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词典释义:
boxeur
时间: 2023-10-08 22:13:24
TEF/TCF
[bɔksœr]

boxeur, euse n.m.击家, 击手, 击运动员常见用法

词典释义
boxeur, euse

n.m.
击家, 击手, 击运动员
boxeurs amateurs [professionnels]业余 [业] 击手

常见用法
ce boxeur, quelle masse !这个击手,这块头!
un boxeur de la catégorie des poids plume一位轻量级的击手
le boxeur a dominé son adversaire这位击手控制住了的对手

近义、反义、派生词
联想:
  • sport   n.m. 运动,体育运动;运动项目

近义词:
pugiliste
联想词
lutteur 摔角者,角者,角斗者,; catcheur 兰开夏式摔跤运动员; boxe 击; footballeur 足球运动员,踢足球者; athlète 运动员; basketteur 篮球运动员; danseur 跳舞者; gangster 匪徒,歹徒,强盗; champion 冠军,优胜者,第一名; coureur 赛跑运动员; hockeyeur 曲棍球运动员;
短语搭配

esquive d'un boxeur拳击手的躲闪

boxeur sonné被击倒的拳击手

boxeurs amateurs业余 拳击手

boxeur superléger最轻量级拳击运动员

boxeur groggy被击昏而摇摇晃晃的拳击手

tromper un boxeur par une feinte habile用一种熟练的假动作欺骗拳击手

il a été autrefois un excellent boxeur.他曾经是是一位杰出的拳击手。

culottes de boxeur拳击运动裤

boxeur sonné, e被击倒的拳击手

boxeur qui sait encaisser经得起拳打的拳击手

原声例句

Les joueurs de tennis, quant à eux, seront en terrain connu puisqu'ils évolueront sur les courts en terre battue de Roland Garros, servira aussi de lieu de performance pour les boxeurs.

与此同时,网球运动员将在熟悉的场地上比赛,因为他们的比赛场地是罗兰加洛斯的红土球场,这个球场也将作为拳击手的表演场地。

[精彩视频短片合集]

Avec le petit nez de boxeur dont vous parliez tout à l'heure.

还有你刚刚说起过的拳击手的小鼻子。

[C'est la Vie !]

Et il a mis ses poings devant sa figure et il a commencé à danser tout autour d'Eudes comme les boxeurs à la télévision chez Clotaire, parce que nous on n'en a pas encore et moi je voudrais bien que papa en achète une.

然后他攥紧双拳挡在脸前面开始绕着奥德转圈,就像我们在克劳岱家电视里看到的拳击手那样,因为我们家里都还没有电视,我好想爸爸也买一台。

[小淘气尼古拉绝版故事 Le Petit Nicolas]

Il s'appelle Raymond Sintès. Il est assez petit, avec de larges épaules et un nez de boxeur.

他叫莱蒙-散太斯。他长得相当矮,肩膀却很宽,一个拳击手的鼻子。

[局外人 L'Étranger]

Et ça raconte donc l'histoire de Richard Aldana qui est un boxeur, qui galère à trouver un boulot.

它叙述了拳击手Richard Aldana的故事,他正在艰辛地寻找工作。

[French mornings with Elisa]

Deux ou trois masques voulurent s’approcher de lui pour l’éteindre ou le lui arracher ; mais, en habile boxeur, Albert les envoya les uns après les autres rouler à dix pas de lui en continuant sa course vers l’église de San-Giacomo.

有两三个戴面具的人想来撞落他手中的长生烛,但阿尔贝可是个一流的掌术家,他把他们一个个的打发到街上去打滚了,然后夺路向圣·甲珂摩教堂走去。

[基督山伯爵 Le Comte de Monte-Cristo]

Qu’est-ce qui fait d’eux des boxeurs si dangereux ?

是什么让它们成为如此危险的拳击手

[法语生存手册]

L'histoire du petit boxeur parti de rien, amoureux d'Adrian, est un succès planétaire.

小拳击手白手起家,爱上阿德里安,的故事在世界范围内取得了成功。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年8月合集]

Moi, président de la République... - Quinze " Moi, président" au total, que N.Sarkozy avait encaissés un peu comme un boxeur.

我,共和国总统... - 总共十五个“我,总统”,N.Sarkozy兑现了有点像拳击手

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年4月合集]

En 37 ans de carrière, B.Willis a bien été soldat, mais aussi détective, policier, tueur à gages ou boxeur.

- 在37年的职业生涯中,B.Willis一直是一名士兵,但也是一名侦探,警察,杀手或拳击手

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年4月合集]

例句库

Le boxeur veut dominer son adversaire au concours de boxe.

拳击赛上这个拳击手想要力克他的对手。

Il est manager d'un boxeur professionnel.

他是一位职业拳击手的经纪人。

Deux paires de gants pour tous les boxeurs. Elles sont accrochées dans le coin et servent à tour de rôle. Les volontaires se changent dans la foule et il commence à faire frais.

整个比赛就只有二副拳击手套。参赛自愿。

Le boxeur a réussi à esquiver un coup du concurrent .

拳击手成功躲闪对手的一击。

Synopsis : Micky Ward est un jeune boxeur dont la carrière stagne.

米奇·沃德,一位年轻的拳击手却不得不面临自己拳击生涯的停滞不前。

Le boxeur a dominé son adversaire.

这位拳击手制住了他的对手。

Ce boxeur vieillit, il devrait raccrocher (les gants).

这位拳击手年纪老了, 应该告退了。

Le boxeur qui décidait d'abandonner jetait symboliquement, entre deux rounds, l'éponge qui lui servait à se nettoyer le visage, et à se rafraîchir.

指在二回赛间,决定退出的拳击手会象征性丢出海绵以作为擦脸和休息。

法语百科
Athletes – Boxing, phénakistiscope d'Eadweard Muybridge (1893).

La boxe est un sport de combat pratiqué depuis le XVIII siècle à un contre un, qui recourt a des frappes de percussion à l'aide de gants matelassés.

Elle désigne généralement la boxe anglaise. Par extension, de nombreuses disciplines ont pris le nom de boxe : les « boxes sportives » du XIX siècle et XX siècle comme les boxes pieds-poings (BPP) réglementées en Europe, la boxe américaine, le kick-boxing, la savate (ou boxe française), le chausson ou le panache, cousins de la boxe française, les boxes asiatiques dites « martiales » comme la boxe chinoise, le kung-fu-wushu, la boxe khmère (Pradal Serey), la boxe birmane (bama lethwei) et la boxe thaïlandaise (muay-thaï) entre autres.

Les différentes boxes

La boxe connaît de nombreuses variantes. Ces variantes sont définies par leurs « cibles » corporelles, les « armes » corporelles utilisées ainsi que pour certaines, les techniques de balayage, de projection et de saisies ainsi que la boxe féminine chinoise et la boxe birmane.

Les cibles à atteindre

Visage et buste dans la boxe anglaise, la boxe américaine et la boxe française

Visage, buste et jambes dans la savate boxe française, le kickboxing (américain et japonais), la boxe khmère, la boxe birmane, la boxe thaï, le chauss'fight, le sanda et le shoot-boxing

Toutes les parties du corps sauf la gorge, la colonne vertébrale et les parties génitales dans le combat libre (free-fight), MMA, pancrace et d’autres sports de combats de percussion et préhension à la fois

Les armes

Les moyens mis en œuvre pour atteindre ces cibles sont définis par les « armes » corporelles utilisées :

Poings dans la boxe anglaise

Poings et pieds dans la savate BF et le kick-boxing américain

Poings, pieds et genoux dans le kick-boxing japonais (avec saisies de tronc)

Poings, pieds, genoux et coudes dans la boxe birmane, la boxe khmère, la boxe thaï et le shoot-boxing (avec saisies de tronc et de jambe, et les projections)

Par opposition à la boxe anglaise : la boxe birmane, la boxe khmère, la savate BF, la boxe thaïlandaise et le shoot-boxing appartiennent à la catégorie dite des « boxes pieds-poings ».

Les principales boxes

Il existe plusieurs types de boxes :

Boxe américaine (également full-contact karaté (FC), boxe pieds-poings où tous les coups sont portés au-dessus de la ceinture

Boxe anglaise : boxe éducative, boxe en pré-combat, boxe amateur ou boxe olympique (B.A) et boxe professionnelle

Boxe birmane ou lethwei (BB), superlatif des boxes pieds-poings où tous les coups sont permis. Elle est pratiquée d'une manière plus sportive en Occident et surnommée depuis 1959, bando-kickboxing (BKB)

Boxe chinoise (BC) précisément le sanda en compétition), improprement appelée kung-fu

Boxe française (ou savate), aujourd'hui « savate-BF » (BF) et ses variantes Chausson et Panache.

Boxe khmère ou kun-khmer (BK)

Boxe thaïe ou muay thaï (BT)

Boxe vietnamienne (BV)

Chauss'fight : boxe pieds poings en chaussures ayant des origines françaises comme la savate-BF

Kick-boxing américain (KB) et le kick-boxing japonais (oriental rules/K1)

Il existe des boxes composites, combinant les techniques de percussion (boxe) et de préhension (lutte) :

Shoot-boxing (SB) : boxe pieds-poings avec techniques de soumission et projection

Pancrace et combat libre (en anglais « free-fight » ou MMA) (FF) qui mélangent grappling et boxes pieds-poings

Coup de pied en arrière ici en contre sur une attaque en ligne haute (full-contact)

Coup de pied frontal en coup d’arrêt sur une attaque en ligne haute (kick-boxing)

Saisie de jambe et riposte en ligne basse (boxe thaïe)

Ramassage de jambe (boxe birmane)

Histoire

Jeunes boxeurs, Akrotiri (site archéologique de Santorin), Musée national d'Athènes.

Les ancêtres de la boxe sont le pugilat et le pancrace, sports de combat au corps-à-corps dont des scènes sont représentées dans la civilisation sumérienne, égyptienne et grecque. Le premier champion olympique du pugilat est Onomaste de Smyrne (en) en 688 av. J.-C. alors que Tissandre de Naxos triomphe quatre fois dans cette discipline en 572, 568, 564, et 560 av. J.-C., record inégalé depuis. Le pugilat est interdit en 392 par l'empereur chrétien Théodose I. Aucun historien ne peut dire que cette pratique a complètement disparu entre ce moment-là et sa réapparition en Angleterre au XVII siècle, la noblesse britannique se divertissant alors en pariant sur des « rencontres de pugilat » clandestines. Lors des guerres napoléoniennes les prisons flottantes de la Tamise, les fameux pontons, abritaient aussi des tripots où les geôliers anglais organisaient des combats avec mises d'argent, entre prisonniers français pratiquants la savate, ou le chausson et des marins ou gardiens qui les affrontaient en boxe anglaise. c'est d'ailleurs grâce à cela que la BF est devenue boxe pied poing plus tard.

La boxe moderne est née au milieu du XIX siècle qui voit des matchmakers (« faiseurs de match ») organiser des combats clandestins au cours desquels les forces de l'ordre interviennent régulièrement. En 1865, le journaliste John Graham Chambers codifie les combats de boxe. Les 16 règles qui en résultent portent le nom des règles du Marquis de Queensberry qui imposent le port des gants, définissent des catégories de poids, limitent les rounds à trois minutes, interdisent les coups sur un adversaire à terre et le combat au finish. Les combats deviennent alors plus rapides et moins brutaux, mais beaucoup plus techniques, ce qui leur permet de sortir de la clandestinité. La boxe devient alors un des premiers sports professionnels de l'ère moderne.

La boxe anglaise est admise aux Jeux olympiques lors de la session du CIO tenue à Paris en 1901. Les premières épreuves olympiques ont lieu lors des Jeux olympiques d'été de 1904 à Saint-Louis aux États-Unis où la boxe féminine est représentée en tant que sport de démonstration. À l'heure actuelle c'est la seule boxe à jouir de ce prestige puisque les sports « pieds-poings » n'y sont représentés sous aucune de ses disciplines.

La première fédération internationale de boxe anglaise professionnelle est la World Boxing Association fondée aux États-Unis en 1921 sous le nom de National Boxing Association, et dont le premier combat reconnu est le championnat du monde poids lourds organisé dans le Boyle's Thirty Acres (en) de Jersey City le 2 juillet 1921 entre Georges Carpentier et Jack Dempsey.

Salles de boxe

En France, de nombreux boxeurs ont débuté au Central sporting club, avant de boxer à la salle Wagram, au Vélodrome d'Hiver, au Palais des sports de Paris.

Aux États-Unis, Marcel Cerdan boxa au Madison Square Garden.

Technique

Ci-dessous, une présentation du vocabulaire des boxes « sportives » modernes. Les boxes « martiales » dites ancestrales ne sont pas abordées cela pour l’absence de réglementation les concernant.

Les parties du corps à atteindre en boxe

Ici, les deux hauteurs de cibles pour les attaques de poing de la boxe anglaise.

Dans les règlements des boxes pieds-poings, on peut découper le corps humain en trois niveaux principaux à atteindre. Selon le règlement, les hauteurs accessibles et les cibles corporelles autorisées peuvent varier d’une discipline sportive à l’autre. Par exemple, en boxe birmane, contrairement à la plupart des autres boxes pieds-poings, les techniques de poings et de coude peuvent être portées sur le membre inférieur. Il en est de même pour la savate-BF boxe française, les frappes de pied dans l’articulation du genou et dans le dos sont permises, alors que dans la plupart des boxes sportives, elles y sont prohibées.

Hauteurs des cibles corporelles en boxes pieds-poings Anglais Français Low Le niveau sous la ceinture (le membre inférieur) Middle Le niveau du tronc High Le niveau du visage

Dans la plupart des boxes et des sports de combat de percussion, en matière de cibles à viser le règlement est très proche :

Les cibles au-dessus de la ceinture pour les techniques de bras (poing, avant-bras et coudes) et de jambe (pied et tibia) sont : l’avant et le côté de la face et du tronc.

Les cibles du membre inférieur sont :

La surface totale de la cuisse et de la jambe (mollet).

Cibles pour les attaques de poing.

Les armes

Le règlement sportif fixe le nombre d’armes corporelles à utiliser :

En bando-kickboxing, en kick-boxing américain, en full contact, en savate-BF seulement quatre armes sont autorisées (deux poings et deux pieds).

En kick-boxing japonais ou « kickboxing oriental » (règles du K-1) « six armes » (deux poings, deux pieds et deux genoux) sont autorisées auxquelles ont ajoutes les saisies partielles de tronc et de jambe.

En boxe birmane, boxe khmère, boxe thaïlandaise et boxe vietnamienne, on trouve « huit armes » (deux poings, deux pieds, deux genoux et deux coudes) auxquelles on rajoute les saisies (de tronc et de jambe) et les projections. En Asie, dans certains combats, les coups de tête sont tolérés ce qui rajoute la neuvième arme utilisée au Moyen Âge.

Les surfaces de frappe de l’arme

Le principe d’action et de sécurité veut, et notamment pour la pratique de haut niveau sans protection, qu’on percute avec les parties dures de son propre corps sur les parties molles autorisées du corps adverse. Ce qui réduit bien évidemment les blessures de ses propres armes.

Le membre supérieur

Le poing : face avant de l’arme destinée à percuter la cible visée. En boxe anglaise, la surface de frappe autorisée s’arrête à la face avant du poing (articulations métacarpophalangiennes et premières phalanges du deuxième au cinquième doigt). Il est interdit de donner un coup de poing avec la main ouverte, avec l’intérieur, le dessus ou le côté de la main et avec le poignet. Pour d’autres boxes et notamment la boxe birmane et le combat libre, toute la surface de frappe de la main peut être utilisée.

L’avant-bras et le coude : en boxe birmane, en boxe khmère, boxe thaïlandaise et boxe vietnamienne différentes parties dures du coude peuvent être utilisées et pour l’avant-bras, les parties dures tel le bord externe du cubitus et le bord interne du radius.

Le membre inférieur

Le genou : en boxe birmane, en boxe khmère, boxe thaïlandaise, boxe vietnamienne et kick-boxing japonais différentes parties dures de genou peuvent être utilisées, notamment la rotule, les extrémités du tibia et du péroné.

Le tibia et le pied : pour les techniques de jambe différentes parties du pied peuvent être utilisées. Pour la boxe avec chaussures, le panel de surfaces à employée est très vaste mais pour la pratique à pieds nus, seules les parties dures sont conseillées (notamment, le dessus de pied, les articulations métatarsophalangiennes (« bol » de pied), talon et bord externe. Pour la percussion avec l’os du tibia quand le règlement le permet, est utilisée en priorité la face interne de la jambe (tibia).

La gestuelle de frappe

Techniques de poing

(Exemple pour le kick-boxing)

Coups de poing usuels

Direct ou straight-punch en Anglais : coup de poing direct. Il est de forme, pistonnée, fouettée ou balancée-jetée. Nuances : le « jab » est un direct à petite course et généralement du bras avant, alors que le « lead » est un direct à grande course, puissant et donc du bras arrière nommé « cross » en Anglais. On trouve également le short straight-punch utilisé de près qui se rapproche d’un « uppercut » au corps à corps à trajectoire rectiligne et horizontale.

Crochet ou « hook-punch » en Anglais : coup de poing circulaire (crocheté). Il existe d'autres formes de coups circulaires : le « swing » (appelé également « stick-punch ») est un crochet très large dit en bâton effectué avec un mouvement giratoire autour de l’épaule.

Uppercut : coup de poing remontant (« undercut » ou « rising-punch »). Il est souvent classé dans la catégorie des coups circulaires, ce qui n’est pas toujours le cas.

Overhand-punch ou overcut ou drop : coup de poing descendant (plongeant).

Direct long du bras avant (jab)

Direct long du bras arrière (cross)

Crochet du bras avant (hook)

Uppercut (undercut), ici en coup de contre

Coups de poing moins usuels

Back-fist* (ou reverse en anglais) : coup de poing en revers.

Spinning back-fist* (ou turning back-fist) : coup de poing en revers retourné.

Jump-punch (ou superman-punch) : coup de poing en sautant.

(*) Autorisé chez les professionnels mais pas dans tous les pays N.B. : Le cross-counter : se présente comme un contre qui croise le bras adverse. Il tient du cross (coup de poing direct) voire du Half-hook (semi-crochet) ou de l’Overhand-punch (coup de poing plongeant).

Coup de poing descendant (overhand-punch)

Cross-counter plongeant (en coup de contre sur un coup direct)

Coup de poing de revers (back-fist)

Direct court (en coup de contre sur un coup direct)

Coups de poing hybrides

Half-hook : semi-crochet en Français, coup de poing circulaire à mi-chemin entre un direct et un crochet.

Half-uppercut : semi-uppercut en Français, coup de poing rectiligne à mi-chemin entre un direct et un uppercut.

Bolo-punch: coup de poing circulaire (mi-crochet/mi-uppercut).

Semi-crochet (entre le direct et le crochet)

Semi-uppercut (entre le direct et l’uppercut)

Short-straight-punch (direct court au corps-à-corps)

Techniques de jambe

(Exemple pour le kick-boxing)

Coups de pied usuels

Front-kick : coup de pied direct. Il est de forme "pistonnée", push-kick (pushing-kick) ou de forme « fouettée » (front snap-kick).

Side-kick : coup de pied de côté.

Semi-circular-kick : coup de pied en diagonale. Appelé également « diagonal-kick » ou « forty-five degree roundhouse-kick ».

Roundhouse-kick : coup de pied circulaire. Trois hauteurs de frappe : coup de pied bas circulaire - en ligne basse (low-kick), coup de pied médian (middle-kick) et coup de pied haut (high-kick).

Reverse-kick : coup de pied circulaire inversé ou crocheté ("hook-kick").

Back-kick : coup de pied en arrière.

Sweeping (ou footsweep en anglais) : coup de pied de balayage.

N.B. : Usuellement, les coups de pied circulaires (roundhouse-kick) portent les noms suivants :

Low-kick : coup en ligne basse (sous la ceinture)

Middle-kick : coup en ligne moyenne (sur le tronc et les bras)

High-kick : coup en ligne haute (niveau de la tête).

Ces vocables précédents sont des erreurs terminologiques car les techniques de jambe suivant leurs formes ont des appellations distinctes (Ex. : au niveau du coup de pied en ligne haute (« high-kick ») : on trouve le front kick, le hammer-kick, le hook-kick, etc., et pas seulement le roundhouse-kick comme on l’indique très souvent).

Front-kick

Side-kick

Semi-circular-kick

Roundhouse-kick

Coups de pied moins pratiqués

Catégorie des coups de pied dit « en bâton » (stick-kick) :

Crescent-kick : coup de pied en croissant (hanches de face).

Hammer kick : coup de pied retombant porté avec le talon – habituellement surnommé, coup de pied en "marteau". Lorsqu’il est préparé dans l’axe direct, il se nomme axe-kick.

N.B. : La combinaison des deux actions, coup en croissant et coup retombant est courante et peut s’exécuter à partir d’une préparation intérieure ou extérieure du pied.

Hook-kick

Balayage retourné de type spinning hook-kick

Crescent-kick

Hammer-kick

Coups de pied retournés et volants

Spinning hook-kick : coup de pied crocheté (hook kick) et retourné (appelé également « turning-kick »).

Spinning side-kick : coup de pied de côté et retourné.

Spinning back-kick : coup de pied arrière et retourné.

Jumping front-kick : coup de pied de face et sauté.

Jumping roundhouse-kick : coup de pied circulaire sauté.

Jumping side-kick : coup de pied de côté sauté.

Jumping back-kick : coup de pied de dos sauté.

(*) Certaines techniques peuvent retournées et sautées à la fois (volantes)

Stick-kick

Spinning back-kick ici sur une avancée adverse

Jumping side-kick

Jumping back-kick

Techniques de genou

(Exemple pour la boxe birmane, la boxe kmère, la boxe thaïlandaise et la boxe vietnamienne)

Coups de genou usuels

Rising Knee-strike : coup de genou remontant au corps à corps.

Straight knee-thrust : coup de genou direct.

Diagonal knee-kick : coup de genou semi-circulaire.

Round Knee-Kick : coup de genou circulaire.

Coups de genou sautés et doubles

Jumping knee-kick ou "flying knee kick" : Coup de genou sauté.

Double knee-kick : coup simultané des deux genoux (en sautant bien entendu).

(3) Ces techniques peuvent être données les hanches de face ou de profil, et emprunter différentes trajectoires (directe, remontante, piquante et circulaire). Elles peuvent être retournées et sautées à la fois.

Straight knee-thrust

Rising Knee-strike

Diagonal knee-kick

Jumping knee-kick

Techniques de coude

(Exemple pour la boxe birmane, la boxe kmère, la boxe thaïlandaise et la boxe vietnamienne)

Coups de coude de base

Straight-elbow thrust : coup de coude direct.

Spin-elbow strike : coup de coude circulaire.

Inside-elbow strike : coup de coude de revers.

Semi-circular-elbow strike : coup de coude semi-circulaire à trajectoire descendante ou remontante.

Drop-elbow strike : coup de coude écrasant.

Rising-elbow strike : coup de coude remontant.

Straight-elbow thrust

Spin-elbow strike

Drop-elbow strike

Rising-elbow strike

Coups de coude moins usuels

Certains coups de coude sont donnés retournés (spinning), sautés (jumping), portés des deux bras (doubles), amenés en « marche d’escalier » voire à effets combinés (ex. : retournés et sautés).

Jumping-elbow strike : coup de coude écrasant sauté.

Les coups de coude peuvent être combinés avec les techniques de poing et notamment enchaînés en « cascade » (ce qui est le souvent le cas en boxe birmane).

Inside-elbow strike

Semicircular-elbow strike

Jumping-elbow strike

Les balayages

Technique de déséquilibre exécutée avec le pied ou le mollet sur le (ou les) point(s) d’appui au sol de l’adversaire. Elle peut être réalisée plus ou moins haute par rapport à l’appui au sol. Elle s’exécute dans différents axes (par l’extérieur, par l’intérieur, à l’arrière ou à l’avant de la jambe adverse). Habituellement, la définition la plus usuelle d’un balayage est la suivante : « technique de jambe qui s’effectue au ras du sol pour supprimer l’appui adverse » ; il est de plus petite amplitude et de puissance moindre contrairement au fauchage. Contrairement aux projections, la plupart des balayages s’effectuent sans saisie de l’adversaire. On trouve différentes « forme de corps » :

Mouvement pendulaire du membre inférieur à partir de la hanche (les hanches peuvent être dans l’une des trois positions fondamentales (de face, de profil ou de dos)

Mouvement de « crochet » avec une flexion du genou

Mouvement de « piston » avec une extension du genou

Technique de frappe circulaire, habituellement un coup de pied circulaire donné en pivotant (roundhouse-kick) ou un coup de pied crocheté (hook kick)

Balayage de type « cuillère »

Balayage de type « louche »

Balayage de type « crocheté »

Les projections

Action destinée à expédier violemment l’adversaire au sol. Les techniques de projection utilisent un ensemble de mouvements segmentaires et musculaires qui déterminent des classes caractéristiques dites « formes de corps ». Chacune d’entre elles fait appel à une ou plusieurs actions de déséquilibre. On trouve : les arrachés (soulevés), les balayages, les crochetages, les fauchages, les épaulés, les hanchés, les ramassages (enfourchement et autres), les gestes de sacrifice, etc. Certaines boxes sportives, et notamment celles d’Asie du Sud-est et d’Extrême-Orient autorisent les projections. Chaque discipline a son propre règlement. Exemple : saisie du cou autorisé, projection par saisie au-dessus de la ligne des épaules interdit ou technique de sacrifice interdite, etc.

Saisie et déséquilibre par balayage externe

Déséquilibre par crochetage

Projection de hanche par barrage

La défense

La défense en boxe se résume par un ensemble d’actions destinées à faire échec à l’offensive adverse, comprenant les blocages de coups, les déviations de coups, les esquives de coups, les déplacements (mobilité pour ne pas être atteint) et les actions de neutralisation.

Désaxage, ici lors d’un jab adverse

Abaissement et esquive rotative (ici lors d’un crochet)

Pas de retrait lors d’un jab adverse

Retrait de buste lors d’un jab adverse associé d’un contre en uppercut

Se garantir contre les attaques adverses se présente comme un des trois objectifs principaux à atteindre dans les sports de combat de percussion à côté d’attaquer les cibles adverses et d’utiliser l’action adverse à son propre avantage.

Esquive par élévation de jambe lors d’un low kick adverse

Esquive par abaissement lors d’un high-kick adverse

Retrait de buste lors d’un high-kick

Déviation d’un front-kick adverse

On distingue plusieurs objectifs de défense :

La simple mise en sécurité de ses propres cibles, quelquefois réalisée en urgence (dite défense passive : couverture neutre, blocage neutre, encaissement, etc.).

La réalisation d’actions destinées à utiliser l’activité adverse à son avantage (appelée par certains auteurs, défense active : le « blocage déviant » ou la « parade chassée » dans le but de déséquilibrer, le « blocage absorbant », l’esquive (pour ces trois formes liés à des ripostes simultanées), puis le coup d’arrêt suivi également d’une riposte.

La mise en difficulté de réalisations offensives adverses (par le raccourcissement ou l’augmentation de la distance, par le verrouillage des armes adverses, par une déstabilisation à base de techniques de menace, de leurre, de battement, etc.)

Ces deux derniers objectifs nécessitent des qualités d’initiative, d’anticipation et d’à-propos.

Le but à atteindre serait d’être capable de défendre et de contre-attaquer (riposter) dans toutes les situations avec le moindre risque.

Blocage avec les deux avant-bras lors d’un jab au corps

Couverture avec les deux gants lors d’un jab à la face

Déviation d’un jab avec la paume du gant

Neutraliser les armes en allant se coller (au corps à corps)

On distingue trois catégories de défense :

la défense dite « non active » (classique) ayant pour but d’annihiler l’action adverse (ex. : « couverture », parade bloquée, parade opposition…)

la défense dite « active » favorisant l’utilisation de l’action adverse (ex. : absorption de choc, coup d’arrêt, dégagement)

la neutralisation ou activité d’anticipation ayant pour but d’empêcher le déclenchement de l’offensive adverse (verrouillage des armes adverses, avancée au contact…)

Couverture avec le bras et le gant lors d’un high-kick

Absorption d’un low kick associé d’un contre en direct plongeant

Parade avec les deux gants lors d’un high-kick adverse

Coup d’arrêt lors d’une attaque adverse

L’attitude, la garde et le style utilisé

L’attitude désigne deux notions principales. D'abord la façon de se tenir en situation d'opposition ou posture de combat (façon d’être positionné, de se tenir, de s’orienter, d’être protégé ou en garde, etc., dans le combat. On parle plus couramment de garde, de posture ou de position) et d'autre part, la façon de se comporter en termes d'opposition ou façon de combattre (style utilisé, stratégie globale employée…).

Exemples : on recense différentes attitudes de combat en boxe : garde de trois-quarts de face, garde de profil, garde en crouch, garde basse, garde le poids sur jambe avant, garde le poids sur jambe arrière, garde en appuis très écartés, etc. Quelquefois, la position du corps peut indiquer les intentions d’un combattant à l’égard de son adversaire. Exemple : une attitude de profil peut être le signe d’un travail d’esquive et riposte du bras avant ainsi que de contre.

Garde de trois-quarts de face (poing avant avancé)

Garde de trois-quarts de face (position rentrée)

Garde de trois-quarts de face (deux poings avancés)

Garde de profil (side step), poing avant en ligne basse

Les anglo-saxons parlent plutôt de « position » que de « garde » à proprement parler (exemple : side step pour la garde latérale). La garde pour les anglo-saxons, c’est le haut du corps et également les appuis au sol, ainsi ils utilisent le terme upright stance pour une position verticale de buste et full crouch pour une attitude recroquevillée. En France, on utilise plutôt l’expression d’attitude de combat lorsqu’on désigne l’ensemble. Donc lorsqu’on parle de « garde » dans l’école française, on pense souvent à la position des bras pour se protéger. Mais bien plus que cela, elle désigne une organisation corporelle permettant au combattant de se préparer à défendre et d’autre part à passer à l’offensive, cela dans une configuration qui lui offre un maximum de sécurité et d’efficacité. Différentes positions permettent de faire face à un adversaire avant et pendant l’engagement et sont appelées à défaut « garde ». Comme son nom l’indique, « être sur ses gardes » c’est se mettre en alerte permanente et adopter une position favorable pour réagir. De nombreuses attitudes de garde existent : garde trois-quarts de face, de profil, garde inversée, garde haute, garde basse, garde avancée, garde ramassée, etc. Certes, il très important « d’être gardé » (hermétique), mais il faut également adopter une attitude qui permette d’agir et de réagir rapidement et avec efficacité (donc adopter une posture efficace). A contrario, un boxeur n’adoptant pas d’attitude définie où ayant les bras « en bas » est dit « non gardé ». D’ailleurs, certains boxeurs font ce choix dans la perspective de construire leur jeu sur la base de contre-informations (tromperies).

Attitude droite (upright stance)

Attitude semi-enroulée

Attitude dos enroulé (full crouch)

Le style représente la manière de faire, propre à chaque individu, et que l’on peut rapporter à des classes de « comportement-type ». Elle est propre à son tempérament, à son potentiel physique ou à ce qui lui a été enseigné par son école de boxe. Ainsi, on distingue : l’attentiste du fonceur et le technicien du frappeur, mais ce classement ne s’arrête pas là. On recense différents caractères variables pour chaque « typologie ». Par exemple, chez les styles « techniques » : boxer en coups longs, en coups d’arrêt, en coup de contre. Chez les styles « physiques » : faire le forcing, boxer en crochets puissants « à la godille », chercher le corps-à-corps, chercher le coup dur. Lorsqu’un combattant utilise sa façon habituelle de boxer (son style habituel), on dit qu’il est sur son « registre », à la manière d’un musicien qui répète ses gammes préférées. D’autre part, l’opposition de styles reste appréciable dans un combat : on a pour exemple le combat de boxe anglaise des années 1980, Sugar Ray Leonard contre Marvin Hagler. Le premier, utilise une boxe à reculons, faite de larges pas de côté, d’esquives de buste et de contre-attaque précises, alors que le second use d’une boxe en progression avant, d’une attitude compacte, le buste en avant et de coups très puissants.

Sécurité

Il est recommandé de revêtir de grosses protections pour l’entraînement, notamment pour les jeunes et les débutants même si les coups portés sont de puissance modérée.

Pour tous, l’équipement d’entraînement pour la sécurité est le suivant : protège-dents, coquille ventrale, bustier pour les femmes, gros gants et casque fermé. Pour les boxes pieds-poings : port de protège-tibias-pieds voire en supplément des chaussons de boxe américaine en mousse pour les pratiques pieds nus.

Pour le « sparring lourd » c’est-à-dire l’assaut d’entraînement appuyé : de très gros gants, un plastron et plusieurs protège-tibias superposés (pour ne pas blesser les partenaires). L’équipement doit être enduit de vaseline permettant aux coups de glisser et de réduire le risque de blessure.

Durant le match, l'arbitre est le garant principal de la sécurité des boxeurs, il peut sanctionner les gestes interdits et dangereux, et arrêter le combat en cas de risque important.

Combattants célèbres

Boxe anglaise

Boxes pieds-poings

Légende : BA = Boxe anglaise, FC = Full-contact, KB = Kick Boxing, BT = Muay thaï, SBF = Savate Boxe Française, BB = Boxe birmane, BC = Boxe chinoise, BK = Boxe kmère, BV = Boxe vietnamienne, KA = Karaté.

Full-contact

- Combattants mythiques des années 1970-1980

Joe Lewis, l'immortel - États-Unis

Bill Wallace, mister "superfoot" - États-Unis

Benny Urquidez, "The Jet" - États-Unis (FC, KB)

Jeff Smith, la Bombe de Washington D.C. - États-Unis

Don Wilson, l'U.S. Dragon - États-Unis

Dominique Valéra, idole du karaté et full-contact européen – France

- Grandes figures internationales des années 1980-1990

Jean-Yves Thériault, Mister Punch - Canada. A démontré l'utilisation importante des techniques de poing.

Fred Royers - Pays-Bas (KA, FC, KB, BT, SBF)

Rick Roufus ou le renouveau du full-contact - États-Unis

Rob Kaman - Pays-Bas (également grand champion de kickboxing et autres boxes pieds-poings)

Maurice Smith (FC, KB) - États-Unis

Kick-boxing

- Combattants mythiques des années 1970-1980

Benny Urquidez dit "The Jet" - États-Unis - légende du kick-boxing américain (également grand champion de full-contact)

Toshio Fujiwara – Japon - légende du kick-boxing japonais, 129 victoires

- Grandes figures internationales des années 1980-1990

Fred Royers - Pays-Bas (également grand champion d’autres boxes pieds-poings)

Rob Kaman - Pays-Bas (également grand champion d’autres boxes pieds-poings)

Maurice Smith (FC, KB) - États-Unis

Murat Comert (KB, BT) - Turquie

Pete (Sugarfoot) Cunningham (KB) - Canada

Richard Sylla (SBF, KB) – France

- Grands champions du circuit K1 grand prix depuis son démarrage en 1993

Branko Cikatić (Branimir) - Croatie - vainqueur en 1993

Peter Aerts - Pays-Bas - vainqueur en 1994, 1995, 1998 - finaliste en 2006 et 2010

Andy Hug - Suisse - vainqueur en 1996; finaliste en 1997,1998

Ernesto Hoost - Pays-Bas - vainqueur en 1997, 1999, 2000, 2002 - finaliste en 1993

Mark Hunt - Nouvelle-Zélande - vainqueur en 2001

Remy Bonjasky - Pays-Bas - vainqueur en 2003, 2004, 2008

Semmy Schilt - Pays-Bas - vainqueur en 2005, 2006, 2007, 2009

Alistair Overeem - Pays-Bas - vainqueur en 2010

Jérôme Le Banner - France - finaliste en 1995 et 2002

Badr Hari – Maroc/Pays-Bas - finaliste en 2008 et 2009

Mirko Filipović - Croatie - Finaliste en 1999

- Grands champions du circuit K-1 World MAX depuis son démarrage en 2003 au Japon

Masato – Japon - vainqueur en 2003, 2008 - finaliste en 2004 et 2007

Gago Drago – Arménie

Andy Souwer – Pays-Bas - vainqueur en 2005, 2007 - finaliste en 2006

Albert Kraus – Pays-Bas - finaliste en 2003

Buakaw Por. Pramuk – Thaïlande - vainqueur en 2004, 2006

Artur Kyshenko – Ukraine - finaliste en 2008

Giorgio Petrosyan – Arménie/Italie - vainqueur en 2009 et 2010

Mike Zambidis - Grèce - demi-finaliste en 2010

Boxe birmane

Carl Beaman - États-Unis

Dale Minor - États-Unis

Rick Rossiter (BB, BA) – États-Unis - années 1977-1978

Nilar Win - Birmanie - années 1980

Jerry George - États-Unis - années 1990

Jean-Roger Callière – France - années 1990

Jean-Marc Girard (BB, FC, MT) – France - années 2000

Marc Apelé (BB, FC) – France - années 2000

Boxe khmère

Hey Puthong - Cambodge - légende du kun-khmer avec plus de 215 Combats.

Bird Kham – Cambodge – grand champion des années 2000

Chanta Meas - Cambodge

Chey Kosal - Cambodge

Lao Sinnath - Cambodge

Vorn Viva - Cambodge

Oth Puthong - Cambodge

Felix Thy Hour – France - champion d’Europe des années 1980-1990

Brian Denis - France

Albert Veera Chey - France

Thaï-boxing

Apidej Sit Hirun - Thaïlande

Pud Pad Noy Worawut - Thaïlande

Samarth Payakaroon (BT, BA) - Thaïlande

Hippie Singhamanee - Thaïlande

Dany Bill (en)

Stephane Nikiema - France

Jean-Charles Skarbowsky - France

Ramon Dekkers (BT, KB) - Pays-Bas

Yussop Sor Tanikuhl - Thaïlande

Dida Diafat (BT, KB) – France

Savate

Richard Sylla (BFS, KB) - France

Robert Paturel – France - champion d'Europe en 1984

Jean Charles Charmillon - France

Sot Mezzache - France

Bernard Le Prevost - France

Fathi Mira

Jérôme Huon - France

Cedric Lapauw - Belgique

Djibrine Fall Télémaque - France

Ismaila Sarr - France

Franck Mezaache - France

Tony Ancelin - France

Enoch Effah - Triple champion du monde

Sources

Georges Blanchet, Boxe et sports de combat en éducation physique, Éd. Chiron, Paris, 1947.

Alain Delmas, 1. Lexique de la boxe et des autres boxes (Document fédéral de formation d’entraîneur), Aix-en-Provence, 1981-2005, 2. Lexique de combatique (Document fédéral de formation d’entraîneur), Toulouse, 1975-1980.

Jack Dempsey, Championship fighting, Éd. Jack Cuddy, 1950.

Gabrielle & Roland Habersetzer, Encyclopédie des arts martiaux de l'Extrême-Orient, Éd. Amphora, Paris, 2000.

Louis Lerda, J.C. Casteyre, Sachons boxer, Éd. Vigot, Paris, 1944.

法法词典

boxeur nom commun - masculin, féminin ( boxeuse, boxeurs, boxeuses )

  • 1. sports personne qui pratique un sport de combat dans lequel deux adversaires attaquent et se défendent avec leurs poings

    un boxeur professionnel

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