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symbole
时间: 2023-08-21 22:55:32
TEF/TCF常用TEF/TCF
[sɛ̃bɔl]

象征

词典释义

n. m.
1象征
la balance, symbole de la justice 天平,公正的象征

2符; ; 代
3[宗]信经, 信条
4古代钱币上的制造厂标


常见用法
un symbole chimique 化学符
la grue est un symbole de longévité en Chine 鹤在中国一个长寿的象征

近义、反义、派生词
联想:
  • signe   n.m. 迹象,征兆;示意动作,手势;符,标

近义词:
attribut,  drapeau,  image,  incarnation,  insigne,  personnification,  allégorie,  emblème,  figure,  représentation,  totem,  marque,  signe,  logo
联想词
emblème 徽章,纹章; symboliser 象征,……的象征; symbolique 象征性的; emblématique 作为标志的,作为象征的; signe 迹象,征兆; symboliquement 象征; symbolisme 象征; drapeau 旗帜; vecteur 矢量,向量,矢; élément 成分; sceau 印章,玺,官印,公章;
当代法汉科技词典
n. m. 【宗教】信经, 信条:~des Apôtres使徒信经 ~s sacrés圣事表

symbole m. 符

symbole atomique 原子符

symbole de la station 电台符

méta symbole m. 元符

短语搭配

signification d'un symbole某一符号的意义

représenter une abstraction par un symbole用符号表示抽象概念

symbole chimique化学符号

symboles numéralaux数字符号

symboles sacrés圣事表记

symboles chimiques化学 符号

symbole atomique原子符号

méta symbole元符号

symbole logique逻辑符号

l'idée qu'enclôt un symbole poétique一种富有诗意象征所包含的想法

原声例句

Dans les années 1940, en pleine Seconde Guerre mondiale, cette couleur devient le symbole d'un message politique puissant.

20世纪40年代,正值第二次世界大战期间,这种颜色成为强有力政治信号的象征

[精彩视频短片合集]

Au fil des décennies, ce rose est utilisé comme symbole de contestation.

几十年来,这种粉色一直被用作抗议的象征

[精彩视频短片合集]

Derrière cette teinte qu'on appelle rose shocking, se cache l'histoire d'une chute, celle de la créatrice de mode, Elsa Schiaparelli, dans un plant de bégonias quand elle était enfant, et d'un rose éclatant devenu un symbole politique et culturel.

在这种亮粉色的背后,隐藏着一位时装设计师摔倒的故事,伊尔莎·夏帕瑞丽,曾在童年时摔倒在一片秋海棠中,以及这种亮粉色已成为一种政治和文化象征

[精彩视频短片合集]

Par ce geste tout simple, Rosa Parks est devenue le symbole de la rébellion.

通过这个非常简单的行为,Rosa Parks成为了叛逆的象征

[Quelle Histoire]

On peut aussi enlever une expression de la recherche en mettant un symbole " moins" .

你也可以通过加一个减号从搜索中删除一个表达式。

[Vraiment Top]

Il s'agit d'un petit symbole en forme de vague comme celui-ci. Tu vois? Ça fait vraiment comme une vague.

就是这样的一个小波浪形符号。你看到了吗?它看起来真的像一个波浪。

[Vraiment Top]

Mais saviez-vous que c'est en France qu'il a été inventé comme tant de symboles politiques, il remonte à la Révolution. Enfin, pas tout à fait.

但你知道吗,就像许多政治符号一样,它也是在法国发明的。它可以追溯到大革命时期。但其实不然。

[德法文化大不同]

Les révolutionnaires ne manquent pas de le faire et pratiquement du jour au lendemain le drapeau, symbole du pouvoir oppresseur, devient l'étendard des martyrs de la Révolution.

革命者总是这样做,而且几乎是在一夜之间,象征着压迫权力的旗帜,很快就变成了革命烈士的旗帜。

[德法文化大不同]

Le parti bolchevique en fait le drapeau national officiel de l'URSS, et donc le symbole de la révolution mondiale.

布尔什维克党将其定为苏联国旗,并因此成为世界革命的象征

[德法文化大不同]

Avec une table de référence de chiffre et une technique astucieuse, on peut compiler tous les nombres de 1 à 9999 dans un seul symbole !

借助数字参考表和巧妙技巧,我们可以用一个符号编制从1到9999的所有数字!

[硬核历史冷知识]

例句库

Dans la culture populaire, le grand corbeau noir est chargé de symboles.

民间文化中,巨大黑色的乌鸦被赋予了很多象征

Le canard laqué est un des symboles national de la cuisine chinoise.

北京烤鸭是中国传统菜的代表之一。

Le symbole de la France, c'est un coq.il symbolise le courage.par ailleurs, il est un marque célèbre mondial qui s'appelle Le Coq Sportif.

是高卢鸡,法国的象征。他象征了勇气。另外,他还是一个国际著名的品牌,叫"运动鸡"。

Sa tête est ornée d'un chapeau dont la forme rappelle celle d'un huit symbole de l'infini.

年轻人头戴饰帽,其形状让人想起象征无穷的横置的“8”。

Très vite, sonpersonnage Vic devient le symbole de toute une génération. « Dreams are myreality », la chanson du film passe en boucle dans toutes les boums.

很快,她的角色Vic成为每一代的象征。片中插曲《梦是我的真实》在所有舞会上演奏。

Devenu un des symboles de Paris, il se caractérise par la densité de son réseau au cœur de Paris et par son style architectural homogène influencé par l’ Art nouveau.

巴黎地铁已成为这座城市的标志之一,其网络遍布巴黎密度极高。由于受到新艺术运动的影响,其建筑风格整齐划一。

Symbole de la génération des champions du monde de 1998 désormais au pouvoir à la tête de l'équipe de France de football, Zinedine Zidane est venu mercredi prodiguer ses conseils aux nouveaux Bleus.

法国足球国家队1998年冠军一代的代表人物,齐内丁.齐达内,本周三向新一代蓝色军团大方的提出了他的建议。

Mercure, symbole d'échanges et d'amitiés, culmineradans votre Ciel. Traduction : des amis perdus de vue ou qui viventloin de chez vous vont vous faire signe, sans criergare...

象征了交际和友谊的水星在你的天空达到最高点。这就是说,你会和远离的或者失去联系的好友重新联系。

Spin écarlate sur le toit du moulin à vent est devenu un symbole de , mais aussi dans le monde entier viennent ici surtout pour les touristes qui pour longtemps.

屋顶上旋转的大红风车已经成为巴黎蒙马特的标志,更令全世界慕名而来的游客们向往。

Incarne le symbole de la ville de Guangzhou, Guangzhou a également présenté ses vœux du peuple, mais aussi la performance des Jeux doit être dynamique.

既体现了广州的城市象征,也表达了广州人民的美好愿望,还表现了运动会应有的动感。

Il ya beaucoup de mots écrits a été très réconfortant, en particulier la description de Yushu est fort, il est un symbole du peuple tibétain vraiment un dévouement inébranlable.

里面有很多的文字写的很是触动人心,尤其是对玉树人的坚强的描写,更是象征着藏族人骨子的一种不屈于执着。

Empreint de respect au regard du Sacré, ce dernier explore les arcanes de l'Univers, bercé au rythme harmonieux des Signes-Symboles du cosmos.

炙热的关于根据神圣的,其中的奥秘探索宇宙,震撼的节奏和谐的标志,象征宇宙。

De nombreux Moscovites se couvraient samedi le visage avec des masques dans le centre de Moscou enveloppée dans une fumée âcre qui rend invisible le Kremlin, symbole de la capitale.

本周周六,笼罩着莫斯科的浓重烟雾使得莫斯科的标志——克林姆林宫都无法辨认,许多居住在莫斯科中心的居民必须戴着口罩出门。

Pour un Occidental, que le serpent soit le symbole du Mal ne fait aucun doute. Il ne lui viendrait pas à l’esprit qu’il puisse aussi se manger. Mais tournons-nous du côté chinois.

对于一个西方人,蛇,毫无疑问代表着不好的东西,更不会让人产生可以食用的想法。但在中国人的眼里却不同。

Mais un symbole parmi d'autres lors de cette année terrible,qui fut aussi celle de l'assassinat de Martin Luther King.

但仅是在这可怕的一年中出现的各种象征中的一个而已,此外还有暗杀马丁路德金所带来的象征

Le geste des sprinters noirs américains de Mexico en 1968 a certainement été, lui, un symbole de la lutte pour l'égalité desdroits.

1968年墨西哥奥运会上美国黑人短跑运动员的手势确实是追求权力平等的象征

Pour les Chinois, la fête du Printemps est devenue, en quelque sorte, un symbole de l'union et de la prospérité et une occasion où ceux-ci expriment leurs espoirs pour l'année à venir.

从某种程度上来说,春节已经成为了家庭团圆和财富的象征,表达了中国人对来年的美好愿望。

La tour avait en effet été construite à cette occasion, elle devait d’ailleurs être démontée ensuite mais les Parisiens ont finalement préféré la garder comme un symbole de leur ville.

艾菲尔铁塔就是为世博会建造的,原本应该在世博会结束之后拆除的,但是巴黎人民更愿意将它保留下来,作为这座城市的象征

Pour un Occidental, que le serpent soit le symbole du Mal ne fait aucun doute.Il ne lui viendrait pas à l'esprit qu'il puisse aussi se manger.

对于一个西方人,蛇,毫无疑问代表着不好的东西,更不会让人产生可以食用的想法。

Channel, Dior, Yves Saint Laurent… autant de marques symboles du style français dans la haute couture et le luxe.

香奈尔、迪奥、伊芙•圣罗兰……在高级时装与奢侈品行业中,这些都是具有法国风格的标致性品牌。

法语百科

Un symbole peut être un objet, une image, un mot écrit, un son ou une marque particulière qui représente quelque chose d'autre par association, ressemblance ou convention. Par exemple, il y a des symboles pour le code de la route.

Symbole

Le symbole est un concept, une représentation pensée chez un individu en particulier ou un groupe en général; l'association faite par la pensée est déclenchée à partir des sens humains percevant quelque chose. Un signe faisant symbole est actif chez l'individu pour soit provoquer une pensée sur un thème (par exemple la sécurité, l'autorité, l'orientation bas/haut...) et un élément (par exemple mer, terre, ciel, visage humain...), soit une sensation (par exemple joie, peur, paix, créativité, respect etc.).

Un symbole peut être un objet, une image, une forme reconnaissable, une couleur, un mot écrit suivant le système linguistique du pays, un son, une onomatopée. Mais aussi une marque particulière qui représente quelque chose d'autre par association, ressemblance ou convention. Cela peut être une personne, une « figure symbolique » de quelque chose , une formule de reconnaissance d'individus appartenant à un groupe, un signal gestuel ou bien un signe dessiné ou sculpté. L'aspect culturel est prédominant avec sous-jacent la conception de l'espace-temps. L'appropriation d'un sens symbolique dépend de la psychologie de l'individu, pour ce qui concerne la différentiation entre le lien fait par convention , et le lien fait par connotation .

Le symbole est la base pour des « analogies pertinentes, des homologies, des associations d’idées, des connotations, des relations entre le sens premier du symbole et les sens figurés qui permettent cette extraction des sens symbolisés. »

Étymologie et origine grecques, et la perspective historique

Divers symboles religieux

Le mot « symbole » est issu du grec ancien sumbolon (σύμβολον), qui dérive du verbe sumbalein (symballein) (de syn-, avec, et -ballein, jeter) signifiant « mettre ensemble », « joindre », « comparer », « échanger », « se rencontrer », « expliquer ».

En Grèce, un symbole était au sens propre et originel un tesson de poterie cassé en deux morceaux et partagé entre deux contractants. Pour liquider le contrat, il fallait faire la preuve de sa qualité de contractant (ou d'ayant droit) en rapprochant les deux morceaux qui devaient s'emboîter parfaitement. Le sumbolon était constitué des deux morceaux d'un objet brisé, de sorte que leur réunion, par un assemblage parfait, constituait une preuve de leur origine commune et donc un signe de reconnaissance très sûr. Le symbole est aussi un mot de passe.

Dans le pythagorisme, le mot « symbole » désigne une parole, un enseignement secret, avec sa double face : une expression énigmatique et un sens profond. « Il (Pythagore) livrait d'autres enseignements d'une manière mystérieuse sous forme de symboles. Aristote en a consigné plus d'un ; par exemple, Pythagore appelait la mer « pleurs » (de Cronos ?), les Ourses « mains de Rhéa »... Il y avait encore un autre genre de symboles... « Ne pas effeuiller une couronne », c'est-à-dire ne pas ruiner les lois, car elles sont la couronne des cités ; « Ne pas aller par la grand-route », en quoi il défendait de suivre l'opinion de la foule ».

Le terme « symbole » est attesté en français depuis 1380.

Au figuré, le symbole devient l'ensemble qui lie deux représentations de la même signification. Par dérivation, le symbole se réduit à l'élément imagé ou audible qui est relié à un sens caché qu'il signifie.

Par la suite, des formes d'abstraction, comme le langage ou la gestuelle, ont pu remplacer les objets dans leur fonction de représenter un engagement, une promesse, une alliance, un contrat, un pacte scellé entre deux partenaires (par exemple, une poignée de main sera le symbole d'un accord). Dans ce sens, un symbole est donc un objet sensible qu'on « pose côte à côte avec » une réalité abstraite ou surnaturelle qu'il est destiné à représenter. Le symbole est le terme visible d'une comparaison dont l'autre terme est invisible.

L'antonyme littéral du « symbolique » est le « diabolique », ce qui divise (du Grec diaballein, de dia- à travers, et -ballein jeter, jeter à travers, c'est-à-dire diviser, disperser, par extension rendre confus). Le diabolique est, au sens propre, pour les Grecs, le bâton qui semble rompu lorsqu'il est plongé dans l'eau ; au sens figuré, c'est l'apparence trompeuse. Ce qui est trompeur, fait croire à la cassure et relève de l'illusion des sens, est de l'ordre du diabolique ; ce qui rapproche, reconstitue l'unité ou la totalité originelle en dévoilant du sens est de l'ordre du symbolique. La notion chrétienne de Diable tentateur est issue de la confusion de cette signification avec celles de l'Ange révolté déchu (Lucifer) du judaïsme, du Cheytan/Satan d'origine égyptienne (Seth), et du Malin manichéen.

Fonctions du Symbole

La première des fonctions du symbole est la « fonction sémiotique » : il signifie quelque chose, il désigne, comme tout signe. Le symbole est une représentation porteuse de sens. C'est un système signifiant relevant de la connotation

Par exemple, le carré peut désigner le nombre quatre.

Une deuxième fonction du symbole est la « fonction révélatrice ». Le symbole apparaît ainsi comme la réalité visible (accessible aux cinq sens) qui invite à découvrir des réalités invisibles. Ce qu'un signe ordinaire ne permet pas de dire, le symbole le permet. Le symbole traduit l'intraduisible, éclaire l'obscur. Par exemple : le Soleil, qui éblouit, permet de présenter l'inaccessibilité de Dieu ; l'océan figure l'infini de l'amour.

« Fonction universalisante » : les symboles fondés sur une corrélation naturelle entre symbolisant et symbolisé sont de partout et de toujours. Par exemple, au-delà des différences culturelles, tous les hommes symbolisent la cruauté par la panthère, l'inaltérabilité par l'or.

Une autre fonction est la « fonction transformatrice », pour le psychisme. Selon la psychologie des profondeurs (Carl-Gustav Jung), un symbole contient une grande énergie que l'homme peut transformer, en l'amplifiant, en la sublimant, en la réorientant... Par exemple, certains malades se guérissent en travaillant sur des couleurs, des sons, leurs rêves, leurs fantasmes conscients ou leurs fantasmes inconscients.

Une autre fonction est la « fonction magique » : le symbole, de façon formelle ou de façon concrète, agit sur les choses, indirectement, analogiquement. Par exemple, un magicien croit - à tort ou à raison - que le nombre treize, par une « vertu occulte » qui échappe à la raison et à la science physique, porte malheur.

Une dernière fonction remarquable peut être qualifiée de " fonction culturelle ". L'objet conservé au titre de symbole et qui peut faire par la suite l'objet d'un traitement calligraphie (telle la croix symbolique des Chrétiens renvoyant à celle historique du Golgotha), devient le lien et le vestige fondamental qui nous unit avec les âges de fondation d'une histoire commune. Les symboles sont ici l'alphabet de la culture, ce qui nous rappelle nos valeurs constitutionnelles et notre raison d'exister.

Charles W. Morris voit quatre principaux usages au signe : information, évaluation, stimulation, systématisation.

Le symbole et son étude en définition et fonctionnement

(Voir aussi: symbologie et herméneutique)

Les sciences sémiologie et sémiotique sont occidentales. Elles sont dans le français courant confondues.

Le schéma ou plan qui organise l'étude des signes et signaux symboliques se fait en plusieurs divisions ou sous-ensembles des objets d'étude. (La modélisation, le « référentiel » est plus ou moins "rigide" et adapté plutôt à une étude dont il est issu qu'à une autre). Le signe donné doit pouvoir « parler » comme symbole et donc être identifié comme symbole plus ou moins flou, avec des termes qui ne sont pas forcément un nom mais des associations d'attributs particuliers. L'effet étudié devient fonction étudiée. Les autres constituants deviennent information selon la modélisation des perceptions simples qui font l'objet de la constatation recherchée.

La sémiologie théorise au départ en deux divisions : Signifié et signifiant (-autrement énoncé aussi le « Signifiant et le signifié » suivant le point de vue adopté -). Ce couple ou duplet est étudié au sein de la vie sociale selon Ferdinand de Saussure en 1916 sur les bases de l'étude de la langue.

La sémiotique en théorise en général au départ trois divisions avec pour support les modes de production, de fonctionnement et de réception des signes mis en systèmes de pensée concernant les individus entre eux et dans leur rapport au groupe(s). (-Groupe a le sens du « méta-individu » qu'est le groupe social-).

Le « triangle sémiotique » est réarrangé dans leur importances des « faces » ou « facteurs », ou « fonctions » qui le constituent selon le modèle, la hiérarchie peut y exister (dépendance). Dimension de domaine de culture: culture philosophique, culture scientifique, et dimension de domaine d'étude pour son application pratique: la médecine (la Sémiologie médicale), la science de la logique, la communication (avec le commerce...) etc.

Le nombre de facteurs étudiés donne parfois selon la théorie mise en place un schéma des dépendances de fonctionnement « supérieur » à celui du « triangle ».

Le nombre des « faces » du schéma et ses dimensions « cause/effet » augmente dans l'histoire brève de ces sciences. La systémique nouvelle science en évolution constante, avec les recherches associées transversalement comprenant la psychologie étudie le monde complexe avec ses symboles, et la modélisation.

N.B. Des regroupements et les divisions suivant des points de vue sont décrits dans les sections ci-après.

Le symbole et son étude par mise en schéma des facteurs

Le couple et la critique

« Le lien entre le signifiant et le signifié est de l’ordre de l’analogie, de la similitude, de la parenté, de la ressemblance, parfois de contraste, d'antithèse, d'antagonique. ».

Selon Jean-Marie Schaeffer, dans la perspective de Saussure, la notion de dimension sémantique est «le lieu d'une ambiguïté, puisqu'elle peut concerner les relations entre signifiant et signifié (designatum) ou alors celles entre le signe global et le référent (denotatum), on est évidemment obligé de distinguer entre relation sémantique (interne au signe) et relation référentielle».

Le Triangle

Frege, en 1892, distinguait:

Le sens (Sinn)- le sens est l'expression ou la proposition, c'est la signification, la pensée exprimée, il peut être commun à plusieurs personnes

La référence (dénotation, Bedeutung)- la référence est l'objet désigné, ce qu'une expression linguistique désigne

La représentation (Zeichen)- la représentation est une unité mentale subjective et individuelle.

Charles S. Peirce, en 1897, distinguait:

representamen (signe matériel) qui dénote un

object, un objet (un objet de la pensée) grâce à un *interpretant, (une représentation mentale faite dans la relation entre le representamen et l'objet thématique de la pensée ), un sens porté par le signe.

Charles Ogden et Ivor Richards, en 1923 distinguaient:

le symbole (terme, expression linguistique)

la référence (concept, unité de pensée)

le référent (objet, partie du monde perceptible ou concevable : la Tour Eiffel, la vitesse).

Morris distingue trois "dimensions" du signe :

Sémantique: la dimension sémantique regarde la relation entre le signe et ce qu'il signifie

Syntaxique: la dimension syntaxique regarde la relation des signes entre eux

Pragmatique: la dimension pragmatique regarde la relation entre les signes et les utilisateurs des signes.

Cinq facteurs et plus mais parfois schématisés en sous-groupes

Mis en deux divisions schématiques de quatre, huit facteurs de domaine et d'étude :

Charles W. Morris,en 1938, distingue dans le signe quatre identifiants de dépendance fonctionnelle (4 uplets):

le véhicule du signe: ce qui agit comme signe

le designatum: ce à quoi le signe réfère

l'effet produit sur un certain interprète

l'interprète : la personne pour qui le signe a fonction de signe.

Et quatre usages en dépendance du signe :

l'information

l'évaluation

la stimulation

la systématisation.

Cinq facteurs

Les principaux termes qui entrent dans la définition du signe sont :

le stimulus (le signal physique employé, par exemple un son vocal)

le signifiant (le modèle dont le stimulus constitue une manifestation, par exemple un phonème)

le signifié (le sens, le contenu du signe)...

le concept (la représentation mentale à laquelle correspond le signifié), soit logique, soit psychologique

le référent (ce dont on parle quand on emploie tel signe)" (Louis Hébert).

L'approche « Caractéristiques et critères »

Le nœud carré sur les foulards des scouts francophones est hautement symbolique, car il définit plusieurs des valeurs du scoutisme (égalité, ordre, harmonie, solidarité...) transcrites dans la structure du nœud.

Jean Chevalier donne les caractéristiques suivantes, communes à tous les symboles.

Obscurité : le symbole dépasse l'entendement intellectuel et l'intérêt esthétique. Il est « un terme apparemment saisissable dont l'insaisissable est l'autre terme » (Pierre Emmanuel).

Stimulation : le symbole suscite une certaine vie. Il fait vibrer.

Verticalité : le symbole établit des rapports extra-rationnels, imaginatifs, entre faits, objets, signes.

Hauteur : le symbole relève de l'infini, il révèle l'homme.

Pluridimensionnalité : chaque symbole condense plusieurs faces, formes, sens, interprétations. Un personnage de Amadou Hampaté Bâ s'écrie : « Ô mon frère, apprends que chaque symbole a un, deux, plusieurs sens ». À la différence du code, univoque, le symbole est polysémique, intelligible selon le système de représentations dans lequel il s'inscrit.

Constance. Le rapport entre le symbolisant et le symbolisé demeure. Par exemple une coupe renversée symbolise toujours le ciel, quelque forme qu'elle prenne, coupole, tente.

Relativité. Malgré cette constance, les symboles varient, ils modifient leurs relations avec les autres termes, ils revêtent une grande diversité iconographique ou littéraire, ils sont perçus différemment selon qu'on est éveillé ou endormi, créateur ou interprète.

La notion de symbole fait jouer plusieurs critères, pour distinguer, entre eux, les types de symboles. Origine : naturelle ou culturelle ? Référence : explicite ou implicite ? Composition : unique (la couleur jaune est simple) ou plurielle (la couleur violette a deux éléments, le rouge et le bleu) ? Signification : objective ou subjective ? Substance : inerte ou vivante, matérielle ou psychique, visuelle ou sonore, objet ou événement...? Domaine : vie quotidienne ou art, rêve ou pensée, mythe ou rite...? Finalités : information sociale ou expression intime... ?

La tortue est le symbole de la lenteur : la correspondance entre le symbolisant "tortue" et le symbolisé "lenteur" est naturelle (la tortue est lente, par nature), plurielle (la tortue est lente, non seulement par sa marche, mais encore par sa mastication, etc.), polysémique (la tortue symbolise, non seulement la lenteur, mais encore la résistance passive, la longévité, etc.), explicite (à voir la tortue on saisit immédiatement pourquoi elle représente la lenteur), objective (le lien tortue/lenteur est impartial et universel)...

Critère fondamental : selon T. Todorov (1978), « un texte ou un discours devient symbolique à partir du moment où, par un travail d’interprétation, nous lui découvrons un sens indirect ». Par exemple, « Il fait froid ici » peut, selon son sens direct, signifier qu’il fait froid ici. Toutefois, s’il est adressé à une tierce personne se trouvant dans la même pièce que l’énonciateur, ce même énoncé peut signifier à l’autre, indirectement, de fermer la fenêtre.

Les domaines de modélisation, l'exploitation applicative

Anthropologie

Un svastika

La Science à la fin du XIX siècle en Occident a fait partie des projets de société. «La société s'améliore » a pu être un slogan, avec une vision forte conjointe, celle que « ce qui ne peut être expérimental n'est pas avéré ». Dans une époque où on préférait plus chiffrer et moins évaluer par tractations, époque dans une culture du conflit admis et même préféré. La culture populaire locale pose dès lors le problème de la magie, de l'ésotérisme, des mythes, des rites, des religions, des cérémonies, des croyances et des symbolismes.

Les symboles représentent, sous forme imagée et souvent fantaisiste, un objet ou un événement dont on n’a pas, ou plus, la vision réelle et auquel on veut donner un sens particulier ou lui induire une croyance.

Toutefois le symbole garde entièrement sa valeur et son sens moral.

L'Anthropologie va utiliser et l'Histoire et les différents modèles établis sur les symboles et établir de ce fait une grande partie de la symbolique.

Préhistoire

Dès le Paléolithique supérieur, on peut émettre l'hypothèse de symboles. L'utilisation de l'ocre rouge, attestée il y a 280 000 ans, est peut-être symbolique. Certains signes vieux de 35 000 ans (os de l’abri Blanchard à Sergeac en Dordogne) semblent ou des symboles ou des signes attestant d’observations des cycles solaires, lunaires et stellaires. On a des amulettes dès 35 000 av. J.-C. Dans certaines grottes, on trouve des mains négatives par centaines (Gargas, Pech Merle, 25 000 av. J.-C.). Les animaux chassés (principalement des rennes) mais surtout ceux observés sans être chassés (félins, chevaux, bisons) étaient dessinés avec une grande précision sur les parois, les voûtes et le sol des grottes ornées, à des profondeurs où l'homme n'avait pas établi d'habitat. Ces dessins avaient sans doute une portée symbolique et magique. Les premières grottes-sanctuaires (grottes de Lascaux, de Niaux, des Trois-Frères, du Portel) datent d'au moins 16 000 av. J.-C. Les humains étaient souvent représentés de manière peu réaliste, comme volontairement flous, déformés. De même des figures mi-humaines mi-animales sont connues.

Au Néolithique, de 4 800 à 1 300 av. J.-C., l'homme a élevé des monuments mégalithiques en terre et en pierres comme les dolmens, des sépultures collectives avec une finalité institutionnelle visant la cohésion d'une collectivité stable et sédentaire que l'on peut considérer comme une société à part entière avec son symbolisme religieux, ses rites et cérémonies magiques et sa culture. Les monuments mégalithiques ainsi que la plupart des temples pouvaient avoir un symbolisme astronomique accompagnant la découverte des principes fondamentaux de l'astronomie (année solaire, cycle lunaire, cartographie céleste, mesure du temps) et des mathématiques, principes conduisant au développement de l'astrologie et des divinations.

Avec l'histoire, qui coïncide avec l'invention de l'écriture à Sumer, vers 3 200 av. J.-C., apparurent les premiers mythes fondateurs et récits religieux, magiques, littéraires.

La perspective religieuse

Symboles bibliques

La Bible est pleine de symboles, comme cela est souvent le cas pour les textes sacrés. Ils servent à tenter d'exprimer l'indicible (le sentiment de Dieu, la foi, les pressentiments...). Le livre de l'Apocalypse est un bon exemple de livre biblique riche en symboles (le dragon, l'agneau, la bête, les quatre chevaliers, etc.). La lecture en est même difficile pour les non-spécialistes. Les chiffres dans la Bible ont également une portée symbolique. Par exemple, 4 = le monde, 7 = perfection, 40 = le temps d'une génération, etc. Ainsi, pour comprendre un symbole biblique, il est parfois nécessaire de lire les autres récits bibliques où ce symbole apparaît, afin d'y trouver un sens commun et de mieux le comprendre.

Chez les chrétiens, on a conservé comme affirmation de la foi ce qu'on appelle le « symbole des apôtres », également connu sous le nom de Credo. Le mot symbole fait référence à deux moitiés qui vont ensemble, et que l'on peut retrouver aisément. Ainsi le symbole des apôtres peut se réciter sur les doigts des deux mains, et les deux mains se rejoignent comme les deux moitiés du symbole. Chaque doigt de la main droite trouve son équivalent à la main gauche, dans une correspondance particulièrement riche.

«

 Nous croyons en Dieu le Père
créateur du ciel et de la terre
   est monté aux cieux
et est assis à la droite du Père

 Nous croyons en son fils unique
Jésus le Messie Notre-Seigneur
  et Il viendra de là-bas
au titre de Notre-Seigneur pour les morts et pour les vivants

  qui a été conçu de l’Esprit de sainteté
et a été enfanté d’un sein vierge

 Nous croyons en l’Esprit de sainteté
et en l’Eglise sainte catholique

     et a souffert sous Pilate et a été crucifié
et est mort et a été enseveli
     en la communion des saints
et en la rémission des péchés

     est descendu au Shéol
et s’est relevé d’entre les morts
     en la résurrection des corps
en la vie éternelle

»

 Source: association eecho, qui étudie le christianisme des origines et en particulier la langue araméenne.

La perspective de l'expression pour la Science avec son langage

« Symboles » scientifiques

Ici, « symbole » a le sens de signe logico-mathématique, d'écriture formelle, d'origine conventionnelle (et non pas naturelle, comme on entend habituellement), il décrit une certaine grandeur physique à laquelle est préférentiellement attribuée telle ou telle lettre de l'alphabet romain ou de l'alphabet grec afin de rendre plus lisible les formules. Quand plusieurs grandeurs physiques de même type existent, on les distingue les unes des autres par divers artifices typographiques (indices, exposants, etc). Les indices ou exposants mis à part, ces symboles sont conventionnellement écrits en italique sauf pour quelques cas particuliers. Quelques exemples :

V : volume ;

t : temps, durée ;

v : vitesse ;

a : accélération

g : accélération de la pesanteur terrestre ;

f, ν : fréquence ;

λ : longueur d'onde ;

m : masse ;

ω : vitesse angulaire ;

ρ, μ : masse volumique ;

F : force ;

W : travail d'une force, énergie ;

c : vitesse de la lumière.

« Symboles » d'unité

Les « symboles » utilisés en sciences servent à désigner la mesure. Ils représentent une valeur, une entité. Ils sont donc bien univoques et ne peuvent se confondre avec la notion de signe. Ce symbole-là est invariable en genre et en nombre et ne prend jamais de point abréviatif. Contrairement aux symboles des grandeurs physiques, il est conventionnellement écrit en roman et non en italique.

Généralement, les symboles d'unité physiques s'écrivent en minuscule sauf lorsque l'entité est dérivée directement ou indirectement d'un nom propre, dans ce cas, la première lettre s'écrit en capitale.

Quelques exemples de symboles dérivés de noms communs :

m : mètre ;

kg : kilogramme ;

min : minute ;

j : jour.

Quelques exemples de symboles dérivés de noms propres :

V : volt (de Alessandro Volta) ;

Pa : pascal (de Blaise Pascal), unité de pression ;

J : joule (de James Prescott Joule), unité d'énergie ;

A : ampère (de André-Marie Ampère), unité de courant électrique ;

Hz : hertz (de Heinrich Rudolf Hertz), unité de fréquence ;

W : watt (de James Watt), unité de puissance.

« Symboles » de la logique scientifique organisant des éléments

La logique binaire classique issue de l'informatique utilise dans les graphes des losanges lus comme symboles des conditions énoncées et reliés par des flèches signifiant procédure entrante, procédure sortante, selon les états Vrai/Faux procéduraux.

La Logique modale organise depuis l'antiquité la détermination de la certitude vs.incertitude de résultat en fonctions logiques, elle est représentée actuellement par des graphes et des symboles d'articulation de raisonnement (voir article). Cette articulation est déjà présente dans la pensée humaine depuis la représentation du monde réel avec le futur et prend le « temps de la réflexion ».

Voir aussi dans la logique floue les graphes réutilisant les formes symboliques mises en place dès l'antiquité dans les notions de figures rhétoriques symboliques telle que l'hyperbole (l'exagération) dans le langage, devenue une représentation mathématique, l'hyperbole (mathématiques), et reste un symbole du symbolisme (art) poétique et qui est aussi actuellement utilisée en architecture "calculée" de façon à créer une émotion, par exemple avec le paraboloïde-hyperbolique coffré en béton formant une « coque », c'est-à-dire un abri.

中文百科

象征,是指以具体的事物或形象来间接表现抽象或其他事物的观念。(如中国的「红颜」一词象征美丽的女子)

希腊动词Symballein,意即「汇集」(To put together),其名词则是Symbolon。

在中国,象征是一种修辞法。

象征与标志

胡马依北风,越鸟巢南枝。——不忘本(《古诗十九首》)

奉帚平明金殿开,暂将团扇共徘徊。玉颜不及寒鸦色,犹带昭阳日影来。——皇上的恩宠(王昌龄:《长信怨》)

半亩方塘一鉴开,天光云影共徘徊。问渠那得清如许,为有源头活水来。——(朱熹《观书有感》)

明喻

隐喻(暗喻)

略喻

转喻(借喻)

转化(移觉)

拟人

拟物

形象化

正衬

反衬

悬问

激问

提问

单句对

句中对

隔句对

鼎足对

叠词

叠字

明引

暗引

藏词

夸饰

讽刺

标语

借代

析字

镶嵌

互文

双关

层递

顶真

回文

倒装

错综

摹写

示现

转品

象征

倒反

飞白

婉曲

对比

感叹

呼告

仿拟

衍文

析数格

跳脱

法法词典

symbole nom commun - masculin ( symboles )

  • 1. sciences humaines : en psychologie représentation conventionnelle (d'un objet ou d'une notion) Synonyme: emblème

    les symboles religieux

  • 2. sciences : en mathématiques et en physique signe qui représente une valeur

    les symboles + et -

  • 3. chimie signe qui représente un élément chimique

    un métal blanc de symbole Ta

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