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词典释义:
chapeau
时间: 2023-08-24 14:46:39
TEF/TCF常用常用词TEF/TCF专四
[∫apo]

帽子

词典释义
pl. chapeaux


n. m.
1. 帽子
mettre/enlever son ~ 戴/脱帽
2. 红衣主教帽, 红衣主教的职位
3. 钟形罩
4. [植]菌
5. [机]帽, , 罩
6.(报刊、杂志、文章前的)按语,文章简介


常见用法
chapeau !棒极了!
démarrer sur les chapeaux de roues全速启动
un travail qui démarre sur les chapeaux de roues工地进行
tirer son chapeau à qqn对某人表示钦佩
un chapeau de feutre一毡帽
le légendaire chapeau de Napoléon 1er拿破仑一世那传奇的帽子
mais où as-tu pêché ce chapeau ?你是从哪里搞到的这帽子?

近义、反义、派生词
助记:
chap帽+eau关联

词根:
chap(p) 罩,披,帽

联想:
  • bonnet   n.m. 无边软帽,便帽

近义词:
couvre-chef (littéraire),  gas-cap,  coiffure,  sommaire,  couvre-chef
联想词
béret 贝雷帽; bonnet 无边软帽,便帽; casquette 鸭舌帽; costume 服装; foulard 纱巾,丝巾; manteau 大衣,外套,披风; gilet 背心; pompon 绒球; melon 甜瓜; feutre 毡子,毛毡; capuchon 风帽;
当代法汉科技词典
1. (复数~x)n. m. 【机械】帽, , 罩子:~de coussinet轴承  ~de roue 毂
2. (复数~x)n. m. 【音乐】小铃笠[满悬小铃的铜制伞形乐器]
3. (复数~x)n. m. 【植物学】菌  (复数~x)n. m. 【园艺】(防晒防雨的)钟形罩

chapeau m. 菌; 帽; 气门帽; 压; 罩; 运费补贴

chapeau de (palier, coussinet) 轴承

chapeau de champignon 菌伞

chapeau de dômes de sel 盐丘帽

chapeau de la valve de pneu 轮胎气门帽

chapeau de roue 车轮

chapeau du cartilage 软骨帽

chapeau graisseur m. 帽罩注油器; 润滑脂杯

chapeau plateau m. 板梁

arrache chapeau m. 拉

drainage par le chapeau de gaz 气驱动

écrou corps chapeau 阀体-阀帽螺[母、帽]

renfort du chapeau 承锚复板

soupape en chapeau 钟形阀[门]

substance comme rebord du chapeau (certilgineuse) 帽缘状物(软骨性)

短语搭配

Gardez votre chapeau.别脱掉您的帽子。

garnir un chapeau给帽子装上衬里

travailler du chapeau〈口语〉精神失常

tirer son chapeau脱帽致敬;〈转义〉表示钦佩

recevoir le chapeau升任红衣主教

renfoncer son chapeau把帽子压得更低

dégarnir un chapeau去掉帽子上的装饰

ôter son chapeau脱帽

cabosser un chapeau把帽子弄得凹凸变形

retaper un chapeau翻新一顶帽子

原声例句

C'est pourquoi je l'appelle mon chapeau porte-chance.

所以我称我的帽子为幸运帽子

[Caillou]

Et ce chapeau porte-chance est pour toi.

这顶幸运的帽子是你的。

[Caillou]

Caillou remarqua que les plumes accrochées au mur ressemblaient à celles que grand-père portait à son chapeau.

Caillou注意到墙上挂的羽毛和祖父帽子上别着的很像。

[Caillou]

Bonjour Grand-père. Ton chapeau est drôle!

爷爷好。你的帽子真奇怪!

[Caillou]

Et moi je mets mon beau chapeau en plus de la crème il me protègera aussi du soleil

除了涂防晒霜,我还要戴上漂亮的帽子,这样可以帮我遮阳。

[玩偶故事版小猪佩奇]

Moi aussi je mets mon beau chapeau

我也会戴上漂亮的帽子

[玩偶故事版小猪佩奇]

Elle a de beaux tableaux. Elle ouvre un placard et elle montre les jolis chapeaux laissés par sa mère.

她有很漂亮的画。她打开壁橱,展示了一些她母亲留下的漂亮的帽子

[Dans la maison bleue]

Le père prit ses gants au bord de son chapeau, les mit avec son calme habituel, les assujettit en s’emmortaisant les doigts les uns dans les autres, et sortit.

父亲从帽子边上拿起手套,象平时一样不动声色的戴上,交叉着手指把手套扣紧,出门了。

[欧也妮·葛朗台EUGÉNIE GRANDET]

Attendez, dit le substitut à Dantès, qui prenait ses gants et son chapeau, attendez ; à qui est-elle adressée ?

“等一等,”正当唐太斯去拿他的帽子和手套时,代理法官叫住了他,那封信是写给谁的。”

[基督山伯爵 Le Comte de Monte-Cristo]

Le pilote s’était de nouveau avancé vers le gentleman, et tournait son chapeau entre ses mains.

海员两只手转弄着帽子,重新挨近福克先生。

[八十天环游地球 Le Tour du monde en quatre-vingts jours]

例句库

C'est un chapeau d'homme.

这是一顶男式帽子

Il travaille du chapeau.

他有点儿精神失常

Il enlève son chapeau.

他摘下了帽子

Elle a porté un petit chapeau de peluche.

她戴着一顶长毛绒帽。

Elle a un chapeau sur la tête.

她头上戴着一顶帽子

Il est parti sur les chapeaux de roue.

他开车全速离开。

Il a un chapeau de paille.

他有一顶草帽。

Ce garde a un chapeau bizarre.

这个侍卫有个奇怪的帽子

Mais des cris, des clameurs et même une balle, perçant le chapeau de Phileas Fogg, leur apprirent que la ruse était découverte.

但是后面传来了一阵叫喊的声音,甚至还飞来一颗子弹打穿了福克先生的帽子。这说明他们的西洋镜已经被拆穿了。

Sa tête est ornée d'un chapeau dont la forme rappelle celle d'un huit symbole de l'infini.

年轻人头戴饰帽,其形状让人想起象征无穷的横置的“8”。

Il faut mieux porter un chapeau quand vous êtres au soleil.

最好在太阳下的时候要戴上帽子

Il siffle et rend le chapeau à son fils.

父亲吹了声口哨,把帽子还给了儿子。

Nous sommes un rythme régulier, à un monde-classe chapeau dans la plante.

我们正以稳健的步伐,向世界一流帽厂迈进

Pourtant la tranquillité s'était rétablie peu à peu, l'écolier se taisait, le mendiant comptait quelque monnaie dans son chapeau, et la pièce avait repris le dessus.

好在渐渐平静了下来,学子们不再作声了,叫花子数着毡帽里几个铜钱,演戏终于占了上风。

Division I de l'électronique, des chapeaux, des chaussettes, des jouets et des grands magasins disposent d'une large gamme de types de fournisseurs.

我司在电子,帽子,袜子,玩具百货类有广泛的供应商。

Dans sa colère, il a envoyé promener son chapeau.

在火头上,他摔掉了帽子

Les principaux produits d'habillement, des chaussures, des chapeaux, des gants, des sacs, des tentes, des imperméables, et d'autres nécessités journalières et des fournitures.

产品主要用于服装、鞋帽、手套、箱包、帐篷、雨衣等日常生活用品及工作用品之中。

Huli Jing beau pour votre atelier sur-mesure sections de la main-tissés, le croc-pulls, vestes, chapeaux, châles, colis et ainsi de suite.

美丽狐狸精工坊专门为您量身订做各款手工编织、钩制毛衣,背心、帽子、披肩、包等。

Le pere prit ses gants au bord de son chapeau, les mit avec son calme habituel, les assujettit en s'emmortaisant les doigts les uns dans les autres, et sortit.

父亲从帽子边拿起手套,像往常一样镇静地戴上,一个手指接一个手指地捋妥贴之后,出门去了。

Un produit: une série de non-tissé des chapeaux, des masques, des masques de papier, de charbon activé de masques chirurgicaux, des vêtements, des vêtements de protection.

无纺布圆帽,口罩,纸口罩,活性碳口罩,手术衣,防护服。

法语百科

Le chapeau est un couvre-chef, devenu un accessoire de mode. Il se distingue des autres couvre-chefs par sa matière (le feutre), la présence d'un bord plus ou moins large, et sa mise en forme.

Coiffes et chapeaux médiévaux (Enluminure du Codex manesse, 1320)
Coiffes et chapeaux médiévaux (Enluminure du Codex manesse, 1320)

Évolution du chapeau en peau de castor au Canada, cause de forte régression de cette espèce

Chapeau sur tête de femme, en 1901.
Chapeau sur tête de femme, en 1901.

Définitions

Le mot chapeau vient de l'ancien français chapel, lui-même issu du latin caput (tête). En normand il a donné le mot cap, qui désigne en anglais le bonnet (et non le chapeau).

Selon le dictionnaire d'Ancien français de Godefroy, le terme de chapel est une « coiffure que les hommes et les femmes mettent sur leur tête pour sortir » mais aussi une « couronne dans l'acception générale », et notamment une couronne de fleurs sens qui sera conservé jusqu'au XVIII siècle au moins.

Dans la première édition de son Dictionnaire françois en 1680, Richelet le définit comme « une couverture de tête dont l'homme se sert durant le jour et qui est composée de deux parties, dont l'une s'appelle forme et l'autre bord » (l'édition de 1715 en rajoutera une troisième, le lien).

L'article du dictionnaire de l'académie française de 1694 le définit comme une « coiffure, habillement de teste pour homme, qui a une forme et des bords. Autrefois on les faisoit de drap ou d'estoffe de soye, maintenant on les fait de laine ou de poil que l'on foule » ainsi que comme « une couronne qu'on met sur la teste dans quelque resjoüissance, dans quelque feste solemnelle », citant : « les Prestres à la procession portoient un chapeau desur la teste ».»

Les mots capa, capella ont la même racine. Selon le Dictionnaire encyclopédique de l'Histoire de France de Ph. Le Bas Chapel « dans l'origine, fut un diminutif, non pas du chaperon (comme d'autres l'ont dit...) mais du capuchon qui accompagnait la chape, et servait à couvrir la tête) ».

Organisation du métier et fabrication

L'organisation du métier

La fabrication du chapeau est faite par les chapeliers, une profession attestée à Paris depuis 1323 (Livre des métiers d'Étienne Boileau), qui est parfois regroupée avec celle des bonnetiers qui utilisent eux aussi du feutre (Rouen, Marseille). À Paris, les chapeliers sont d'abord divisés entre chapeliers de feutre, chapeliers de coton, de plume ou encore ceux de fleurs, avant d'être réunis, puis au XV siècle, érigés en un métier distinct des bonnetiers. Le métier existe également dans d'autres pays : les chapeliers londoniens sont une corporation florissante aux XVI et XVII siècles.

Le métier, à savoir l'accession à la maîtrise, le travail effectif et la qualité de la production, est réglementé par une série de statuts (1387, 1578, 1612, 1658) et par une série de règlements sur la qualité au XVIII siècle.

À la disparition des corporations, à partir de la Révolution française pour la France, la fabrication du chapeau devient également le fait des modistes. Dès le XVII siècle, les manufactures de chapellerie complètent la production en atelier : les chapeaux sont produits en plus grand nombre et en prêt-à-porter.

Le formier est l'artisan sur bois qui sculpte des blocs de tilleul en différentes formes, selon la demande des modistes ou des chapeliers, pour la mise en forme des chapeaux de feutre ou de paille ou de tissu.

Une fabrication quasiment inchangée depuis le XIV siècle

Les principales techniques de fabrication des chapeaux furent mises au point au XIV siècle et n'ont guère évolué depuis. Quel que soit le matériau utilisé pour faire le feutre (castor ou bièvre (ancien nom du castor), laine, vigogne (un camélidé de la famille des lamas), etc...), les étapes de fabrication ne changent pas. Ces étapes sont au nombre de cinq, dont une subsidiaire : préparation du poil, foulage, mise en forme, teinture et garniture.

la préparation du poil consiste à couper le poil de castor et de vigogne des peaux, puis à les épurer en les arçonnant (une sorte de cardage).

le foulage est la transformation de ce poil en feutre : avant la mécanisation au XIX siècle, le poil ou la laine cardés sont agencés en sorte de triangles nommés capades, que l'on réunit pour former une cloche. La foule, par l'action de l'eau chaude et du mouvement de va-et-vient et de pression de l'ouvrier, va feutrer la cloche, et lui donner de la solidité et son caractère imperméable. Avec la mécanisation, le poil et la laine seront directement soufflés sur une forme de cloche avant que celle-ci soit foulée. Pendant cette opération, la cloche va perdre les deux tiers de sa taille originelle.

La mise en forme fait passer la cloche au stade de chapeau : elle est placée sur une forme en bois, qui comprend seulement la calotte (jusqu'au XIX siècle) puis la calotte et les bords. Au XIX siècle, la cloche peut être mise en forme par pression sur des formes en métal.

La teinture est une étape subsidiaire. Elle consiste à plonger le chapeau dans un bain de teinture (pour la couleur noire on utilise de la noix de galle puis avec les progrès de la chimie des teintures chimiques) en alternant bain et oxydation en plein air. La majorité des chapeaux sont noirs, mais on peut les teindre en d'autres couleurs, dès le XVI siècle : le rouge est une couleur appréciée, en 1610 Louis XIII se fait livrer un castor teint en "vert de mer".

La garniture finalise le chapeau : après séchage il est déformé de sa forme en bois, les poils disgracieux sont coupés ou brûlés, on le recouvre d'un apprêt imperméabilisant, on lui ajoute une coiffe et un cordon, et parfois des broderies.

En matière de chapeau le prêt-à-porter est la norme. En 1843, deux chapeliers français, M. Allié et M. Maillard firent breveter un outil, le conformateur, qui permettait de relever la conformation précise de la tête. La conformation des chapeaux était une étape de la vente obligatoire du fait de leur rigidité (haut-de-forme, chapeau melon, canotier). Elle était assurée par le chapelier de ville. Cet outil, principalement dédié aux chapeaux sur mesure, est encore utilisé pour la fabrication de certains chapeaux de théâtre. Les formes standard sont toujours utilisées pour les chapeaux de grande distribution suivant trois conformations : l'ovale normal, l'ovale allongé et l'ovale rond.

Historique

Dans l'Antiquité

On n'a pas de traces de chapeau datant de la préhistoire, mais il est possible qu'ils aient existé.

Des chapeaux sont en tous cas portés dès l'Antiquité, dont par exemple le pétase et le pilos, couvre-chef commun dans la Grèce antique. Ce même pileus coiffe les esclaves affranchis dans la Rome antique.

Dans son Thresor de la langue françoyse, paru en 1606, Jean Nicot cite le « chapeau contre le bronzage/hasle du Soleil » (Causia, Vmbella), celui de paille de blé « fait d'espis de bled » (Corona spicea), le « chapeau de fleurs, ou Bouquet » (Sertum, Strophium), le « Chapeau deentrelassées et entassées » (Pactilis corona).

Au Moyen Âge, selon Philippe Le Bas, leur usage est attesté dès le règne de Charles VI, où les chapeaux fréquemment portés à la campagne sont adoptés à la ville « mais seulement les jours de pluie ». On sait que Charles VII, pour son entrée dans Rouen en 1449, portait un chapeau de castor. Louis XI est fréquemment représenté avec son chapeau orné d'enseignes, des "images en plomb des saints auxquels il avait le plus de dévotion ». Marqueur social, il s'agit d'un accessoire essentiellement masculin, les femmes portant plutôt des voiles, des foulards ou des bonnets qui peuvent cependant atteindre des proportions extravagantes, tels les hennins. Le port d'un chapeau par la femme est alors considéré comme frivole, à l'exception de son utilisation lors de voyage. C'est au XVI siècle que les femmes s'approprient le chapeau, imitant les courtisans mâles.

Évoluant au gré des modes, il continue à être utilisé, même si au XVIII siècle, en raison des volumineuses perruques, les hommes portent au bras leur bicorne. En France son usage est petit à petit réservé aux femmes avant qu'au XVIII siècle les dames de la cour n'arborent les créations de leurs marchandes de modes.

Le chapeau continue alors d'être portés par les deux sexes jusqu'à la fin de la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui, il n'est plus qu'un accessoire de mode, porté lors d'occasion spéciale (mariage, enterrement) ou pour se protéger des éléments (pluie, soleil).

L'évolution des formes de chapeaux

La forme du chapeau évolue sur trois éléments : le bord du chapeau, dit aussi "aile", la hauteur de la calotte, la forme de cette calotte (ronde, carrée, en pointe).

Dans la première moitié du XVI siècle, la mode française est au chapeau à la calotte très plate et au bord très étroit. La calotte augmente petit à petit dans la seconde moitié du XVI siècle, formant la toque recouverte de tissu plissé et à petits bords qui caractérisent notamment les portraits de Henri III. À l'extrême fin du XVI siècle, le chapeau voit sa calotte diminuer et ses bords s'élargir un temps.

Dès 1610, mais surtout dans les années 1620-1630, la mode est sous influence hollandaise, avec les chapeaux en "pain de sucre", à savoir à calotte haute et conique et aux bords étroits. Dès 1630 cependant la taille de la calotte diminue tandis que celle des bords augmente. Au début du règne de Louis XIV, la mode est au chapeau de mousquetaire, à savoir une calotte de petite taille, carrée, masquée par un grand panache, et aux bords très large. Dès les années 1670, à la Cour, les hommes préfèrent porter des chapeaux à petite calotte et à bords de taille moyenne ou petite.

Les chapeaux en poil de castor ont été si appréciés qu’ils ont contribué à la forte régression de cette espèce en Europe, mais aussi au Québec et Canada où s'est portée la demande européenne.

On s'aperçut ensuite que ses bords étendus gênaient le maniement des armes ; « alors on imagina pour les troupes le chapeau à trois cornes, qui est la coiffure militaire, et la coiffure d'étiquette dans les hauts rangs de la société. Sous le ministère du comte de Saint-Germain, on s'avisa de coiffer les brigadiers de cavalerie de chapeaux à quatre cornes; mais cet usage ne dura pas. Depuis un peu plus de trente ans, les troupes ont quitté le chapeau pour le bonnet à poil, le shako ou le casque, quand elles sont sous les armes. Dans le monde, la coiffure générale des citoyens est aujourd'hui le chapeau rond de couleur noire; celle des fonctionnaires, dans les cérémonies publiques, est le chapeau noir à cornes, orné de plumes. Celle des militaires en petite tenue est le même chapeau, avec ou sans plumes, suivant le grade. Les ecclésiastiques portent aussi le chapeau à trois cornes, mais lui donnent une forme particulière ».

Homme avec chapeau, photographie de 1860.
Homme avec chapeau, photographie de 1860.

Comme souvent dans les périodes tumultueuses, le chapeau peut servir à une expression politique ou de soutien à un régime. En juillet 1815, après les 100 jours, il fallait porter du blanc. On peut lire dans le Journal de Rouen du 13 juillet 1815, un avis en forme de consigne pour la nouvelle mode: « Les chapeaux de paille blanche de la dernière forme ont la passe quarrée, très saillante, et un fond plat qui déborde d'un travers de doigt, et forme bourrelet sur la passe. Entre la passe et le fond, on met une guirlande en diadème, beaucoup plus épaisse au milieu que des extrémités. Elle est composée de roses blanches ou de lys, de myrte ou de jasmin. (... ) Les modistes posent sur ces chapeaux trois roses blanches et trois plumes duveteuse. »

En 1845, l'encyclopédiste Philippe Le Bas ajoute que la généralisation du chapeau « nécessita l'établissement de grandes fabriques, notamment à Lyon et à Paris, et l'on fit bientôt une telle consommation de castors, que ceux que l'on trouvait en France, et spécialement dans les îles du Rhône, étant détruits, il fallut poursuivre ces animaux industrieux et inoffensifs jusque dans les lacs glacés du Canada » (...) « On imagina de suppléer à leur fourrure par celle d’animaux indigènes (lièvre, lapin et même le chien caniche). On a aussi fait en « peluche de soie » des chapeaux légers moins chers qu’en feutre, et pour l'été des chapeaux gris en feutre, des chapeaux en paille, en osier, en lacets et en étoffes de soie ou de coton dont les formes varient au gré de la mode. On fabrique, pour les voituriers et les marins, des chapeaux de bourre ou de laine commune, que l'on revêt de plusieurs couches de vernis qui leur donnent de l'éclat, de la durée, et les rendent impénétrables à la pluie ».

Mode au XX siècle

Jusqu’à la Première Guerre mondiale, le chapeau est un élément indispensable de la toilette. Son absence signale au regard, l’ouvrière qui sort « en cheveux ». Dans toutes les villes des modistes répondent à la demande d’une énorme clientèle en créant leurs propres modèles ou en adaptant ceux de la mode parisienne.

Au tournant du XIX siècle, la silhouette se modifie. Le grand chapeau apparaît avec le costume tailleur vers 1900. Il permet d’équilibrer la toute nouvelle jupe cloche. La garniture est posée très haut sur des chapeaux de plus en plus larges. Ils sont maintenus par des épingles à chapeau, nouvel accessoire.

Les liens entre la haute couture et les chapeaux remontent à Worth et à sa collaboration avec M Virot dans les années 1890. « Une bonne modiste était capable d’interpréter l’esprit d’une collection sans sacrifier sa propre créativité. Bien que leur contribution ne fût pas officiellement reconnue, tous ceux qui faisaient partie du monde fermé de la mode parisienne savaient quelles modistes avaient créé les modèles qui accompagnaient la collection présentée par son couturier ».

Les grandes modistes de cette époque sont Caroline Reboux, Lucienne Rebaté, les sœurs Legroux, madame Blanchot, Lewis, Marie Alphonsine.

Années 1920

Sous l’influence de Paul Poiret les robes deviennent plus simples dès les années 1910. La silhouette s’allonge et s’aplatit. De nouvelles coiffures sont créées pour les activités sportives : automobile, bain, canotage. Les femmes coupent leurs cheveux. Un nouveau chapeau apparaît, le chapeau cloche à côté de la capeline et de la toque. Parmi les grands noms de cette époque, on trouve Rose Valois, Suzanne Talbot.

Coco Chanel débuta comme modiste avant de se lancer dans la haute couture. Ses chapeaux étaient comme ses vêtements, inhabituels tant par la pureté de leur ligne que par la. Contrairement à Elsa Schiaparelli qui « aimait choquer et adorait les paradoxes des surréalistes. Elle utilisait les chapeaux comme un point d’exclamation, une « folie » qui couronnait un look et donnait matière à discussion. Le concept de la démesure était entré dans l’histoire des modes du XX siècle ».

Années 1930

La chevelure et le chapeau vont constituer des éléments essentiels de l’esthétique féminine, symbolisant peut être le mieux cette époque. Il existe un chapeau pour tous les évènements de la journée. Les chapeaux garnis sont à l’honneur. Les garnitures sont posées près du visage. Les chapeaux reprennent de la hauteur à la fin des années 1930. Les lignes verticales sont ainsi à l’honneur et sont encore accentuées par des drapés en hauteur, des coques, des aigrettes, des ailes, des nœuds disposés au sommet de la calotte. Avec Schiaparelli, les grandes modistes de cette époque sont Rose Valois, Louise Bourbon, Germaine Page, Rose Descat, Gaby Mono, Agnès et Claude Saint-Cyr.

Seconde Guerre mondiale

Le monde de la mode traverse une crise pendant la Guerre. Certaines maisons de haute couture ferment leurs portes. La pénurie des matériaux touchent celles qui continuent leur activité. C’est l’époque des matériaux de substitution : la fibranne, la rayonne, le bois, la paille, le liège. « Le modélisme s’accommode de ces difficultés mieux que la couture et est très novateur. Ce bouleversement permet l’éclosion de jeunes talents : Albouy, Gabrielle, Gilbert Orce ». « L’heure est aux performances : chapeau en papier journal d’Albouy, toque en copeaux de bois d’Agnès ». Selon l’historienne Dominique Veillon : «… l’exubérance créatrice des couvre-chefs peut s’expliquer comme la manifestation diffuse d’une révolte contre la dureté de l’époque ». Les chapeaux apportent également des solutions concrètes au froid (capuchon), à la difficulté d’entretenir ses cheveux (turban et foulard).

Après-guerre

La fin de la Guerre et la disparition progressive des pénuries marque le retour des belles matières, une volonté de raffinement et d’opulence, à l’image des créations de Christian Dior nécessitant des mètres de tissu. Les petits chapeaux alternent avec les grands, en fonction des robes larges et des minces tailleurs.

Couvre-chef et apparat en Europe

On se souvient des chapeaux extravagants des élégantes du siècle dit des lumières à ceux du XIX siècle, mais les rois et princes d’Asie et d’Europe ont très tôt acheté des chapeaux aussi complexes et plus coûteux, aux chapeliers. alors qu’aux mêmes époques dans d’autres région du monde les couvre-chef complexes fait de plumes et d’autres ornements étaient probablement depuis longtemps fabriqués et portés. Le métier de chapelier était en France déjà codifié sous Louis IX, comme le montre un chapitre du Registre des métiers. À titre d’exemple la comptabilité, de l'an 1351 décrit pour une commande un chapeau de castor enrichi d’or, perles et émaux commandé par le roi pour « maistre Jean, le fol du roy » ;

« Baillez à Kathelot la chapellière, pour un chappel de bièvre (chapeau de castor ; bièvre est l'ancien nom du castor européen, dont le poil est utilisé pour fabriquer du feutre), fourré d'armines (de fourrure d'hermines), « couvert par dessus d'un roisier (rosier ?) dont « la tige estoit guippée d'or de Chippre, et les feuilles d'or soudé ; ouvré par dessus d'or de Chippre, de grosses perles de compte et de grenas, et les rosés faites et ouvrées de grosses perles, toutes de compte, et « par les costez avoit deux grandes quintefeuilles d'or soudé, semées de grosses perles, de grenas, de pierres esmaillées et pardessus le chappel, en haut, avoit un dauphin fait d'or, tournant à vis sur un tuyau d'argent. Lequel chappel garny de boutons, de perles rondètes et menues, et orfroiriées de bisete d'or de plite et de grosses « perles, mons le dauphin commanda à l'argentier, et en chargea faire tel et d'icelle devise, pour donner à maistre Jean, le fol du roy. »

Cette même comptabilité précise plus loin que Kathelot, la chapelière a reçu cinquante ventres de menu vair qui avaient coûté 5 livres 6 sous, pour fourrer un « chapeau de bièvre » destiné au roi.

Types

Porte-chapeau orné de multiples chapeaux
Porte-chapeau orné de multiples chapeaux

Usage

Indépendamment de la protection contre les intempéries, le chapeau est un accessoire de mode permettant d'exprimer sa stature sociale.

Comme le vêtement, le chapeau semble avoir eu un double rôle, de protection (contre le froid, le soleil, la pluie, les embruns, voire certains combats...), mais aussi d'affirmation d'un statut social (chapeau d'apparat), d'une appartenance ethnique ou clanique... pour finalement devenir un accessoire de mode à part entière.La tradition veut que le fait d'ôter son chapeau (se découvrir) soit une marque de respect et d'humilité (du moins pour les hommes ; pour les femmes, l'usage est différent) ; la coutume s'est répandue jusqu'à devenir un signe de salut.

En 1889, le comte de Larmandie écrit même un guide du coup de chapeau basé sur sur de nombreuses observations. Selon lui le chapeau s'ôte d'un geste large, gracieux et brusque, le chapeau doit rester un instant en l'air avant d'être remis rapidement sur la tête.

Chapeau et arts du spectacle

Dans les années 1750, le chapeau est d'une telle importance dans la société qu'il fait l'objet d'un spectacle de music-hall par le mime français Tabarin. Il disposait d'un feutre à large bord et à calotte creuse, qu'il pliait et dépliait pour lui donner la forme des couvre-chefs à la mode en adaptant son expression au sens qu'il voulait donner au chapeau qu'il représentait. Ce spectacle disparut avec son auteur mais fut réactualisé vers 1870 par Monsieur Fusier au point que ce genre de spectacle prit le nom de chapeaugraphie et devint très en vogue dans les années 1900.

Les jongleurs et les magiciens utilisent aussi le chapeau comme accessoire. Le premier homme à avoir fait sortir un lapin d'un chapeau est Louis Comte, un comique de cour français, en 1814. Ce numéro resta à la mode pendant tout le XIX siècle. Le chapeau melon en feutre est fréquemment utilisé comme instrument de manipulation en jonglerie. Le cône traditionnel de feutre blanc est, chez le clown, un symbole de pouvoir, planté fièrement sur le crâne, légèrement de côté, certains y ajoutent même des plumes comme les clowns espagnols. Parfois aussi ce cône fait penser au chapeau d'Arlequin, avec des larges bords. Le chapeau de l'auguste est souvent mou, de forme plate, écrasé malencontreusement ou déformé par un coup de batte bien placé. Il est de toute façon malmené.

Couvre-chef professionnel : les chapeaux dans le travail

Dans les sociétés occidentales, les chapeaux de travail servent à indiquer rang et profession. 

L’uniforme vêtement d’autorité

Au XIX les agents de l’administration se voient dotés de vêtement spécifique. Ces vêtements étaient assortis de chapeau :  bicorne noir pour l’administration centrale en usage jusqu’au milieu du XX siècle, le képi pour la préfectorale et la coloniale. Les grands services de l’État se voient attribuer un képi (services pénitentiaires, police) ou la casquette qui s’est plus largement imposée depuis les années 1980. Le vêtement ecclésiastique assorti d’un bonnet carré à partir du XVII siècle, laisse place au béret quand la soutane est remplacée à la ville par le costume ordinaire. La laïcisation de l’assistance publique entraîne la réglementation des costumes du personnel, dont le port du bonnet, remplacé par le voile en 1917 et tombé depuis en désuétude.

Le couvre-chef de protection

Les premiers casques de protection civils ont été créés en cuir ou en cuivre (sapeurs-pompiers français) pour les forces de police et les pompiers. Ils ont été étendus aux activités sportives (cheval, cyclisme, moto). Ils sont désormais fabriqués en fibre de verre, polystyrène expansé.

Les coiffures de Sainte-Catherine

Yvonne de Sike, responsable du département Europe du Musée de l’Homme à Paris commente ainsi cette coutume. « Catherine, fille de notables d’Alexandrie au début du Ive siècle et convertie au christianisme refusait toute proposition de mariage […]. Jadis, dans les ateliers de couture, le jour de la Sainte-Catherine, on coiffait de chapeaux farfelus les jeunes filles ayant atteint l’âge fatidique. Cette pratique donnait lieu à des réjouissances et à des bals populaires. C’était évidemment une façon indirecte de faire rentrer rituellement dans le « circuit » des épouses potentielles, celles qui, autrement, risquaient d’en être exclues ».

Vocabulaire

Vocabulaire associé

Bourdalou : ruban ou cordon entourant la base de la calotte d'un chapeau.

Pleureuses : plumes d'autruche ornant les chapeaux de dames vers 1900.

Expressions

Chapeau ! : Félicitations !

Coup de chapeau, chapeau bas, tirer son chapeau : salut, rendre hommage à quelqu'un.

En baver des ronds de chapeau : action effectuée avec une grande difficulté.

Porter le chapeau : endosser la culpabilité.

Sortir du chapeau : faire apparaître comme par magie.

Travailler du chapeau : délirer, être fou.

S'occuper du chapeau de la gamine : se mêler des affaires des autres.

Faire un coup du chapeau : marquer trois buts dans un même match de football.

Avaler son chapeau : être contraint d'accepter une situation contre sa volonté.

Retraite-chapeau régime dérogatoire de retraite de présidents ou directeurs généraux financée intégralement par l'entreprise.

Personnages portant souvent des chapeaux

Chapeau féminin de 1911
Chapeau féminin de 1911

Personnalités

Napoléon Bonaparte, empereur des Français : bicorne ;

Robert Baden-Powell, fondateur du scoutisme : quatre-bosses ;

Maurice Chevalier : canotier ;

Winston Churchill ;

Jacques-Yves Cousteau : bonnet rouge ;

Pete Doherty, chanteur ;

Élisabeth II du Royaume-Uni, reine du Royaume-Uni ;

Geneviève de Fontenay du comité Miss France ;

Danyel Gérard, chanteur français ;

Humphrey Bogart, acteur américain : borsalino

Yasser Arafat, homme politique palestinien : keffieh ;

Michael Jackson, chanteur et danseur américain ;

Elton John (de la fin des années 1970 à la fin des années 1980), chanteur/compositeur britannique ;

Jason Kay, chanteur du groupeJamiroquai ;

Alicia Keys, chanteuse ;

François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995 ;

Jean Moulin, résistant : mou souple ;

Jason Mraz, chanteur américain ;

Amélie Nothomb, écrivain belge ;

Paille, chanteur de dancehall de Martinique ;

Compay Segundo, chanteur et musicien cubain ;

Frank Sinatra, chanteur : Panama ;

Slash, guitariste anglo-américain : haut-de-forme ;

David Thomas, chanteur et musicien américain ;

Charles Trenet : chapeau mou ;

Marc Veyrat, cuisinier français ;

Pharrell Williams, styliste et chanteur américain ;

Bruno Mars, chanteur, musicien et compositeur américain ;

Al Capone, gangster américain.

Personnages de fiction

Alex et ses droogs dans L'Orange mécanique : chapeau melon ;

les Blues ******** ;

Madame Chapeau dans la pièce de théâtre Bossemans et Coppenolle ;

Charlot, personnage créé par Charlie Chaplin ;

Clopin Trouillefou Notre Dame de Paris, Victor Hugo.

Dupond et Dupont dans les bandes dessinées des Aventures de Tintin ;

Speedy Gonzales des Looney Tunes : sombrero ;

Sherlock Holmes : deerstalker ;

Indiana Jones ;

John Ross « J.R. » Ewing dans le feuilleton Dallas ;

Freddy Krueger ;

Laurel et Hardy ;

Hannibal Lecter ;

Jarlaxle Baenre. Personnage de la Légende de Drizzt.

John Steed, héros de la série Chapeau melon et bottes de cuir : chapeau melon

Monkey D. Luffy dans l’anime One Piece : chapeau de paille ;

Lucky Luke : stetson ;

Arsène Lupin ;

Corto Maltese : casquette de marin ;

le Baron Samedi : haut de forme ;

le Père Noël ;

Jack Sparrow ;

Luca Torelli de la bande dessinée Torpedo : borsalino

Picsou : haut de forme ;

Spirou : calot de groom ;

Tata Yoyo, personnage inventée par Annie Cordy dans la chanson du même nom...

Reborn : borsalino ;

le Chapelier fou, personnage d’Alice au pays des merveilles : haut de forme ;

Willy Wonka, personnage de Charlie et la Chocolaterie : haut de forme.

Mary Poppins

中文百科
棒球帽、又称太阳帽。帽舌向前,为脸部遮盖阳光。
棒球帽、又称太阳帽。帽舌向前,为脸部遮盖阳光。

帽子是戴在头部的服饰,多数可以覆盖头的整个顶部。主要用于保护头部,部份帽子会有突出的边缘,可以遮盖阳光。帽子亦可作打扮之用,也可以用来保护发型、遮盖秃头,或者是作为制服或宗教服饰的一部分。可不同种类,例如高帽、太阳帽等等。

有些帽子会有一块向外伸延的簷蓬,称为帽舌。戴帽子在不同的文化有不同的礼仪,这在西洋文化之中尤其重要,因为戴帽子在过去是社会身份的象征。

帽子种类

帽子的种类帽子的品种繁多,帽子按用途分,有风雪帽、雨帽、太阳帽、安全帽、防尘帽、睡帽、工作帽、旅游帽、礼帽等;接使用对象和式样分,有男帽、女帽、童帽、少数民族帽、情侣帽、牛仔帽、水手帽、军帽、警帽、职业帽等;按制作材料分,有皮帽、毡帽、毛呢帽、长毛绂帽、绒绒帽、草帽、竹斗笠等;按款式特点分,有贝蕾帽、鸭舌帽、钟形帽、三角尖帽、前进帽、青年帽、披巾帽、无边女帽、龙江帽、京式帽、山西帽、棉耳帽、八角帽、瓜皮帽、虎头帽等等。帽子的大小以“号”来表示。帽子的标号部位是帽下口内圈,用皮尺测量帽下口内圈周长,所得数据即为帽号。“号”是以头围尺寸为基础制定的。帽的取号方法是用皮尺围量头部(过前额和头后部最突出部位)一周,皮尺稍能转动,此时的头部周长为头围尺寸。根据头围尺寸确定帽号。

法法词典

chapeau nom commun - masculin ( chapeaux )

  • 1. coiffure que l'on pose sur la tête, dotée ou non de bords et confectionnée dans une matière qui a de la tenue

    porter un chapeau

  • 2. partie supérieure qui couvre (une préparation culinaire)

    le chapeau des tomates farcies

  • 3. botanique partie qui surmonte le pied (d'un champignon)

    le chapeau brun des cèpes

  • 4. presse texte court et introductif

    un chapeau de trois lignes

  • 5. partie protectrice latérale ou supérieure (d'une pièce mécanique)

    un chapeau de bielle

chapeau! interjection

  • 1. se dit pour exprimer son admiration à quelqu'un ou pour le féliciter (familier) Synonyme: bravo!

    chapeau bas!

coup de chapeau locution nominale - masculin ( (coups de chapeau) )

  • 1. témoignage consistant à exprimer son admiration ou ses félicitations

    donner un coup de chapeau aux bénévoles d'une association

  • 2. salut effectué en soulevant légèrement sa coiffure

    il lui a adressé un coup de chapeau

porter le chapeau locution verbale

  • 1. devoir contre son gré endosser la responsabilité (pour quelque chose de dommageable) (familier)

    c'est de ta faute, mais c'est encore moi qui vais porter le chapeau!

tirer son chapeau à locution verbale

  • 1. complimenter en adressant ses félicitations à (quelqu'un) (familier) Synonyme: féliciter

    je te tire mon chapeau pour ta performance

travailler du chapeau locution verbale

  • 1. être un peu fou (familier) Synonyme: débloquer Synonyme: avoir une araignée au plafond Synonyme: avoir un grain Synonyme: divaguer Synonyme: délirer

    ne fais pas attention à ce qu'il dit, il travaille du chapeau!

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Ac 元素锕 (actinium)

transporter 运输,运送

réfrigérer v. t. 1. 使, 使冻, 藏:2. [俗]使冻僵:3<转>淡接待, 淡对待

infect a. (m) 1发出恶臭, 散发恶臭:2<口>令人厌恶, 惹人讨厌3坏透, 极恶劣常见用法

boss n. m<英><口>工头, 领, ; 上; 头儿

opalin opalin, e a. 白色的,光的 n.f. 白,瓷;白品

débuter 首次参加,开始

celles 这些个

dépendance n. f. 1. 从, 附, 隶, 依赖, 依靠2. pl. 附建筑物, 3. 相关, 相依4. [](一国对另一国的)依赖(关系)5. (毒)瘾

asservissant a.奴役, 奴化