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词典释义:
paroissien
时间: 2023-09-22 06:11:25
[parwasjɛ̃]

n. 1. 〔〕堂民,堂信友 2. 〈俗〉家伙 n.m. 〔〕祈祷书

词典释义
n.
1. 〔 〕堂 民,堂 信友
le curé et ses paroissiens本堂神甫和他的
2. 〈俗〉家伙

n.m.
〕祈祷书
paroissien romain天主祈祷书

近义、反义、派生词
近义词:
missel,  fidèle,  personnage,  brebis,  ouaille,  livre de messe,  bonhomme,  gars,  individu,  mec,  particulier,  type,  zigoto,  livre
联想词
curé 本堂神甫; paroisse ; prêtre 祭司; paroissial ; chanoine 议事司铎; vicaire 副本堂神父,代理; paroissiale ; abbé 修道院院长; église 会,堂; presbytère 士住宅; laïc 见 laïque;
当代法汉科技词典
n. m. 【 】堂 民, 堂 信友

paroissien ( enne) n堂

短语搭配

paroissien ( enne)堂区教民

paroissien, ne romain天主教祈祷书

le curé et ses paroissien, nes本堂神甫和他的教民

原声例句

Les deux amants, effrayés, se sauvèrent dans la salle, où Eugénie reprit son ouvrage, et où Charles se mit à lire les litanies de la Vierge dans le paroissien de madame Grandet.

两个情人吃了一惊,溜进堂屋,欧也妮拿起她的活计,夏尔拿起葛朗台太太的祷告书念着 《圣母经》。

[欧也妮·葛朗台EUGÉNIE GRANDET]

Entre autres personnes puissantes, il allait solliciter pour ses paroissiens M. le cardinal Fesch.

他代表他教区的信众们向上级有所陈请,曾夹在一群显要人物中去见过费什红衣主教。

[悲惨世界 Les Misérables 第一部]

Il y eut des rivalités à propos de celui-là et les paroissiennes choisirent finalement la cour de Mme Aubain.

关于末一座的地点,大家起了争端;最后,教区妇女选定欧班太太房前的院子。

[一颗简单的心 Un cœur simple]

Est-ce que tu te moques des paroissiens, sacrée feignante ? … Allons, houp ! décanillons !

鬼,你想违背圣条吗?… … 喔!给我起来!吃鞭子!”

[小酒店 L'Assommoir]

De courts silences se faisaient, coupés de chuchotements rapides, une attente agacée et fiévreuse, avec des courses brusques de robe, madame Lorilleux qui avait oublié son mouchoir, ou bien madame Lerat qui cherchait un paroissien à emprunter.

短暂的沉默时时被短促的低语声所阻断。厌倦和气恼的等待伴随着妇人们长裙的窸窸声响;罗利欧太太忘了带上她的手帕,罗拉太太找寻着刚刚借来的那本祈祷书

[小酒店 L'Assommoir]

Il est maigre comme tout, ce paroissien-là.

他瘦得真是吓人,这位教民。

[悲惨世界 Les Misérables 第四部]

Je découvrirai la paroisse de ce paroissien-là.

我会找到这个教民所属的教区。

[悲惨世界 Les Misérables 第五部]

Des paroissiens se sont réunis sous l'oeil du président palestinien.

教区居民聚集在巴勒斯坦总统的注视下。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年12月合集]

Des traces de sang dans les allées de l'église et derrière l'autel, des paroissiens en pleurs, encore sidérés.

- 教堂过道和祭坛后面的血迹,教区居民泪流满面,仍然目瞪口呆。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年6月合集]

Des paroissiens avaient alerté le diocèse début septembre et évoqué des attitudes suspectes.

教区居民已于 9 月初向教区发出警告,并提到了可疑的态度。

[RFI简易法语听力 2018年10月合集]

例句库

Les deux amants, effrayes, se sauverent dans la salle, ou Eugenie reprit son ouvrage, et ou Charles se mit a lire les litanies de la Vierge dans le paroissien de madame Grandet.

情侣俩吓了一跳,逃进客厅。欧叶妮赶紧拿起活计,夏尔捧着格朗台太太的祈祷书,念起《圣母经》来。

En octobre, les paroissiens de l'Église de la nouvelle vie ont manifesté contre l'éventualité de la fermeture de cette église par les autorités, qui ont ordonné à la congrégation d'évacuer le bâtiment qu'elle avait acheté et de le vendre au Gouvernement à un prix symbolique.

10月,新生活支教会教区居民集会抗议有关机构可能关闭教堂,该机构命令教会撤出它所购买但准备以名义价格卖给政府的建筑。

Selon ces informations, au moment de son arrestation la police a fait un usage excessif de la force, rouant de coups certains paroissiens.

据指称,逮捕他时警方曾使用了暴力,殴打一些教区居民。

Le Gouvernement, pour sa part, nie avoir détruit des lieux de culte et affirme que si des églises sont construites ou situées dans des zones "non autorisées" où vivent les paroissiens, ces églises sont détruites comme le serait tout autre bâtiment.

另一方面,政府否认它曾拆毁任何宗教建筑,只是说如果教堂建在和位于教区居民居住的“未经允许”区域,这些教堂将同其他建筑一起拆除。

法语百科

Une paroisse est originellement, dans le christianisme, la subdivision de base d'un diocèse dans diverses Églises : Église catholique, Église anglicane, Église orthodoxe, etc. Depuis le concile Vatican II, le Code de droit canonique de 1984 définit la paroisse de l'Église catholique comme « la communauté précise de fidèles qui est constituée d’une manière stable dans l’Église particulière, et dont la charge pastorale est confiée au curé, comme à son pasteur propre, sous l'autorité de l'Évêque diocésain ».

Elle a également donné son nom à une subdivision administrative dans plusieurs pays, la paroisse civile.

Description

La paroisse désigne à la fois une aire géographique précise, le « territoire de la paroisse », et un groupe de personnes habitant sur ce territoire et constituant la communauté paroissiale.

L'église dite paroissiale est le lieu de rassemblement de la communauté devant laquelle le pasteur et toute l'assemblée célèbrent la Résurrection du Christ à travers différentes célébrations telles que la messe dominicale.

Le mot provient du latin parochia utilisé par les premières communautés chrétiennes pour désigner le territoire d'une cité épiscopale. Au V siècle, il est déjà très proche de son sens actuel puisqu'il s'applique aux territoires et communautés existant en dehors du siège épiscopal.

La paroisse catholique

À chaque paroisse est affecté un prêtre qui porte le titre de curé de la paroisse. Chaque paroisse est rattachée à un curé, mais celui-ci n'est pas forcément résident (à la cure) dans la paroisse. Ce nom de curé signifie « chargé du soin des âmes » (curatus animarum). Sous l'autorité directe de son évêque, dont il est le délégué, c'est le pasteur de la paroisse, au sens évangélique du terme. Ce mot n'est pas son appellation usuelle.

Un curé peut être, selon la taille ou la population de la paroisse, assisté par un ou plusieurs prêtres appelés vicaires. Dans les paroisses administrées par un curé non résident, on les appelle desservants (en). En Bretagne, le curé est plus souvent appelé recteur et c'est son vicaire qui est appelé curé.

Dans les campagnes françaises, le nombre décroissant de prêtres a poussé depuis quelques décennies au regroupement paroissial. Plusieurs paroisses sont réunies et confiées à un seul curé assisté de quelques laïcs.

Dans son dictionnaire, Antoine Furetière décrit la paroisse comme le territoire « sur lequel s'étend la juridiction spirituelle du curé ». Le curé est avant tout responsable de la pastorale et de l'exercice du culte, mais cela le charge aussi de préoccupations d'ordre temporel à l'égard de ses paroissiens (pratiquants ou non).

La célébration des messes et offices, l'administration des sacrements, dont la confession, l'organisation de manifestations exceptionnelles, et la présence à de multiples réalités de la paroisse remplissent l'emploi du temps du clergé. À travers toute une pédagogie d'enseignement et d'expérience religieuse (la catéchèse), les paroissiens et en particulier les enfants sont initiés aux mystères de la religion chrétienne.

Des laïcs, bénévoles ou rémunérés, soulagent le clergé de diverses tâches matérielles telles que l'entretien de l'église et la préparation des cérémonies ; le sacristain (aussi appelé bedeau ou custos) y vouait souvent toute son existence. De nos jours, ce rôle est assuré par un ou plusieurs laïcs. Pour les cérémonies dans l'église, en particulier la messe dominicale et les processions, les ministres du culte sont assistés par les enfants de chœur, ou servants de messe, jeunes garçons ou jeunes filles de la paroisse volontaires pour assumer ce rôle. De nombreuses vocations sont révélées dans ce cadre.

Organisation des paroisses

Selon sa géographie, son habitat, la paroisse peut être divisée en quartiers regroupant plusieurs hameaux (ou rues) ; des chapelles ou des prieurés facilitant la pratique de la religion pour les paroissiens voisins. Après la Révolution, on trouve mention de ces quartiers - sous le nom de frairies - dans les listes électorales ou encore les plans du cadastre.

En raison des conditions de leur naissance, de leur taille ou configuration, une paroisse appelée paroisse-mère peut avoir délégué à une ou plusieurs paroisses-filles une partie de ses prérogatives sur une portion du territoire. Il s'agit essentiellement de permettre à une partie des habitants de disposer d'une église sans devoir se déplacer à l'église principale. Un service minimum est donc assuré sous l'autorité du curé de la paroisse-mère. Les messes principales mais aussi les registres paroissiaux y sont en principe tenus.

Les paroisses-filles sont généralement appelées succursales sous des dénominations variables géographiquement : trève en Bretagne, mais aussi selon Furetière, « aide, fillette, annexe, vicairerie ». Record au moins régional, en Bretagne la paroisse de Bothoa - maintenant Saint-Nicolas-du-Pélem - ne comportait pas moins de quatre trèves, l'ensemble occupant 140 km.

L'entité géographique supérieure dans l'Église catholique, est le doyenné regroupant plusieurs paroisses, le curé de l'une d'elle étant désigné comme doyen par l'évêque du diocèse. Au-dessus hiérarchiquement, l'archidiaconé regroupe plusieurs doyennés.

Origine et histoire des paroisses en France

Au IV siècle, Saint Martin de Tours crée et organise les premières paroisses en France.

En dehors des villes, au statut particulier, la paroisse jusqu'à la Révolution était l'entité de base du royaume. Non seulement son origine et sa nature religieuse n'empêchaient pas les élites et les administrations de la considérer comme la circonscription de base, mais le curé était estimé comme le personnage et l'interlocuteur essentiel, le clergé et de rares notables étant parfois les seuls à posséder quelque instruction. Le clergé séculier a été modelé par les séminaires mis en place à la suite du Concile de Trente. Les études y durent 5 ans (2 ans de philosophie, 3 ans de théologie). Ordonnés prêtres après ce cursus, leur ministère commence par une période de vicariat, certains restent vicaires toute leur vie alors que d'autres sont nommés aux fonctions de curé.

Celui qui nommait les curés était rarement l'évêque diocésain ; le droit de collation, c'est-à-dire de nomination du titulaire, pouvait aussi être détenu par un autre ecclésiastique, une abbaye ou un laïc, généralement un seigneur du lieu ou le roi. Ainsi dans le diocèse de Besançon, à la fin du XVIII siècle, 24 sont nommés par le chapitre métropolitain, une centaine par des abbayes, 70 par les seigneurs, 6 par le roi et cinq curés sont élus par les paroissiens. Dans tous les cas l'évêque gardait le droit d'institution canonique.

S'appuyant sur le respect des ouailles pour leur curé, celui-ci se trouva chargé de fonctions civiles comme l'État-civil ou la lecture de textes législatifs ou d'ordonnances de justice au cours ou à l'issue des messes. Habitués à recevoir de sa part des doléances ou requêtes au nom de ses paroissiens, les agents royaux trouvaient naturels de solliciter le curé pour obtenir des informations ou de lui confier des tâches où sa connaissance et sa proximité du peuple étaient essentielles telles que la distribution de secours. Au milieu du XVIII siècle, c'est au clergé qu'on demande des statistiques de population pour leur paroisse ; opération encadrée par les subdélégués de l'intendant. Il assumait avec plus ou moins de bonne volonté ces charges supplémentaires et apparaissant généralement sans accord préalable.

S'appuyer sur les paroisses en confiant aux curés des missions d'intérêt général était aussi pour le pouvoir royal une façon de négliger la féodalité et de ne pas devenir les obligés des seigneurs du lieu.

De ce point de vue administratif, la paroisse était l'unité fiscale. Au cours d'assemblée de paroisse, les paroissiens intéressés devaient répartir les impôts sur chaque foyer et désigner chaque année les collecteurs. Ces assemblées rassemblent les chefs de famille de la paroisse qui peuvent être des femmes en cas de veuvage.

Sauf pour les plus petites et les paroisses urbaines, la Révolution transforma chaque paroisse en une commune avec des territoires et populations identiques (loi établissant les municipalités du 14 décembre 1789). La paroisse parut à ce moment une notion et une réalité définitivement condamnées et il lui fallut plusieurs années pour récupérer une partie de ses attributs d'Ancien Régime.

À la fin des années 1980, la France comptait près de 38 000 paroisses, à peu près le même chiffre que les communes. L’exode rural et la déchristianisation a réduit son nombre à environ 15 000 (chiffres 2006), avant de remonter dans les années 2010 à 19 000 à la faveur de la rurbanisation (chiffres 2011).

Identités paroissiales d'autrefois

Jusqu'au début du XX siècle et surtout dans les paroisses rurales à forte vocation agricole, les individus s'identifiaient avant tout à leur paroisse, voire de manière métonymique à leur clocher : tout passant, tout visiteur était considéré comme étranger quand bien même il était de la paroisse voisine ; celui-ci savait avoir la même attitude une fois de retour chez lui. Les variantes du patois ou des pièces de vêtements désignaient immédiatement comme suspect celui qui n'est pas du pays : que venait-il faire là ? pour quelles raisons ? comment interpréter l'aisance affichée par son habit ou au contraire l'indigence de ses hardes ? est-il de passage ou un nouveau paroissien ?

L'isolement induit par la géographie (îles, vallées, ressources locales spécifiques, etc) favorisait et favorise encore dans une certaine mesure le repli sur les éléments familiers et immuables.

L'identification à la paroisse se faisait en parallèle à une attitude de rivalité à l'égard des paroisses voisines, surtout la ou les paroisses d'importance comparable. Cette attitude était positive en s'exprimant par une émulation sur l'adresse ou la force des jeunes paysans, sur le savoir-faire des artisans ou encore sur les signes extérieurs de la piété (ornements des églises, zèle dans les processions...), mais favorisait aussi une hostilité ouverte et des violences assez régulières, plus ou moins endiguées par des occasions de défoulement telles que la soule.

Sur tous les sujets possibles, plus ou moins délibérément, chaque paroisse cultivait ses particularités, c'est-à-dire des disparités vis-à-vis des innovations des voisins, tout cela en restant à l'intérieur de cadres eux-mêmes propres à un terroir. Ces disparités constamment soulignées et renforcées était devenues l'archétype de l'inconciliable. Antoine Furetière explique : « On dit de deux choses dépariées qu'on porte ensemble qu'elles sont de deux paroisses » et Émile Littré évoque le cas d'un bedeau de deux paroisses réunies contraint de porter un habit pour moitié de chacune des couleurs de ces paroisses.

Ce sentiment d'appartenance devait être suspendu à l'occasion des foires, pèlerinages, etc, où chacun se vouait à des intérêts supérieurs temporels ou spirituels. Il fallait aussi savoir mettre de l'eau dans son vin quand l'amour et les liens du mariage attiraient malgré soi sur des terres étrangères situées seulement à une lieue ou deux de là. Les cas de force majeure, épidémies et autres formes d'agression du territoire, mobilisation générale, imposaient aussi de temps à autre une remise en cause de son identité locale.

En France, le morcellement de l'esprit public à cette échelle joint à la centralisation et à la faiblesse des ressources propres a interdit longtemps toute forme de collaboration entre paroisses, puis entre communes. Chacun et chaque paroisse entretenaient ce qui lui était personnellement utile et les ouvrages ou opérations lourdes (ponts, routes principales, canaux, ports, etc) ne pouvaient être entreprises qu'aux niveaux supérieurs de l'état. Tout autre processus était voué à l'avortement par - comme dit le langage familier - des querelles de clochers.

Pas moins de 2 800 des 15 000 églises rurales sont en péril selon un rapport rédigé par le Sénat.

Archives paroissiales

Les paroisses, comme toutes les institutions, produisent divers documents qui en perdant leur actualité prennent le statut d'archives. Ces documents varient avec les époques et la complexité du fonctionnement, mais peuvent se regrouper en principales catégories au-delà des noms qu'on leur donne. La plupart des registres sont rédigés chronologiquement et sont des sources de premier plan pour l'histoire locale.

Les registres paroissiaux ou registres de catholicité où le clergé enregistre les actes de baptême, mariage et sépulture, c'est-à-dire un bref rapport à la forme réglementée citant la personne ou les personnes concernées, les témoins et le prêtre responsable, le tout suivi de leurs signatures si elles savent signer.

Les registres post-concordataires, nom des registres paroissiaux tenus par le clergé à partir de 1803.

Les registres de délibérations de l'assemblée paroissiale sur l'administration de la paroisse.

Les registres de délibérations de la fabrique concernant l'administration et entretien courant de l'église et des biens annexes.

Les ouvrages liés au culte en général et dans la paroisse en particulier : le livre de prières appelé paroissien ou paroissial ; le coutumier décrivant les usages locaux.

Les registres du conseil paroissial, à partir du début du XX siècle en France.

Les bulletins paroissiaux, imprimés périodiques, surtout à partir du début du XX siècle en France.

Les registres de paroisse qu'il ne faut pas confondre avec les registres paroissiaux sont aussi appelés « Livres de paroisse » ou « Cahiers de paroisses » parce qu'ils sont le journal de bord des événements petits ou grands de la paroisse complété par toutes sortes d'informations pouvant soutenir ou aider le clergé dans son sacerdoce, charge à chaque curé de le mettre à jour et de le transmettre à son successeur. Les plus anciens datent du début du XIX siècle en France.

Les registres paroissiaux ont été intégrés aux archives communales à la suite de la loi du 20 septembre 1792 qui confie la responsabilité de l'état civil français aux mairies.

Paroisse personnelle

Sur le modèle des prélatures personnelles (au niveau mondial), l'Église catholique a parfois recours à des paroisses personnelles, ancrées non dans un territoire géographique précis au sein du diocèse (paroisse géographique), mais sur une thématique pastorale précise ou sur une liturgie particulière. Par exemple, des paroisses personnelles ont été créées pour les fidèles attachés à la forme tridentine du rite romain ou en fonction de la langue (en Suisse, des paroisses de langues italienne et espagnole ont été créés pour tenir compte de la forte proportion d'immigrés de ces 2 langues dans le pays). Les curés des paroisses personnelles ne sont pas nécessairement des prêtres diocésains, la paroisse qui leur est confiée n'a pas de délimitation géographique.

中文百科

堂区,亦称为牧区,是天主教、圣公会等基督宗教宗派采用的教会管辖地区的划分方式,也是这些教会最基本的构成单位,以一座教堂作为堂区的中心。数个堂区可组成一个教区。

天主教

天主教会依据各国家地区现实上的行政区划来划分堂区。有神父常驻的教堂就会设置堂区,通常一个社区或聚落会设有一个堂区,一座都市则会拥有多个堂区。一个堂区会有一个本堂神父掌管堂区事务,由所属教区的主教任命,但也会有一位神父管理多个堂区的情形发生;有时在教友较多的堂区,会由教区配置多位神父以帮助本堂神父。梵二大公会议后,为了使教友能参与堂区事务,各堂区自发性组织「教友传教协进会」(香港澳门称为「牧民议会」)来辅助本堂神父推动各项事务,并做为堂区实行自治的机构。 此外,在堂区与教区之间,通常会合数个堂区设置「总铎区」或「牧灵区」,每个总铎区由区内各堂区的主任司铎之中选出一位总铎,以利于教务管理,并做为各堂区与教区之间的连系桥梁。

圣公会

GND: 4115544-0

法法词典

paroissien nom commun - masculin, féminin ( paroissienne, paroissiens, paroissiennes )

  • 1. religion : dans l'Église catholique membre d'une paroisse

    les paroissiens écoutent le sermon

  • 2. personne étrange (familier)

    c'est un drôle de paroissien!

paroissien nom commun - masculin ( paroissiens )

  • 1. religion : dans la religion catholique livre de prières qui sert à suivre la messe

    des paroissiens avec une couverture en cuir

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