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词典释义:
rabbin
时间: 2023-07-30 16:31:34
TEF/TCF
[rabɛ̃]

犹太教教士

词典释义
n.m.
1. 〔史〕 犹太法的法
Le Talmud a recueilli l'enseignement des rabbins.犹太法典汇编了犹太法法们的诲。
2. 〔 〕 犹太 ,犹太 司祭
le grand rabbin de Paris巴黎大司祭
le grand rabbin de France法国大司祭
Le rabbin se consacre à l'enseignement de la religion, préside aux cérémonies religieuses, bénit les mariages, prononce les divorces.司祭负责布道,主仪式,降福婚礼,宣判离婚。

近义、反义、派生词
联想:

联想词
juif 犹太; imam 伊玛目; judaïsme 犹太; synagogue 犹太堂; Talmud 犹太法典; pasteur <书>牧,牧羊; prédicateur 者,传道者; théologien 家; prêtre 祭司; philosophe 家; curé 本堂神甫;
当代法汉科技词典
n. m. 【 】犹太 仪式的会众领袖 n. m. 【史】犹太的法

rabbin m. 犹太, 犹太

短语搭配

Est-ce qu'elle est parente avec le rabbin? (Donnay)她同那教士是否是亲戚?(多内)

le grand rabbin de Paris巴黎大司祭

le grand rabbin de France法国大司祭

Les rabbins sont formés dans des écoles rabbiniques.犹太法学博士都是在犹太法学学校中培养的。

Le Talmud a recueilli l'enseignement des rabbins.犹太教法典汇编了犹太法法学博士们的教诲。

Le rabbin se consacre à l'enseignement de la religion, préside aux cérémonies religieuses, bénit les mariages, prononce les divorces.司祭负责布道,主持宗教仪式,降福婚礼,宣判离婚。

原声例句

L’Etat n’a pas d’influence sur la nomination des évêques, curés, pasteurs ou rabbins.

政府无法干预主教、神父、牧师及犹太教教士的任命。

[法语词汇速速成]

Il y a aussi ces parents qui étaient des artistes mais qui étaient dans le même temps tout à fait incroyants et votre mère, fille de rabbin, avait quand même grandi dans une autre atmosphère, comment êtes-vous, vous, aujourd'hui ?

也有一些父母是艺术家但同时他们也是完全不信教的,而你的母亲,犹太教徒,还是在另一个环境下长大的,那您现在怎么样?

[Alter Ego 4 (B2)]

Il y a trois ans, préfaçant le livre d'un cadre de la Nouvelle Droite, consacré au socialiste anarchiste Proudhon, il opposait Proudhon « issu d'une lignée de laboureurs francs » à  Karl Marx « issu d'une lignée de rabbins ashkénazes » .

三年前,在《一位新右翼高管》一书的序言中,献给无政府社会主义者蒲鲁东,他将蒲鲁东“来自一排法兰克工人”与卡尔·马克思“从一排阿什肯纳兹拉比”进行了对比。

[La revue de presse 2020年5月合集]

Delphine Horvileur, femme et rabbin assure que Gary est un antidote aux replis identitaires...

[La revue de presse 2019年9月合集]

Méritait-il pour autant d'élever le bébé d'un rabbin ?

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

Tu vois toujours le père, le fameux rabbin ?

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

Excuse-moi, c'est si inattendu, toi avec un rabbin et toute cette histoire…

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

Si je comprends bien, il est plus rabbin qu'amoureux.

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

Justement, je n'en sais rien. J'aurais aimé partir vivre avec Simon et garder l'enfant, mais c'est impossible, ça pose beaucoup, beaucoup trop de problèmes. Simon, mon ami, est… comment dire… rabbin.

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

À qui veux-tu qu'il ressemble ? C'est le portrait tout craché du rabbin… Mais tu connais François, les ressemblances, tout ça, ça lui passe au-dessus de la tête.

[Une vie française - Jean-Paul Dubois]

例句库

Un appel urgent concernait les arrestations de 13 membres de la communauté juive, notamment des rabbins et des professeurs de religion, dans les villes de Shiraz et Isfahan.

关于设拉子和伊斯法罕两村13名犹太教信徒(其中包括犹太教士和宗教学者)被捕一事,已向伊朗发出紧急呼吁。

Un chef rabbin de Beersheva aurait fait part à la télévision et dans les journaux de son opposition au groupe messianique et à ses activités.

贝尔谢巴的一位首席拉比在电视和报纸上宣布反对这个信奉救世主的团体及其活动。

Récemment également, la Puissance occupante a intimé l'ordre à sept frères de la famille Al-Silwadi, leurs épouses et leurs enfants, qui vivaient dans un immeuble de Silwan, d'abandonner leur logis et le dounam de terrain qui l'entourait à un groupe de rabbins israéliens extrémistes.

在最近发生的另一起事件中,居住在Silwan一座多层大楼中的Al-Silwadi家族7名兄弟及其妻子和子女接到占领国的命令,要他们腾出自己的房屋和周围的土地,以便把这项财产转交给以色列拉比极端分子团体。

C'est ainsi que plusieurs cas où des rabbins ont été passés à tabac dans la rue en Russie, en Argentine et au Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord, ont été signalés.

据报道,在其中一些事件中,又有一些拉比在俄罗斯、阿根廷和联合王国等国街头遭到殴打。

法语百科

Le rabbin Moshe Feinstein.

Le rabbin (hébreu רַב, Rav en hébreu moderne, Rov ou Rouv en hébreu ashkénaze) est une personne dont l’érudition dans l’étude de la Torah lui permet de prendre des décisions ou rendre des jugements en matière de Loi juive. Au vu de l’importance de celle-ci dans la vie juive traditionnelle, le rabbin a longtemps été la figure communautaire dominante du judaïsme. À la suite de la Haskala et surtout de la réforme du judaïsme, son rôle a été fortement redéfini dans les franges non-orthodoxes.

La fonction rabbinique au temps de la Mishna et du Talmud

Le mot Rav provient de la racine R-B-B, et est apparenté au rabb arabe (ربّ, « seigneur »). Il n’apparaît qu’en de rares occasions dans la Bible hébraïque et ne désigne pas une fonction mais un titre de respect ; les Sages recommandent de l’employer pour toute personne qui a enseigné ne fût-ce qu'une seule lettre.

Le Sage de l’ère du Second Temple, puis de la période tannaïtique, n’a aucune prérogative sur les Cohanim (prêtres) qui assurent le culte divin au Temple ni sur les Lévites qui les assistent. Son rôle est celui d’un juge ou arbitre dont la décision doit se conformer à la Loi qui se trouve, selon la tradition juive, consignée dans la Torah SheBiKhtav (la Torah écrite, c’est-à-dire la Bible hébraïque), reçue de Moïse sur le Sinaï, et développée dans la Torah SheBe'al Pe (la Torah orale), une tradition orale d’exégèse également initiée sur le Sinaï. L’objet de ses études est principalement de trouver des solutions à des situations inédites auparavant, en se basant sur les enseignements de ses prédécesseurs et sur les précédents qu’ils ont institués. Son autorité ne repose que sur le respect qu’inspire sa science, indépendamment de son ascendance et de son passé. Sa consécration est de la voir reconnue par ses pairs et par des étudiants qui souhaitent apprendre auprès de lui avant d’enseigner à leur tour. C’est après la destruction du Temple de Jérusalem en 70 qu’il devient la seule figure d’autorité, les Cohanim et Lévites n’ayant plus qu’un prestige symbolique. C’est aussi à cette époque qu’apparaissent les titres rabbiniques, le premier porteur d’un tel titre étant Rabban Yohanan ben Zakkaï.

Rabbi (רַבִּי, pluriel rabbanim, prononcé ribbī en hébreu sépharade et en hébreu yéménite) devient, au I siècle, un titre conféré aux « disciples des Sages » appelés à exercer une fonction publique, au terme d’une cérémonie d’ordination, la semikha. Il ne peut être transmis que par les Sages de la terre d'Israël, qui y ont été ordonnés eux-mêmes par le Sanhédrin selon la coutume transmise par les anciens, et ont reçu l’autorité pour juger de cas pénaux. Tous les Sages n’ont pas ce titre : outre les rabbins babyloniens, qui sont ordonnés dans leurs collèges au terme d’une cérémonie plus informelle, et ne peuvent recevoir que le titre de Rav, certains ne sont connus que par le nom de leur père, d’autres par celui de Rabban, qui est, selon certains, réservé aux présidents du Sanhédrin et, selon d’autres, aux rabbins les plus prestigieux des générations passées.

Le rabbin, qu’il soit Rav, Rabbi ou Rabban, n’est pas rémunéré pour ses fonctions (et ne peut l'être) ; il doit donc exercer une autre profession. Hillel est bûcheron et Shammaï maçon, Rabbi Ḥanina et Rabbi Oshaya sont des cordonniers, Ḳarna, un goûteur de vin, Rav Houna un porteur d’eau, etc. Le rabbin peut cependant, en tant qu’officier de justice, demander une compensation pour le temps perdu.

Le rabbinat au Moyen Âge

L’ordination formelle disparaît définitivement en 425, à la suite des mesures prises par Théodose II. Les titres rabbiniques de Rav et Rabbi, ainsi que de Rabbenou (« notre maître ») continuent à être employés bien que le second le soit quelque peu abusivement.

La situation et le statut des rabbins demeurent essentiellement les mêmes au Moyen Âge, à de rares exceptions près, comme les membres des collèges académiques de Babylonie, qui reçoivent leur salaire d’une partie des subsides versés aux académies, et ont pour métier de répondre aux questions des donateurs. Cependant, les rabbins sont souvent à la pointe des connaissances dans les domaines profanes comme religieux, sous l’impulsion de Saadia Gaon, qui a fait pièce à l’influence culturelle et théologique de la civilisation arabo-musulmane en adaptant les acquis de celle-ci à la tradition juive. Ils parviennent parfois à de hautes fonctions à la cour des souverains, particulièrement en Espagne musulmane. La situation est sensiblement différente en France et en Allemagne, où les Juifs sont en butte à la méfiance, au mieux, et aux persécutions des populations chrétiennes locales, les empêchant de prendre une part active à la vie publique.

L’étendue des fonctions et de la juridiction du rabbin dépend principalement du bon vouloir des autorités ; en certains lieux et époques, celles-ci favorisent la centralisation de l’autorité, préfigurant la fonction de grand-rabbin, en accordant à certains maîtres éminents, comme Salomon ben Adret, Hasdaï Crescas ou Meïr de Rothenburg l’autorité religieuse au niveau régional, voire national, ce qui facilite le maintien de l’autorité judiciaire. Au niveau local, le concept ancien de maître du lieu (mara deatra) trouve, en Europe centrale, son équivalent avec les Landesrabbiner. Il est généralement accordé aux rabbins l’autorité exclusive de rendre des décisions en matière religieuse et civile, à laquelle s’ajoute la supervision des institutions visant à assurer une vie juive, comme l’abattage et le bain rituel. Ils n’ont en revanche pas d’autorité particulière dans l’agencement du culte proprement dit.

Le rabbinat jusqu'au XVIII siècle

L’expulsion des Juifs d’Espagne, en 1492, bouleverse l’équilibre du monde juif, qui se partage désormais en deux pôles majeurs, l’Europe de l’est, d’une part, l’Afrique du Nord et le Moyen-Orient d’autre part.

Dans ces dernières communautés, ainsi que dans les communautés établies en terre musulmane avant l’arrivée des séfarades, les érudits ne peuvent prendre le titre de Rav, Rabb étant l’un des 99 noms d'Allah. Hakham (« Sage ») devient l’un des titres les plus fréquemment choisis pour s’y substituer en Égypte, en Syrie et en terre d’Israël, mais d’autres qualificatifs se retrouvent, comme morè tzedeq (professeur de justice), dayan (juge), haver bet din (membre du tribunal). Les rabbins officiels jouaient un rôle central dans le maintien des conditions morales de leurs communautés, s’occupaient du rachat des captifs. Des titres utilisés en place de « grand rabbin » existaient également : le grand rabbin de la terre d’Israël était appelé Rishon LeTzion ; à partir de 1836, on désigna un rabbin régissant tous les Juifs sous domination ottomane, y compris la terre d’Israël, avec le titre de Hakham Bashi ; le titre se répandit également en Afrique du Nord.

La fonction de rabbin, enseignant et membre ou juge de tribunaux siégeant selon la loi juive, devient rémunérée, lorsque les érudits ne trouvent plus d’autre moyen de gagner leur vie, et afin qu’ils ne négligent pas leurs études, en particulier après l’expulsion des Juifs d’Espagne.

Le rabbin en Europe centrale et occidentale

Au XV siècle, la coutume se répand en Europe centrale de délivrer aux érudits une hatarat horaa (« permis d’enseigner »), qui leur octroie en outre le titre de Mori (« mon professeur »). Bien que cette innovation soit critiquée comme une imitation de la coutume des chrétiens, qui confèrent des doctorats à leurs universitaires, elle se répand, et ce diplôme est même appelé semikha jusqu’à nos jours.

En France, Napoléon, émancipant les Juifs, donna aux rabbins la fonction de ministre du culte, et instaura le Consistoire central, où les rabbins étaient soumis à l’autorité du Grand-Rabbin de France.

La prononciation moderne du terme, de laquelle s’inspire le rabbin français et le rabbi anglo-saxon (se prononce rabbaï) provient d’une innovation récente XVIII siècle) dans les livres de prières ashkénazes, bien que cette vocalisation ait été retrouvée dans des sources plus anciennes.

Femmes ordonnées rabbins

Les femmes étant traditionnellement tenues à l’écart des études, il n’y eut pas de femmes ordonnées rabbins avant le XX siècle, et toutes le furent dans des courants non-orthodoxes du judaïsme.

Dans le judaïsme orthodoxe, à la suite de la décision du Talmud, les décisionnaires de la loi juive ont estimé que les femmes n'étaient pas autorisées à servir en position d'autorité religieuse sur une collectivité juive. Cette décision est toujours suivie dans les milieux juifs orthodoxes, mais a été assouplie dans des branches comme le judaïsme massorti, reconstructioniste ou réformé, qui sont moins strictes dans leur adhésion à la loi juive traditionnelle.

Il y a eu quelques rares cas de femmes endossant le rôle de rabbins dans les siècles antérieurs, comme Asenath Barzani, une érudite kurde à qui l’on conféra informellement le titre de Tanna'it, équivalent de facto à un titre rabbinique et Hannah Rachel Verbermacher, également connue sous le nom de Ludmir, la seule Rabbi femme dans l'histoire du Hassidisme.

La première femme rabbin formellement ordonnée est Regina Jonas, ordonnée en Allemagne en 1935. Depuis, lorsque Sally Priesand est devenue la première femme rabbin du judaïsme réformiste en 1972 , le Reform Judaism's Hebrew Union College a ordonné 582 femmes rabbins (chiffre de 2010). Sandy Eisenberg Sasso est devenue la première femme rabbin du Judaïsme reconstructionniste en 1974 et Amy Eilberg est devenue la première femme rabbin dans le Judaïsme conservative-Massorti en 1985. Depuis, 240 femmes ont été ordonnées rabbin chez les reconstructionnistes et 187 femmes chez les conservatives-Massorti (chiffres de 2011).

En Europe, le Collège Leo Baeck a ordonné 30 rabbins femmes sur un total de 158 ordinations depuis 1956, et ceci à commencer par rabbi Jackie Tabick. En France, seules quatre femmes ont été ordonnées rabbin ; Pauline Bebe, Floriane Chinsky, Célia Surget et Delphine Horvilleur.

Floriane Chinsky en 2014
Floriane Chinsky en 2014

En Israël, il y a récemment d'importants changements d'attitude chez plusieurs juifs orthodoxes: ainsi l'Institut Shalom Hartman, fondé par le rabbin David Hartman a ouvert en 2009 un programme qui accorde Semicha aux femmes. Le rabbin Aryeh Strikovski a travaillé dans les années 1990 avec le rabbin Avraham Shapira pour lancer le programme de formation des femmes orthodoxes Halakhiques Toanot dans les tribunaux rabbiniques. Ils ont depuis formé 72 femmes. En outre, le rabbi Strikovsky a accordée l'ordination de Haviva Ner-David en 2006. D'ailleurs en Israël, un nombre croissant de femmes membres du Judaisme orthodoxes sont formés en tant Yoatzot Halakha.

Dénomination

Il faut encore mentionner la tournure yiddish de Rebbi, le Rebbe, qui désigne encore nombre de rabbins issus de dynasties hassidiques. C’est probablement par contamination phonétique que le terme Rabbi (prononcer Rabbaï) est revenu désigner les rabbins aux États-Unis. Le terme Rav a donné en yiddish le Reb, titre donné à presque tout adulte impliqué dans l’étude des textes, le plus souvent le Talmud, par opposition aux karaïtes qui gratifiaient du titre de Hakham les personnes quelque peu érudites en Torah.

中文百科

拉比(רַבִּי‎),有时也写为辣彼是犹太人中的一个特别阶层,主要为有学问的学者,是老师,也是智者的象征。犹太人的拉比社会功能广泛,尤其在宗教中扮演重要角色,为许多犹太教仪式中的主持。因此,拉比的社会地位十分尊崇,连君王也经常邀请拉比进宫教导。在犹太人的宗教经典《塔木德》中,就经常提及拉比的事迹。

拉比是老师的意思,是智者的象征,是可以去请教的人,他们经常与常人接触,解答他们的疑惑。他们是一群观察生活,思考生活从而获得智能的人。

法法词典

rabbin nom commun - masculin, féminin ( rabbine, rabbins, rabbines )

  • 1. religion : dans la religion juive ministre du culte, chef spirituel et guide religieux d'une communauté juive

    le rabbin lit quelques pages saintes avant le sabbat

grand rabbin locution nominale - masculin ( (grands rabbins) )

  • 1. religion : dans la religion juive chef d'un consistoire israélite

    le grand rabbin est désigné par la communauté

rabbin nom commun - masculin ( rabbins )

  • 1. histoire : dans la religion juive titre honorifique qui désignait les docteurs de la Loi dans la religion juive

    une controverse éclata entre les rabbins

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