gisant couché en tuffeau polychrome, représentée à une trentaine d’années, coiffée de la couronne royale, avec pour la première fois en Occident médiéval le thème de la femme lectrice (lisant probablement un psautier)

Isabelle d'Angoulême (1188-1246)

XIV siècle

Les plis du vêtement du gisant de Clément VI illustrent que la majorité des gisants de cette époque ne sont pas sculptés allongés, mais debout.

Gisants en marbre blanc des ducs Jean II (?-1305) et Jean III (1286-1341) de Bretagne, aujourd'hui dans l'église Saint-Armel de Ploërmel

Gisant de Jeanne d'Évreux (1307-1371), reine de France, un des premiers personnages à s'être soucié de son vivant de faire exécuter le gisant de son futur tombeau

Gisant en granite de Jeanne (?-1388), héritière de Bretagne, dans l'église abbatiale Saint-Gildas de Rhuys

Philippe II de Bourgogne (Dijon)

Gisant en cuivre de Blanche de Champagne-Navarre, duchesse de Bretagne, à l'abbaye d'Hennebont, aujourd'hui au Louvre

Gisant d’Isabelle d’Artois à Eu
Gisant d’Isabelle d’Artois à Eu

Gisant de Guillaume Longue-épée dans la cathédrale de Rouen

Gisant d’Isabelle d’Artois dans la collégiale d’Eu

XV siècle

Gisant de Louis de Sancerre (1342-1402), connétable de France, dans la basilique de Saint-Denis

Gisants en marbres blanc et noir d'Olivier V de Clisson (1336-1407), connétable de France, et de sa femme Marguerite de Rohan, dans l'église de Josselin

Gisant en granit attribué à Robert (?-1408) seigneur de Beaumanoir, à l'abbaye Saint-Magloire de Léhon

Gisant en granit attribué à Guillaume Le Voyer (?-1415), à l'église de Trégomar.

Gisant en granit de Beatrix Péan et sarcophage de son mari Guillaume de Goudelin (?-1420), vicomte de Pléhédel, dans l'église de Goudelin

Gisant sur le tombeau d'Agnès Sorel (1422-1450) à Loches

Gisant en bois de Gilles de Bretagne (?-1450), à l'abbaye Notre-Dame de Boquen (Plénée-Jugon, Côtes-d'Armor), aujourd'hui au musée de Saint-Brieuc

Gisant en marbre blanc de Charles-Orland (1495) et Charles (1496), dauphins et princes héritiers de Bretagne, dans la cathédrale de Tours

Gisant de la reine du Danemark Marguerite Ire de Danemark (1353-1412), dans la cathédrale de Roskilde au Danemark.

Tombeau et gisant de Philippe le Hardi au palais des ducs de Bourgogne.

Gisant de Jean sans peur par Claus de Werve, Jean de la Huerta et Antoine Le Moiturier (palais des ducs de Bourgogne).

Gisant de Louis de Sancerre à la Basilique Saint-Denis

Gisant d'albâtre de Ralph Neville dans l'église de Staindrop (comté de Durham).

Gisant de la reine Marguerite Ire de Danemark.

XVI siècle

Le double visage de la Prudence, détail du tombeau de François II de Bretagne

Tombeau de François II de Bretagne (1435-1488) et de sa femme Marguerite de Foix-Navarre, aujourd'hui dans la cathédrale de Nantes, réalisé en marbres blanc, noir et rouge, sculpté par Michel Colombe de 1502 à 1507

Cinq gisants sculptés par Conrad Meit en marbre de Carrare: deux superposés de Philibert le Beau (1480-1504) sur son tombeau et deux de même manière de son épouse Marguerite d'Autriche (1480-1530) sur le sien, et un seul de sa mère Marguerite de Bourbon (1438-1483), dans l'église Saint-Nicolas-de-Tolentin de Brou

Gisants en marbre de Jacque Guibé (?-1509), capitaine de Rennes et vice-amiral de Bretagne, aujourd'hui au musée de Bretagne à Rennes

Gisants en marbre d'Anne de Bretagne (1477-1514), duchesse, reine de France et de Sicile, et de son mari Louis XII (1462-1515) dans la basilique de Saint-Denis, et leurs priants

Gisants en kersanton de Philippe de Montauban (?-1514), chancelier de Bretagne, et de sa femme Anne du Chastellier dans l'église Saint-Armel de Ploërmel.

Gisants en marbre de Claude de France (1499-1524), duchesse de Bretagne et reine de France, et de son mari François I (1494-1547) dans la basilique de Saint-Denis, et leurs transis et priants

Gisant de George Talbot (1468-1538) et de ses deux épouses (chapelle des Shrewsbury dans la cathédrale de Sheffield).

Gisant de Philippe Chabot (1492-1543), amiral de France, au Louvre

Gisant de Jean III de Trazegnies et de son épouse Isabeau de Werchin (1550). Église Saint-Martin (Trazegnies) Belgique

XVII siècle

Gisant de Gillion-Othon de Trazegnies et de son épouse Jacqueline de Lalaing sculpté par Lucas Fayd'herbe (1669).

Gisant en marbre noir de Theux de Conrard de Gavre (1602), prévôt de Saint-Martin, dans la basilique Saint-Martin de Liège

Gisant de Gillion-Othon I de Trazegnies et de son épouse Jacqueline de Lalaing sculpté par Lucas Fayd'herbe (1669). Église Saint-Martin Belgique

XVIII siècle

Mise au tombeau de saint Thégonnec, dans la crypte de l'ossuaire de l'enclos paroissial de Saint-Thégonnec

XIX siècle

En 1891, la dépouille de Victor Noir, devenue un symbole républicain, est transférée au Père-Lachaise. Jules Dalou réalise son gisant, en bronze tel qu’il était juste après le coup de feu. La bouche est ouverte et les mains sont détendues.

En 1893, le sculpteur nancéien Victor Huel père réalise le gisant de Simon Moycet (mort en 1520) pour la basilique de Saint-Nicolas-de-Port.

En 18**, l’abbé Jean-Baptiste Gerin, curé de la cathédrale Notre-Dame de Grenoble pendant presque trente ans, appelé le « curé d’Ars de Grenoble », son gisant est représenté sous un baldaquin en forme de chapelle à claire-voie. Il est depuis constamment fleuri.

Gisant de Victor Noir par Jules Dalou (1891), cimetière du Père-Lachaise.

Gisant de Simon Moycet par Victor Huel père (1893), basilique de Saint-Nicolas-de-Port.

Gisant de l’abbé Gerin par Aimé Charles Irvoy (18**), cimetière Saint-Roch.

XX siècle

Au XX siècle, les gisants semblent ne rester l'apanage que de grands personnages, ou de princes. On peut notamment voir à Rome les gisants des papes Benoît XV (1922) et Pie XI (1939).

Le gisant de Benoît XV à Rome

Le gisant de Pie XI à Rome

Gisante à Suresnes

Gisants de l'empereur Pedro II du Brésil et sa famille dans la Cathédrale de Petrópolis, Brésil

法法词典

gisant nom commun - masculin ( gisants )

  • 1. arts sculpture funéraire représentant un personnage étendu

    les gisants royaux conservés dans la nécropole

gisant adjectif ( gisante, gisants, gisantes )

  • 1. qui est étendu et inerte (soutenu)

    un patient gisant dans son lit

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