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词典释义:
environnementaliste
时间: 2023-09-16 10:14:18
[ɑ̃virɔnmɑ̃talist]

a. 环境的; (尤指)环境保护的 n. 环境

词典释义
a.
环境的; (尤指)环境保护的

n.
环境
近义、反义、派生词
词:
écologiste
联想词
écologiste 生态; activiste 极分子,活动分子; militant 战斗的,极的; naturaliste 自然的,写真的; écologique 生态的; écolo 环境保护者; biologiste 生物; humaniste 人道者; pacifiste 和平者; écologie 生态; progressiste 进步的;
原声例句

Cela suscite d'ailleurs plusieurs critiques de la part des environnementalistes, qui dénoncent les conséquences de l'industrie pétrolière sur l'environnement.

这也引起了环保主义者的多次批评,他们批评石油工业对环境的影响。

[Vraiment Top]

En fait, on veut parler de vous, l'environnementaliste.

其实,我们想说的是你这个环保主义者。

[Vraiment Top]

Et donc il est sûr qu'il y aura une opposition des milieux environnementalistes à de tels développements.

[RFI简易法语听力 2023年2月合集]

M. Lecavalier (Charles) : Sur l'environnement... vous avez parlé de cinq priorités, vous avez parlé de l'environnement. Lors de la dernière campagne, vous en avez moins parlé. Est-ce qu'en 2022, la CAQ, vous allez être un parti environnementaliste?

[presse conference]

例句库

Fer de lance des environnementalistes et de l'ancien président américain Al Gore, les concerts ont duré plus de 22 heures.

环境学家和美国前副总统阿尔·戈尔出席了几个演唱会,演唱会持续了22个多小时。

En conclusion, Monsieur le Président, je souhaiterais revenir une semaine en arrière, lorsque le Comité du prix Nobel a décidé d'attribuer le prix Nobel de la Paix de cette année à une brave environnementaliste kényane.

主席先生,最后我愿再返回来谈一谈一周前的事件,即诺贝尔委员会决定将今年的诺贝尔和平奖授予一位勇敢的肯尼亚环境问题专家。

Le secteur privé et, plus particulièrement, les organisations non gouvernementales et les associations environnementalistes, sont largement présents et opérationnels sur le terrain du développement.

私人部门,特别是非政府组织和环保团体积极地且直接地参与了国家发展。

法语百科

L'écologisme, ou environnementalisme, est à la fois un courant de pensée (idéologie ou philosophie), un corpus de valeurs et de propositions incluant notamment celles du mouvement écologiste. L'orientation de l'activité politique ou parapolitique vise au respect, à la protection, la préservation ou la restauration de l'environnement dans une forme très poussée. James Lovelock, père de la théorie Gaïa, est l'un des représentants les plus célèbres de cette doctrine.

Ce mouvement éco-centrique a comme projet la conservation de la nature et le « respect » des équilibres naturels. L'environnementalisme et le mouvement écologiste ont parmi leurs priorités : la conservation des ressources naturelles, la préservation de la « vie sauvage » (wilderness), la lutte contre la dégradation, la fragmentation et la destruction des habitats et des écosystèmes au sens le plus large. Ils définissent de nouveaux rapports territoriaux dans les milieux habités par l'humain, dont les milieux urbains considérés comme les habitats potentiels de substitution et comme cadre de vie d'une part grandissante de l'humanité.

Ces différentes demandes sociales et politiques, ou même protestations s'expriment dès le début du XX siècle : en 1902, une convention internationale pour la protection des oiseaux utiles était signée entre 11 pays d'Europe, et en 1913, le congrès de Berne réclamait une « Protection mondiale de la nature », principalement du constat de la dégradation de la nature par l'homme, notamment par la chasse et la surexploitation de la nature, puis par la pollution et la destruction à grande échelle de milieux naturels (forêts tropicales) notamment.

Écologie et écologisme

L'écologie en tant que science consiste à comprendre le fonctionnement des écosystèmes, en élaborant des théories explicatives, ainsi qu'à étudier les espèces vivantes et leurs relations avec leur habitat dont elles dépendent pour leur survie. Les spécialistes de l'écologie sont des écologues ou ingénieurs écologues .

L'écologisme est étroitement lié à l'écologie et à l'histoire de l'écologie. Les informations tirées des études scientifiques sont utilisées par les partisans ou militants de l'écologisme, les écologistes, pour orienter leurs actions : faire stopper ou réguler l'exploitation des ressources, faire pression pour parvenir à des décisions politiques avec prise en compte des implications écologiques, etc.

Histoire

Les courants de pensée inspirant l'environnementalisme moderne proviennent de l'Europe et des États-Unis du XIX siècle.

Cependant, les préoccupations « écologistes », de protection de la nature sur des bases éthiques, philosophiques ou religieuses sont largement antérieures : beaucoup de lois ont été promulguées qui peuvent être qualifiées d'écologistes, et ce depuis l'Antiquité : de la protection des forêts à Ur vers -2700, aux édits de protection des animaux de l'empereur Ashoka en Inde (-256), de la première « réserve naturelle » du monde (un sanctuaire de la vie sauvage) au Sri Lanka quelques décennies (www.slwcs.org) plus tard jusqu'à la première loi de protection des oiseaux sur les îles Farne en 676.

Saint François d'Assise, choisi comme patron de l'écologie, est parfois considéré comme le précurseur de la vision chrétienne alternative de l'homme dans sa relation avec la nature.

Signalons aux XVII et XVIII siècles des mesures des colons des États-Unis d'Amérique pour éviter l'épuisement des ressources, par la réglementation de l'abattage du bois, la jachère ou l'interdiction de la chasse par période ou des mesures législatives du gouverneur de l'île Maurice en 1710 (à l'époque nommée Île-de-France) en protégeant les forêts afin de lutter contre l'érosion des sols, garantir des microclimats favorables.

Une des premières actions collectives contre la déforestation date de 1720, en Inde, avec des centaines de villageois de confession bishnoïe qui ont empêché les soldats du maharaja de Jodhpur de détruire des arbres.

Tandis qu'Henry David Thoreau (1817-1862) est considéré comme le premier environnementaliste, un des premiers penseurs ayant associé et théorisé la lutte sociale et la préoccupation écologiste est Élisée Reclus (1830-1905), scientifique et militant anarchiste.

En 18**, George Marsh publie L'homme et la nature (Man and nature), la première analyse systématique de l'impact destructif de l'humanité sur l'environnement, qui devient un travail de référence pour le mouvement environnementaliste. Deux ans plus tard, le terme écologie est créé par le zoologiste allemand Ernst Haeckel.

Les premières créations d'organisations que l'on qualifierait de conservationnistes, écologistes remontent à 1815 avec la Commons Open Spaces & Footpaths preservation society au Royaume-Uni, à 1854 en France avec la Société nationale de protection de la nature. Aux États-Unis, la création du premier grand parc naturel Yellowstone remonte à 1872 tandis que la naissance de la première grande ONG de défense de la nature, le Sierra Club remonte à 1892.

Concernant le « contrôle » de l'industrialisation, Benjamin Franklin et des habitants déposent en 1739 une pétition à l'assemblée de Pennsylvanie pour faire stopper les décharges des déchets des tanneries (du district commercial de Philadelphie) : les entreprises parlent de violation de leurs droits tandis que Franklin fait mention de « public rights » (« droit public, des citoyens »). Par la suite, de 1762 à 69, un comité essaie de réguler et contrôler la pollution des eaux et les déchets.

Pour l'Angleterre moderne, une des premières lois de contrôle de la pollution est le British River Pollution Control Act de 1876 qui rend illégal tout déversement d'égouts dans les rivières ou autres courants, qui fait pendant à une loi de 1388 interdisant de jeter les ordures dans les fossés, rivières…

Les premières dénonciations virulentes du gaspillage des ressources naturelles de notre société industrielle sont dues à un biologiste et urbaniste écossais Patrick Geddes vers 1915.

La première organisation internationale de conservation de la nature est fondée en 1948, l'Union internationale pour la conservation de la nature dont le siège se trouve en Suisse.

Dès les années 1960, aux États-Unis les préoccupations écologistes ressurgissent avec les problèmes de pollution, exemple le DDT, les mouvements antinucléaires. La plus importante manifestation au monde a lieu le 22 avril 1970, décrété jour de la terre pour demander la protection de l'environnement.

Dans les années 1970 apparaît un nouveau type de mobilisation : les interventions d'urgence. Par exemple, face au non-respect de l'embargo sur la chasse à la baleine, l'organisation Greenpeace, récemment fondée, protège les baleines en se plaçant devant les baleiniers.

Parmi les mouvements écologistes actuels, apparus dans les années 1960, années 1970, la plupart ont plutôt des préoccupations sociales associées aux préoccupations environnementalistes, et prônent des valeurs de tolérance et d'ouverture.

Voir aussi une chronologie qui reprend des dates clés concernant l'environnement, les catastrophes environnementales, la genèse des courants écologistes, les traités de protection de l'environnement…

Mouvement en France

Selon Dominique Simonnet, le mouvement environnementaliste français aurait commencé en mai 68, tout d'abord comme un mouvement contestataire. Il s'est d'abord caractérisé par des actions ponctuelles et des manifestations, aussi bien sur le terrain qu'à Paris. On note ainsi la lutte contre la création d'une station de ski dans le parc national de la Vanoise en 1970, les manifestations de 1971 contre les centrales nucléaires de Fessenheim (quelques centaines de personnes) et de Bugey (15 000 personnes). De même, la manifestation contre l'extension du camp militaire du Larzac regroupe quelques centaines de manifestants le 9 mai 1971, puis près de 20 000 le 14 juillet 1972. Le principal animateur de ces manifestations est Pierre Fournier, journaliste à Charlie Hebdo, militant antinucléaire et antimilitariste.

Cependant, le programme nucléaire ne démarre en France qu'en 1974, à la suite du premier choc pétrolier de 1973. Très rapidement, le nucléaire est alors rejeté par les associations de défense de la nature, par des scientifiques rejetant des avis d'experts de l'époque, par des citoyens inquiets des risques potentiels et par une presse militante : Le Courrier de la Baleine, revue des Amis de la Terre en 1971 et surtout en 1972 La Gueule ouverte, qui a un public plus large. Le mouvement antinucléaire servira de focalisateur à la cause écologiste.

Une des plus importantes manifestations contre le nucléaire, la Manifestation à Creys-Malville en 1977 est sévèrement réprimée (un mort et des dizaines de blessés) .

C'est à la même période qu'est créée en 1969, par Jean Carlier, l'association des Journalistes-écrivains pour la nature et l'écologie (JNE).

Si quelques candidatures écologistes avaient déjà été lancées en Alsace, c'est la première candidature à l'élection présidentielle d'un candidat se réclamant de l'écologie, en 1974, qui la propulse vraiment sur le terrain politique. L'agronome tiers-mondiste René Dumont, si son score électoral est médiocre, utilise l'exposition médiatique dont il bénéficie pour faire prendre conscience des problèmes environnementaux.

Acteurs

L'environnementalisme est aussi bien le fait de penseurs isolés que de groupements de tous ordres : cercles d'experts faisant appel à des chercheurs (club de Rome), associations militantes (Les Amis de la Terre, Greenpeace, le Réseau Sortir du nucléaire), mouvements écologistes. C'est à partir des années 1970 que se développent les premiers véritables partis politiques écologistes avec en France le Mouvement d'écologie politique puis, dans les années 1980, la création des Verts.

Écologie profonde ou deep ecology

Cet autre courant de pensée est d'origine anglo-saxonne, bien que son fondateur soit le philosophe norvégien Arne Næss (1912-2009). Il affirme que la nature a une valeur intrinsèque et des droits qu'il faut respecter et que l'homme et ses droits sont à repenser dans ce contexte étendu. Un des précurseurs de l'écologie profonde, Aldo Leopold (1887-1948) a proposé le développement et la défense d'une « éthique de la terre ». John Baird Callicott (1941-) est la personnalité la plus impliquée actuellement.

Parmi les partisans du courant de l'écologie profonde, on peut citer Michel Serres, Dave Foreman, fondateur de Earth First! ou l'essayiste et sociologue Laurent Ozon.

Thèmes

Le développement de l'environnementalisme se fait à la faveur de la prise de conscience de la dégradation de l'environnement (risques nucléaires, couche d'ozone, pollutions, pesticides, réchauffement de la planète, effet de serre, épuisement des ressources naturelles). L'environnementalisme brasse des thèmes très divers et se répartit en plusieurs mouvements de pensée.

Certaines de ces préoccupations sont partagées par la communauté scientifique au sujet de l'empreinte écologique excessive de notre modèle de développement, ainsi que les enseignements du Club de Rome dont la modélisation du système planétaire a mis en relation le caractère limité des ressources naturelles et le modèle de croissance économique illimitée.

Le Chef Raoni, figure emblématique du combat contre la déforestation en Amazonie, au milieu d'autres chefs indiens brésiliens.

Protection de la nature et sauvegarde des grands équilibres

On peut distinguer deux types d'objectifs poursuivis par l'environnementalisme. Certains, à la suite des naturalistes, visent à protéger la nature vierge : espèces menacées, sites naturels. C'est le cas de nombreuses associations telles que celles regroupées dans la fédération France nature environnement. Des actions ponctuelles, depuis la lutte contre l'implantation d'une station de ski dans le parc national de la Vanoise en 1970 jusqu'à la lutte en faveur de la réintroduction de l'ours dans les Pyrénées françaises, entrent dans ce cadre.

D'autres objectifs concernent les risques que l'activité humaine fait courir aux grands équilibres écologiques de la planète. Ils se basent sur les résultats de l'écologie scientifique. Ils dénoncent par exemple les risques que présentent le réchauffement climatique, le gaspillage des ressources en eau, la destruction des forêts, les risques liés à l'industrie nucléaire. Ces luttes sont celles qui font l'objet du plus grand écho au niveau international au travers de réunions d'experts et de chefs d'État, depuis la Conférence des Nations unies sur l'environnement de Stockholm en 1972 jusqu'à la signature du Protocole de Kyoto en 1998.

Croissance illimitée et ressources limitées

Dès les années 1960 des spécialistes mettent en garde contre les risques d'une croissance économique illimitée. Du risque de la surpopulation, la mise en garde passe progressivement à une volonté de maîtrise de la croissance économique.

Une première menace semble provenir de l'augmentation incontrôlée de la population, en particulier dans le Tiers monde et en Inde. Paul R. Ehrlich lance un cri d'alarme contre cette « bombe P » en 1968 : selon lui, le monde ne pourra supporter à moyen terme l'explosion démographique en cours. Ce thème est largement repris au cours des années 1970, par exemple par René Dumont, candidat à l'élection présidentielle française en 1974. Il a été aujourd'hui largement supplanté par les problèmes posés par la croissance économique.

En 1972, le premier rapport au club de Rome, élaboré par des chercheurs du Massachusetts Institute of Technology (MIT), met en avant, outre le problème de la surpopulation, une contradiction entre le développement exponentiel de l'économie mondiale et le caractère limité des ressources naturelles. Il propose de rechercher un « équilibre » dans lequel le progrès porterait sur les conditions de vie et non sur la croissance économique. Si le rapport a été critiqué par d'autres scientifiques pour les faiblesses du modèle économique utilisé, il a contribué à diffuser les thèses écologistes sur les risques de la productivité à outrance.

Le discours écologiste est parfois considéré comme extrémiste lorsqu'il remet en cause les fondements de la société de consommation et qu'il prône, dans la lignée du club de Rome, une « croissance zéro ». Toutefois d'autres courants de l'environnementalisme ne remettent pas en cause la croissance en tant que telle mais plutôt une recherche incontrôlée du productivisme qui conduit à une exploitation exagérée des ressources naturelles.

C'est une telle vision que le rapport Brundtland formalise en 1987 : la satisfaction des besoins d'aujourd'hui ne doit pas compromettre la capacité des générations futures de satisfaire ses propres besoins. Le « développement durable » ou « soutenable » est toujours l'un des principaux thèmes de l'environnementalisme et, au-delà, du discours politique.

Environnementalisme, science et technologie

Certains scientifiques, en particulier des biologistes et des naturalistes, sont à l'origine de nombreuses sociétés de protection de la nature. Ainsi dès 1854, Isidore Geoffroy Saint-Hilaire, professeur au Muséum national d'histoire naturelle, fondait la Société impériale zoologique d’acclimatation, aujourd'hui Société nationale de protection de la nature.

Les scientifiques ont aussi apporté une caution scientifique aux militants : c'est le cas des rapports au Club de Rome, qui ont apporté aux écologistes un modèle étudiant l'impact à long terme des activités humaines sur l'environnement. Dans le même temps, les scientifiques eux-mêmes bénéficient parfois des connaissances accumulées par les écologistes, par exemple en termes de disparition d'espèces. L'explorateur et cinéaste Jacques-Yves Cousteau, grâce à l'immense succès de ses films, a pu aider des scientifiques à mener des campagnes d'étude.

Les rapports de l'environnementalisme et de la technologie sont ambivalents. Les penseurs écologistes sont nombreux à dénoncer les méfaits de la technologie. Barry Commoner, dès les années 1950, tente de faire le point sur l'impact des essais nucléaires sur l'environnement. Comme l'avait fait également la biologiste Rachel Carson au sujet du DDT, il analyse l'effet pervers de certaines technologies telles que les insecticides ou les détergents qui, utiles à court terme, produisent des effets mal calculés et parfois très dangereux à long terme. Un thème essentiel de l'environnementalisme apparaît : la complexité des mécanismes naturels, dont la technologie humaine n'a pas toujours pris la mesure.

Toutefois, la technologie peut aussi apporter des réponses à certains problèmes soulevés par l'environnementalisme : écologie industrielle, biocarburants, constructions à « haute qualité environnementale » (HQE), techniques de captation/séquestration du CO2.

Bibliographie

Ouvrages d'analyse, essais concernant les préoccupations écologistes, par ordre chronologique

Walden ou la vie dans les bois de Henry David Thoreau (1854)

l'homme et la nature de George Marsh (18**)

L'homme et la terre d'Elisée Reclus (1906)

Almanach d'un comté des sables d'Aldo Leopold (1949)

Silent spring « Printemps silencieux » de Rachel Carson (1962)

Avant que nature ne meure Jean Dorst 19**

L'encerclement de Barry Commoner 1973 (ed (en) The closing circle 1971)

Halte à la croissance ? (ou rapport Meadows), étude soulignant les dangers écologiques de la croissance économique telle qu'elle est envisagée. 1972

La société contre nature Serge Moscovici 1972

L'Utopie ou la Mort de René Dumont (1973)

Pour une société écologique Murray Bookchin 1976

Écologie et liberté André Gorz 1977

Le système technicien Jacques Ellul 1977

Écologie et politique André Gorz 1978

Le principe responsabilité. Une éthique pour la civilisation technologique de Hans Jonas (1979) - traduction française éd. du Cerf 1990

(en) Deep ecology de Devall et Session (1985)

Les raisons de la colère ou l'Utopie des verts de René Dumont 1986

Le défi écologiste de Michel Jurdant (1988)

L'écologie au pouvoir Boy Jacques le seigneur, Roche 1995

Sauver la Terre d'Yves Cochet et Agnès Sinaï, 2003, éd. Fayard, Paris.

Antimanuel d'écologie, d'Yves Cochet 2009, éd. Bréal, Rosny-sous-Bois.

Politique de Cassandre - Manifeste républicain pour une écologie radicale de Jean-Christophe Mathias (Sang de la Terre, 2009)

Pour une critique de la raison écologique, éd. Circé, 2014, Alain Milon

Revues

L'Écologiste (Site de la revue))

EcoRev'

Cosmopolitiques cahiers théoriques pour l'écologie politique

S!lence

Imagine demain le monde

Entropia

Filmographie

Les premiers films ou documentaires consacrés à l'environnement ou à des thématiques écologistes semblent dater des années 1930, mais ils ne deviennent vraiment nombreux (du moins pour ceux qui atteignent une certaine notoriété) qu'à partir des années 1990.

Le premier Festival international du film sur l'environnement (FICA) est créé en 1999 au Brésil, dans l'État de Goiás dont la capitale a connu un accident nucléaire en 1987.

中文百科

蓝色弹珠在1972年12月7日由阿波罗17号太空船拍摄

环境保护主义(英文:Environmentalism,德文:Ökologismus)是一种旨在保存、恢复和改善自然环境的哲学、意识形态和社会运动。该主义提倡减少污染、保护动植物多样性。

环保主义作为一种政治意识形态

根据政治科学家安德鲁·多布森(Andrew Dobsen)的观点,环保主义符合一种意识形态的所有特征,因此应该将之与其他意识形态,如:保守主义、自由主义或者社会主义等同等对待。正如其他意识形态一样,环保主义也提供了一种对社会的分析性描述(eine analytische Beschreibung der Gesellschaft),假定了一种确定的、值得期待的社会形式,并拥有着一套对于政治行动的纲领性规划。迈克尔·肯尼(Michael Kenny)也视环保主义为一种意识形态。但他也强调,绿党(Grüne)拒绝接受这种概念。

评价

自由主义者大卫·弗里德曼认为:“Environmentalism is in part a real argument, in part a religion, in part an aesthetic; the second and third parts make people too willing to accept the first.(环境保护主义是一种观点,是一种宗教,也是一种美学。后两者会使人过于相信第一点。)”

法法词典

environnementaliste nom commun - masculin ou féminin ( environnementalistes )

  • 1. spécialiste de l'ensemble des conditions naturelles et culturelles susceptibles d'agir sur les organismes vivants

    un environnementaliste qui défend la nature

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Cf 参考,参照

envier v. t. 羡慕; 嫉妒, [古]想望, 想获得:常见用法 法语 助 手

contrepoint n. m. 对位法, 对位法作品; 配合主题, 对位主题

dégourdir v. t. 1. 使不再麻木:2. [引]把…热一热:3. [转]使变得活跃, 使变得机灵, 使变的聪明伶俐se dégourdir v. pr. 1. 使自己活动一:2. 变得活跃, 变得机灵, 变得聪明伶俐常见用法

fugacité n.f. 1. 〈书〉短暂,转即逝 2. 逸性,逸变

poivré poivré, ea.1. 加, 用调味;味 2. 〈转义〉辣;放肆, 淫秽

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