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词典释义:
mitigation
时间: 2024-03-06 23:01:25
[mitigasjɔ̃]

n.f.缓和, 减轻

词典释义
n.f.
缓和, 减轻
mitigation des peines【法律】减刑
近义、反义、派生词
反义词:
aggravation,  exagération
联想词
atténuation 减轻,减弱,缓和; résilience 弹性; climatique 气候的; compensation 补偿,赔偿;
短语搭配

mitigation des peines【法律】减刑

例句库

Des plans d'évacuation et de mitigation peuvent être établis pour faire face à un impact inévitable.

可以制定疏散和缓减计划,以应对不可避免的撞击。

Il faudrait évaluer les mesures de mitigation prises par l'armée dans le passé pour déterminer s'il faudrait en autoriser d'autres, compte tenu des contrecoups possibles.

必须评估军方过去减灾工作的实效,以便在预期发生不利影响时,确定允许未来减灾的谨慎原则。”

Il est également préoccupé par l'article 107 concernant les « crimes contre la coutume », qui prévoit une mitigation de la peine dès lors que l'auteur épouse la victime ou que la victime épouse une tierce personne.

它还感到关切的是,关于“有伤风化罪”的第107条规定,如果行为人与受害人结婚,或者受害人与第三方结婚,则应减刑。

Les systèmes d'alerte rapide aux tsunamis continuent à progresser, incluant des activités complémentaires dans l'évaluation du risque lié au tsunami, la préparation en cas d'urgence et la réponse dans le cadre de programmes de mitigation détaillée des tsunamis.

海啸预警系统在继续发展,包括作为全面海啸减灾方案的一部分在海啸危害风险评估开展的补充活动、应急准备和应急行动。

Pour mener une lutte globale contre la dégradation des terres, la désertification et la mitigation de la sécheresse, il faut, d'une part, promouvoir les synergies avec les autres Conventions de Rio et, d'autre part, acquérir des technologies, des capacités et des compétences élargies.

防治土壤退化、荒漠化和干旱方面的整体理念要求我们一方面促进与其他里约公约之间的互动关系,另一方面取得技术、扩大能力和技能。

L'amélioration des connaissances dans les domaines de la régénération et de la conservation des sols et de l'atténuation des effets de la désertification est le principal objectif des projets REACTION (Restoration actions to combat desertification in the Northern Mediterranean) et RECONDES (Conditions for restoration and mitigation in desertified areas using vegetation).

增进恢复、土壤保持和减轻影响方面的知识是下列项目的主要目的:“地中海北部防治荒漠化恢复行动”(REACTION)和“荒漠化地区恢复和缓解的条件”(RECONDES)。

En vue de renforcer les capacités nationales et de promouvoir la coopération technique dans le domaine de l'atténuation des effets des crues au sein des pays de l'Asie du Sud, le PNUE et le Centre des Nations Unies pour les établissements humains (Habitat) ont élaboré un projet conjoint « Mitigation, Management and Control of Floods in South Asia ».

为努力提高国家的能力并促进南亚各国在减缓和管理洪水方面进行技术合作,环境规划署和人居中心制订了一项关于“减缓、管理和控制南亚洪水”的联合项目。

La Conférence ministérielle régionale sur la gestion des risques de catastrophe organisée à Sofia a convenu de développer un plan d'action de deux ans sur la gestion des risques de catastrophe et d'établir le South Eastern Europe Disaster Risk Mitigation and Adaptation Programme afin de réduire la vulnérabilité aux dangers hydrométéorologiques et autres dans la région.

在索非亚举行的减少灾害风险问题区域部长级会议决定制定灾害风险管理两年工作计划和建立《东南欧洲减轻灾害风险和适应方案》,借以降低本区域面对水文气象和其他灾害的脆弱性。

La détection des ressources naturelles, les migrations, le contrôle des maladies infectieuses comme le paludisme et le choléra, la surveillance du trafic de drogues et des armes légères et de petit calibre et la criminalité transnationale organisée et la mitigation et la prévention des catastrophes naturelles, entre autres aspects, sont un reflet des possibilités spécifiques qu'offrent ces techniques.

测绘自然资源、迁徙活动、控制传染疾病如疟疾和霍乱、监测贩运毒品、小武器和轻武器及有组织跨国犯罪活动以及减轻和预防自然灾害,都是空间技术具体应用潜力的例子。

L'Université des Nations Unies (UNU) a principalement déployé ses activités à l'appui de la réalisation des objectifs de la Stratégie internationale de prévention des catastrophes dans les trois domaines suivants : premièrement, les aspects sociaux de la vulnérabilité urbaine qui a donné lieu à une initiative de l'UNU visant à élaborer et diffuser des méthodologies d'analyse de la vulnérabilité urbaine; deuxièmement, des activités portant sur l'information et les technologies relatives aux catastrophes, menées en partenariat avec l'International Centre for Disaster Mitigation Engineering (INCEDE) de l'Université de Tokyo et, troisièmement, l'alerte rapide améliorée relative aux catastrophes climatiques qui a toujours bénéficié d'une priorité élevée à l'UNU.

联合国大学将其支助国际减少灾害战略目标的活动集中于三个主要领域:第一,城市脆弱性的社会方面,联合国大学已就此拟订了倡议,以便制订和传播分析城市社会脆弱性的方法;第二,灾害信息和技术,已与东京大学的国际减灾工程研究所(减灾所)合作进行此项工作;第三,加强关于气候性灾害的准备工作,这一直是该大学的重要优先领域。

法语百科

La mitigation (d'après le mot latin mitigare) (atténuation en français) est utilisée dans le domaine du risque ou des études d'impact (et surtout dans les pays anglo-saxons) pour désigner des systèmes, des moyens et des mesures d'atténuation d'effets, par exemple en matière de risques majeurs naturels ou dans le cas d'impacts négatifs pour l'environnement induits par un aménagement.

À la différence de la compensation ou de la conservation telles que comprises en France et en Europe, la mitigation vise plutôt à atténuer les dommages sur les enjeux (environnementaux, sociaux, économiques, sanitaires, épidémiologiques...) pour les rendre plus supportables par la société. Cela se fait plutôt dans une démarche préventive, visant à réduire d'une part la vulnérabilité des enjeux et d'autre part l'intensité de certains aléas tels que les inondations, les avalanches, aléas liés à des phénomènes climatiques et géologiques ou anthropiques (pollution, destruction de patrimoine construit, culturel ou naturel (en particulier dans ce dernier cas destruction d'espèces ou d'habitats ou fragmentation écopaysagère...)

La mitigation est une des composantes d'une stratégie de développement durable, et en particulier la mitigation des risques naturels en tant qu'investissement fait aujourd'hui en prévision de phénomènes qui auront lieu demain.

Conditions

En théorie, ce concept implique :

une approche systémique (écosystémique dans le cas des compensations environnementales) identifiant les causes et effets (impacts) possibles ;

la définition de règles, de contrôles de maîtrise d'ouvrage, et si possible d'indicateurs de résultats qu'il faudra suivre dans le temps ;

le développement d'un savoir adapté aux besoins locaux ;

l'institution d'un système d'échanges, d'aides et de financements (Aux États-Unis, la tendance est de confier ce rôle au marché) ;

l'information du public, notamment quant aux conditions de l'intérêt de cette approche alternative (condition d'acceptabilité).

Aux États-Unis, le guide fédéral recommande que chaque banque de mitigation travaille à l'échelle d'une bassin versant, ou d'une écorégion (cette zone de compétence d'une banque est dite Zone de service (service area)). Mais il est toléré - au cas par cas - qu'une telle banque soit utilisée pour compenser les impacts au-delà de sa zone de service si cela est démontré « possible et souhaitable pour l'environnement ». Le nombre de banques s'est fortement développé, des recommandations sont publiées par les autorités et collectivité pour mieux coordonner le travail de ces banques.

Cette approche, américaine, est encore trop récente pour avoir été évaluée sur ses effets à moyen ou long terme. Elle est parfois opposée aux approches européennes. Mais toutes deux présentent des avantages et inconvénients ;

De manière très simplifiée, on peut dire que - tel qu'il est pratiqué aux États-Unis - le marché de la mitigation vise à équilibrer la perte nette globale de milieu à l'échelle d'un territoire donné (bassin, zone biogéographique, pays...). Il a pour inconvénient de ne pas réellement compenser les impacts là où ils ont lieu, mais il a pour avantage de pouvoir éventuellement - et en quelque sorte - "compenser" un impact avant même qu'il ait lieu, mais ailleurs.

Le système européen recherche une compensation juste et fonctionnelle, qualitativement équivalente à ce que l'aménagement devrait détruire, mais où les mesures compensatoires sont souvent - à terme - plus importantes (ex : 4 ha de forêt replantée pour 1 ha coupé). En Europe où le foncier est une ressource plus précieuse qu'en Amérique du Nord, l'aménageur est plutôt encouragé à éviter de produire des impacts négatifs ou à les réduire au minimum.

Limites

La mitigation relève plutôt de l'atténuation des conséquences que de la résolution du problème, et peut parfois apparaître comme une solution de facilité visant à ne pas traiter un problème à sa source ou pour ce qu'il est. Son application prospective est délicate dans les domaines où la mitigation est incontournable, mais où les incertitudes sont importantes (Adaptation au changement climatique par exemple)

La notion de « banque de mitigation » (« mitigation banking »), proposée par les industriels et de grands aménageurs en Amérique du Nord, ne répond pas au principe de la juste compensation (que mettent en avant le droit européen ou français par exemple). Elle peut éventuellement déresponsabiliser l'auteur d'un impact, en lui permettant de le compenser plus facilement ailleurs (dans l'espace ou dans le temps) et plus rapidement que s'il avait fallu compenser ses effets, localement, là où il a réellement lieu.

Les « banques de mitigation »

Ce sont des systèmes financiers qui visent à remplacer des fonctions et ressources biologiques, physico-chimiques, et écosystémiques d'un milieu (ex : zones humides) en quantifiant ces fonctions sous forme d'un «crédit», lequel pourra être achetés par des tiers pour compenser (c'est le «débit») des pertes inévitables d'un même milieu ailleurs.

Histoire

L'idée de créer une banque de mitigation est née aux États-Unis chez des collectivités (SWANCC), aménageurs et industriels souhaitant pouvoir plus facilement et plus rapidement détruire des zones humides ou abritant des espèces dépendantes des zones humides sans avoir à produire de compensations locales (121 espèces d'oiseaux aquatiques ou dépendant des zones humides avaient été inventoriés sur le site retenu par le SWANCC pour y traiter les déchets de la région de Chicago). Ils estimaient légalement pouvoir, quand d'autres solutions n'étaient pas possibles dans des conditions technique et économiques acceptables pour eux ou la société) détruire un certain nombre d'hectares de zones humides sur un site, s'ils avaient déjà créé un équivalent surfacique (ou éventuellement en qualité ou en termes de "services écosystémiques") ailleurs. Les partisans de cette méthode postulaient que d'un point de vue global, les impacts deviennent neutre, ce qui n'est pas exact en termes d'environnement (voir ci-dessous).

Ces banques se sont rapidement développées aux États-Unis dans les années 1990, notamment pour compenser les destructions de zones humides en utilisant une possibilité offerte par le Clean Water Act. Cette possibilité est précisée par un guide fédéral définit la mitigation des zones humides comme « la restauration des milieux humides, la création, l'amélioration et - dans des circonstances exceptionnelles - la conservation, entrepries expressément dans le but de compenser les pertes de zones humides inévitables, avant des actions d'aménagement/développement, quand la compensation ne peut être faite sur place ou ne seraient pas aussi bénéfiques pour l'environnement ».

Principes économiques sous-jacents

Les acteurs qui ont développé ces banques se sont inspirés de principes qui à cette époque étaient couramment introduits dans les systèmes de mutualisation bancaires, certaines approches assurantielles, la notion d'équivalence en substance, ou encore de négoce des « droits à polluer ». Ces banques de mitigation relèvent par là d'une approche néolibérale de l'économie et de l'environnement. Elles sont présentées comme une alternative aux systèmes classiques de mesures compensatoires (qui demandent de minimiser et compenser un impact là où il se produit, quand il est produit et à une juste mesure, c'est-à-dire à la hauteur de son "intensité"). Elles permettent aussi à un aménageur - là où ces « banques » sont expérimentées ou autorisées - d'« acheter » un droit à détruire un milieu en échange d'un d'achat direct d'un milieu (ex zone humide) jugé plus ou moins équivalent créé ou restauré ailleurs par d'autres acteurs. L'achat peut être direct et effectif ou remplacé par une forme de don (fiscalement plus avantageux dans certains pays).

Avantages, inconvénients, limites

Les avantages attribués aux banques d'atténuation comprennent :

une plus grande souplesse pour les demandeurs et une réduction des délais d'examen et d'obtention des permis d'autorisation de construire ;

la possibilité (grâce à la mutualisation de moyens) de restaurer ou protéger de plus grands sites, avec des fonctions et valeurs potentiellement accrues. En théorie, dans cette approche, si la surface totale est équivalente, plusieurs petits milieux peuvent en compenser un plus grand, ou la destruction d'un grand milieu peut se traduire par la restauration ou protection de nombreux petits milieux ;

des économies d'échelle pour les ressources financières ; La mutualisation rend possible un accès à des ressources financières, une expertise scientifique et une planification souvent difficile pour de nombreux petits projets. Ce regroupement des ressources peut accroître le potentiel de l'établissement et la gestion à long terme des mesures d'atténuation succès qui maximise les possibilités de contribuer à la biodiversité et / ou la fonction des bassins versants ;

des économies d'échelle pour le suivi ou la gestion des sites. Les Agences ou entités chargés de ce suivi devraient avoir plus de facilité à avoir une vue d'ensemble, via les données de la banque de compensation (si elles leur sont ouvertes, car une grande partie de ces projets sont portés par le secteur privé, et les sites de compensations ne sont pas nécessairement publics).

la compensation peut être préparée à l'avance, et être opérationnelle avant l'aménagement et ses impacts (quand le site compensateur est totalement "créé" ou recréé, et si les fonctions écologiques sont effectives, et si l'offre de site compensateur était suffisante) ; la perte temporelle de ces fonctions est alors diminuée.

Critique et controverse sur les banques de mitigation
Elle porte sur plusieurs points ;

cette nouvelle approche (« autopoïétique » selon Morgan M. Robertson) est entièrement basée sur un postulat qui est qu'un impact peut être compensé ailleurs, et autrement qu'en reconstituant ou remplaçant les fonctions écosystémiques dégradées ou détruites par un aménagement. Or ce postulat contredit les fondements de l'approche scientifique et écosystémique de l'environnement, qui est retenue par l'ONU (PNUE) ou l'Europe comme base et garantie de cohérence et d'efficacité pour la législation et les stratégies environnementales ; Par exemple pour une zone humide, une mesure de sa surface ne dit rien de ses fonctions. À titre d'exemple ; Si une zone humide dont une des fonctions était d'épurer et d'infiltrer de l'eau dans la nappe d'une « région A » est détruite par un aménageur, le fait d'avoir recréé une zone humide de taille et qualité équivalente (ou même supérieure) dans une autre région (« région B », éventuellement située à des milliers de kilomètres de là) ne compense en aucun cas le déficit d'alimentation de la nappe de la « région A », ni la dégradation éventuelle de sa qualité... En outre, dans la « région B », une remontée de la nappe alimentée par la zone humide artificiellement créée pourrait conduire par exemple à la disparition d'autres habitats patrimoniaux ou à des inondations non souhaitables dans cette région). Par extension, un aménageur peut être tenté de compenser une hectare de zone humides par un hectare de forêt humide ailleurs, voire de forêt (qui a aussi un rôle en termes de stockage, épuration et infiltration de l'eau)

un effet pervers possible, lié à l'approche libérale des "marchés", est qu'en délocalisant des actions se voulant compensatoires vers des régions où elles seraient moins chères (et pas forcément nécessaires), on pourrait d'une part produire des mesures peu utile, voire contre-productives) là où elles seront effectuées, mais d'autre part aussi aggraver l'artificialisation et l'appauvrissement de zones riches. Ceci contribuerait à encore augmenter le phénomène d'inégalité écologique ;

des effets pervers semblables à ceux qu'on observe avec la mondialisation des marchés agricoles, du carbone ou des agrocarburants pourraient apparaître ; Des populations indigènes pauvres pourraient par exemple être déplacées ou privées de leurs droits et coutumes pour produire sur leur territoire des compensations d'impacts générés ailleurs dans des pays riches ;

Le milieu détruit et le milieu recréé en compensation doivent avoir une valeur identique ou comparable. Dans le domaine de la mitigration du réchauffement climatique on a pu, sur des bases physicochimiques scientifiques claires créer un équivalent-CO2. Mais dans le domaine écosystémique on ne connait - aujourd'hui - aucun moyens de donner une valeur de référence (un "équivalent-biodiversité") à une espèce, une population un milieu ou des services écosystémique. Une des raisons est qu'un taxon ou un milieu ont aussi une valeur relative (Par exemple : un hectare d'oasis dans le Sahara ne peut être comparé à un hectare de zone humide en Sibérie, même si cette dernière abrite un nombre d'espèce, nombre d'arbres, biomasse ou volume d'eau équivalent. La "justesse" de la compensation ne peut donc pas être appréciée par des critères mesurables.

De même on ne dispose pas d'une valeur monétaire consensuelle ou pouvant être considérée comme juste ou universelle. Or ce marché des compensations repose sur l'idée d'unités commercialement échangeables « unit of trade »).

L'intérêt d'une banque de mitigation et donc très discuté, tant en termes de gouvernance environnementale, que de réponse juste et adaptée aux problèmes et à la législation environnementale.

Problèmes de gouvernance

Sur la base d'une analyse des premières expériences conduites dans la région de Chicago, le géographe Morgan M. Robertson estime que ce type de mitigation est aussi un moyen de passer outre la gouvernance environnementale et qu'il contribue à dénaturaliser la nature. Lui et d'autres auteurs estiment que - bien qu'attrayantes parce qu'offrant des solutions de compensation apparemment plus simple, ou des revenus pour des gestionnaires ou ONG voulant restaurer des habitats naturels - ces banques présagent une aggravation des problèmes de gouvernance environnementale en confondant des objets qui relèvent des lois et politiques, des marchés, des écosystèmes, sans tenir compte de l'importance fonctionnelle des échelles spatiales dans le domaine de l'environnement.

L'administration et le parlement américain ont dans les années 2000 confié à la « Main invisible » du marché le soin de la régulation des banques de mitigation, avec une confiance qui pourrait être remise en cause par le comportement des marchés lors de la crise de 2008.

法法词典

mitigation nom commun - féminin ( mitigations )

  • 1. atténuation pour rendre moins pénible (soutenu) Synonyme: adoucissement

    la mitigation d'un règlement

mitigation des peines locution nominale - féminin ( (mitigations des peines) )

  • 1. droit adoucissement d'une sanction en raison du mauvais état physique d'un condamné

    il bénéficie d'une mitigation des peines

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