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autoportrait
时间: 2023-09-11 20:36:19
[otopɔrtrε]

n. m 像

词典释义
n. m
原声例句

C'est un portrait de son papa et un autoportrait, je pense, aussi.

这是他爸爸的肖像,还有他的自画像,我猜。

[Une Fille, Un Style]

Alors on y admire aussi bien des autoportraits du jeune Picasso qui se métamorphose, vous le verrez, en cinq ans à peine, les styles n'ont rien à voir, les expressions non plus.

我们既可以欣赏到年轻时代毕加索自画像,也可以看到,此后不到5年的时间,初期的风格全部消失,人物表情也不见了。

[巴黎奥赛博物馆]

Ses tableaux aux couleurs vives, des autoportraits le plus souvent, sont effectués depuis son lit, avec l'aide d'un miroir accroché au plafond pour qu'elle puisse se voir.

她色彩鲜艳的画作,大部分是自画像,都是在床上完成的,借助悬挂在天花板上的一面镜子,这样她就可以看到自己。

[Quelle Histoire]

Il se représente dans un autoportrait bleu qui date de 1901, l'année où pour la première fois, il signe Picasso.

他在1901年的蓝色自画像中展现自己,那一年他第一次以“毕加索”签名。

[Quelle Histoire]

Il signait rarement ses oeuvres et n'a jamais produit d'autoportrait officiel, mais il a parfois glissé son visage en secret dans ses créations, notamment dans la fresque du Jugement dernier de la chapelle Sixtine.

他很少在自己的作品上签名,也从不制作正式的自画像,但他有时会偷偷地把自己的脸创作入自己的作品中,特别是在西斯廷教堂的最后审判壁画中。

[Vraiment Top]

Mais la scène prend une autre dimension… … lorsqu’on sait qu’il s’agit d’un autoportrait.

但是这个场景呈现出另一个维度...当我们知道它是一幅自画像时。

[L'Art en Question]

Elle a fait pratiquement que des autoportraits.

她几乎只拍自画像

[Solange te parle]

Je dois le dire, les autoportraits me touchent, beaucoup.

我必须说,自画像触动了我很多。

[Solange te parle]

Ses 385 clichés préférés, comme un autoportrait mystérieux.

他最喜欢的385张照片,像一幅神秘的自画像

[TV5每周精选(视频版)2020年合集]

Alors on peut parler d'autoportrait ; ça fait quand même très pictural, ça marche mieux pour la peinture que pour la photographie et surtout pour la petite photographie minute qu'on prend avec son téléphone.

那么我们可以谈谈自画像;它仍然非常具有图画性,它更适合绘画而不是摄影,特别是对于您用手机拍摄的小分钟摄影。

[Les mots de l'actualité - 2016年合集]

例句库

Il en fera même le sujet principal de son oeuvre puisqu’il multipliera les autoportraits tout au long de sa carrière.

他甚至将自己变成他全部作品的主要主题,因为在他的整个生涯中多次作自画像

Rapidement rétabli, Van Gogh peindra son autoportrait avec son pansement autour de la tête.

很快痊愈的梵高创作了一幅自画像,画中的他,用绷带缠绕着脑袋。

法语百科

L'Homme au turban rouge, Jan van Eyck, 1433.

Un autoportrait est une représentation d'un artiste, dessinée, peinte, photographiée ou sculptée par l'artiste lui-même. Bien que l'exercice de l'autoportrait ait été pratiqué depuis les temps les plus reculés, ce n'est qu'à partir du début de la Renaissance, au milieu du XV siècle, que les artistes peuvent être identifiés eux-mêmes comme représentant, comme le sujet principal ou comme des personnages importants dans leur travail. Avec le perfectionnement des techniques de miroiterie, les miroirs deviennent plus accessibles et l'avènement du portrait en panneau, de nombreux peintres, sculpteurs et graveurs s'essayent à l'autoportrait.

Le portrait de L'Homme au turban rouge de Jan van Eyck réalisé en 1433 pourrait bien être le plus ancien autoportrait.

Histoire de l’autoportrait

Autoportrait à la fourrure, Albrecht Dürer, 1500

La création de la peinture a été rapportée à la vision de Narcisse se contemplant dans son miroir (Alberti) et se réfère donc directement à l’autoportrait. Au-delà de l'introspection, l'autoportrait fut une manière commode d'exercer sa technique (le modèle le plus facilement disponible étant soi-même).

Dans l'Antiquité, l’artiste au travail se représente sur les peintures égyptiennes ou sur la céramique grecque.

On note l’apparition des premiers autoportraits indépendants (l'artiste ne se représentant pas au travail) dès le XII siècle dans les enluminures, mais ils s'apparentent en fait à un procédé de signature (celles-ci étant souvent accompagnées du nom de l'exécutant) plus qu'à de réelles expressions picturales. Le procédé consistant à se peindre parmi les personnages d’un événement, sorte de signature visuelle du tableau, se développe au XIV siècle avec le développement de la technique de la perspective centrale et la diffusion, à partir de Venise, des miroirs de verre. Il aurait été utilisé dès 1359 dans l’Assomption de la Vierge d'Andrea Orcagna. La primeur incontestable du procédé pourrait cependant revenir à Benozzo Gozzoli, qui se met en scène, s'avançant parmi la foule, coiffé d'un bonnet sur lequel son nom est inscrit, dans la fresque de l'Adoration des mages (Chapelle des mages, 1459, à Florence). De même, Piero della Francesca se représente en soldat, lourdement endormi, dans sa Résurrection (vers 1463-1465, Sansepolcro), alors que Sandro Botticelli, se tourne orgueilleusement vers le spectateur, dans une autre Adoration des mages (Florence, 1475). Fra Filippo Lippi reprend le procédé dans le cycle de fresques des Scènes de la vie de la Vierge (cathédrale de Spolète, entre 1467 et 1469), ainsi que son fils Filippino Lippi dans La Dispute avec Simon le magicien de la chapelle Brancacci de Santa Maria del Carmine (1471-1472), à l'achèvement de laquelle il participait. De la même manière, on verra Albrecht Dürer traverser avec un ami le paysage du Martyre des 10 000 (1508).

Les grands maîtres de l'autoportrait

Dürer est un des grands créateurs du genre de l'autoportrait, comme représentation distincte de soi. Il se dessine dès l'âge de treize ans en 1484, puis peint quatre grands autoportraits en 1493, 1498 et 1500. Celui de 1500 (Munich, Alte Pinakotek) est particulièrement remarquable car Dürer s’y peint de face, un angle de vue que peu de peintres ont utilisé pour se représenter. Dans tous les cas, l'image de soi est rapprochée de son monogramme, soigneusement calligraphié. Dürer est également le premier artiste à se représenter nu (1503). Enfin il n'hésite pas à se dessiner sous les traits du Christ, en 1522 et 1523, quelques années avant sa mort.

Les grands peintres italiens de la Renaissance ont réalisé assez peu d’autoportraits. Le premier est sans doute celui du Pérugin vers 1500 (collège du Cambio, à Pérouse). On connaît un dessin de Léonard de Vinci (1512). Quant à Michel-Ange, il a donné son visage à la dépouille de saint Barthélemy dans le Jugement dernier de la chapelle Sixtine (1536-1541) ; et plusieurs de ses sculptures peuvent s'assimiler à des autoportraits idéalisés, comme le San Procolo du tombeau de Saint Dominique à Bologne. Giorgione a peint vers 1509-1510 son autoportrait en David.

Raphaël nous est plus connu : on le voit parmi les personnages de l'École d'Athènes (1510), dans un autoportrait présumé de 1516, au Louvre ; ou encore avec un ami auquel il tient l’épaule (1518, Louvre). Titien a peint deux beaux portraits de lui-même en vieillard dans les années 1560. Véronèse apparaît pour sa part en violiste vêtu de blanc dans les Noces de Cana, au côté de Titien jouant de la viole de gambe (1562).

Francisco de Zurbarán en saint Luc peintre devant la Crucifixion

À l'exception peut-être d'Annibal Carrache, les Italiens ne sont pas, jusqu'au XVII siècle, des adeptes du genre. Le Caravage, cependant, s'il ne laisse aucun autoportrait à proprement parler, se prend pour modèle dans plusieurs tableaux : en Bacchus convalescent, au début de sa carrière, de même probablement que dans le groupe des Musiciens (au second plan). Puis il apparaît incidemment dans certains de ses tableaux comme spectateur : ainsi dans le Martyre de saint Matthieu. On notera qu’il a donné sa tête à celle de Goliath, brandie comme trophée par David (1609), s'identifiant de manière marquante, au terme d'une vie marquée par la violence, avec le personnage défait. Artemisia Gentileschi se représente également à plusieurs reprises, tant dans les différentes versions de Judith et Holopherne, où elle exorcise le viol subi dans sa jeunesse, que dans les autoportraits plein de vigueur de la maturité.

Au XVII siècle, Flamands et Hollandais font de l'autoportrait un véritable exercice d'introspection. Van Dyck et Rubens nous ont laissé de nombreuses images d’eux-mêmes, en général valorisées. Vermeer se peint (probablement) de dos dans l'Allégorie de la Peinture (Vienne), tandis que Franz Hals, le plus important portraitiste de son temps, ne laisse apparemment aucune image de lui.

Mais le plus marquant des autoportraitistes est sans conteste Rembrandt, qui a consacré près d'une centaine d'œuvres, gravures ou toiles, à l'image de soi. L'autoportrait apparaît chez lui comme une forme de journal intime, fondant pour la peinture ce que Philippe Lejeune a nommé « le pacte autobiographique ». Son premier autoportrait connu date de 1627, en jeune homme ébouriffé ; son dernier de 1669, quelques semaines avant sa mort. Au fil du temps, nous le voyons vieillir, et se montrer sous des déguisements divers, depuis le jeune homme à l’air timide qui se peint à contre-jour alors qu’il vient d’avoir vingt ans, jusqu’au vieil homme fatigué, ridé, au nez bourgeonnant de 1669.

En Espagne, on connaît plusieurs autoportraits de Murillo ou de Vélasquez, dont la frappante représentation au travail des Ménines (vers 1656, musée du Prado). Quant à Zurbarán, il s’est représenté en saint Luc, patron des peintres, aux pieds du Christ en croix (vers 1635). À remarquer Léopold de Médicis qui collectionna les nombreux autoportraits de son époque (XVII siècle) et qui sont exposés depuis dans le Corridor de Vasari de Florence (et complétés). Dans les années 1800, Goya s'est lui aussi représenté à de nombreuses reprises.

Dans la France du XVII siècle, on pense surtout aux deux grands autoportraits de Poussin (1**9 et 1650, respectivement à Berlin et au Louvre) et d'autres artistes comme Simon Vouet ou Jacques Stella (ces deux œuvres au musée des beaux-arts de Lyon ont également laissé des images d'eux-mêmes, d'un réalisme intense). Au XVIII siècle, Jean Siméon Chardin renouvelle le genre, n’hésitant pas à se peindre à plusieurs reprises, avec bonnet et lorgnons. Quentin de La Tour a lui aussi laissé plusieurs autoportraits où il apparaît tantôt en chemise et sans perruque, tantôt en costume d’apparat, tandis que Mme Vigée-Lebrun délivre une image charmante et coquette d'elle (Corridor de Vasari, Florence).

Par la suite, on peut dire que presque chaque grand peintre nous a laissé au moins un autoportrait, mais le genre a été particulièrement prisé par les expressionnistes du début du XX siècle, en partie sous l’influence des autoportraits de van Gogh, en partie conformément à l'esthétique de ce mouvement, fondée sur l'exploration méthodique du Moi. À signaler en ce sens les nombreux autoportraits d'Edvard Munch, Egon Schiele, Max Beckmann, Richard Gerstl, Oskar Kokoschka, ou encore l'œuvre picturale du compositeur Arnold Schönberg, qui a laissé, en trois ou quatre ans seulement (vers 1908-1911), pas moins de cinquante-neuf autoportraits, dont un de dos.

Dans la lignée de celle Rembrandt, apparaît l'œuvre « autopicturale » de Van Gogh, qui s’est représenté trente-sept fois, de 1886 à 1889. Dans tous ces autoportraits on est frappé par le regard du peintre, rarement porté sur nous, et qui même lorsqu'il nous fixe semble regarder ailleurs.

Les nombreux autoportraits d'Egon Schiele méritent également un grand intérêt, car nul autre que lui n’est allé aussi loin dans l’exhibitionnisme et l'auscultation fascinée, angoissée, ou épouvantée de soi. Il se représente nu à de nombreuses reprises, de face, de profil, agenouillé, se masturbant parfois ou brandissant dans Eros (1911) un énorme sexe rouge en érection.

Autre figure importante dans l'histoire de l'autoportrait en peinture : Felix Nussbaum (1904-1944). Pour le peintre juif allemand du début du siècle, qui a vécu l'enfer du nazisme et des persécutions contre les juifs, l'autoportrait constitue un moyen privilégié pour enregistrer les effets de son expérience : au fil des autoportraits, de beau jeune homme qu'il était, son visage se creuse, se marque par la souffrance, jusqu'à devenir la face émaciée où brille un regard dur des dernières années. La portée comparative de cette série d'autoportraits est renforcée par le choix d'une pose toujours identique, qui met en valeur son regard, regard de l'artiste sur lui-même comme regard vers le spectateur pour le prendre à témoin.

Avec Frida Kahlo les choses sont différentes. On sait qu’à la suite d’un terrible accident elle dut passer de nombreuses années de sa vie alitée, n’ayant qu’elle-même pour modèle. On lui doit de nombreux autoportraits en buste, mais aussi des représentations cauchemardesques dont beaucoup symbolisent les souffrances physiques qu’elle a vécues. Une partie de la peinture du XX siècle s'étant détournée de la figuration, l'autoportrait paraît moins associé au geste pictural qu'avec l'expressionnisme, en particulier. Néanmoins, des peintres majeurs comme Picasso ou Francis Bacon ont à leur tour considérablement renouvelé le genre.

Projection sur l'arc de triomphe du Carrousel durant la Nuit blanche 2007 d'un autoportrait d'Arnaud Prinstet

Au XXI siècle, on peut remarquer Arnaud Prinstet, qui peint quotidiennement son autoportrait, ainsi que Yan Pei-Ming qui a réalisé de nombreux autoportraits monumentaux.

Autoportrait de Genco Gulan, 2011

L'autoportrait en sculpture

En sculpture, l’autoportrait est marqué à la Renaissance par celui de Lorenzo Ghiberti avec son buste à la porte du paradis au baptistère de Florence.

Techniques de représentation

Johannes Gumpp (1**6)

Diego Vélasquez

L’autoportrait suppose en principe l’utilisation d’un miroir, instrument qui se développe à partir du XV siècle. Les premiers miroirs étant convexes, entraînant des déformations, l’artiste s’est parfois plu à les conserver, à l’image d’un amusant tableau réalisé par Parmigianino en 1524 (Autoportrait au miroir). Le miroir permet des compositions surprenantes comme celle du Triple autoportrait de Johannes Gumpp (1**6), ou plus près de nous celle de Salvador Dalí peignant Gala (1970-1972). Cette utilisation du miroir a pour conséquence amusante que les peintres gauchers se représentent généralement en droitier (et inversement).

Pour la représentation proprement dite, le peintre peut choisir de se montrer en buste, sans attributs particuliers, parfois de face mais le plus souvent de trois-quarts. Cependant les autoportraits à la palette ou au pinceau ne manquent pas, de même que les représentations de l’artiste dans son atelier. Dans cette catégorie, l’exemple le plus connu est peut-être L'Atelier du peintre, de Gustave Courbet (1855), immense capharnaüm d'objets et de personnages aussi hétéroclites que symboliques, mais c'était aussi le cas, bien qu'il ne s'agît pas d'un atelier, de Diego Vélasquez devant le cadre retourné des Ménines.

L’artiste se plaît parfois à se déguiser, ou du moins à revêtir un costume qui n’est pas le sien habituellement. C’est déjà le cas avec Dürer, et Rembrandt multipliera ce genre de métamorphose. Il peut aussi se peindre avec un ou des amis, ou encore évoquer sa vie familiale. Rubens se représente avec trois de ses proches dans les Quatre Philosophes (1615), mais aussi avec sa première femme Isabella Brant en 1610, puis avec la seconde, Hélène Fourment, en 1639.

Même si Ingres ne s’est jamais peint avec un violon, nombreux sont les artistes qui se sont mis en scène avec un instrument de musique, par exemple Lavinia Fontana jouant du clavicorde (1578), Courbet du violoncelle (1847) ou Beckmann du saxophone (1930). D’autres ont préféré évoquer des moments importants de leur vie, notamment des maladies : Goya se fait soigner par un docteur (1820), et Munch se peint convalescent après avoir échappé à la grippe espagnole (1919).

À noter que l’une des plus belles collections d’autoportraits se trouve près du musée des Offices à Florence, précisément dans le Corridor de Vasari : elle a été constituée par le cardinal Léopold de Médicis dans la deuxième partie du XVII siècle (et poursuivie jusqu’à nos jours). Elle comprend plus de 200 portraits, essentiellement de commande, avec notamment ceux de Pierre de Cortone, Charles Le Brun, Jean-Baptiste Corot et Marc Chagall.

Autres acceptions

L'autoportrait est également un genre littéraire s'apparentant à l'autobiographie, mais s'en éloignant étant donné qu'il n'est pas un récit à proprement parler.

Autoportraits d'hommes

Fra Filippo Lippi (1457–1459) dans ses Scènes de la vie de la Vierge

Benozzo Gozzoli (1459–1461) dans son Cortège des Mages

Piero della Francesca (1463–1465) dans sa Résurrection du Christ

Sandro Botticelli (~1475)

Hans Memling (~1480)

Filippino Lippi (1481–1482) dans son Martyre de Saint Pierre

Albrecht Dürer (1493)

Le Pérugin (~1500)

Raphaël (1506)

Hans Baldung (1526)

Lucas Cranach l'Ancien (1550)

Pierre Paul Rubens (1623)

Diego Vélasquez (1**0)

Rembrandt (~1655)

Benjamin West (1770)

Raphaël Mengs (1773)

Jean-Baptiste Siméon Chardin (1775)

Dominique Ingres (1804)

Francisco Goya (1815)

Eugène Delacroix (1837)

Paul Cézanne (1890)

Pierre-Auguste Renoir (1910)

Egon Schiele (1912)

Rémy Cogghe (1913)

Sergio de Castro (1961)

Henri Richelet (2000)

Autoportraits de femmes

Catarina van Hemessen, 1548

Sofonisba Anguissola (~1532 - 1625)

Artemisia Gentileschi, (~1630)

Judith Leyster

Angelica Kauffmann

Adélaïde Labille-Guiard, 1785

Élisabeth Vigée-Lebrun

Marie-Denise Villers

Marie Ellenrieder,

Mary Cassatt

Marie Bashkirtseff

Exposition

Moi! Autoritratti del XX secolo, exposition de la galerie des Offices de Florence, puis en 2004 au musée du Luxembourg Catalogue par Pascal Bonafoux et Pierre Rosenberg : Skira Editore (Milano) (Ed.) (ISBN 88-8491-854-5)/

Autoportraits, de Rembrandt au selfie, Musée des beaux-arts , Lyyon avril-juin 2016

L'autoportrait photographique

L'autoportrait photographique est un autoportrait réalisé avec un un appareil photographique soit en photographiant son image se réflêtant sur un miroir ou toute autre surface réfléchissante, soit en se prenant en photo à l'aide d'un retardateur ou d'un déclencheur à distance.

Le premier portrait photographique a été un autoportrait de Cornelius ca.1839.

Augusto De Luca: Autoportrait, 2000

Bibliographie

Ludwig Goldschneider, Fünfhundert Selbstporträts von der Antike bis zur Gegenwart (Plastik.Malerei.Graphik). Phaidon-Verlag, 528 S., s/w.-Abb. u. sieben farb. Abb., Wien 1936, o.ISBN

Années 1980

Pascal Bonafoux, Les peintres et l'autoportrait, 1984.

Bernard Auriol, L'image préalable, l'expression impressive et l'autoportrait, Psychologie Médicale, 19, 9, 1543-1547, 1987

Années 1990

Norbert Schneider, L’Art du portrait. Taschen, 1994. (Traite aussi bien du portrait que de l'autoportrait).

Joëlle Moulin, L'autoportrait au XX siècle, éd. Adam Biro, Paris, 1999.

Frances Borzello, Wie Frauen sich sehen- Selbstbildnisse aus fünf Jahrhunderten. Karl Blessing Verlag, München 1998, (ISBN 3-89667-052-2) Der Band wird ergänzt durch Anmerkungen, Kurzbiographien, Auswahlbibliographie, Abb.-Verzeichnis und Register.

Collectif, Rembrandt par lui-même, catalogue de l'exposition des autoportraits de Rembrandt à la National Gallery du 9 juin au 3 septembre 1999 avec des textes de Ernst van de Wetering, Volker Manuth, Marieke de Winkel, Ben Bross, trad. fr. Flammarion, Paris, 1999

Années 2000

Bell, Julian (Ed.), Five Hundred Self-Portraits. Phaidon Press Limited, London/ Phaidon Press Inc., New York, first published 2000, reprinted in paperback 2004, 548 p., about 500 coloured pictures, Text engl., (ISBN 0-7148-4384-9)

Bell, Julian (Hrsg.), Fünfhundert Selbstporträts. Phaidon Press Limited, London 2000, 548 S., ca. 500 überwiegend farb. Abb., Text dt., (ISBN 0-7148-9139-8) Selbstporträts bildender Künstler vom Alten Ägypten bis in die Gegenwart.

Pascal Bonafoux, Moi Je, par Soi-même. L’autoportrait au XX siècle. Diane de Selliers. Paris, 2004 (ISBN 2-903656-29-0) (Notices biographiques de Pierre Rosenberg)

Julian Bell, Cinq cents autoportraits, Phaidon, 2000.

Pascal Bonafoux, Autoportraits du XXe siècle, Hors série, Découvertes Gallimard, 2004.

Ulrich Pfisterer / Rosen, Valeska von ~ (Hrsg.), Der Künstler als Kunstwerk. Selbstporträts vom Mittelalter bis zur Gegenwart. Reclam, Stuttgart 2005, (ISBN 3-15-010571-4) (Rezension).

Yves Calméjane, Histoire de moi ou L'histoire des autoportraits, Thalia Édition, Paris, 2006.

Omar Calabrese, Die Geschichte des Selbstporträts. Deutscher Kunstverlag, München 2006, 224 S. , farb. u. s/w-Abb., (ISBN 3-7774-2955-4)

Années 2010

François Tétreau, Les Autoportraits de Simon, Montréal, Le Temps volé, 2011.

Sylvie Ramond, Stéphane Pacoud, Autoportraits. De Rembrandt au selfie, Snoeck, 2016.

中文百科

自画像是指由艺术家为自己所绘的肖像作品,而雕塑家类似的创作则称为自塑像。

法国艺术家Jean Fouquet于1450前后创作的自画像或为西方传统中现存的最早的自画像,若不拘泥于平面,则埃及法老Akhenaten之雕塑家Bak早于公元前1365年前后已完成雕刻自己与其妻Taheri的作品。

西方绘画传统中的自画像,于文艺复兴时代为人瞩目。当时,艺术家被视为优秀乃至卓越的个体。独立的自画像的出现,常与给予艺术家的这种巨大肯定相联系。这一时期亦有大量的自画像涉及作画者之外的他人。这其中,有赞助人,或是夫人子女。亦有艺术家在画幅中纳入友人、情人、老师、学生、模特甚至死神。

在文艺复兴的意大利,自画像被称为“镜中肖像”。当时的自画像将艺术家本人描绘为绅士或淑女,而并不表现艺术家工作的情形。从16世纪中起,艺术家们开始选择表现他们自己与画架为伍,手持调色板和画笔,支着腕杖。

每一幅自画像都可被视为一种表演,艺术家为其观众选择一种特别的装束与姿态,呈现一个角色。几个世纪以来,无数画家耕耘于这一题材,梵高、伦勃朗、雷诺兹(Joshua Reynolds)、弗里达·卡罗(Frida Kahlo)等尤其留下数量可观的自画像。亦有收藏专精于这一领域,最著名的即是佛罗伦萨的美第奇家族的藏品。

有名的自画象

达·芬奇

文森特·凡高

文森特·凡高

伦勃朗

GND: 4054394-8

NDL: 01039993

法法词典

autoportrait nom commun - masculin ( autoportraits )

  • 1. arts représentation figurative d'un artiste par lui-même

    réaliser son autoportrait

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