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词典释义:
disquette
时间: 2023-09-10 22:51:11
TEF/TCF
[diskεt]

n. f. 软盘, 小磁盘常见用法

词典释义
n. f.
软盘, 小磁盘

常见用法
le CD-rom a détrôné la disquette光盘取代了磁盘

近义、反义、派生词
联想:
  • musique   n.f. 音乐;乐曲;音乐性,和谐,悦耳

近义词:
disque souple
联想词
CD-ROM 光盘; cassette 盒式录音带; disque 唱片,唱盘; pochette 小口袋; console 托座,托架; CD 光盘; exécutable 可执行的, 可实施的; jaquette 女式束腰上衣; ordinateur 计算机; cartouche 子弹,枪弹; sauvegarde 保护,保障;
当代法汉科技词典
n. f. 【计】软磁盘, 软盘

disquette f. 软[磁]盘; 小磁盘

disquette de jeu vidéo 游戏卡

disquette de vidéo jeu 游戏卡

短语搭配

programmes stockés sur une disquette存储在一张软磁盘上的程序

lecteur de disquette软碟机;软盘驱动器

disquette à double densité双密度盘;双密度磁碟

disquette de jeu vidéo游戏卡

disquette de vidéo jeu游戏卡

formateur, trice de disquette软磁盘格式器

le cd-rom a détrôné la disquette光盘取代了磁盘

原声例句

J'ai un copain dans son bureau, on lui a demandé de sauvegarder une disquette il l'a photocopiée !

我办公室里有个朋友,我让他帮忙保管一下软盘,结果他把它拷贝下来了!

[Natoo]

Certainement, c'est à partir de votre ordinateur ou d'une disquette ? Vous pouvez aussi nous envoyer le document par e- mail, mais de toute façon, vous aurez un formulaire à remplir .

当然。是从您的电脑里打印还是从磁盘上打印?您还可以通过电子邮件的方式把文件给我们发送过来。但无论如何,您用需要填一张表。

[商贸法语脱口说]

Avant son invention, on emmagasinait les données sur des CD ou même des disquettes.

在其发明之前,数据是存储在CD甚至软盘上的。

[Vraiment Top]

Numéro 10: La disquette. C'est sur ce support qu'on enregistrait nos fichiers informatiques il n'y a pas si longtemps.

软盘。这是不久前我们存储电脑文件的媒介。

[Vraiment Top]

En plus de l'unité centrale, le boîtier de l'ordinateur comprend un disque dur destiné au stockage des données, ainsi qu'un ou plusieurs lecteurs de disquettes et un lecteur de CD-ROM ou de DVD.

除了CPU外,计算机外壳还包括一个用于存储数据的硬盘驱动器,以及一个或多个软盘驱动器和一个CD-ROM或DVD驱动器。

[法语词汇速速成]

En plus de l'unité centrale, Le boîtier de l'ordinateur comprend un disque dur d'estimer au stockage des données, ainsi qu'un ou plusieurs lecteurs de disquette et un lecteur de CDROM ou de DVD.

[法语词汇速速成(补充)]

Moi je suis un peu mais je trouve pas disquette.

[看大片学口语]

例句库

Certainement, c'est à partir de votre ordinateur ou d’une disquette ? Vous pouvez aussi nous envoyer le document par e-mail, mais de toute façon, vous aurez un formulaire à remplir.

当然。是从您的电脑里打印还是从磁盘上打印?您还可以通过电子邮件的方式把文件给我们发送过来。但无论如何, 需要填一张表。

Bon, je vis chercher une disquette.

好吧,我去找个软盘来。

Un cabinet d'audit a soutenu avoir sauvé des disquettes informatiques avant le pillage de son bureau pendant l'invasion et l'occupation du Koweït par l'Iraq.

一家审计公司说,伊拉克入侵和占领科威特期间公司办公室遭到抢劫,但计算机磁盘幸免于难。

Un cabinet a affirmé que les comptes financiers vérifiés de leurs clients avant l'invasion étaient tenus sur des disquettes informatiques alors que dans son propre inventaire d'actifs d'avant l'invasion il n'y avait nulle trace d'ordinateurs.

一家公司在面谈时说,入侵前客户的审定财务报告保存在计算机磁盘中,但它在入侵前财产清单中却没有提及计算机。

Il est demandé aux délégations de suivre les procédures et de soumettre à la fois le tirage du texte final et une disquette au secrétariat pour la production du document.

请各国代表团遵守这些程序,并向秘书处提交最后案文的硬拷贝和软磁盘,以便处理该文件。

Pour faciliter leur travail, nous continuerons, comme par le passé, à fournir des kits contenant les tirages de résolutions de l'an dernier ou d'années antérieures qui ont été adoptées par l'Assemblée générale, ainsi qu'une disquette accompagnée d'un dossier électronique contenant les mêmes résolutions sous forme de projets de résolution de la Première Commission.

为了方便其工作,我们将一如既往提供文件袋,其中包括大会去年或者前几年所通过决议的硬拷贝和一个载有以第一委员会决议草案格式出现的上述决议电子文件的软磁盘。

À l'aéroport de Mexico, j'avais égaré un manteau pour m'être préoccupé à la fois de mon ordinateur portable, de la valise où j'emportais les brouillons et les disquettes du livre en cours de rédaction et l'original sans copie du message.

在墨西哥机场,由于要看管我的个人电脑和手提箱(里头装着我正在写作的书的草稿和软磁盘以及没有副本的信息原件),我丢了一件外套。

IS3.57 Le montant prévu (8 800 dollars), qui reste inchangé, devrait couvrir les frais d'expédition de bandes magnétiques, de disquettes et de CD-ROM aux clients.

IS3.57 所需维持经费为8 800美元,用于支付向顾客邮寄录音带、软盘和光盘的费用。

IS3.58 Le montant prévu (10 400 dollars), qui reste inchangé, devrait couvrir l'achat de fournitures informatiques telles que des disquettes et autres articles consomptibles.

IS3.58 所需维持经费为10 400美元,用于购买计算机用品,如磁盘和其他可消耗材料。

Pour la première fois, l'Enquête quinquennale peut être fournie sous format électronique d'une utilisation facile, sur une disquette d'ordinateur.

五年一次的《调查》首次以方便用户的计算机软磁盘电子方式进行。

La possession de ce type de matériel n'est illégale que si les films et les images incriminés sont téléchargés et enregistrés sur un disque dur, une disquette ou un CD-ROM.

只有以下载并在硬盘、软盘或光盘上存储含有含有儿童色情制品的电影或图象方式拥有儿童色情制品才算非法行为。

Le fait de posséder de la pornographie enfantine dans un système informatique ou dans un moyen de stockage de données informatiques, comme une disquette ou un disque optique compact constitue une infraction pénale.

在电脑系统或磁盘或光盘等资料存储器中存储儿童色情制品,被视为犯罪行为。

La traduction, la reproduction et la distribution d'un rapport, et donc sa présentation au Comité pour examen, seront grandement facilitées si une disquette est fournie en même temps que le rapport.

报告如果附带有软磁盘,将大大地便利报告的翻译、复制和分发以及供给委员会审议。

II ressort clairement des réponses reçues que l'impression sur papier reste le mode de diffusion préféré, par rapport aux divers moyens électroniques (Internet, cédéroms et disquettes); il est clair que cette conclusion est liée à la structure du questionnaire et au type de répondant.

从答卷来看,印刷出版物仍是受到偏爱的传播方式,其次是各种电子手段(因特网、只读光盘和磁盘);这一结论明显受到问卷的结构和答卷者的类型的影响。

On trouvera en annexe une information sur disquette concernant le programme du Dialogue national sur la productivité en Bolivie, qui a pour objet de contribuer à la lutte contre la pauvreté.

“有成效的玻利维亚”全国对话的目标是促进消除贫困,有关资料已在磁盘上提供。

IS3.61 Le montant de 5 000 dollars prévu à cet effet, qui fait apparaître une réduction de 6 200 dollars, serait consacré à l'achat de fournitures informatiques telles que des disquettes et autres articles consomptibles.

IS3.61 所需维持经费为5 000美元,减少了6 200美元,用于购买计算机用品,如磁盘和其他可消耗材料。

Ces disquettes n'avaient pu être intégrées à la base de données du réseau informatique local en raison de problèmes techniques au siège.

由于总部的技术问题,不能将数据库软盘并入局域网数据库。

Il est demandé 16 100 dollars pour acquérir du matériel de transmissions (deux stations de répéteurs GR 500 à un coût total de 4 000 dollars, deux systèmes d'audio-messagerie pour central téléphonique, pour un coût total de 5 000 dollars, deux télécopieurs d'un coût estimatif de 3 000 dollars et d'autres articles divers tels que disquettes et toner, pour un montant estimatif de 2 000 dollars).

所列经费16 100美元用来采购通信设备(两台GR 500型转发台,共计4 000美元,用于电话交换台的两套语音邮件系统,共计5 000美元;两台传真机,估计是3 000美元和其他杂项费用,例如软磁盘和色粉,估计是2 000美元)。

Les bureaux extérieurs sont invités à présenter tous les trimestres une disquette à jour reflétant l'état des avoirs en stock aux fins de consolidation comptable au siège.

要求外地办事处每季度提交其资产盘存的更新软盘以便并入总部的库存清单。

Une disquette de ce moine contenant des traductions de sutras et des documents sur l'EBUV auraient été confisqués.

属于他的一个录有箴言译文和越南佛教联合会文件的软盘据说被没收。

法语百科

Disquettes 8 pouces, 5,25 pouces et 3,5 pouces.

Lecteur de disquettes 3,5 pouces

Une disquette est un support de stockage de données informatiques amovible. La disquette est aussi appelée disque souple (floppy disk en anglais) en raison de la souplesse des premières générations (8 et 5,25 pouces) et par opposition au disque dur.

Une disquette est composée d'un fin disque de plastique souple renforcé en son centre sur lequel est apposé un substrat magnétique. Ce disque est enveloppé d'une coque de protection en matière plastique comprenant une couche interne ouatée améliorant la rotation du disque et son nettoyage et une couche externe rigide ou semi-rigide. Cette dernière couche comprenant des dispositifs physiques à destination du lecteur permettant notamment la protection contre l'écriture et des détrompeurs divers. Les formats de disquettes les plus courants sont des dimensions de 8 pouces, 5,25 pouces et 3,5 pouces (1 pouce vaut 2,54 cm) ; la dimension correspondant au diamètre du disque magnétique.

Histoire

La disquette a été lancée par IBM en 1967 (dans sa version 8 pouces) pour stocker les microprogrammes des systèmes 370 et, accessoirement, envoyer pour un faible coût des mises à jour à leurs possesseurs. Cette première disquette pouvait stocker 80 000 caractères, soit environ une journée de frappe d’une opératrice de saisie. Pour cette raison, des matériels de saisie sur disquette commencèrent à remplacer les encombrantes et bruyantes perforatrices de cartes utilisées jusque-là.

La deuxième génération de disquettes était au format de cinq pouces un quart, et utilisée entre autres sur l’Apple II et l'Olivetti P6060. C’est elle qui, formatée en 360 Kio équipa l’IBM PC en 1981, puis en 1 200 Kio (soit environ 1,17 Mio) le PC/AT en 1983.

La troisième génération possédait une enveloppe au format trois pouces et demi qui n’était plus de carton souple, mais de matière plastique rigide. Utilisée par le Macintosh en version 400 Kio (1984), elle fut introduite dans le monde PC en 1987 pour la série IBM PS/2 en versions 720 Kio et 1 440 Kio (soit environ 1,41 Mio) ; cette dernière a commencé à être détrônée au début des années 2000 par les clés USB, principalement à cause de leur relative fragilité et de leur capacité limitée à 1,41 Mio alors que les fichiers manipulés commençaient à dépasser largement cette taille (pour les usages multimédia notamment). Il exista une version 2 880 Kio qui ne s’imposa pas. Une autre disquette de troisième génération est également apparue sur les ordinateurs personnels. Celle-ci est de format 3 pouces et permet de stocker 320 Kio par face. Les lecteurs pour ce type de disquette n’étant pas double face, il est nécessaire de retourner le disque pour utiliser toute sa capacité. Cette disquette a été principalement utilisée sur Amstrad CPC et Oric. En raison de l'échec commercial de ce standard, les fabricants pouvaient se procurer des lecteurs à très bon marché, mais en revanche la pénurie de disquettes posait problème.

Courant des années 2000, les clés USB et les cartes mémoires ont remplacé tous les types de disquette sur les nouveaux ordinateurs personnels.

Mars 2011 : Sony, dernier fabricant de disquettes 3,5 pouces, arrête la production.

Indication de la taille de la disquette (en face : volet de protection en écriture)

1: Trou indiquant une disquette grande capacité

2: Disque d’entraînement

3: Volet de protection amovible

4: Coque en plastique

5: Disque en papier ou en tissu doux

6: Disque magnétique

7: Secteur d’une piste

Structure physique

Les disquettes sont divisées en pistes : sorte de cercles concentriques répartis à intervalles réguliers sur leur surface magnétique.

Les pistes sont numérotées de 0 à n, le nombre de pistes étant n+1, variant avec le type de disquette.

La densité du nombre de pistes est exprimée en pistes par pouce (TPI : Track Per Inch), la plus courante étant 135 TPI pour les disquettes 3"5.

La piste 0 est celle située le plus à l’extérieur de la disquette. La piste intérieure sert de référence pour la densité de données exprimée en bits par pouce (BPI : bits per inch) car c'est celle qui est la plus dense.

Chaque piste est divisée en un nombre constant de secteurs de taille égale. Le nombre de ces secteurs dépend du format de la disquette et sont numérotés de 1 à n, n étant le nombre de secteurs par piste. Certains ordinateurs (Macintosh, Commodore) ont été dotés d’un gestionnaire de disque supportant un nombre variable de secteurs, celui-ci étant proportionnel à la longueur de la piste, ce qui permet d’augmenter la capacité de stockage.

Chaque secteur représente 512 octets pour un PC et un Atari ST. Le secteur (ou bloc) est la plus petite partie du disque que l’ordinateur puisse lire.

La disquette est souvent divisée en deux faces numérotées 0 et 1 car les lecteurs récents sont équipés de deux têtes de lecture/écriture : une pour chaque face.

La capacité d’une disquette est donnée par la formule :

Capacité = Nombre de faces × nombre de pistes × nombre de secteurs/piste × 512 octets/secteur.

Caractéristiques de quelques disquettes

Format de disquette 5¼ pouces
Densité Lecteur Secteurs/piste Pistes/face Face Capacité Taux de transfert
Simple PC/XT 8 40 1 160 Kio 250 kbit/s
Double PC/XT 8 40 2 320 Kio 250 kbit/s
Simple PC/XT 9 40 1 180 Kio 250 kbit/s
Double PC/XT 9 40 2 360 Kio 250 kbit/s
Haute AT 15 80 2 1 200 Kio 500 kbit/s

Une disquette 5¼ pouces en double densité dans un lecteur haute densité est lue avec un taux de transfert de 300 kbit/s au lieu de 250 kbit/s, car le lecteur haute densité 5¼ pouces tourne à une vitesse de 360 tours par minute au lieu de 300 pour les autres types de lecteur 5¼ pouces et 3½ pouces.

Format de disquette 3½ pouces
Densité Lecteur Secteurs/piste Pistes/face Face Capacité Taux de transfert
Double PC/XT 9 80 2 720 Kio 250 kbit/s
Haute AT 18 80 2 1 440 Kio 500 kbit/s
Étendue AT 36 80 2 2 880 Kio 1 Mbit/s

Une idée répandue qu'il existe des disquettes de capacité standard de 1,44 Mo ou 1,44 Mio, alors que la capacité exacte est de 1 474 560 octets (2×80×18×512), c'est-à-dire :

1 440 Kio ou 1,41 Mio ou 1,47 Mo ;

2 880 Kio ou 2,81 Mio ou 2,95 Mo.

Capacité et formatage

Pour pouvoir utiliser une disquette, il faut qu'elle soit formatée. Le formatage « bas niveau » consiste à découper chaque piste en secteurs en écrivant une marque avant chaque secteur permettant à la tête de lecture de repérer le début de chaque secteur, de l'identifier (numéro de cylindre, numéro de secteur et numéro de côté), de connaitre sa taille (512 octets en général sur les disquettes) et de vérifier les données à l'aide de CRC.

Le formatage réduit donc la capacité d'une disquette, cependant, la plupart des disquettes vierges vendues étaient déjà formatées et la capacité donnée est en général celle après formatage.

Certains programmes de formatage permettaient d'augmenter la capacité disponible après formatage en ajustant certains paramètres (tel l'espacement entre les secteurs) afin d'augmenter le nombre de secteurs par piste, ou bien en formatant des pistes supplémentaires (ex. : 82 pistes au lieu de 80). Cependant, les réglages dépendent des possibilités du lecteur de disquette.

Le formatage « haut niveau » (ou rapide) consiste pour le système d'exploitation à organiser de façon logique la disquette. Certains secteurs sont donc réservés à la liste de fichiers, et la table d'occupation des secteurs de données. Ce formatage « haut niveau » réduit donc également la capacité utilisable de la disquette.

Organisation logique d’une disquette au format PC

L’organisation d’une disquette compatible PC se fait en quatre parties :

Le secteur de démarrage (boot) : situé sur le 1 secteur de la piste n 0 de la tête n 0, on y trouve des informations concernant le type de média, le numéro de série du disque, le nombre de secteurs par piste, le nombre de pistes, le nombre de têtes de lecture/écriture, un optionnel secteur de démarrage (disquette de démarrage), et de références aux autres sections de la disquette.

La table d’allocation des fichiers (FAT12) : La FAT est un index enregistrant l’emplacement des fichiers (ou de leurs fragments) sur le disque. En consultant la FAT, l’ordinateur peut déterminer si un secteur est disponible, utilisé ou défectueux. La FAT est écrite en deux copies sur le disque, permettant aux utilitaires de diagnostic de déceler des erreurs en comparant les copies.

Le répertoire racine : On y retrouve les informations sur le volume, les sous-répertoires et les fichiers : nom, taille, date/heure de création et de modification, attributs (archive, lecture seule, caché, système) et surtout, un pointeur vers le secteur où il est stocké.

Les données : L’espace restant du disque est utilisé pour stocker les données des fichiers.

Lecture et écriture

Le lecteur de disquette est composé de deux moteurs :

Le premier entraîne le disque interne (support magnétique) contenu dans la disquette à une vitesse de rotation de 300 tr/min. Dès que l’ordinateur commande une fonction, la disquette tourne et reste un certain temps en marche après les opérations pour permettre un accès plus rapide à d’autres appels (pas d’attente). Cette vitesse de rotation est réglée grâce à un capteur qui détecte une rotation complète du disque.

Le second est un moteur pas à pas qui permet de déplacer la tête de lecture/écriture précisément sur la piste voulue.

Schéma de principe de formatage d’une disquette
Schéma de principe de formatage d’une disquette

La tête de lecture/écriture est composée de deux bobines égales placées en sens inverse ce qui permet la lecture et l’écriture de bit, la disquette étant recouvert d’une couche d’oxyde magnétique sur les deux faces.

Un bit est positionné ou pas suivant le sens de l’orientation des micro-particules d’oxyde magnétique, dans un sens, le bit est lu comme un « 0 » logique, et dans l’autre sens comme un « 1 » logique. Pour l’écriture, la tête impose un sens aux micro-particules grâce à un champ magnétique crée avec une bobine ou l’autre suivant le sens que l’on veut donner au bit écrit.

Sur une disquette neuve, les micro-particules sont orientées aléatoirement, elle est donc illisible. Pour écrire sur une disquette, il faut au préalable la formater pour lui donner un format de données : créer le secteur BOOT, les FAT et le répertoire ROOT dans le cas d’une disquette FAT.

Le formatage peut aussi rendre une disquette amorçable (elle permettra de démarrer l’ordinateur) en copiant une partie du système d’exploitation et en créant un programme de lancement au niveau du BOOT, c’est là que l’on peut trouver les virus les plus dangereux car ce programme est le premier lancé par l’ordinateur avant le système.

Historique

disquette 8
disquette 8", centre haut : disquette 5" 1/4, en bas : disque Bernoulli Iomega, à droite : disquette 3" 1/2, en haut à droite : un DVD+R (pour comparaison de taille)

La disquette 8 pouces

En 1967, le centre de développement des dispositifs de stockage d’IBM à San Jose en Californie reçut une nouvelle tâche : développer un système simple et peu coûteux pour charger du microcode dans les mainframes System/370. Les 370 étaient les premières machines d’IBM à utiliser de la mémoire à semi-conducteurs. Cette mémoire étant volatile, tout le microcode devait être rechargé à chaque fois que l’alimentation était coupée. Normalement cette tâche incombait à divers lecteurs de bande magnétique qui étaient fournis presque systématiquement avec les 370. Cependant, les bandes étaient longues, et donc leur chargement était lent. IBM désirait mettre en place un système plus rapide et adapté, et qui de surcroît pourrait également permettre d’envoyer des mises à jour aux clients pour un coût modique (de l’ordre de 5 dollars).

David Noble, qui travaillait sous la direction d’Alan Shugart, étudia les solutions existantes à base de bandes magnétiques, dans l’espoir d’améliorer ce type de systèmes. En fin de compte, il abandonna cette voie et repartit sur de nouvelles bases. Son résultat fut un disque souple en lecture seule de 8 pouces (20 centimètres) qu’il appela le « memory disk » (disque-mémoire), qui pouvait contenir 80 kibioctets de données. Au départ, il s’agissait tout simplement d’un disque. Cependant, le disque se salissait rapidement, ce qui posait des problèmes de lecture. C’est pourquoi il fut enfermé dans une enveloppe en plastique dont l’intérieur était revêtu d’un tissu pour capturer les poussières. Ce nouveau dispositif équipa en standard les 370 à partir de 1971.

En 1973, IBM sortit une nouvelle version du disque souple, cette fois sur le système de saisie de données 3740. Le nouveau système utilisait un format d’enregistrement différent qui pouvait stocker jusqu’à 256 Ko sur les mêmes disques, et disposait en outre d’un mode lecture/écriture. Ces lecteurs se répandirent, et furent finalement utilisés pour transporter des données, remplaçant presque totalement les bandes magnétiques pour les petits transferts.

Quand les premiers micro-ordinateurs furent développés dans les années 1970, le disque souple de 8 pouces fut utilisé sur quelques-uns d’entre eux comme dispositif de stockage à « haute vitesse ». Ce dispositif était très onéreux. Le premier système d’exploitation pour micro-ordinateurs, CP/M, était distribué à l’origine sur des disques 8 pouces. Toutefois, les lecteurs étaient toujours très chers, pratiquement plus chers que les ordinateurs auxquels ils étaient connectés. C’est pourquoi la plupart des machines de cette époque utilisaient plutôt des enregistreurs à cassettes.

À cette époque, Alan Shugart quitta IBM et fit un bref séjour chez Memorex. Ensuite, il fonda Shugart Associates en 1973. La société commença à travailler aux améliorations du format 8 pouces existant et créa un nouveau formatage de 800 Ko. Cependant, comme les bénéfices n’étaient pas au rendez-vous, Shugart fut congédié en 1974 par l’entreprise qu’il avait créée.

La mini-disquette de 5" ¼

En 1976, un des associés de Shugart, Jim Adkisson, fut approché par An Wang des laboratoires Wang, qui sentait que le format 8 pouces était simplement trop grand pour les machines de traitement de texte de bureau qu’il développait. Après une réunion dans un bar à Boston, Adkisson demanda à Wang de quelle taille il pensait que les disques devraient être, et Wang montra une serviette et dit « à peu près cette taille ». Adkisson ramena la serviette en Californie, il trouva qu’elle mesurait 5"¼ de large (5 pouces un quart, soit environ 13 centimètres), et développa un nouveau lecteur de cette taille stockant 110 Kio.

Le lecteur de 5" ¼ était considérablement moins cher que les lecteurs 8 pouces d’IBM et il commença bientôt à apparaître sur des machines CP/M. À un moment, Shugart Associates produisait 4 000 lecteurs par jour. En 1978, il y avait plus de 10 fabricants produisant des lecteurs de disquette 5" ¼ et le format remplaça rapidement le 8 pouces pour la diffusion de la plupart des applications.

Tandon présenta un lecteur double face en 1978, doublant la capacité, et le nouveau format « DD » (double densité) de 360 Kio s’imposa rapidement. Au début des années 1980, des lecteurs de 96 TPI (track per inch, pistes par pouce) apparurent, passant la capacité de 360 à 720 Kio, mais ce format n’eut pas beaucoup de succès. En 1984, avec son ordinateur haut de gamme PC/AT, IBM lança le disque « HD » (high density, haute densité). Ce disque, de densité quadruple, utilisait 96 pistes par pouce combinées avec une densité plus élevée sur chaque piste ; finalement, il contenait jusqu’à 1200 kibioctets (Kio) de données. Au moment où le disque dur moyen contenait 10 à 20 mébioctets, ceci était considéré comme assez spacieux. Mais son utilisation était limitée aux ordinateurs équipés d’un lecteur ad hoc.

Les lecteurs de disquettes 5" ¼ permettaient la lecture et l’écriture. Pour éviter d’écrire par mégarde sur une disquette, il suffisait de recouvrir une encoche, située en haut à droite de l’enveloppe de la disquette, par un bout de papier opaque collant (la disquette était « protégée en écriture »). Une fois ce papier enlevé, le lecteur pouvait de nouveau écrire sur la disquette.

Depuis le début, par économie, les lecteurs de disquettes ne comportaient qu’une tête de lecture ; la lecture des disquettes se faisait donc sur une seule face. Pourtant les deux faces étaient recouvertes d’un support magnétique. Les vendeurs de disquettes diffusèrent alors des disquettes « double face » qui comportaient une encoche de chaque côté de l’enveloppe. Il suffisait d’enlever la disquette du lecteur et de la retourner pour bénéficier d’une nouvelle capacité de stockage, sur le modèle du fonctionnement des cassettes audio (avant l’invention de l’autoreverse). Le prix des disquettes double face était sensiblement plus élevé que les « simple face » alors que la seule différence était l’encoche supplémentaire. De fait de nombreux informaticiens perçaient leurs disquettes simple face d’une nouvelle encoche de l’autre côté afin de bénéficier des deux faces.

Pendant les années 1970 et 1980, les disques durs, trop chers, étaient quasi inexistants sur les micro-ordinateurs, le lecteur de disque souple était le dispositif de stockage primaire de base. Le système d’exploitation devait être chargé en mémoire vive à chaque démarrage au moyen d’une disquette ; cette disquette était ensuite enlevée et remplacée par une autre contenant les programmes et les données. Quelques machines utilisant deux unités de disques (ou un lecteur double) permettaient à l’utilisateur de laisser la disquette du système d’exploitation en place et de changer indépendamment les disquettes de données. Avoir deux lecteurs permettait aussi de recopier ses données (les sauvegarder) bien plus efficacement qu’avec un seul lecteur. En effet, le système lisait quelques octets de la disquette d’origine puis demandait la disquette de sauvegarde pour écrire ces octets, ce qui imposait de nombreux va-et-vient entre les disquettes. On « jouait au grille-pain ». Outre le temps que cela prenait, le risque de se tromper de disquette n’était pas négligeable et la manipulation était source d’usure. Avec deux lecteurs, il suffisait de mettre la disquette d’origine dans un lecteur et la disquette de sauvegarde dans l’autre.

Vers la fin des années 1980, les disquettes 5" ¼ furent remplacées par les disquettes 3½ pouces. La popularité des premières baissa au début des années 1990, bien que des disquettes et des lecteurs de 5" ¼ soient encore disponibles. Sur la plupart des nouveaux ordinateurs les lecteurs 5" ¼ étaient des dispositifs facultatifs. Au milieu des années 1990 ces lecteurs avaient pratiquement disparu pendant que le disque 3½ pouces devenait le disque prépondérant.

Packaging

Les disquettes 5¼ pouces étaient conditionnées par dix dans une boîte en carton. Chaque disquette étant rangée dans une pochette de protection en papier. La boîte comprenait aussi dix étiquettes autocollantes permettant à l'utilisateur d'inscrire la description du contenu de la disquette et dix petits autocollants rectangulaires permettant d'obturer l'encoche de permission d'écriture.

Le prix du conditionnement baissant, celui-ci a évolué de la simple boîte en carton léger jetable à la boîte en carton renforcée en deux parties coulissantes verticalement qui servait aussi de range-disquettes pour le transport ; certaines marques livraient les dix disquettes, en standard sur le tard ou via des opérations promotionnelles, dans une boîte de transport en plastique rigide.

Il est à noter que jusqu'à la fin des années 1980, la toute première opération à faire avec une disquette était de la formater à l'aide de l'utilitaire prévu à cet effet par le système d'exploitation du micro-ordinateur. L'homogénéisation du type de formatage autour du système de fichiers FAT et du format IBM 1,2 Mio associé à une baisse du coût de production et à une demande des utilisateurs de pouvoir écrire immédiatement sur une disquette neuve font que toutes les disquettes sont vendues préformatées IBM à partir de 1990.

Le milieu professionnel rangeait plutôt les disquettes importantes dans des boîtes en plastique rigide disposant de séparateurs à onglet amovibles et d'un capot transparent muni d'une serrure. L'utilisateur domestique se contentant souvent d'une simple boîte en carton de récupération de type boîte à chaussures.

La microdisquette 3" ½ et autres disquettes en boîtier rigide

Exemple de disquette 3
Exemple de disquette 3"

Au début des années 1980, les limitations du format 5" ¼ se font de plus en plus sentir au fil de la montée en puissance des machines. Un certain nombre de solutions apparaissent alors : lecteurs de 2", 2" ½, 3" et 3" ½ (50, 60, 75 et 90 mm), développés par diverses entreprises. Ces solutions partageaient un certain nombre d’avantages par rapport aux formats plus anciens : une taille plus petite, une boîte rigide de protection et une glissière de protection contre l’écriture.

La disquette 3 pouces

Amstrad choisit pour des raisons de prix de revient un lecteur 3" à double face de 178 Kio par face pour la gamme de CPC et PCW. Ce format et son mécanisme d’entraînement furent portés sur l’ordinateur ZX Spectrum +3 après qu’Amstrad eut racheté Sinclair Research. Cependant, le prix des lecteurs 3" était avantageux pour l'entreprise parce que ce format ne s’était pas imposé. De fait, les utilisateurs rencontrèrent de grandes difficultés d’approvisionnement en disquettes, qui défrayèrent la chronique. Les disquettes 3" restèrent onéreuses en raison de cette pénurie, faisant en fin de compte disparaître le format pour de bon.

La disquette 3 pouces et demi

La situation fut différente en 1984 lorsque la société Apple sélectionna le format de Sony 90,0 mm × 94,0 mm pour la gamme d’ordinateurs Macintosh, poussant ainsi ce format physique à devenir le standard aux États-Unis. On peut d’ailleurs noter qu’il s’agit d’un passage « silencieux » du système impérial (8 pouces) au système métrique (94 mm). Cependant, le produit fut lancé sous le nom de « disquette 3" ½ », pour bien souligner le fait qu’il était plus petit que le 5" ¼ existant et ne pas dérouter les utilisateurs habitués aux mesures anglo-saxonnes. Un des arguments marketing mettait d’ailleurs en avant le fait que cette disquette était conçue pour tenir dans une poche de chemisette « de taille américaine. » À partir de 1985, le succès grand public rencontré par les Atari ST et Commodore Amiga dopa les ventes et, en 1989, les ventes de disquettes 3" ½ dépassèrent celles du format 5" ¼. Le PS/2 d’IBM avait adopté ce format physique, bien qu’avec un formatage plus dense (1 440 Kio au lieu de 800 Kio, et 720 Kio pour la version économique du modèle d’entrée de gamme).

Les disquettes 3" ½ ont, grâce à leur boîte rigide et à leur volet de protection en métal, le grand avantage de très bien protéger les faces du disque contre les contacts physiques avec l’utilisateur. Ce volet referme le boîtier plastique de la disquette à chaque fois qu’elle est manipulée en dehors du lecteur. Quand elle est insérée, le volet est ouvert par le mécanisme du lecteur, ce qui permet à la tête de lecture/écriture d’accéder aux surfaces magnétiques. La forme rectangulaire de la disquette est un autre avantage : elle empêche d’insérer la disquette dans le mauvais sens dans le lecteur, ce qui était possible avec les disquettes 5" ¼.

Comme la disquette 5" ¼, la disquette 3" ½ évolua au cours de son existence. À l’origine, deux formats étaient disponibles : double densité à double face de 720 Kio et à simple face en 360 Kio (en utilisant le même format que les disquettes de 5" ¼). La disquette était la même, la différence n’étant qu’au niveau du lecteur, selon qu’il avait une seule tête de lecture, ou une pour chaque face de la disquette. Un nouveau format appelé « haute densité » (« HD »), permettant le stockage de 1 440 Kio de données soit 1,47 Mo en décimal. L'appellation marketing a changé en 1995 du Mio (binaire) au Mo (décimal) à la suite de la commercialisation du DVD. Ce format fut présenté au milieu des années 1980 ; IBM l’utilisa sur la série des PS/2 présentée en 1987, Apple l’utilisa en 1988 sur les Macintosh IIx. Une autre avancée dans les enduits d’oxyde permit de créer un nouveau format dit « extended density » (« ED ») de 2,88 Mio. Ce format fut présenté sur les NeXT de deuxième génération en 1991. Cependant, il était déjà dépassé car trop petit au moment de sa sortie et donc il n’a jamais été utilisé dans des proportions significatives. Dans d’autres formats, tel que celui du Macintosh, la capacité des disques double densité atteignait 800 Kio, mais au prix d’une incompatibilité avec les modèles PC. En effet, ceci était obtenu grâce l’utilisation d’un moteur à vitesse variable, permettant de placer un plus grand nombre de données sur les pistes extérieures : les lecteurs pour PC, dotés d’un moteur à vitesse fixe, étaient donc physiquement incapables de lire ces disquettes. Sur Amiga, la capacité d’un disque double densité montait à 880 Kio (1,76 Mio en haute densité), voire à 980 Kio en utilisant un formatage spécifique.

Les ordinateurs IBM ont toujours gardé une caractéristique, qui était de pouvoir sur demande formater en 1 440 Kio une disquette de 720 Kio. Les utilisateurs usèrent et abusèrent de cette propriété (pour des raisons de marketing, les 720 Kio, bien que provenant des mêmes chaînes de fabrication, étaient alors moins chères), ce qui posa problème quand ils changeaient par la suite de constructeur. La seule solution était alors de percer un trou dans le carter avec une petite vrille pour que la disquette de 720 Kio apparaisse comme une 1 440 Kio.

Plus d’une décennie après, les lecteurs 3" ½ se vendent toujours et équipent la quasi-totalité des ordinateurs PC (les ordinateurs Apple ne les utilisant plus depuis la fin des années 1990). Le format est toujours celui qui fut normalisé en 1989 sous le nom ISO 9529-1.2. Mais ces lecteurs sont de plus en plus proposés en option. En effet, avec l’arrivée d’autres systèmes de stockage, tels que les disquettes ZIP, les clés USB, le CD-R, le CD-RW, les DVD, et surtout les partages de fichiers via un réseau, la disquette 3" ½ devient désuète. En 2010, Sony, le dernier grand constructeur qui produit encore des disquettes 3" ½, a annoncé la fin de la commercialisation en mars 2011 au Japon. Il continuera à fournir le marché indien qui sera amené dans l'avenir à se tourner vers d'autres supports.

Résumé

On distingue différents formats :

200 mm (8 pouces) : le plus ancien ; les deux encoches de part et d’autre de la fenêtre de lecture ont fait l’objet d’un brevet, elles divisaient par deux les tensions du disque en cas de torsion involontaire pendant le transport et sans elles, les disquettes devenaient rapidement inutilisables.

130 mm (5 pouces un quart), qui connut un grand succès à la suite de son adoption par l'Apple II, puis par le PC en 1981, mais se périma immédiatement en 1987 avec le lancement du PS/2, à cause de sa grande taille et accessoirement de sa faible capacité (360 Kio). Le PC/AT lancé en 1983 avait des disquettes de même format extérieur mais de capacité 1 200 Kio et de fabrication différente.

80 mm (3 pouces), lancé par Amstrad sur les ordinateurs CPC 6**.

90 mm (3 pouces et demi) inventée par Sony, présente le mérite de tenir dans une pochette de chemise (elle a été conçue pour cela) utilisée en version 400 Kio pour le Macintosh en 1984, introduite dans le monde PC en 1987 pour la série IBM PS/2 en versions 720 Kio et 1 440 Kio ; cette dernière commence à être détrônée en 2004 par les clés USB sa version 2 880 Kio, utilisée sur certains PS/2 de haut de gamme et IBM RS/6000, ne rencontra jamais de succès.

inventée par Sony,

présente le mérite de tenir dans une pochette de chemise (elle a été conçue pour cela)

utilisée en version 400 Kio pour le Macintosh en 1984,

introduite dans le monde PC en 1987 pour la série IBM PS/2 en versions 720 Kio et 1 440 Kio ; cette dernière commence à être détrônée en 2004 par les clés USB

sa version 2 880 Kio, utilisée sur certains PS/2 de haut de gamme et IBM RS/6000, ne rencontra jamais de succès.

La capacité de stockage a progressivement augmenté pour atteindre 1,47 Mo (1,41 Mio) pour les dernières générations de disquettes (et le double pour un format propre à IBM). Sur Commodore Amiga, il était même possible de formater ces mêmes disquettes 3" 1/2 en FFS (Fast File System) pour atteindre une taille de 880 Kio et même 1 760 Kio pour les double densité. Au-delà, il existe les disques Iomega Zip, Jaz et MO (magnéto-optiques). Syquest a également produit des disquettes grandes capacité similaire au Zip 100 au milieu des années 1990, dont l’avantage était d’avoir les mêmes dimensions que les disquettes 3" ½ de 1 440 Kio, de sorte qu’un lecteur LS-120 pouvait lire ces nouvelles haute capacité mais également les plus anciennes (alors que les disques ZIP d’épaisseur double étaient incompatibles avec les anciennes disquettes), toutefois ce format fut un échec commercial.

Le périphérique de lecture et d’écriture associé se nomme lecteur de disquettes.

Le succès de la disquette est dû à son faible coût pour l’époque et à son transport facile. Les inconvénients sont le risque de corruption des données lorsqu’elle est exposée aux champs magnétiques ou à la poussière pouvant endommager les têtes des lecteurs. La disquette propose également une faible capacité de stockage comparée aux médias amovibles plus récents. L’apparition de nouveaux supports de sauvegarde proposant un espace de stockage plus important et un débit de transfert plus rapide font que les disquettes (1,47 Mo) ne sont plus utilisées vers 2005 : pour la distribution de produits commerciaux (logiciels, encyclopédies), le CD-ROM et le DVD-ROM sont moins coûteux qu’une disquette et transportent une quantité d’information 488 fois plus grande pour le CD et 5 630 fois plus grande pour le DVD 8,5 Go. Sans parler de la fastidieuse installation de certains logiciels qui nécessitait d'insérer de nombreuses disquettes (une version de MS Office 97 avait été commercialisée, qui comportait 45 disquettes 3" ½ !). Pour le stockage de données personnelles, les clés USB permettent de stocker plus, moins cher, plus vite et de surcroît dans un parfait silence. Cependant, les disquettes restent pratiques car universelles pour le transfert de petits fichiers ou livrées comme supports de pilotes avec certains périphériques, notamment des cartes d’extension. Néanmoins, au fil du temps, de moins en moins de machines disposent de lecteur de disquettes. Depuis la fin des années 2000, certaines cartes mères ne proposent plus de contrôleur ni de connecteur interne pour y brancher un lecteur de disquettes, de sorte que le seul moyen de lire des disquettes sur ces machines est de brancher un lecteur externe sur un port USB.

Disparition

Leur capacité inférieure à trois mebioctets (2,81 Mio) dans sa version la plus raffinée ainsi qu'une vitesse de transfert limitée ne leur ont pas permis de faire face à de nouveaux concurrents : mémoires de masse flash et disques durs USB de poche, les CD-R et CD-RW, ainsi que la démocratisation de l'accès à Internet à haut débit (ADSL, fibre optique ou satellite). Autrefois indispensable pour le démarrage de l'ordinateur (boot), elles ont été remplacées dans cette fonction par d’autres supports : CD, DVD, clé USB, ou accès réseau.

Un signe de leur future disparition fut l'avènement en 1998 de l'iMac d'Apple qui ne comportait plus de lecteur de disquette alors que la majorité des ordinateurs personnels du marché en avaient un. Rapidement les ordinateurs portables abandonnèrent le lecteur de disquette pour laisser place au lecteur de CD-ROM.

Le 23 avril 2010, Sony, leader de la vente, annonce l'arrêt de commercialisation du support au Japon en mars 2011, ce qui permet au format de passer le cap des trente ans d'existence. Les autres grands manufacturiers ayant déjà abandonné la fabrication, l'arrêt de commercialisation par Sony des disquettes 3,5 pouces peut être considéré comme la fin de l'histoire des disquettes, qui aura duré presque cinquante ans. Quelques marques en continuent cependant la commercialisation en ligne, dont Verbatim, Imation et TDK.

De même que le pictogramme téléphonique reste invariablement lié à l'image d'un téléphone de la seconde moitié du XX siècle, le pictogramme symbolisant la sauvegarde de données dans les interfaces graphiques reste une disquette, à défaut d'un symbole plus générique.

中文百科

磁盘是个人电脑设备中,最早使用可移动保存媒体。第一个软盘是由IBM于1971年开发出的,直径8吋。随着硬件技术的发展与使用的需要,又衍生出5.25吋的软盘,并广泛使用在Apple II、IBM PC及其他兼容电脑上。苹果1984年在Mac机开始采用3.5吋磁盘,此时容量还不到1MB,后来,由日本索尼的3.5吋磁盘容量有1.44MB所取代,这种磁盘80至90年代盛行,直至2000年代以前,3.5吋软碟仍是电脑普及设备之一,后已渐被淘汰。

发展

3.5英寸的1.44MB软盘曾盛行二十多年 8寸、5¼寸及3½寸软驱(Floppy Disk Drives) 5¼寸软驱 适用置于台式机的3½寸软驱 拆开的3½磁盘 虽然软碟不再被使用,许多软件的保存按钮仍使用软碟作为图标 1981年,日本索尼公司首次推出3.5吋软碟,随着硬件加工技术的发展,软碟尺寸渐渐减小,容量渐渐增加。软碟直至2000年代仍为电脑必备设备之一,因为把它制作成电脑启动碟以及更新BIOS时需要用到。但是由于软碟读取方式的局限,磁头在读写磁片数据时必须接触盘片,而不是像硬盘那样悬空读写,因此软碟已经难以满足大量和高速的数据保存,而且软碟的保存稳定性也较差,一张正常的软碟,容易受到外界环境影响,如受热、受潮、多次读写,均使之寿命减少。后来虽然有很多升级产品如zip Drive、SuperDisk及Jaz Drive等,但是都难以同时解决兼容性和速度容量两者直接的矛盾。随着光盘、USB随身碟、移动硬盘等移动保存接口的应用,5.25英寸及8英寸的软碟已极为罕见,3.5英寸的软碟使用也渐被淘汰。 由盛行到被淘汰 3.5吋软碟在1980至1990年代曾盛极一时,1996年时全球有多达50亿片软碟正在使用。直到CD-ROM、USB保存设备出现后,软碟销量逐渐下滑。 1998年苹果公司推出第一代iMac,是第一台舍弃软驱的电脑。戴尔2003年推出的Dimension台式机也放弃了对软驱支持。之后,配备软驱的新电脑越来越少。 2007年2月,欧洲最大的电脑零售连锁店PCWorld宣布停止销售软驱和软盘片。2009年9月,索尼公司宣布,已经于该年上半年内全面停产3.5吋软驱产品,预计在该年年内就会清空库存,彻底退出该市场。不过索尼同时也宣布,软驱产品线停产后,公司仍将保留软盘片产品线,继续进行制造和销售。 2010年4月,索尼公司宣布;由于DVD及USB随身碟等大容量保存设备普及造成软碟需求急剧下滑,于2011年3月停产3.5寸软盘片。日本绝大多数厂家都已经停产3.5吋软盘片,软驱也几乎已经停产。往后推出市面的电脑机箱已不再设有软驱插口了,而软驱也跟着被具有热插拔特性的USB/IEEE 1394/Thunderbolt/PCMCIA/SATA接头与读卡机取代。同时软碟在保存媒介的主流地位亦被移动硬盘、随身碟、记忆卡替代。 现行使用状况 2010年代,尽管多数(全部)大厂已经宣布不再生产软驱,然而,仍有大厂推出USB软驱,以供应软碟在市场上的需求,软盘片之所以在市场上仍占一席之地,系因在许多的企业、政府机关、研究单位,仍然使用软驱来做数据文档的传输。

种类

8吋软碟 固定磁区(hard-sectored),每一磁区有一光学导引孔,另在两孔间加一孔以识别第一磁区 软件磁区(soft-sectored),每一圈只有一个光学导引孔,磁区分配由软件自行决定与判断。(以后的5.25吋与3.5吋软碟基本上都是软件磁区)

固定磁区(hard-sectored),每一磁区有一光学导引孔,另在两孔间加一孔以识别第一磁区

软件磁区(soft-sectored),每一圈只有一个光学导引孔,磁区分配由软件自行决定与判断。(以后的5.25吋与3.5吋软碟基本上都是软件磁区)

5.25吋软碟 标准MFM格式,使用于IBM PC及兼容电脑 160kB,单面40轨8扇区 180kB,单面40轨9扇区 320kB,双面40轨8扇区 360kB,双面40轨9扇区 1.2MB,双面80轨15扇区 私有编码格式 Apple II电脑的Disk II所使用的专属编码格式。

标准MFM格式,使用于IBM PC及兼容电脑 160kB,单面40轨8扇区 180kB,单面40轨9扇区 320kB,双面40轨8扇区 360kB,双面40轨9扇区 1.2MB,双面80轨15扇区

160kB,单面40轨8扇区

180kB,单面40轨9扇区

320kB,双面40轨8扇区

360kB,双面40轨9扇区

1.2MB,双面80轨15扇区

私有编码格式 Apple II电脑的Disk II所使用的专属编码格式。

Apple II电脑的Disk II所使用的专属编码格式。

3.5吋软碟 360kB,单面80轨9扇区 720kB,双面80轨9扇区 1.44MB,双面80轨18扇区 1.68MB或其它容量,在1.44MB的设备上作成的较高容量格式;双面80轨21扇区或其它 2.88MB,双面80轨36扇区

360kB,单面80轨9扇区

720kB,双面80轨9扇区

1.44MB,双面80轨18扇区 1.68MB或其它容量,在1.44MB的设备上作成的较高容量格式;双面80轨21扇区或其它

1.68MB或其它容量,在1.44MB的设备上作成的较高容量格式;双面80轨21扇区或其它

2.88MB,双面80轨36扇区

高容量特殊软碟 ZIP ZIP100,每片100MB ZIP250,每片250MB SuperDisk LS-120,每片120MB LS-240,每片240MB

ZIP ZIP100,每片100MB ZIP250,每片250MB

ZIP100,每片100MB

ZIP250,每片250MB

SuperDisk LS-120,每片120MB LS-240,每片240MB

LS-120,每片120MB

LS-240,每片240MB

法法词典

disquette nom commun - féminin ( disquettes )

  • 1. informatique petit disque souple servant de support externe pour la conservation de données informatiques

    un lecteur de disquettes

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malodorant a. (m) 恶臭的, 难闻的

tribun n.m.1. (古罗马的)军官;行政长官 2. 平民演说;辩护士;民权保卫者3. 【史】(法拿破仑时期的)法案评委员会委员

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milliardaire a. 拥有十亿资财; 巨富, 豪富n. 亿万巨富, 大富豪

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