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词典释义:
théologien
时间: 2023-10-05 10:35:00
[teɔlɔʒjɛ̃]

théologien, ne n.神

词典释义
théologien, ne

n.
短语搭配

théologien subtil钻牛角尖的神学家

théologien hétérodoxe持异端看法的神学家

un théologien hérétique一位信奉异端的神学家

Les théologiens bysantins tombèrent souvent dans la logomachie.拜占廷的神学家们经常对词义进行争执。

Selon les théologiens, Dieu possède toutes les perfections.按照神学家们的说法,上帝具有一切最理想的品质。

原声例句

Certains experts rappellent que Newton était également théologien.

一些专家也提醒说牛顿也是一位神学家

[Jamy爷爷的科普时间]

Monsieur était déjà si bon théologien ! dit Bazin presque larmoyant ; il fût devenu évêque et peut-être cardinal.

“先生已经是功底很深的神学家!”巴赞说着几乎要落泪了,“他会成为主教,也许红衣主教呢。”

[三个火枪手 Les Trois Mousquetaires]

Pardieu ! se dit d’Artagnan, auquel la nièce du théologien revenait à l’esprit ; pardieu ! il serait drôle que cette colombe attardée cherchât la maison de notre ami.

“乖乖!”达达尼昂想起了那位神学家的侄女,“乖乖!要是那个迟归的妞儿在找我们这位朋友的家,那可真有意思。

[三个火枪手 Les Trois Mousquetaires]

Au 16e siècle, un théologien espagnol vient situer le blasphème dans un contexte exclusivement religieux et le définit, je cite, comme « toute parole de reproche ou irrespect prononcé contre Dieu » .

在 16 世纪,一位西班牙神学家将亵渎置于专门的宗教背景中,并将其定义为“任何对上帝的责备或不尊重的言论”。

[TV5每周精选 2016年四季度合集]

C'est toute l'éloquence religieuse de ce théologien qu'on entend dans ces deux phrases.

我们在这两句话中听到的都是这位神学家的宗教口才。

[Les mots de l'actualité]

Quant au Pape François, nous dit dans la Croix un théologien Burkinabé il ne connait pas l'Afrique, mais il l'aime car il y voit le continent des pauvres, le continent exploité.

[La revue de presse 2023年1月合集]

例句库

Ce sont là les théologiens ? Je croyais que c'étaient les six oies blanches données par Sainte-Geneviève à la ville, pour le fief de Roogny.

“那些人就是神学家吗?我原以为是巴黎城的圣日芮维埃芙送给鲁尼采邑的六只大白鹅呢!”

À bas ! reprit le petit Jehan en faux-bourdon ; à bas maître Andry, les bedeaux et les scribes ; les théologiens, les médecins et les décrétistes ; les procureurs, les électeurs et le recteur !

“打倒!”小约翰应和似地接着喊,“打倒安德里老公!打倒监堂和学录!打倒神学家、医生和经学家!打倒学政、选董和学董!”

La Commission syrienne des affaires familiales met en œuvre depuis sa création un programme de travail axé sur la levée des réserves à la Convention. Elle a organisé dans quatre gouvernorats du pays des ateliers réunissant des membres de l'Assemblée du peuple et des théologiens musulmans.

叙利亚家庭事务委员会成立后制定了一项工作方案,决定通过与叙利亚四个省市的人民议会议员及穆斯林神职人员举行四次专题学术讨论会,撤消对《公约》的保留。

Pour un bourreau, c'était l'idéal du royaume du mal absolu et de la malédiction où étaient envoyés les princes et les mendiants, les philosophes et les théologiens, les politiciens et les artistes; c'était un lieu où perdre un morceau de pain signifiait perdre la vie, où le sourire d'un ami signifiait une nouvelle journée pleine de promesses.

它是刽子手绝对邪恶与憎恶天国的理想,它是王子和乞丐、哲学家和神学家、政治家和艺术家被送往的地方,它是失去一片面包等于失去生命的地方和一个朋友的微笑等于充满希望的一天的地方。

Le grand théologien allemand Dietrich Bonhoeffer nous avait rappelé, dans l'une des périodes les plus sombres du XXe siècle, que l'on peut voir la moralité d'une société à ce qu'elle fait pour ses enfants.

在二十世纪一最黑暗的时刻,伟大的德国神学家迪特里希·朋谔斐尔提请我们,对社会道德的一种考验是看这社会如何对待儿童。

Pour remédier à la pratique des mutilations et ablations génitales féminines, les partenariats avec les ONG telles que Tostan et avec les chefs religieux, notamment au Kenya, où les théologiennes donnent l'exemple, restent très importants.

与非政府组织(如Tostan)建立伙伴关系对付切割女性生殖器官做法仍很重要,并与宗教领袖对付这种做法,包括在肯尼亚,女宗教学者充当模范。

Ces personnes ont fait état de harcèlements à l'encontre des prêtres chiites, qui seraient fréquemment arrêtés, de perturbations des cérémonies religieuses, y compris, au besoin, par l'emploi de la force armée ainsi que de restrictions imposées à la plupart des ayatollahs, qui entraîneraient une diminution du nombre de théologiens, d'étudiants en théologie et de dignitaires religieux notamment dans les séminaires.

骚扰什叶派神职人员,采取的手段有频繁逮捕、扰乱宗教仪式,有时还动用武装部队;对大多数阿亚图拉实行限制,使宗教学者、学生和其他要人的数量减少,在神学院的情况尤.其为如此。

法语百科

La théologie (en grec ancien θεολογία, littéralement « discours rationnel sur la divinité ou le divin, le Θεός [Theos] ») est un ensemble de champs disciplinaires qui touchent d'une manière ou d'une autre à l'idée de Dieu ou de divin. Selon la tradition dont il est question, les définitions de la théologie peuvent varier grandement.

Le terme et le concept en Occident

Platon

Le premier à avoir employé le terme est Platon qui, dans La République (II, 379 a - 383 c), met dans la bouche de Socrate le mot θεολογία à propos de la mythologie. Et par théologie, il entend, le contexte le montre nettement, une épuration philosophique de la présentation mythologique des dieux, donc le dépassement des fables mythologiques. C’est à ce seul compte que les poètes trouveront place dans la cité idéale qu’il propose.

La théologie selon Aristote

La poésie et les origines de la pensée

Le terme est repris par Aristote, (Métaphysique, livre A (I), 3, 983.b.29 et livre B (III), 4, 1000.a.9-30) pour distinguer les philosophes des théologiens (ou « théologues » d'après la traduction de Jules Barthélemy-Saint-Hilaire, par opposition à la théologie exposée en livre E (VI), 1, 1025.b.16-23) qui racontent, sous forme poétique, la mythologie. Les philosophes, au contraire, sont les tenants de la recherche rationnelle des principes des choses.

Aristote semble néanmoins introduire l'hypothèse que les premiers théologiens et les premiers philosophes avaient une pensée commune, les premiers appelant « dieux » ce que les seconds appellent « principes ». Cette hypothèse que les poètes tels qu'Homère et Hésiode étaient des penseurs à l'instar des philosophes Anaximandre, Parménide et Héraclite, avant la séparation radicale entre la philosophie et la poésie instaurée par Platon et Aristote lui-même, a été développée au XX siècle par Martin Heidegger et Cornelius Castoriadis.

Les divisions de la métaphysique

Toutefois, dans un autre passage de son œuvre (Métaphysique, livre E (VI), 1, 1026a), Aristote distingue trois parties dans la philosophie « théorétique » : la mathématique (connaissance des substances abstraites de la matière), la physique (connaissance des substances immergées dans la matière) et la théologie (connaissance des substances séparées de la matière).

L'existence de substances séparées de la matière, qui poserait les fondements de la théologie au sein de la métaphysique aristotélicienne, n'est pas clairement prouvée par Aristote, qui laisse la question en suspens. Thomas d'Aquin affirmera avoir vu « dix livres d'Aristote » sur la question des substances séparées, qui livreraient donc la fameuse théologie d'Aristote, selon lui non encore traduits [en latin], mais il devra finalement se contenter du livre XII de la Métaphysique, qui évoque le problème sans le résoudre.

Le problème de l'ontothéologie

La théologie philosophique, investigation rationnelle sur les substances divines, est ainsi opposée par Aristote à la Théogonie poétique, irrationnelle et composée de fables. La théologie est une des trois parties théorétiques de la métaphysique, cette dernière étant également appelée « philosophie première » (Métaphysique, A, 2) ou « science de l'être en tant qu'être » (Métaphysique, Γ, 1).

La théologie communique donc avec l'ontologie, puisqu'elle étudie théoriquement les plus hautes réalités, les réalités divines, en acte et non mêlées à la matière. Ce projet, laissé à l'état d'ébauche, sera le point de départ de la majeure partie des débats philosophiques après la mort d'Aristote ; les péripatéticiens, les néoplatoniciens, puis les philosophes musulmans, juifs et chrétiens, tenteront de fonder et de justifier l'existence d'une théologie, qui deviendra – contrairement à son statut chez Aristote, d'origine naturelle et non monothéiste mais pluraliste – inspirée par les textes sacrés et cautionnée philosophiquement par l'idée d'un Premier principe de toutes choses. On passe de l'hellénisme aux monothéismes juif, chrétien et islamique.

Martin Heidegger s'intéressera de nouveau au problème, après quatre siècles d'oubli de l'aristotélisme ou presque (du XVIauXIX siècle inclus), et formulera l'hypothèse de l'ontothéologie. Selon lui, avec Aristote débute l'histoire de la métaphysique (qui s'achève avec Nietzsche dans le nihilisme), qui fait invariablement coïncider l'Être et Dieu (le premier principe), malgré la diversité des auteurs et des pensées.

Théologie révélée ou théologie chrétienne

Le Sauveur par Nikolaï Kocheliov vers 1870

Si les philosophes latins parlent peu de théologie, un passage de Varron - reprenant probablement une tripartition théorisée précédemment par l'école stoïcienne - est resté célèbre : il y distingue la théologie mythique, la théologie physique et la théologie politique. Ce passage a été repris par les écrivains chrétiens pour justifier leur propre démarche ou comme Augustin d'Hippone qui, reprenant cette division, en réfute deux pour ne retenir que la théologie physique comme interprétation du vrai Dieu.

L'emploi du terme dans la philosophie classique a, dans les premiers siècles, suscité une méfiance de la part des auteurs chrétiens. Les termes « théologie » et « théologiens » restent associés à la mythologie païenne. Cependant, Clément d'Alexandrie opère une distinction entre la « théologie du Verbe éternel » et la « mythologie de Dionysos ». Peu à peu, le terme ne s'emploie plus que pour la nouvelle religion. Toutefois, son sens précis n'est pas toujours le même : le mot « théologie » peut ainsi désigner les Écritures ou la confession de la foi chrétienne. Pour d'autres théologiens, la théologie était le discours sur la divinité en général, voire sur la seule divinité du Christ. Les auteurs occidentaux emploient assez peu le terme avant l'époque scolastique, préférant des expressions avec le mot sacer, telles que doctrina sacra, sacra pagina ou sacra eruditio. Cependant, les théologiens latins ont fini par l'utiliser couramment dans leurs écrits, et le mot « théologie » a alors reçu le sens, qu'il a gardé, d'étude systématique de la doctrine chrétienne.

À partir du XVI siècle, le mot théologie redevient plus général. Il est en effet utilisé dans l'expression théologie naturelle, qui désigne la connaissance de Dieu d'une manière considérée comme « naturelle ». Dès lors, il est également utilisé pour d'autres religions que le christianisme, notamment dans des perspectives d'étude comparée des religions. La théologie désigne alors l'image de Dieu et du divin dans les différentes religions, ainsi que leurs doctrines

Le christianisme est sans doute la religion qui a le plus revendiqué le concept de théologie. Certains de ses courants ont ainsi développé un ensemble de dogmes et de doctrines, qui ont donné lieu à de longues controverses.

L'importance de la théologie dans le christianisme s'explique en partie par la nature expansive qu'avait déjà cette religion à sa naissance. Ayant eu à s'opposer aux philosophes de l'empire, elle dut très tôt trouver des moyens de se faire entendre dans le monde gréco-romain, en employant ses termes, en récupérant ses catégories. De ce fait apparurent assez rapidement dans l'empire un néo-platonisme chrétien, ainsi que des formes d'Aristotélisme modifié. À ce facteur qu'on pourrait dire d'inculturation volontaire, s'ajoute l'influence en retour du substrat gréco-romain sur la doctrine chrétienne naissante. Celle-ci était particulièrement ouverte à ce genre de possibilité du fait, entre autres, de la rédaction des évangiles en grec et de la nature particulièrement spéculative de l'évangile de saint Jean. Ainsi, à l'identification, dans la philosophie grecque, de l'être et du logos répond dans l'évangile de Jean, l'identification de Dieu et du logos (« Au commencement était le Verbe [logos], et le Verbe était Dieu » Jn, 1,1).

Comme tous les mouvements religieux, le christianisme a croisé au cours de son histoire plus d'un mouvement de pensée qu'il a intégré, rejeté, influencé. Outre les diversités confessionnelles actuelles et leurs théologies afférentes, ce qu'on nomme traditionnellement les « grandes hérésies » comme le gnosticisme, étaient souvent des synthèses de conceptions philosophiques pré-existantes et de christianisme. Ainsi, dans cette histoire des rencontres entre la pensée et le christianisme, on peut noter, plus proche de nous, l'importance primordiale de celui-ci dans la philosophie de Kierkegaard, qui se place d'elle-même à la frontière de la théologie, de l'éthique, de la philosophie, témoignant par là de la plasticité de ce concept dans la culture chrétienne.

Théologie et foi

La théologie nécessite-t-elle un rapport croyant, une relation existentielle, à son objet ? Il s'agit déjà d'une interrogation théologique, qui n'admet pas de réponse simple. De même que selon Luther la foi justifiante est différente de la fides historica, il existe un habitus théologique qui ne prouve pas la justification et la sanctification du théologien, ni sa vocation. Personne ne peut établir en toute objectivité l’existence de ce rapport croyant, à moins de confondre l’aveu de la foi et la réalité de celle-ci. Par ailleurs, en Europe la théologie est aussi une discipline universitaire, enseignée dans des facultés ou instituts sans qu'une adhésion personnelle des étudiants aux contenus étudiés soit demandée.

Abélard est à l'origine de la distinction entre discours théologique et religieux ; entre les écrits rationnels décrivant Dieu et ses interactions avec les humains et les énoncés religieux tels que prières, rites…

C'est Boèce qui a transmis au monde latin la définition d'Aristote qui distinguait "les mythes de la theologia, et la science philosophique suprême, « science divine » (épistémè théologikè, Métaphysique L.)". Boèce propose une division des sciences : « La philosophie spéculative se divise en trois parties. La physique, […]. La mathématique […]. La théologique (theologica), enfin, s’occupe de ce qui est sans mouvement, abstrait et séparable [de la matière] »

"Le théologien est celui qui croit assez en Dieu pour faire sienne l'interrogation humaine dans ce qu'elle a de plus radical".

Théologie négative

Par opposition à la théologie positive ou encore théologie cataphatique, on appelle théologie négative ou apophatique celle qui ne définit jamais positivement Dieu mais lui prête seulement des attributs négatifs (exemple on ne dira pas de Dieu qu'il est éternel mais non-mortel : « Ô Dieu immortel aie pitié de nous ») .

Ce type de discours théologique repose sur une thèse, qui est que le langage des hommes est inadéquat pour traiter dans toute leur dignité les attributs divins. Ce serait doublement dévaloriser Dieu : un jugement étant composé d'un sujet et d'un prédicat, faire de Dieu le sujet de notre jugement, c'est l'objectiver, et lui accoler un prédicat, c'est lui prêter des propriétés qui, en droit, pourraient être assignées à d'autres objets. C'est utiliser le mythe qui est une « formation de compromis » entre le divin et l'humain. Mais le mythe en parle très mal : en dégradant l'invisible en visible d'où la démythologisation (Rudolf Bultmann).

Transcendant les limites de la pensée et du langage humains, la nature de Dieu serait proprement indicible. C'est pourquoi on pourrait inlassablement énoncer ce qu'il n'est pas, jamais ce qu'il est vraiment.

Une radicalisation de la théologie négative pourrait être de prendre comme point de départ du travail théologique la thèse de Wittgenstein: « Ce dont on ne peut pas parler, il faut le taire » (Tractatus Logico-philosophicus, 7)

Théologie philosophique ou naturelle

La théologie naturelle désigne la discipline philosophique qui traite de la nature de Dieu et de ses attributs connus par la seule raison, sans jamais recourir à la Révélation.

Elle s'efforce de dégager de manière argumentée et déductive les propriétés de Dieu. Par exemple, Augustin appuie sa théologie sur la philosophie de Platon, tandis que Thomas d'Aquin prolonge la Métaphysique d'Aristote.

On peut parler de théologie naturelle pour certains systèmes philosophiques, comme ceux de Descartes ou de Leibniz ; ceux-ci élaborent notamment des preuves de l'existence de Dieu, telles que l'argument ontologique, et s'efforcent de démontrer les attributs divins : éternité, perfection, bonté, toute-puissance, etc.

Mais cette approche philosophique est parfois critiquée : on lui reproche notamment sa froideur, et l'absence éventuelle de recours à la foi, à l'instar de Blaise Pascal qui invoque dans les Pensées le « Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants ». En outre, si la raison peut rapprocher certains philosophes de la religion, elle peut tout aussi bien les en éloigner, et étayer l'athéisme ou l'agnosticisme.

Théologie juive

Dans le judaïsme, Dieu est à la fois Unique et Inconnaissable. Il ne peut être, pour les Juifs, qu'approché par l'étude de la Torah et de ses commentaires, ainsi que par la pratique des commandements (mitsvot). Les non-Juifs (Goyim), eux, peuvent se rapprocher aussi de Dieu en respectant les sept lois noahides.

Voir

YHWH

Noms de Dieu dans le judaïsme

Les Lois sur les Fondements de la Torah (wikisource)

Catégorie:Théologien juif

Théologie en islam

Voir Islam et la Catégorie:Courant musulman.

La théologie musulmane repose sur la révélation par Mahomet à travers le Coran de l'existence du Créateur, Allah, unique, omniscient et omnipotent. Cela impose donc de nombreuses limites d'interprétations, car jamais les enseignements philosophiques tirés ne peuvent mettre en cause le Coran. Plusieurs écoles théologiques ont été créées à partir de plusieurs systèmes de pensée qui s'affrontent :

En premier lieu le système méthodologique et la théologie associée appelée Kalâm, fondée sur la réflexion.

Le soufisme, fondé sur une étude mystique, voire ésotérique, de l'Islam

Le Kalâm est utilisé pour élaborer les lois (fiqh).

D'autre part, d'autres branches de l'islam dotées chacune de leur doctrine multiplient les théologies islamiques.

Théologie « athéologique »

Ce terme est parfois utilisé pour désigner le genre de théologie philosophique qui tente de prouver par raisonnement l'inexistence ou la non-attribution de certaines caractéristiques à Dieu ou aux Dieux. Bien que les penseurs matérialistes ou athées préfèrent s'éloigner tout simplement de la métaphysique, certains penseurs, comme Épicure, pratiquent de la théologie « athéologique » (dite aussi « minimaliste »). Dans le cas d'Épicure, ce philosophe tentera de démontrer l'impossibilité du providentialisme des Dieux grecs par des raisonnements logiques.

中文百科

神学(古希腊语:Θεολογια,拉丁语:theologia,英语:Theology)一词,广泛指称所有对神(上帝)这个主题展开的研究或学说。神学一词的希腊文Θεολογια是由Θεος(即「神」)和λογος(即「道/话语/学说」)两个字组合,字面上便有创建人类对上帝正确认识的学说之意。为宗教研究的一个领域。

在基督教于罗马获得胜利以后,在欧洲,神学多被用以指称基督教神学,但在基督教神学之外,还有伊斯兰教神学、犹太教神学等神学体系。有些科学理论家和人文主义代表由于神学受到认信传统所规限而拒绝神学,并且主张公立大学不应该有神学系的设置。

定义

拉丁教父奥古斯丁定义神学(拉丁语:theologia)的意义为「理性的讨论与神明有关的一切事物」。神学家理乍得·胡克定义神学为探讨「神圣事物的科学」。

神学概念的历史发展

「神学」这一概念并非源自基督宗教,而是早已出现在古希腊思想中。在古希腊思想中,「神学」(亦即「关于神的言谈」;后来像巴特这样的神学家把这个概念理解为「神对人的言谈」)一词指称关于诸神故事的唱颂和讲述。这样把神学理解为神话学,最早的证据出现在柏拉图《国家篇》(379 a)的对话录中。柏拉图用批判的标准来衡量诸神神话(当时备受批判的神学),而所用的批判标准就是用以衡量真理的标准:一、善、不变。在亚里士多德那里,神学概念的意含发生了根本的改变:神学作为最高的理论科学现在指向作为真正首要原理的神圣者(《形而上学》,10**a/b)。从而,神学的应用范围就从神话学说转变成形而上学。 在第二世纪,「神学」这一词被基督教作家(即护教者)所采纳,与外邦多神教作家的「神话学」(关于诸神故事的述说)相区别。在优西比乌里,「神学」这一概念大概意指「基督教的上帝论」。在所有教父时期的作家那里,这个概念并不涉及一般而言的基督教学说,而是仅仅涉及那些直接关涉上帝的那些方面。这样,某些早期基督教作家,例如《圣经·约翰福音》的作者以及纳西昂的格列高利,就尤其被指称为「神学家」,因为上帝处于其学说的中心。关于上帝为人类设立的救恩行动和为人类指定的拯救秩序的问题,则在「经世」(希:oikonomia)这一概念下得到处理。 古代教会的基督教神学家往往是主教,中世纪的神学家则往往是修会人士。自从大学作为修会高等学府在中世纪产生以来,神学就总是居首的学系。后来,在中世纪盛期,「神学」这一概念就在阿贝拉尔(早期经院哲学)和波纳文图拉(盛期经院哲学)首次获得了一个更为全面的意含:「关于神圣知识的领域」,包含了整个基督教学说。在这个意义上,「神学」这一概念的意含逐渐固定下来;后来,托马斯·阿奎那的《神学大全》(Summa theologica),视神学为一门思辨性的、理论性的科学。 后来的宗教改革家越来越强调神学的实践方向。马丁·路德也处于修院传统(例如中世纪的安瑟伦和明谷的贝尔纳德)的影响之下来理解神学。神学所关涉的完全是委身于上帝所施行的救恩,以及信徒生活的完满实践。在这种意义上,有为数不少的路德派正统神学家就把神学规定为一门实践科学(scientia practica),尽管这门「科学」不具备科学对严谨的要求。因此,路德宗正统神学的神学体系也就经常获得了一种像中古经院时期《神学大全》那样的系统特性,不过在内容方面则有不同的规划,而且其体系建设也越来越以信仰实践为导向。由此而得到确立的,还有一种越来越理论性的神学理解。 神学作为一门学科,与信仰实践和对信仰的直接知识有所区别,这种不同早在路德宗正统神学那里通过神学家卡利克斯特(Georg Calixt)便已得到指明。这在卡洛夫(Abraham Calov)和奎恩施特(Johann Andreas Quenstedt)的神学进路中明明可见。尽管他们把神学视为先于信仰的,但这种关系在启蒙运动时期却被颠倒过来:神学是次要的、从属的,作为对信仰或宗教所作的反思形式。这种关系规定首先出现在塞姆勒(Johann Salomo Semler)那里。施莱尔马赫把神学理解为一门实证学(positive Wissenschaft),联系于教会领导层。尽管神学与信仰的区分直到今天仍然规范着神学论述,但神学与教会领导层之间的定向关系则是富有争议的。

杜威图书馆分类法中神学的分类

圣经神学

归正神学

公教神学(Catholic Theology)

新教神学

正教神学(Orthodox Theology)

自由神学

历程神学(Process Theology)

新正统神学

基要神学

福音神学

解放神学

处境神学(Contextual Theology)

时代主义神学(Dispensationalist Theology)

存在主义神学

社会神学

其他神学 系统神学 - 亦称「教义学」 圣经注释学 - 亦称「圣经解释学」、「解经学」 教父神学 经院神学 历史神学 实践神学 诠释学神学、诠释学 老子神学 妇女神学 同志神学 社会福音神学 - 曾被视为自由主义神学的子题 汉语神学 东正教神学 异端神学 生态神学 文化神学

系统神学 - 亦称「教义学」

圣经注释学 - 亦称「圣经解释学」、「解经学」

教父神学

经院神学

历史神学

实践神学

诠释学神学、诠释学

老子神学

妇女神学

同志神学

社会福音神学 - 曾被视为自由主义神学的子题

汉语神学

东正教神学

异端神学

生态神学

文化神学

对神学的批判

许多批评者认为神学因为无法满足科学研究的定义,因此神学无法作为一门科学来研究。

法法词典

théologien nom commun - masculin, féminin ( théologienne, théologiens, théologiennes )

  • 1. religion personne spécialisée dans l'étude des questions concernant Dieu et la religion

    un théologien chrétien

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