词序
更多
查询
词典释义:
bateau
时间: 2023-08-21 11:26:55
TEF/TCF常用常用词TEF/TCF
[bato]

词典释义
pl.~x

(复数~x) n. m
1, 艇
bateau à vapeur 汽
le surlendemain, je prenais le bateau pour Marseille (Sartre). 第三天,我乘去 马赛。(萨特)


2划游玩
3[作用appos. ]
4(人行道上的)汽车出入段
5 monter un~à qn, mener qn en<转><口>编造谎话欺骗某人



不变 a.
<口>经常说的, 经常重复的, 常的, 毫无新意的

常见用法
bateau à moteur机动
bateau de pêche渔
bateau à voile帆
faire du bateau划游玩
prendre le bateau乘
nous sommes venus en bateau我们是乘来的
en bateau乘
le bateau a chaviré翻了
la soute d'un bateau
un bateau de plaisance一艘游
le bateau a échoué搁浅了
équipage d'un bateau全体
il le hissa dans le bateau他把他拉上
un bateau chargé d'émigrants一艘满移民的
mettre un bateau à flot使一只浮起来
la ligne de flottaison d'un bateau一条的吃水线
le bateau voguait au gré du vent在顺风行驶
passerelle d'un bateau轮上的舷梯
le bateau se dirige vers le large向大海驶去
il y a eu une collision entre deux bateaux发生了一次两相撞事件
le bateau navigue sur les flots在流水上行驶

近义、反义、派生词
联想:
  • navire   n.m. 舶,舰

近义词:
banalité,  bâtiment,  navire,  paquebot,  vaisseau,  canular,  histoire,  lieu,  nef,  trivial,  roman,  bobard,  embarcation,  banal,  blague,  craque,  farce,  plaisanterie,  supercherie,  classique
联想词
voilier ; navire 舶,,军舰; embarcation ,小艇; canot ,艇; ponton 浮桥,; yacht 游艇,快艇; barque ,艇; paquebot 大型客轮,邮,远洋航轮; ferry , 渡轮; cargo ,货轮; kayak 运动小艇;
当代法汉科技词典

bateau m. 舶; 舰; 轮[]; 艇; 舟

bateau (abandonné, délaissé) 弃

bateau (assimilé, homothétique) 同型

bateau (au cabotage, caboteur) 沿海航行

bateau (bas bord, ras d'eau, de faible côté) 低舷

bateau (catamaran, à coques jumelées) 双体

bateau (commandant, directeur) 指挥舰

bateau (convergeur, d'escorte) 护航

bateau (câblier, pose câble) 布缆

bateau (d'excursions, mouche, de plaisance) 游览

bateau (de contrebande, interlope) 走私

bateau (de démagnétisation, amagnétique) 消磁

bateau (de haute mer, hauturier) 远洋

bateau (de ravitaillement, d'approvisionnement 供应

bateau (de transport de gaz naturel liquéfié, méthanier) 液化天气运输

bateau (de) toueur 牵引, 拖曳

bateau (démoli, avarié) 破损

bateau (désemparé, démonté) 失控

bateau (frigidaire, frigorifique) 冷藏

bateau (kangourou, porte barges, portechalands) 

bateau (nucléaire, à propulsion atomique, atomique) 核动力

bateau (océanique, marin) 海

bateau (original, prototype) 原型

bateau (porte containers, à containers) 集装箱

bateau (porte trains, porte voitures, portevéhicules) 车辆渡

bateau (porteur de gaz liquéfié, transport de gaz liquide) 液化气体运输

bateau (porteur de minerais, à minerais, minéralier) 矿砂

bateau (pour expériences, expérimental) 试验

bateau (rempli, renflé) 肥型

bateau (sale, de fond sale) 污

bateau (semi immergé, à flotteurs submersibles) 小水线面

bateau (télécommandé, téléguidé) 遥控

bateau («bulk carrier», transporteur de marchandises en vrac) 散装货

bateau (à citernes, pétrolier) 油

bateau (à grue, flottant) 起重

bateau (à marchandises, à cargaisons, de charge) 货

bateau (à pont, ponté) 甲板

bateau (à spar deck, hurricane deck) 轻甲板

bateau (échoué, amorti) 搁浅

bateau LASH (Light Aboard Ship) 

bateau RO/RO (roll on roll off) 滚装

bateau abandonné 漂流

bateau abordeur 撞

bateau affalé sur côte 海岸搁浅

bateau affalé sur une côte 漂向海岸的

bateau affrété 租赁

bateau aluminier 运矾土

bateau amagnétique 非磁性

bateau ammarré 系泊的

bateau annexe 附属, 供应

bateau anti incendie 消防

bateau anti pollution 防污染

bateau armé 武装

bateau armé de missiles 导弹舰

bateau arqué 拱形

bateau articulé 铰接

bateau atomique 核动力舰

bateau auto déchargeur 自动卸货

bateau automatisé 自动化

bateau automobile 摩托艇

bateau auxiliaire 辅助舰

bateau avec franc bord 干舷

bateau avitailleur 运粮

bateau baliseur 航标

bateau bananier 运香蕉

bateau barroté 满

bateau bas de bord 低干舷

bateau base de dragueurs 扫雷艇母舰

bateau bon marcheur 快速

bateau bordier 偏舷, 倾侧

bateau boute feu 放炮

bateau brise glace 破冰

bateau brise rochers 碎石

bateau butanier 丁烷运输

bateau cargo multipurpose 多用途货

bateau cargue 卷帆

bateau catamaran fluvial 内河双体

bateau cellulaire 区划式集装箱货

bateau charbonnier 运煤

bateau combiné O O 石油矿砂混装

bateau composite 混合结构

bateau condamné 难损

bateau congélateur 冷冻, 渔业冷藏加工

bateau contre arqué 中垂

bateau cosmique 宇航支援

bateau courrier postal 邮

bateau d'application 教练

bateau d'assaut 突击

bateau d'assistance aux plate formes 钻井台支援

bateau d'assistance à la pêche 渔业支援

bateau d'escorte 护航舰

bateau d'escorte ASM 反潜护航舰

bateau d'escorteurs 护卫舰母

bateau d'exploration 考察; 探险

bateau d'écoute radio 电子侦察

bateau d'état major 参谋舰; 司令舰; 旗舰(古)

bateau de (reconnaissance géologique, recherche géologique) 地质调查

bateau de (sauvetage, sauveteur) 救生

bateau de La Manche 英伦海峡

bateau de base 基地

bateau de chalutage 拖网渔

bateau de chasse aérienne 防空舰

bateau de commerce 商

bateau de derrière 殿后舰

bateau de dragage 挖泥

bateau de débarquement 登陆舰

bateau de faible tonnage 小吨位

bateau de faible échantillon 轻结构

bateau de fond large [宽、肥]

bateau de forage 钻探

bateau de forage catamaran 双体钻探

bateau de forage de minéraux sous marins 海矿钻探

bateau de forage pétrolier 石油钻探

bateau de garde 港口纠察

bateau de liaison 通信

bateau de ligne 战列舰

bateau de ligne cuirassé 装甲主力舰

bateau de ligne moderne 现代化定航线

bateau de ligne régulière 定期班

bateau de manœuvre 施工

bateau de marchandises sèches 干货

bateau de mer à ailerons 海上水翼

bateau de même série 同系列

bateau de passage 渡

bateau de plongeurs 潜水员母

bateau de plongée 潜水工作

bateau de pêche 渔; 渔业加工

bateau de quarantaine 检疫

bateau de recherche (géophysique, géologique) 地调

bateau de recherche acoustique 水声调查

bateau de recherche archéologique 考古调查

bateau de recherche biologique 海洋生物调查

bateau de recherche catamaran 双体型调查

bateau de recherche de minéraux sous marins 海矿藏勘探

bateau de recherche hydrographique 水文测量

bateau de recherche océanographique 海洋科研调查

bateau de recherches scientifiques 科[学]考[察]

bateau de recherches à vocation 多用调查

bateau de reconnaissance des fonds marins 海勘测

bateau de service des plates formes de forage 钻探台勤务

bateau de servitude 杂役

bateau de sous marin 潜艇母

bateau de soutien de sous marin 潜艇供应

bateau de soutien pour forage de mer 海上钻探支援

bateau de surveillance 巡逻舰

bateau de sécurité radiologique 防核辐射

bateau de tonnage moyen 中型

bateau de transport de chars 坦克运输

bateau de transport de pipes 油管运输

bateau de transporteur des fluides 液体运输

bateau de travail de la pose des pipelines 输油管敷设工程

bateau de travaux 工程

bateau de tête 首航

bateau disparu 失踪

bateau dock 坞舰

bateau douanier 海关巡逻

bateau dragueur 运泥

bateau démâté 断[卸]桅

bateau dépollueur 浮油采集

bateau dérivant de route 偏离航向

bateau dérocteur 碎石工程

bateau employé au traitement de poisson 鱼加工

bateau en achèvement 将竣工

bateau en acier 钢质

bateau en alliage d'aluminium 铝合金

bateau en bois 木质

bateau en bois et en fer 铁木混合结构

bateau en béton armé 钢筋混凝土

bateau en danger 遇险

bateau en détresse 遇难

bateau en faible profondeur 浅水

bateau en fer 铁质

bateau en polyester renforcé 增强聚酯

bateau en radoub 坞修

bateau en tonture 甲板脊弧

bateau en transit 过境; 转口

bateau entièrement congélateur de pêche 全冷冻渔

bateau entièrement en matière plastique 全塑料

bateau entièrement ouvert 全敞舱

bateau entièrement soudé 全焊接

bateau express 快速客

bateau expérimental à propulsion nucléaire 核动力试验

bateau fruitier 水果运输

bateau full deck 全通甲板

bateau garde port 港口警戒舰

bateau garde pêche 护渔

bateau hydrographe 水[道、文]测量; 水文调查

bateau laboratoire de recherche 研究试验

bateau lance roquettes 火箭舰

bateau logistique 后勤支援

bateau lourd du nez (de l'arrière) 首[尾]纵倾

bateau magasin à torpilles 鱼雷运输

bateau marchand nucléaire 核动力商

bateau mixte 客货

bateau mixte roulier 滚装客货

bateau mixte vrac pétrole 散货-石油混装

bateau multicoque 多体

bateau multipurpose 通用

bateau mâture 起重趸

bateau mère 母

bateau météorologique 气象

bateau océanographique 海洋[调查、考察]

bateau patrouilleur 巡逻

bateau pilote 领航[港]

bateau piquet radar 雷达哨舰

bateau pirate 海盗

bateau polytherme rapide 快速多种温度冷藏

bateau porte avions 航空母舰

bateau porte chalands 登陆艇母舰

bateau porte remorques 拖车运输

bateau porte train 火车轮[]

bateau porteur 母舰

bateau pose câbles bateau pêchant à la senne

bateau pêchant à la senne bateau pêchant à la senne

bateau pêchant à la senne 围网渔

bateau rapide de forme fine 瘦型快速

bateau refondu 改装

bateau sain 无损

bateau sans différence de tirant d'eau 

bateau sans tonture 无甲板脊弧; 直舷

bateau sardinier congélateur 沙丁鱼冷藏

bateau self trimmer 自动理舱

bateau semi submersible pour pose de pipelines 半潜式管道敷设

bateau shelter deck 遮蔽甲板

bateau support 后勤

bateau support de plongée 潜水母

bateau support de travaux sous marins 水下工程辅助

bateau sur cul 尾纵倾

bateau sur l'arrière 尾纵倾

bateau sur l'avant 首纵倾

bateau surgélateur 速冻渔业加工

bateau transarctique 横渡北冰洋

bateau transbordeur 渡

bateau transbordeur à plusieurs voies 多轨道火车渡

bateau transporteur de gaz pétrole liquéfié 液化气石油运输

bateau transporteur de liquides corrosifs 腐蚀液运输

bateau transporteur de liquides dangereux en vrac 散装危险液体运输

bateau transporteur de marchandises générales 统货

bateau transporteur de produits chimiques 液态化学品运输

bateau transporteur des produits dangereux 危险化学品运输

bateau transroulier 滚装式集装箱

bateau vif 舵灵敏

bateau «handy size» 小型货

bateau «trailer ship» 滚动式拖运架装卸货

bateau à (chargement horizontal, manutention horizontale) 滚装

bateau à (moteur, propre propulsion) 机动

bateau à (pont abri, awning deck) 遮阳甲板

bateau à (trois superstructures, deux coffres) 三岛式

bateau à ailes portantes 水翼

bateau à avant bulbeux 球鼻

bateau à avant pointu 尖首

bateau à awning deck 甲板天篷

bateau à cabines 客舱

bateau à chargement accéléré 快速装卸货

bateau à chargement vertical 吊装集装箱

bateau à coffre 井形甲板

bateau à colis lourds 重货

bateau à court château 短桥楼

bateau à cuves sphériques 球罐

bateau à demi dunette 短尾楼

bateau à deux moteurs 双主机

bateau à deux mâts 双桅

bateau à deux ponts 双层甲板

bateau à double fond 双层

bateau à déplacement 排水型

bateau à effet de surface à portance aérodynamique 气动升力气垫

bateau à filets dérivants 漂网渔

bateau à fond fin 尖

bateau à grains 运谷物

bateau à grand tirant d'eau 深吃水

bateau à grue autopropulsé 自航起重

bateau à hélice 螺旋桨

bateau à l'ancre 锚泊

bateau à langoustes 龙虾加工

bateau à levage 吊装式集装箱

bateau à manutention mixte 混装卸货

bateau à manutention verticale 吊装

bateau à marchandises diverses 杂货

bateau à moteur 柴油机油, 内燃机; 机动

bateau à méthane fortement réfrigéré 强冷冻甲烷运输

bateau à passagers 客

bateau à portes latérales 有舷门

bateau à positionnement dynamique 动力定位

bateau à poupe carrée 方尾

bateau à propre propulsion 自航

bateau à puits 深舱货

bateau à superstructure complète 全通上层建筑

bateau à tirant d'eau réduit 浅吃水

bateau à tirant d'eau égal 等吃水

bateau à traits carrés 横帆

bateau à trunk deck 箱形凸起甲板

bateau à turbine 涡轮机

bateau à turbine à gaz 燃气轮机

bateau à turbine à vapeur 汽轮机

bateau à turret deck 弧形凸起甲板

bateau à vapeur 汽

bateau à vivier 活鱼运输

bateau à voiles 帆

bateau à échantillons pleins 全实

bateau à émigrants 移民

bateau élancé 瘦首型

bateau étanche 水密

bateau éthylénier 乙烯运输

bateau  pr-

bateau atelier m. 修理

bateau baleinier 鲸鱼加工

bateau balise m. 灯塔, 浮动灯塔; 航标

bateau baliseur m. 航标

bateau bus m. 公共

bateau caserne m. 兵营

bateau citerne 油[轮、]

bateau cochaux m. 灯

bateau conserveur m. 鱼罐头加工

bateau dragon m. 龙舟

bateau détecteur m. 探测

bateau feu m. 灯标

bateau foreur m. 钻探

bateau frein m. 舰队殿后

bateau grue en haute mer 远洋起重

bateau grue à portique 高架起重

bateau hôpital m. 医院

bateau kangourous m. 

bateau labo m. 实验

bateau laboratoire m. 实验

bateau lanceur m. 导弹舰

bateau mouche m. (巴黎)游, 旅游客; 游艇

bateau phare m. 灯标

bateau pilote m. 领港, 引航

bateau pompe m. 消防

bateau porte m. 浮坞门(坞的)

bateau portière m. 浮桥

bateau sondeur m. 测深, 探测; 钻探

bateau stop m. 搭顺风

短语搭配

coupler deux bateaux把两条船并系在一起

déchirer un bateau【航海】拆船

écluser un bateau开闸把船放过;使船通过船闸

relever un bateau使船浮起来

alléger un bateau减轻船载

faire du bateau划船游玩

prendre le bateau乘船

nettoyer un bateau清洗甲板

arrivées par bateau乘船抵达者

stabiliser un bateau使船平衡

原声例句

Résultat : tous les bateaux sont bloqués à l'entrée du port durant des jours.

几天的时间里,所有都被堵在港口。

[德法文化大不同]

Caillou pensa que les pêcheurs allaient attraper beaucoup de poissons avec un aussi gros bateau.

Caillou心想那些钓者开着这么大的一艘肯定能够抓到很多鱼吧。

[Caillou]

Caillou était fasciné par le bateau de pêche.

Caillou被一艘钓吸引力。

[Caillou]

Dans la salle de bains, il y avait une grande baignoire et j'ai dit à Agnan qu'on pourrait la remplir et jouer aux petits bateaux.

他家的浴室里有个大浴缸,我跟阿尼昂说我们可以把浴缸灌满水然后玩军舰游戏。

[小淘气尼古拉绝版故事 Le Petit Nicolas]

Mais là, Agnan était très embêté, parce qu'il n'avait pas de bateaux pour jouer.

可是阿尼昂真倒霉,他竟然没有军舰

[小淘气尼古拉绝版故事 Le Petit Nicolas]

Heureusement, moi je sais faire des bateaux en papier et on a pris les feuilles du livre d'arithmétique.

幸好我会用纸叠小,我们从算术书上撕下来一些纸。

[小淘气尼古拉绝版故事 Le Petit Nicolas]

Oui... enfin, c’est parce que je lui ai appris. J’ai été cuisinier sur un bateau, quand j’étais jeune.

J : 是啊… … 可,这是因为是我教她的。我年轻的时候曾是船上的厨师。

[Reflets 走遍法国 第二册 视频版]

Et j'ai pris le bateau pour la France.

我乘船到了法国。

[TEDx法语演讲精选]

Si je vois Grégoire, je lui proposerai de faire un peu de bateau.

如果我看见格雷瓜尔,我会建议他划一会儿船

[法语交际口语渐进初级]

En sa mémoire, lors de chaque Fête du Dragon, on fait du bateau et on prépare des gâteaux de riz en forme de pyramide enveloppés d'une feuille de roseau.

在为了纪念他,每逢端午节,人们都会划龙舟,包粽子。

[Bonjour la Chine 你好中国]

例句库

Comment voulez-vous envoyer votre colis? Par avion ou par bateau?

您想怎样寄包裹?航运还是船运

Ce vieux bateau s'éloigne de la rive.

离开了河岸。

Nous voyageons en bateau.

我们坐船旅行。

Le bateau flotte sur les vagues.

被海浪晃得跌宕起伏。

Notre bateau était de toute évidence très rapide.

我们的显然很快。

Le moteur du bateau ne fonctionne plus.

的发动机停止运转了。

Le bateau descend la rivière.

小船顺流而下。

Il a un bateau à voiles.

他有一艘帆船。

Oui, grâce à l'Argus, le bateau auquel ils font signe.

有,多亏了阿尔戈其号,他们看到了这艘并向它呼救。

Nous allons voyager à Bordeaux par bateau.

我们将坐船去波尔多。

De nombreux bateaux garnissent le port.

船只布满了港口。

C'est une relâche du bateau.

这是船只的停泊处。

On n'était pas très nombreux (8), on a eu un peu froid, mais c'était finalement très sympa de regarder passer les bateaux en mangeant des gateaux.

这是中秋节的照片。只有八个人, 天气比较冷(不下雨了), 但是我们很开心地看了船们过, 也吃了月饼。

Le matin, on a pris le bateau taxi pour aller sur ile de Murano, on a visité l'atelier de verrerie, le verrier a fabriqué une œuvre avec la forme étrange en 5min devant nous, c'était intéressant.

早上,我们乘出租去穆拉诺岛,我们参观了玻璃制作作坊,制作工人当着我们的面用5分钟做出了一个形状特异的玻璃作品,挺有意思。

Je vais visiter le port, de vieux rafiots ou je me demande comment ils ne coulent pas… des bateaux à balanciers, des marins qui m’appellent, me sourient, me font des signes du bras.

我还去了码头,看那些破旧的船只...还有划桨的船. 船上的人笑着朝我挥舞臂膀。

Convient pour les produits chimiques, l'électricité, du pétrole, la métallurgie, l'énergie nucléaire, les machines, les bateaux, les automobiles, l'usage industriel.

适合化工、电力、石油、冶金,核能、机械、船舶、汽车等工业使用。

Je fais comme presque tout le monde, la queue pour acheter mon billet de bateau, qui est une pirogue à balancier. Longtemps que je n’avais pas vu autant de blancs.

我傻乎乎的排在了队伍的后面, 买了一张船票. 船形似龙舟. 有一阵没看到如此众多的西方游客了.

Eh bien, Votre Honneur, répondit le pilote, je ne puis risquer ni mes hommes, ni moi, ni vous-même, dans une si longue traversée sur un bateau de vingt tonneaux à peine, et à cette époque de l'année.

“怎么样,先生,”海员说,“我不能拿我的船员和我,还有您去冒这个险。这么远的路,我这条船只不过二十吨,又赶上这个时令。

En 1970 il est reconstruit en métal pour faire face au trafic de péniches et bateaux sur la Seine, par les ingénieurs Lagallisserie, Darcel et Vaudrey.

1970年,为了应对塞纳河上驳船和船只的交通问题,由工程师拉加里瑟利、达塞尔和弗德尔重建了一座金属桥。

Fini de visiter les deux iles, on a rentré à Venise en bateau l'après-midi.

完成了两个小岛的游览,我们下午乘船回到了威尼斯。

法语百科

Un bateau est une construction humaine capable de flotter sur l'eau et de s'y déplacer, dirigé par ses occupants. Il répond aux besoins du transport maritime ou fluvial, et permet diverses activités telles que le transport de personnes ou de marchandises, la guerre sur mer, la pêche, la plaisance, ou d'autres services tels que la sécurité des autres bateaux.

Les bateaux ont accompagné l'Homme dans son évolution. Indispensables lors des grandes guerres et des conquêtes, et aussi pour la subsistance par la pêche, ils ont été transformés et font maintenant partie intégrante des systèmes commerciaux et militaires modernes : plusieurs millions de bateaux de pêche sont utilisés par quelques dizaines de millions de pêcheurs de par le monde et les guerres modernes font appel à des navires hautement sophistiqués pour transporter et soutenir les forces à terre ; près de 35 000 navires de commerce ont transporté 7,4 milliards de tonnes de marchandises en 2007 (voir détail de ces chiffres plus bas).

Les bateaux ont également pris part aux grandes explorations, aux découvertes scientifiques et à la propagation des grandes cultures : les navigateurs chinois comme Zheng He ont permis de partager des inventions comme la boussole ou la poudre à canon, tandis que les expéditions en Amérique ont diffusé la culture européenne sur ce continent. Si les bateaux ont été utilisés pour les colonisations et le commerce triangulaire, ils ont aussi servi et servent toujours à la recherche scientifique et au rayonnement culturel des pays.

Comme l’a démontré Thor Heyerdahl avec le Kon-Tiki, il est possible de faire de longues traversées avec un simple radeau de rondins.

Un doni aux Maldives

Un bateau de lamanage devant l'étrave d'un porte-conteneurs

Le Queen Mary 2 en Allemagne

Terminologie

Le mot « bateau » provient de l'anglo-normand « bat », qui proviendrait du germanique « *baito- » (« briser », « fendre »), augmenté du diminutif « -ĕllus » (« eau »), la forme « batel » étant encore utilisée jusqu'au XV siècle et persistant comme racine de mots tels que « batellerie ».

Le terme peut concerner n'importe quelle structure flottante pouvant avancer efficacement et être dirigée (contrairement au radeau), mais d'autres appellations sont préférées dans certains cas : on parle d'embarcation pour un bateau de petite taille (de l'ordre de quelques mètres de longueur), de navire pour un bateau maritime ponté de fort tonnage, de vaisseau pour les mêmes navires anciens à voile et de bâtiment pour un navire de guerre ou de commerce.

La distinction entre « bateau » et « navire » notamment, et même d'autres termes, reste cependant variable selon les usages, le contexte, etc.. Juridiquement, « bateau » désigne un bâtiment destiné à la navigation sur les fleuves et canaux, tandis qu'un « navire » est destiné à la navigation maritime.

L'emploi est quasiment sans ambiguïté dans certaines expressions consacrées ; on parle par exemple d'un « navire de charge » et d'un « bateau-feu », non de l'inverse ; mais d'autres expressions admettent les deux termes (« navire de pêche » ou « bateau de pêche »).

La Royal Institution of Naval Architects (en) (RINA) britannique propose de fixer une limite à 100 mètres de longueur hors-tout entre « navires » (« ships ») et « bateaux » (« boats »), limite vite démentie par l'utilisation du terme « small ships » (« petits navires ») pour combler les manques de cette définition.

En pratique, l'équipage d'un pétrolier pourra appeler (son) « bateau » ce qui serait assez gros pour être appelé navire.

L'usage du terme « bateau » ou « navire » peut être contesté pour les sous-marins, qui peuvent flotter, mais aussi se déplacer dans les trois dimensions. Les équipages des sous-marins parlent toutefois fréquemment de leur bâtiment comme de leur « bateau ».

Cet article traite donc indifféremment des navires et bateaux, en employant chaque terme selon son contexte.

Histoire

Note : l'histoire des bateaux se confond avec celle de la navigation maritime ; on peut également consulter l'article Histoire de la navigation astronomique à ce sujet.

Les débuts : Préhistoire et Antiquité

Radeau constitué de troncs d'arbre reliés entre eux

L'histoire des bateaux est parallèle à l'aventure humaine. L'invention du bateau est attestée au Néolithique, comme le montre l'épave d'Uluburun, même si des preuves montrent que l'homme a pris la mer il y a quelque 130 000 ans et que le peuplement de la Nouvelle-Guinée par Homo sapiens il y a 40 000 ans pourrait selon Jared Diamond s'être fait par voie maritime. Ces premiers bateaux ont une fonction simple, qui est de pouvoir se déplacer sur l'eau, essentiellement pour la chasse et la pêche. Les plus anciennes pirogues monoxyles découvertes lors de recherches archéologiques sont la plupart du temps taillées dans des arbres résineux, à l'aide de simples outils en pierre.

Il y a environ cinq mille ans, des constructeurs vivant au bord de la rivière Åmose au Danemark inventent le bordage cousu, qui permet progressivement d'augmenter la taille des embarcations. De la pirogue monoxyle, il ne reste bientôt que la quille des bateaux, qui perdure encore aujourd'hui dans les constructions en bois.

Parallèlement, les premiers navigateurs constatent qu'en déployant une peau de bête ou une toile végétale tressée, tendue au bout d'une perche plus ou moins verticale fixée au fond de l'embarcation, ils peuvent utiliser la force éolienne : la voile est née. C'est ainsi que débute le peuplement de l'Océanie il y a trois mille ans sur des pirogues pouvant embarquer jusqu’à une cinquantaine de passagers.

Les Égyptiens ont une parfaite maîtrise de la construction des voiliers, dont on a retrouvé un exemplaire remarquable, la célèbre barque solaire, devant la pyramide de Gizeh. D'après Hérodote, les Égyptiens réalisent vers 600 avant notre ère une première circumnavigation autour de l'Afrique. Les Phéniciens et les Grecs achèvent progressivement de maîtriser la navigation en mer à bord des trières, explorent puis colonisent toute la Méditerranée à bord de leurs navires. Vers 340 av. J.-C., Pythéas atteignit Thulé qu'il ne put dépasser, bloqué par la banquise. Les Romains ont peu innové dans la construction navale, à l'exception du système d'abordage du corbeau. Leurs bateaux sont principalement en bordages à clin et à voile carrée.

Avant l'introduction de la boussole, la navigation en mer se fait principalement par la navigation astronomique. L'usage de l'aiguille aimantée est mentionné en Chine dès le II siècle av. J.-C. et elle y est d'usage pour la navigation entre les IV et VI siècles. Cette utilisation est transmise aux Arabes qui, quelques siècles plus tard, la révèlent aux Européens du Moyen Âge.

Développements : de l'Antiquité à la Renaissance

Une reconstitution de la caraque Santa Maria de Christophe Colomb.

Jusqu'à la Renaissance, la technologie de la navigation reste primitive, basée sur les acquis techniques des civilisations méditerranéennes de l'Antiquité. L'absence d'avancée technologique importante n'empêche pas certaines civilisations de prospérer grâce à leur maîtrise de la navigation, comme les républiques maritimes de Gênes et de Venise, ou encore la marine byzantine. Les Vikings utilisent leurs knörrs pour explorer l'Amérique du Nord, commercer dans la mer Baltique et envahir ou piller de nombreuses régions côtières d'Europe occidentale.

Vers la fin du XIV siècle, des navires comme les cogues commencent à être systématiquement équipés de tours installées sur le pont, à la proue et à la poupe. Ces tours rendent le navire instable, et au XV siècle, les caraques et les caravelles, les supplantent. Les tours sont progressivement remplacées par des châteaux installés à la proue et à la poupe, comme sur la Santa Maria de Christophe Colomb. L'invention du bordage à franc-bord permet une autre innovation beaucoup plus décisive, celle du sabord, et de l'artillerie qui y est associée.

Jeton de la corporation des planchéeurs, metteurs à port
Jeton de la corporation des planchéeurs, metteurs à port

Au XVI siècle, l'usage du franc-bord et des sabords se généralise sur les galions, ainsi que les ponts multiples, qui permettent d'augmenter le nombre de sabords et donc la puissance de feu. Les Anglais modifient leurs navires en conséquence, et font la preuve de l'efficacité de leur doctrine, en vainquant en 1588 l'Invincible Armada.

La technique maritime dans la partie asiatique du globe se développe d'une façon assez similaire à celle de l'Europe, en termes d'efficacité et de complexité des bateaux. On peut noter des références d'actions navales japonaises dans les rapports de l'invasion mongole du Japon par la marine de Kubilai Khan en 1281. Il est probable que les Mongols permettent à cette époque le lien entre connaissances technologiques européennes et asiatiques.

Un atakebune japonais du XVI siècle.

En Chine, 50 ans avant Christophe Colomb, Zheng He parcourt le monde à la tête d'une armada gigantesque pour l'époque, dont les plus grandes jonques comptent 9 mâts, mesurent 130 mètres de long et 55 mètres de large. L'armada de Zheng He emporte 30 000 hommes à bord de 70 vaisseaux, l'objectif des expéditions se limitant à vanter la gloire de l'empereur chinois.

Au Japon, au cours de l'époque Sengoku (XV au XVII siècle), les grands féodaux qui luttent pour la suprématie font construire de grandes flottes côtières de plusieurs centaines de bateaux, comme les Atakebune.

Spécialisation et modernisation

Le Redoutable à Trafalgar (Auguste Mayer) 1836 (61 × 45 cm), musée national de la Marine, Paris Le HMS Sandwich (à droite - 90 canons, non présent à la bataille) achève le Bucentaure (à gauche - vaisseau de 80 canons, confondu à tort avec le Redoutable, lequel venait de combattre durant 2 heures le HMS Victory, vaisseau de 104 canons de Nelson, ici représenté à l'arrière plan)

Parallèlement à la spécialisation militaire, on constate entre l'Antiquité et la Renaissance une différenciation de plus en plus nette entre marine de pêche et marine commerciale. La pêche reste, et restera jusqu'à la fin du XIX siècle, une activité essentiellement côtière, de cabotage, pratiquée par des individus ayant par ailleurs peu de moyens financiers, donc utilisant des bateaux de petite taille. Le commerce maritime, lui, connaît un essor progressif qui pousse à l'emploi de grands navires, tels que les gabares, affrétés par des compagnies maritimes aux moyens financiers importants. Cette activité de commerce reste également associée, en Europe du moins, à l'activité exploratoire, qui s'autofinance par les retombées commerciales de l'exploration.

Lors de la première moitié du XVIII siècle, la marine française met au point un nouveau type de navire, portant soixante-quatorze canons. Ce type de navire devient l'ossature de toutes les flottes de combat européennes. Ces vaisseaux de 56 mètres de long nécessitent chacun plus de 3500 chênes centenaires pour leur construction, ainsi que 40 km de cordage. Ils emportent un équipage de près de 800 marins et soldats.

Un petit bateau de plaisance et un remorqueur à Rotterdam

La différentiation des fonctions des navires évolue peu jusqu'à la fin du XIX siècle. La révolution industrielle et l'arrivée de nouvelles méthodes de propulsion (mécanique) et de construction (métallique) déclenchent par contre une explosion des différenciations. Le besoin d'avoir des bateaux de plus en plus efficaces pour les missions qui leur sont confiées, la fin des conflits systématiques pour la suprématie maritime, l'augmentation des capacités financières des puissances industrielles, engendrent une prolifération de bateaux à usage de plus en plus spécialisé, autant dans les domaines de la pêche et du commerce que dans le domaine militaire. On voit également apparaître des navires très spécialisés dans des fonctions nouvelles, comme les bateaux de sauvetage, les navires scientifiques, les bateaux pompiers.

On comprend dès lors qu'une classification des bateaux par type ou par fonction est difficile. Soit on se limite aux quatre fonctions historiques : pêche, commerce, militaire, exploration, la classification est très généraliste, et déjà à ce niveau on a des difficultés à classifier la plupart des navires anciens; soit on classifie selon les types de navires spécialisés contemporains, et on ne sait alors vraiment plus comment classer les navires anciens. La difficulté est augmentée par le fait que la désignation de nombre de types de bateaux, comme sloop, frégate… est autant utilisée pour désigner des navires anciens que des bateaux modernes n'ayant parfois pas grand-chose à voir avec leurs prédécesseurs.

Distinguer les bateaux anciens des bateaux modernes est également difficile, nombreux étant ceux pouvant relever des deux périodes.

Situation actuelle

Flottille de pêche aux îles Féroé, mêlant chalutiers modernes à l'arrière-plan et embarcations traditionnelles à l'avant-plan.

Bateau de liaison entre les deux rives de l'IJssel, en province de Gueldre (Pays-Bas).

Actuellement, les bateaux et navires restent des outils essentiels pour le commerce international et local, la sécurité des États ou le rayonnement culturel.

La flotte de commerce comprenait 34 882 navires de plus de mille tonneaux de jauge brute en 2007, totalisant 1,04 milliard de tonnes de port en lourd ; ils ont transporté 7,4 milliards de tonnes de marchandises en 2006, une somme qui a augmenté de 8 % par rapport à l'année précédente; la flotte de commerce croît au même rythme. En termes de tonnage, 37,5 % de ces navires sont des pétroliers, 35,8 % des vraquiers, 10,9 % des porte-conteneurs et 10,3 % des cargos polyvalents.

En 2002, on comptait 1 240 navires de guerre en activité dans le monde, sans les petits navires comme les corvettes et patrouilleurs. Les États-Unis possédaient 3 millions de tonnes de matériel, la Russie 1,35 million, le Royaume-Uni 504 660 tonnes et la Chine 402 830 tonnes. Si le XX siècle a vu se passer de nombreux engagements navals lors des deux guerres mondiales, il a aussi été marqué par la guerre froide et la montée en puissance des forces navales des deux blocs. Actuellement, les grandes puissances se servent de leur marine pour la projection de puissance (mener une guerre loin de son territoire, comme le Royaume-Uni aux Malouines ou les États-Unis en Irak) ou pour la défense de leur territoire.

Il est plus difficile d'estimer le nombre de bateaux de pêche: les plus grands sont comptés comme navires de commerce, les plus petits sont innombrables: on peut en trouver dans la plupart des villages de bord de mer dans le monde, assurant la subsistance de leurs habitants. En 1995, la FAO estimait la flotte de pêche mondiale à quelque 3,8 millions de navires, dont un tiers de navires pontés et deux tiers d'embarcations non pontées d'une longueur généralement inférieure à 10 mètres. On estime que 132,2 millions de tonnes de poissons et de coquillages ont été produites en 2003. En 1990, 28,6 millions de pêcheurs étaient en activité dans le monde.

La flotte de plaisance est encore plus difficile à estimer, puisqu'elle rassemble un grand nombre d'embarcations, de bateaux annexes, etc. Rien qu'en France, 837 182 bateaux de plaisance étaient immatriculés en 2003, dont 75 % de bateaux à moteur.

Anatomie

Quelques éléments constitutifs d'un bateau ponté : 1- cheminée, 2- arrière, poupe ou "cul", 3- hélice devant le safran, 4- bordé de la coque, 5- ancre, 6- bulbe d'étrave, 7- avant, proue ou étrave, 8- pont ou gaillard d'avant, 9- superstructure.

Quelle que soit sa taille, un bateau comprend toujours divers éléments constitutifs. On trouve un flotteur, solide fermé assurant l'étanchéité, constitué principalement de la coque et éventuellement d'un pont la recouvrant. Il dispose d'un système propulsif, souvent d'un système directionnel. Suivant l'utilisation du bateau, on trouve ensuite divers locaux, espaces, machines et équipements lui permettant d'assurer sa fonction.

Flotteur

La coque doit pouvoir supporter les dures conditions de mer : illustration sur un navire frigorifique dans du mauvais temps.

Le flotteur (la coque) doit avoir pour première caractéristique d'être plus léger que le poids d'eau correspondant à son volume, afin que la poussée d'Archimède lui permette de flotter. La coque peut prendre plusieurs formes, de simples rondins de bois assemblés pour constituer un radeau, aux coques composites des voiliers de compétition. Il peut y avoir une seule coque (monocoque), deux (catamaran), trois (trimaran) mais rarement plus, bien que certaines expériences soient tentées avec des pentamarans comme futurs navires de commerce. Les coques sont en général parallèles les unes aux autres, et reliées par des bras.

La coque est divisée en plusieurs éléments : l'étrave est la partie la plus à l'avant, le brion est la partie avant sous la flottaison ; la quille ou la ligne de quille le prolonge sur sa longueur ; l'arrière est formé d'un étambot et d'un tableau arrière. La coque comporte souvent des appendices servant à la propulsion (hélice), à la giration (gouvernail), à limiter certains mouvements (quilles de roulis), à l'hydrodynamisme (bulbe d'étrave) ou aux fonctions du navire (apparaux de pêche, dôme sonar). La flottaison sépare les œuvres vives en dessous et les œuvres mortes au-dessus.

La coque supporte enfin les différentes contraintes : contraintes hydrostatiques puisqu'elle doit supporter le poids du bateau, souvent inégalement réparti ; contraintes hydrodynamiques provenant du choc des vagues ; elle doit aussi prévenir le naufrage en cas de collision ou d'échouement. Elle est ainsi souvent doublée sur les plus gros navires, notamment les pétroliers. La coque est construite en bois pour les navires anciens et certains bateaux de plaisance, en acier pour la majorité des navires de commerce, en aluminium pour les navires rapides, en plastique pour de nombreux bateaux de plaisance et en composite pour les voiliers rapides.

Appareil propulsif

Voilier de pêche traditionnel du Mozambique

Moteur Diesel quatre-temps sur un navire de charge

Si le système propulseur peut être constitué d'une simple pagaie, on trouve aussi sur les grands cargos, les plus gros moteurs Diesel au monde. La propulsion relève de trois catégories: propulsion humaine, propulsion vélique et propulsion mécanique. La propulsion humaine comprend la perche, encore utilisée en zone marécageuse, l'aviron (sport) utilisé en compétition et historiquement sur les galères, la pagaie, la godille et le pédalo. Actuellement ces systèmes sont réservés aux petites embarcations ou comme propulsion d'appoint sur les petits voiliers.

La propulsion vélique s'effectue au moyen de voiles dressées sur un ou des mât(s), supportées par des espars et contrôlées par des cordages. Historiquement le système le plus employé jusqu'au XIX siècle, il est maintenant réservé à la plaisance, aux régates et aux grands voiliers d'apparat. Cependant, des systèmes expérimentaux sont testés afin de réaliser des économies de carburant sur les grands navires, tels que la turbovoile ou le cerf-volant de traction.

La propulsion mécanique comprend un moteur et un propulseur. Le moteur s'est d'abord développé avec la machine à vapeur, maintenant remplacée dans la plupart des utilisations par des moteurs Diesel deux-temps ou quatre-temps, par un moteur hors-bord à essence sur les petites unités, par une turbine à gaz sur les navires rapides (NGV, frégates…), ou par un groupe diésel-électrique pour des applications avancées. Certaines machines avancées combinent deux systèmes, comme le CODAG pour Combined Diesel and Gas (moteur Diesel et turbine à gaz combinés, sur les navires de guerre). Des moteurs électriques ont parfois été utilisés, par exemple sur des paquebots. Enfin, l'énergie nucléaire est employée sur des navires de guerre et les brise-glaces.

Le propulseur le plus courant est l'hélice et ses diverses variantes: hélices jumelles, contra-rotatives, à pas variable, en tuyère… un petit bateau possède souvent une seule hélice et un porte-avions jusqu'à quatre, complétées par des propulseurs transversaux, d'étrave ou d'arrière.. La puissance est transmise aux hélices par un arbre d'hélice relié éventuellement à un réducteur. Les hélices peuvent être montées sur des supports externes (Z-drive, pods) ou remplacées par un système similaire (propulseur Voith-Schneider, hydrojets). Il existe enfin des systèmes expérimentaux (propulsion magnétohydrodynamique, à réaction) dont l'utilisation est réservée aux applications militaires ou aux records de vitesse.

Appareil à gouverner

Safran d'un navire en cale sèche au chantier de Remontowa à Gdańsk en Pologne

Sur un bateau à propulsion humaine, un système pour contrôler la direction peut ne pas être nécessaire. Il le devient en cas de propulsion mécanique ou vélique. Le dispositif le plus courant est un gouvernail constitué d'un safran, plan immergé à l'arrière de la coque, pouvant être braqué pour générer une force latérale servant à faire tourner le bateau. Le safran est braqué par la barre, actionnée manuellement ou par un pilote automatique. Le gouvernail peut être supprimé quand le propulseur est orientable : moteur hors-bord, pods ou Z-drive.

En appoint, les propulseurs d'étrave permettent de faire éviter (tourner) le bateau à faible vitesse, par exemple dans les ports ou pour les navires à positionnement dynamique. Les voiles situées aux extrémités d'un voilier ont également un rôle plus directionnel que propulsif.

Cales, locaux et superstructures

Dunette richement décorée sur le trois-mâts Götheborg

Dès qu'il atteint une certaine taille, de l'ordre de huit mètres de longueur, un bateau possède souvent un ou plusieurs pont(s) fermant la coque et divisant l'espace horizontalement. Le pont principal constitue un élément essentiel de la rigidité de la poutre-navire. Sur un voilier de plaisance, ils serviront à délimiter une cabine pour l'habitation ; sur un bateau plus grand (bateau de pêche ou de commerce), on trouvera une ou plusieurs cales abritant les marchandises, une salle des machines pour l'appareil propulsif, divers locaux permettant le travail, et des cabines pour l'équipage. Des réservoirs permettent de stocker le carburant, l'huile de moteur et l'eau douce. Enfin, des ballasts sont aménagés afin d'équilibrer le navire.

Au-dessus du pont principal, on trouve diverses superstructures dont la fonction est parfois esthétique. Elles sont en général très basses sur un voilier, entièrement à l'arrière sur un navire de charge, s'étendant sur toute la longueur pour un navire des passagers, ou divisées en plusieurs éléments sur les grands voiliers.

Équipements

L'ancre à jas est le symbole courant des bateaux et de la navigation.
L'ancre à jas est le symbole courant des bateaux et de la navigation.

Si chaque type de bateau a ses équipements propres (se reporter à chaque article pour les détails), certains équipements sont communs à de nombreux types:

Une ou plusieurs ancre(s) à l'avant permet le mouillage et l'immobilisation du bateau en eaux peu profondes. Elle est reliée à une chaîne passant à travers un écubier jusqu'au puits aux chaînes. les chaînes et les ancres ainsi que les apparaux constituent les lignes de mouillages qui sont manœuvrées par un guindeau ou un cabestan.

Un mât permet de porter les antennes, feux de navigations, pavillons, radar, corne de brume, etc. conformément à la législation. Sur un voilier, le ou les mâts portent également les voiles; ils sont maintenus par des manœuvres dormantes, tandis que les voiles sont contrôlées par des manœuvres courantes. L'ensemble de la mâture forme le gréement.

Divers apparaux tels que cabestans, guindeaux, treuils ou winchs servent à manœuvrer les cordages pour l'amarrage, les voiles ou les grues.

Des grues ou des mâts de charge sont utilisés pour charger et décharger des marchandises au travers d'ouvertures pratiquées dans le pont (écoutilles recouvertes de panneaux de cale) ou dans la coque (portelones). Une coupée permet aux personnes de transiter entre le bateau et le terre.

L'accastillage comprend enfin les diverses pièces d'équipement nécessaires pour les manœuvres.

Finalement, à partir d'une certaine taille, tout bateau emporte une embarcation de sauvetage ou un radeau de sauvetage assurant la sécurité des personnes en cas de naufrage.

Fonctionnement

Hydrostatique

Catamaran « Tornado » à la gîte : la stabilité est assurée par l'écartement entre les coques.

La sustentation d'un bateau peut être assurée de différentes façons :

pour un bateau « archimédien » ou « à déplacement », le poids de la coque est compensé par la poussée d'Archimède correspondant au poids du volume d'eau déplacé (d'où le terme de déplacement). C'est le cas de tous les gros navires et de la majorité des bateaux « classiques ».

pour un bateau à coque « planante », de type hydroptère, la sustentation est hydrodynamique : le bateau flotte à l'arrêt mais la coque se soulève à pleine vitesse grâce à l'action de l'eau sur les surfaces portantes, réduisant d'autant la résistance de l'eau.

pour les navires à effet de surface et les aéroglisseurs, la sustentation est assurée de façon aérostatique soit par un coussin d'air, soit par la création d'une poche d'air par effet de surface.

Le bateau est en équilibre d'une part lorsque les forces sont d'égale grandeur, donc quand l'immersion est suffisante pour que la poussée d'Archimède compense le poids ; d'autre part lorsque les moments sont équilibrés. Le bateau prend ainsi une position d'équilibre. Si les poids sont également répartis, le bateau flotte avec une inclinaison nulle, mais l'action des vagues, du vent et le déplacement des poids (déplacement de l'équipage, du lest, de la cargaison) entraîne une inclinaison par rapport à l'axe longitudinal (gîte) ou transversal (assiette). Si la gîte est prévue sur les voiliers en raison de l'action du vent, elle est évitée autant que possible sur les bateaux à moteur : elle est source d'inconfort et de risques puisqu'une gîte excessive peut mener au chavirage.

L'équilibre et la stabilité d'un bateau sont donc étudiés d'une part de façon statique (répartition des poids) et dynamique (action des vagues et du vent). Les moyens pour compenser une gîte excessive sont le déplacement de l'équipage sur les petits voiliers, le réglage des voiles selon l'allure, un lest fixe (placé en bas de la quille) ou orientable, ou des ballasts pouvant être remplis d'eau. L'assiette est compensée de la même façon.

Hydrodynamique

Système de vagues généré par le bateau de pêche Doña Delfina aux formes assez pleines.
Système de vagues généré par le bateau de pêche Doña Delfina aux formes assez pleines.

L'avancée d'un bateau est contrariée par la résistance de l'eau. Cette résistance peut être décomposée en plusieurs composants dont les principaux sont la friction de l'eau sur la coque et la création de vagues. Pour réduire la résistance et donc accroître la vitesse pour une puissance donnée, il faut réduire la surface immergée et utiliser des formes de coque produisant des vagues d'amplitude moindre. Pour cela, les bateaux rapides sont souvent plus fins, avec des appendices de taille plus réduite ; la friction de l'eau est aussi réduite par un entretien régulier de la coque sur laquelle se déposent des animaux et des algues, en l'enduisant d'un antifouling. La résistance de vague peut être réduite par l'ajout d'un bulbe d'étrave et par des formes régulières et fines.

Cependant, la résistance à l'avancement grandit très vite pour un navire à déplacement lorsque le nombre de Froude atteint 0,4 ; pour dépasser cette vitesse, il faut soit alléger et affiner la coque soit utiliser une portance dynamique additionnelle permettant à la coque de « déjauger » et de réduire la résistance :

coques « planantes ». C'est le cas de dériveurs de course comme les 49ers, des "hors-bords", des vedettes et de certains navires à passagers rapides,

catamarans à ailes immergées (foils), hydroptères,

portance aérostatique (coussin d'air).

Mouvements d'un bateau selon les trois axes : 1- pilonnement, 2- embardée, 3- cavalement, 4- lacet, 5- tangage, 6- roulis.

Pour les grands projets, disposant d'un financement adéquat, la résistance hydrodynamique peut être testée dans un bassin d'essais des carènes ou en utilisant la simulation numérique.

Le bateau subit également des mouvements dus à son déplacement dans l'eau : ces mouvements peuvent être éprouvants pour les passagers et pour le matériel et doivent être maîtrisés si possible. Le roulis peut être limité par une quille de roulis, par des ailerons stabilisateurs ou par un système de poids ; le tangage est plus difficile à limiter et peut devenir dangereux si l'avant du bateau tape dans les vagues, phénomène appelé tossage. C'est en général au stade de la conception que la forme de coque est optimisée pour cela ; lors de la navigation, c'est le centrage des poids, le matossage, et le changement de route (ou d'allure) qui permet de limiter les mouvements.

Structure

Reconstruction de la frégate Hermione à Rochefort, en bois massif.

La structure absorbe la répartition des masses, le choc des vagues, les efforts dus à l'avancée dans l'eau et à la pression du vent, et les diverses contraintes de la navigation ou du port. La structure est constituée de deux parties : la charpente primaire ou principale qui soutient la structure, et la charpente secondaire plus dense qui est associée au bordé pour le raidir. Cette distinction est claire pour la construction en bois massif ou en métal, mais disparaît sur les constructions à clin ou en sandwich, où la structure est intégrée au bordé. La charpente est complétée par un système de raidisseurs transversaux (des raidisseurs sont ajoutés transversalement, comme les membrures et les barrots) ou longitudinaux (raidisseurs longitudinaux comme les lisses). Des renforts sont ajoutés aux endroits subissant de fortes contraintes : carlingue, base du moteur, support de l'arbre d'hélice, épontilles, pied de mât et cadènes, etc.

La structure a aussi le rôle d'absorber le bruit et les vibrations qui sont une source d'inconfort et de risque pour la structure elle-même. La structure intègre également des cloisons étanches afin de subdiviser le bateau en zones étanches permettant de garder une stabilité suffisante après avarie (par exemple, le bateau doit pouvoir rester à flot si un compartiment ou deux sont envahis), ainsi que des cloisons anti-feu pour retarder la progression d'un incendie.

Vie d'un bateau

La vie d'un bateau passe par plusieurs étapes : tout d'abord, son acquisition qui revêt diverses formes selon l'utilité finale (de la commande à un chantier de production en série, au contrat entre armateur, affréteur et chantier) ; puis la phase de conception réalisée par un architecte naval. La construction est ensuite réalisée dans un chantier naval, après quoi le bateau est lancé et peut être utilisé. La fin de vie revêt également différentes formes.

Conception

Le plan de formes est un des plans de base ; ici, pour un cargo polyvalent.

La conception d'un bateau passe par différentes phases : à partir d'un programme ou d'un cahier des charges, l'architecte naval suit une spirale de projet consistant à créer un premier schéma, évaluer les dimensions, les espaces et le déplacement. À partir de là, un avant-projet peut être réalisé incluant la forme de la carène, le profil général et une première estimation de la puissance propulsive. Une fois ces données fixées, le projet en tant que tel peut être défini.

Un dossier de projet comprend typiquement un plan d'ensemble, une spécification générale décrivant les particularités du bateau et incluant un devis de masses, le plan de formes, divers plans de structure et de construction que le chantier utilisera, dont une coupe au maître présentant les échantillonnages. Selon la taille du bateau et les besoins, on peut encore trouver un plan de voilure, des capacités, électrique, des systèmes de ventilation…

L'architecte est également soumis aux diverses réglementations ; un rapport de franc-bord et une épure de jauge montre le respect de ces règlements, de même que des schémas d'évacuation en cas de naufrage pour un bateau à passagers ou un schéma de cloisonnement anti-feu.

Construction

Lancement d'un navire par le côté, à Gdansk, Pologne.

La construction a lieu dans un chantier naval ; elle peut durer de quelques mois pour une unité produite en série, à plusieurs années pour la reconstruction d'un bateau en bois comme la frégate Hermione, voire plus de dix ans pour un porte-avions. Le mode de construction est dicté principalement par le matériau de la coque et par la taille du bateau. La coque d'un voilier de série en plastique est construite à partir d'un moule ; la coque d'un cargo en acier est réalisée en plusieurs blocs soudés les uns aux autres au fur et à mesure qu'ils sont construits.

De manière générale, la construction commence par la coque (et par la pose de la quille dès que le bateau dépasse une trentaine de mètres), dans une cale sèche ou à terre. Une fois celle-ci assemblée et éventuellement peinte, elle est lancée par le côté ou par l'arrière, ou par submersion si elle se trouve dans une cale inondable ; un petit bateau sera simplement mis à l'eau par une remorque ou une grue. La superstructure est posée et les travaux de finition permettent d'installer les emménagements et équipements.

Une fois terminé, le bateau est livré au client. Le lancement et la livraison donnent souvent lieu à une cérémonie pour un bateau d'une certaine importance : la cérémonie de baptême est l'occasion de donner un nom au bateau. Le prix typique d'un bateau est de quelques dizaines d'euros pour une petite barque, 1 000 euros pour un hors-bord de petite taille, plusieurs dizaines de milliers d'euros pour un petit voilier de compétition et plus de 2 millions d'euros pour un voilier du Vendée Globe. Un chalutier de 25 mètres peut coûter 2,5 millions d'euros, et un ferry rapide pour 1 000 passagers plus de 50 millions d'euros. Le prix d'un cargo dépend de sa complexité : un petit cargo polyvalent coûte 20 millions de dollars, un vraquier Panamax 35 millions de dollars, un superpétrolier 105 millions de dollars et un grand méthanier près de 200 millions de dollars. C'est toutefois parmi les navires militaires que l'on trouve les plus coûteux, notamment à cause de l'électronique embarquée : 2 milliards de dollars pour un sous-marin de classe Seawolf, et 3,5 milliards de dollars pour un porte-avions géant.

Réparation et conversion

Dock flottant en Pologne servant aux réparations du porte-conteneurs Spirit

Lors de son service actif, le bateau connaît des périodes de navigation, des temps d'attente / chargement / déchargement aux ports, et des périodes d'hivernage entre les saisons de navigation. Cependant, le bateau fatigue : une visite en cale sèche est nécessaire à intervalles réguliers (tous les ans pour un paquebot, tous les deux ans et demi pour un navire de charge) afin de débarrasser la coque des animaux incrustés comme les pouces-pieds, de refaire la peinture et de renouveler les zincs, anodes solubles servant à éviter la corrosion de l'hélice, de la coque et du tuyautage eau de mer. À d'autres intervalles, une plus longue visite dans un chantier peut être nécessaire pour changer certaines pièces, notamment de l'appareil propulsif et directionnel qui fatiguent vite. C'est l'occasion de tester la résistance de la structure, le câblage électrique, de mettre à niveau les installations selon les réglementations, etc.

Si le bateau a subi une avarie et qu'il n'est pas déclaré « perte totale » (auquel cas il est le plus souvent mis à la casse), il entre en chantier pour réparations, ce qui peut parfois se faire à flot. Enfin, les reconversions ont plusieurs buts, comme adapter un navire non rentable à un autre but (un pétrolier en FPSO par exemple) ou sauver ce qui peut l'être après une grosse avarie (conversion en barge d'un navire de charge).

Fin de vie

Naufrage, de Claude Joseph Vernet, 1759 (96 x 134,5 cm), musée Groeninge de Bruges

Un navire de charge a une durée de vie comprise entre vingt et trente ans ; un voilier en contreplaqué peut durer entre trente et quarante ans, à peu près comme un bateau en plastique. Les navires en bois bordé sur membrure ont une durée de vie virtuellement infinie, n'importe quelle pièce de leur structure pouvant être remplacée : le plus ancien grand voilier en état est le HMS Victory (lancé en 1765, et mis en cale sèche en 1920), le plus ancien grand voilier encore à flot et navigable est le USS Constitution (lancé en 1797). Les navires en fer peuvent souvent dépasser la centaine d'années (les navires en acier, plus résistants mécaniquement le sont beaucoup moins face à la corrosion) : le plus vieux grand voilier en fer est l'Elissa (lancé en 1877 et navigant toujours). Avec le vieillissement, la solidité de la coque est compromise par la corrosion (rouille, électrolyse), l'osmose, différentes réactions chimiques dans les résines et colles, la pourriture, ou les xylophages, et il devient trop dangereux de faire naviguer le bateau. Celui-ci peut être sabordé en mer, abandonné comme épave ou mis à la casse pour démolition. Il peut aussi être réutilisé pour former une digue près d'un port ou comme navire musée.

Un destin prématuré peut l'attendre sous la forme d'une fortune de mer : incendie, collision, échouement ou chavirage peuvent entraîner une perte totale du bateau ou nécessiter d'importantes réparations en cale sèche. D'un autre côté, il peut être préservé notamment s'il a une forte valeur : c'est parfois le cas des grands voiliers ; ces navires représentent leur pays ou région d'origine lors de manifestations nautiques en servant « d'ambassadeurs ».

Enfin, de nombreux bateaux détruits ou perdus « survivent » tout de même pour les personnes qui y étaient attachés grâce à des maquettes ou des reliques : certains objets symboliques sont conservés, comme une ancre, une plaque d'identification, une pièce d'accastillage ou la cloche du bord.

Utilisations et classification

La classification des bateaux est un exercice ardu et on trouve quasiment autant de classifications que d'auteurs ; la raison principale est la quantité de paramètres pouvant être utilisés, qui incluent :

Le nombre de coque (monocoque, catamaran), leur forme (dériveur, quillard, étrave « brise-glaces »), leur matériau de construction ;

Le type de propulsion : humaine, mécanique, ou à voiles. Dans ce dernier cas, le type de gréement donne lieu à de nombreuses variations, types et sous-types, en fonction du nombre, de la taille respective et de la position des mâts, ainsi que de la forme des voiles.

L'époque et l'origine géographique : certains bateaux sont typiques d'une région (tels les pinasses du bassin d'Arcachon, les gondoles de Venise ou les jonques chinoises) ou de leur époque (trières de la Grèce antique, Man'o'wars du XVIII siècle).

Le constructeur, la série ou la jauge déterminent des « classes » de bateaux dans le domaine militaire, ou de la compétition comme la classe J des années 1930. La « patte » d'un architecte naval peut aussi se reconnaître, notamment pour les voiliers.

Ces critères sont décrits dans les articles correspondants, notamment gréement. Une autre façon de catégoriser les bateaux est selon leur utilisation, telle que décrite par Dominique Paulet et Dominique Presles : bâtiments militaires, navires de commerce et de services, bateaux de pêche, bateaux de plaisance et de compétition. C'est cette classification qui est présentée ci-dessous, en y ajoutant les bateaux fluviaux et les « inclassables ».

Navires de commerce

Les navires de commerce comprennent trois grandes catégories : les cargos, les navires à passagers, et les navires de service et spécialisés. Les navires de charge servent au transport de marchandises sèches ou liquides. Les marchandises sèches peuvent être transportées en vrac (vraquiers), emballées (cargos polyvalents), en conteneurs (porte-conteneurs), sur camions (rouliers)… Les marchandises liquides utilisent des navires-citernes tels que les pétroliers ou méthaniers. Certains pétroliers sont aussi les plus grands navires et les plus grandes structures flottantes au monde.

Les navires à passagers transportent des personnes ; leur taille va du transbordeur fluvial aux grands paquebots et liners. Les navires de servitude servent à apporter leur concours à d'autres bateaux : remorqueurs, bateaux pilote, de sauvetage, etc.

Enfin, les navires spécialisés ne servent pas au transport mais accomplissent d'autres tâches : pose de câbles sous-marins (câbliers), recherche scientifique (navires océanographiques), dégagement de passages (brise-glaces)…

La plupart des navires de commerce ont des formes ventrues afin de contenir une cargaison maximale. Leur coque est en acier, voire en aluminium pour les plus rapides ; seuls les petits bateaux de serviude sont en plastique. Ils comprennent un équipage dirigé par un commandant et des officiers spécialisés, ainsi qu'un équipage spécialisé si besoin (par exemple sur un navire scientifique). Ils sont généralement propulsés par une hélice mais parfois deux pour plus de sécurité et être plus manœuvrant entraînées par un moteur Diesel ; les bateaux à grande vitesse emploient des hydrojets et parfois une turbine à gaz.Certains sont propulsés par des pods électriques.

Deux porte-conteneurs modernes à San Francisco

Ferry à Hong Kong

Bateau pilote dans le port de Rotterdam

Le Pourquoi pas ?, navire océanographique à Brest

Bâtiments militaires

Les navires de guerre modernes sont divisés en différents types de bâtiments qui correspondent à leurs capacités militaires, leurs déplacements et leurs missions. Les plus courants sont les patrouilleurs, les corvettes, les frégates, les destroyers et les croiseurs. Ils constituent "l'épine dorsale" des flottes modernes. Les porte-aéronefs et les porte-hélicoptères mais surtout les porte-avions ont des dimensions impressionnantes. Les porte-avions peuvent mesurer jusqu'à 330 mètres, déplacer 100 000 tonnes et embarquer plus d'une soixantaine d'appareils. Sous la mer les sous-marins nucléaires d'attaque, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins possèdent d'une autonomie quasi illimitée, et celle des sous-marins à propulsion conventionnelle Diesel/électrique n'a plus rien à voir avec la faible autonomie des submersibles. Les bâtiments de débarquement peuvent embarquer un état major, transporter des aéronefs, des troupes, des blindés et des véhicules ainsi que des engins de débarquement, en particulier aéroglisseurs. Ils peuvent avoir une capacité de bateau hôpital.

D'autres bateaux ne sont pas forcément destinés au combat mais sont utilisés par les forces navales : chasseurs de mines, collecteurs de renseignements, pétroliers-ravitailleurs d'escadres et bâtiments de soutien logistique, bateaux et voiliers d'entraînement dans les écoles navales. Dans certains pays, l'État assure aussi des missions scientifiques (hydrographie, océanographie) grâce à des bâtiments armés par sa marine militaire. Enfin, la marine a aussi souvent une mission de surveillance et de protection des frontières maritimes assurée par des bateaux patrouilleurs, dits bâtiments de souveraineté.

Les bâtiments de combat ont généralement des formes de carènes élancées et des machines alliant une bonne vitesse, une grande souplesse de variations d'allures et un grand rayon d'action. Ils doivent être très manœuvrants. Ils utilisent des systèmes de communication souvent satellitaires, ainsi des systèmes électroniques dédiés à la navigation et à la conduite de l'artillerie, des missiles et des torpilles, tout cela embarqué dans un espace restreint avec des équipages de moins en moins nombreux et dont la tendance est à la réduction à bord des futurs bâtiments pour en diminuer le coût de possession.

Le porte-avions américain Harry S. Truman et un ravitailleur

Le cuirassé américain USS Iowa tirant une bordée de ses 3 pièces triples de 406 mm

Chasseurs de mines téléguidés allemands Seehunde

Le chaland de débarquement d'infanterie et de chars français Rapière

Bateaux de pêche

Les bateaux de pêche peuvent être assimilés à des navires de commerce, mais leurs dimensions réduites et leur utilisation souvent « artisanale » les font souvent classer à part. Ils sont classés selon plusieurs critères : selon le type de poisson qu'ils pêchent (ainsi les thoniers, sardiniers, crevettiers…) ; selon la méthode de pêche utilisée (d'où les chalutiers, les fileyeurs, les bolincheurs…) ; ou selon leur origine géographique ou caractéristiques techniques tels que le gréement : sinagos, lanches, bisquines…

Les grands thoniers ou baleiniers peuvent atteindre une longueur d'une centaine de mètres, mais les bateaux de pêche ne dépassent souvent guère plus de 20 à 30 mètres, ventrus pour disposer de cales suffisamment grandes pour une bonne autonomie. Le poisson pêché peut être simplement stocké dans de la glace, ou traité directement à bord pour pouvoir être vendu plus rapidement une fois au port ; on parle alors de navire-usine. Dans leur forme la plus simple pour un canot de pêche, on peut trouver un petit rouf abritant la barre, un pont destiné à accueillir la pêche et divers outils pour mettre à l'eau les filets ou les lignes. Sur un chalutier, on trouvera d'autres apparaux de pêche comme des treuils et des portiques. D'autres dispositifs sont utilisés : rampe inclinée sur un chalutier, skiff sur un thonier senneur, « scoubidou » sur un bateau goémonier…

Voilier de pêche à Cap-Haïtien, Haïti

Chalutier de Saint-Nazaire

Bateau ostréicole à La Trinité-sur-Mer

L’Albatun Dos, thonier senneur congélateur à Victoria (Seychelles)

Bateaux de loisir

Les bateaux de plaisance regroupent notamment les voiliers et les yachts qui servent aux loisirs ; ceux-ci incluent le nautisme à voile ou motorisé, la croisière côtière et hauturière, la promenade, voire le simple fait de rester à bord au port. Les voiliers vont de l'Optimist, petit bateau d’initiation de 2,30 m, aux grands yachts de haute mer ; on y trouve des gréements simples (sloops, cotres) ou plus extravagants, des emménagements suffisamment confortables pour accomplir le programme désiré.

Les bateaux à moteur de plaisance incluent les embarcations pneumatiques dotées de moteurs hors-bord et les runabouts (comme les Rivas), et pour les plus grands les vedettes et cabin cruisers. Les plus grands sont souvent très luxueux, disposant de nombreuses cabines et d'emménagements (salons, piscine, etc.), et sont sources de prestige pour leurs riches propriétaires.

Aquarius, ketch de croisière français des années 1950

Petit pneumatique hors-bord en Norvège

Day-cruiser hollandais

Yacht de luxe à Newport Beach

Bateaux de compétition

Les bateaux de compétition sont ceux destinés aux régates et autres compétitions sportives telles que les records de vitesse ou de distance. Parmi les voiliers, les dériveurs et catamarans de sport sont utilisés pour la navigation sportive ou l'initiation à la voile ; on trouve également les planches à voile et les sports similaires tels le kitesurf mais il devient alors difficile de parler de « bateau » en raison de la taille. Les plus grands voiliers participent à des régates côtières ou océaniques, les plus connues étant souvent les plus extrêmes comme le Vendée Globe en solitaire. Certaines courses n'acceptent que les bateaux d'une certaine classe, donnée par une jauge de course, comme la Coupe de l'America. Avec la propulsion humaine, l'aviron (sport) est connu pour ses bateaux extrêmement fins, offrant peu de résistance à l'avancement. Il existe également de nombreuses catégories de vitesse et même d'endurance pour les compétitions de bateaux propulsés par des moteurs, on trouve en motonautisme des catégories « inshore » et « offshore » avec des épreuves nationales et des championnats du monde.

Cette catégorie peut inclure les bateaux expérimentaux, souvent destinés à améliorer la vitesse pour battre un record ou tester une particularité technique. Il peut arriver qu'un type de bateau expérimental devienne un modèle courant, comme pour les hydroptères.

]]

GBR52, Class America : les voiliers les plus avancés

Bateau à moteur expérimental aux courses de Mission Bay

L'hydroptère, bateau expérimental

Bateaux fluviaux

La navigation fluviale a de tous temps représenté un moyen privilégié pour le déplacement des hommes et des marchandises, avant même le développement de la navigation maritime. Le symbole de la Louisiane est souvent lié à ces célèbres bateaux à fond plat mus par des roues à aube.

Ce mode de déplacement, notamment à l'aide de péniches, longtemps considéré comme la voie principale de transport terrestre, a connu un déclin récent, datant du début des années 1970, qui s'explique par les évolutions structurelles de l'économie : déclin des industries lourdes traditionnelles et des transports de pondéreux, importance croissante de la rapidité des acheminements, vétusté du réseau et manque d'entretien entraînant des difficultés d'exploitation, rigidité des pratiques professionnelles, obsolescence du cadre législatif et réglementaire, et d'une manière générale, mauvaise insertion technique et commerciale dans les « chaînes logistiques » de l'économie post-industrielle.

Une autre contrainte intervient dans le fonctionnement de ce mode de transport, qui est l’irrigation des régions en voies navigables. Ce mode de transport représente aux Pays-Bas 42 % du trafic total de marchandises, environ 13 % en Allemagne, et seulement 3 % en France, pays dont les deux tiers des régions ne sont pas irrigués par des voies navigables à grand gabarit.

La principale utilisation moderne de la navigation fluviale reste le transport des marchandises et le tourisme fluvial, qui recouvre essentiellement les activités de promenade et de croisière (« transport de passagers ») et les activités de plaisance.

Péniche Temptation sur le Rhin

Bateau fluvial Natchez sur le Mississippi

Bateau-omnibus sur la Seine

une gondole à Venise

Autres

Comme toute classification, celle-ci est incomplète même si elle reflète l'essentiel de la production de nouveaux bateaux actuellement. Il faut aussi noter que la différenciation entre les différentes utilisations des navires ne s'est faite que vers le XIX siècle. Parmi les autres types de bateaux, on peut citer :

Les anciens voiliers, préservés ou restaurés, dans le but de conserver une partie de l'héritage maritime d'une région ou d'un pays. Ils servent fréquemment « d'ambassadeurs » d'un pays à l'étranger et de navires-école pour les marines nationales ou marchandes. On peut trouver aussi bien des bateaux de dimensions modestes (comme les bisquines) que des navires parmi les plus grands comme le Sedov, ou des navires historiques comme l’Hermione.

Les « bateaux-maisons », structures flottantes servant d'habitations.

Les bateaux historiques, qui ne sont plus construits de nos jours ou seulement dans un but de restauration et de préservation.

Les plates-formes industrielles flottantes (plate-forme pétrolière, champ d'éoliennes offshore flottantes, plate-forme météo ou scientifique…) sont vouées à se développer fortement, et il est parfois difficile de savoir s'il s'agit ou non d'une construction entrant dans la catégorie des bateaux.

Les sous-marins, destinés à la navigation et l'exploration subaquatique.

Le Dar Pomorza, trois-mâts carré

La bisquine La Cancalaise et la chaloupe Eulalie

Bateau-maison au Kerala

Plate-forme pétrolière en Norvège

Bathyscaphe au musée océanographique de Monaco

Exemples de bateaux notables

Certains bateaux sont devenus célèbres à la suite d'un évènement spécial ou à cause de leurs caractéristiques. On peut ainsi trouver certains domaines où des bateaux sont devenus célèbres : les naufrages et le monde du sauvetage associé ; les navires ayant des dimensions ou caractéristiques techniques exceptionnelles ; les bateaux associés à un exploit humain ou à un record ; les bateaux associés à une légende ou à une anecdote.

Naufrages et sauvetage

Le naufrage du Titanic, dessiné par Willy Stöwer.

S'il se produit chaque année plusieurs dizaines de naufrages, les plus notables sont ceux entraînant une catastrophe humaine ou écologique. La plus grande catastrophe maritime est le naufrage du Wilhelm Gustloff (paquebot) entraînant la mort de plus de 9 000 personnes en 1945, pendant la Seconde Guerre mondiale, suivie par le naufrage du Cap Arcona avec environ 8 000 morts. En temps de paix, la plus grande catastrophe serait celle du Titanic en 1912 (plus de 1 500 morts), largement médiatisée en raison du caractère supposé « insubmersible » du navire. L'Empress of Ireland qui coula en mai 1914 dans le fleuve Saint-Laurent entraina quant à lui, la mort de 1 012 personnes qui en fit la seconde plus grande catastrophe maritime hors guerre. Cependant, les tragédies du Joola en 2002 (près de 2 000 victimes) et du Doña Paz en 1987 (1 565 victimes officiellement, 4 000 officieusement) seraient pires.

Parmi les naufrages notables, on peut encore citer le Lancastria en 1940 avec 5200 morts au moins, la Blanche-Nef en 1120 qui transportait l'héritier du trône d'Angleterre, la Méduse dont le radeau inspira un tableau célèbre, le Vasa qui coula à son lancement en 1628 car il était surchargé dans sa partie hors d'eau. D'autres naufrages n'ont pas nécessairement causé une catastrophe humaine de grande ampleur mais ont entraîné de profonds changements dans les réglementations maritimes : outre le Titanic qui a entraîné le code Solas, on trouve le Herald of Free Enterprise (portes étanches sur les rouliers), l’Amoco Cadiz (contrat de sauvetage), le MV Derbyshire (structure des vraquiers) ou l’Exxon Valdez (double coque sur les pétroliers).

Le Blue Marlin transportant l’USS Cole

Les marées noires causées par le naufrage d'un pétrolier peuvent entraîner de graves dommages écologiques. La plus grande marée noire provenant d'un navire est celle de l’Atlantic Empress en 1979 avec 287 000 tonnes de pétrole. Cependant, les pires catastrophes sont celles qui ont lieu près des côtes, comme pour l’Amoco Cadiz ou l’Erika en France, l’Exxon Valdez aux États-Unis, le Prestige en Espagne ou le Torrey Canyon en Angleterre. Les chimiquiers représentent aussi un grand risque pour l'environnement comme avec le Ievoli Sun en 2004. Enfin, les sous-marins à propulsion nucléaire posent des risques de contamination, comme le Koursk K-141 ou le Komsomolets.

Les moyens de sauvetage employés peuvent aussi être impressionnants et employer des moyens dédiés : les bateaux de sauvetage s'attirent souvent l'admiration du public, ainsi que les remorqueurs de haute mer ou de sauvetage, tels l’Abeille Bourbon ou l’Abeille Flandre en France ou le navire semi-submersible Blue Marlin.

Caractéristiques techniques

Comparaison de quelques-uns des plus grands navires : le Knock Nevis, le Emma Mærsk, le Queen Mary 2, le Berge Stahl et le USS Enterprise.

Le navire à la fois le plus long et le plus lourd est le superpétrolier Knock Nevis de 458 m de longueur hors-tout et d'un déplacement de **7 955 tonnes ; puisqu'il ne navigue plus, le plus long navire en activité est le porte-conteneurs Emma Mærsk. Le plus grand pétrolier à double coque est le Hellespont Fairfax de 380 m de long et de 441 585 tpl. Le plus grand vraquier est le Berge Stahl de 343 m de long et de 3** 768 tpl. Le plus long paquebot est le Oasis of the Seas de 360 m et de 220 000 tonnes pour environ 6 300 passagers. Le plus long navire de guerre est le porte-avions américain USS Enterprise (342 m) tandis que les plus lourds sont ceux de la classe Nimitz comme l’USS Carl Vinson (104 000 tonnes). Le plus grand yacht motorisé est celui du cheik de Dubaï, le Golden Sun de 160 m. Le plus long voilier jamais construit est le France II, tandis que Royal Clipper est le plus grand naviguant encore. Le Statsraad Lehmkuhl est le plus ancien et le plus grand trois-mâts barque.

D'autres bateaux sont notables pour leurs avancées techniques : ainsi, le Pyroscaphe est le premier bateau à vapeur en 1783 ; le Nautilus de Robert Fulton est le premier sous-marin en 1800 ; le Great Eastern de 1858 est le premier paquebot géant ; le Dreadnought de 1908 est le premier cuirassé moderne à utiliser des turbines à vapeur et une artillerie mono-calibre ; le contre-torpilleur français Le Terrible a été de longues années bâtiment le plus rapide du monde, filant lors de ses essais en 1935, la vitesse de 45,03 nœuds ; l'USS Nautilus est le premier navire à propulsion nucléaire en 1951. La sustentation dynamique par hydrofoils est utilisée par les hydroptères ; la propulsion assistée par turbovoiles par certains navires expérimentaux comme l’Alcyone.

Exploits humains et exploration

Réplique du Victoria, un des navires de Magellan.

Les bateaux d'exploration se distinguent car leur équipage parvient à son but parfois dans des conditions dantesques avec des moyens qui semblent maintenant dérisoires. Christophe Colomb atteint l'Amérique en 1492 à bord de la caraque Santa Maria, aidée par les caravelles La Niña et La Pinta. Le Victoria est le premier navire à accomplir un tour du monde lors de l'expédition de Magellan. Roald Amundsen se rendit en Antarctique avec le Belgica puis le Fram ; Bougainville utilisa La Boudeuse, Dumont d'Urville navigua sur L'Astrolabe, Baudin partit en expédition sur le Géographe, Darwin voyagea sur le HMS Beagle et Charcot utilisa la série des Pourquoi-Pas ?.

Dans l'histoire américaine, le Mayflower apporta les premiers colons de l'Angleterre en Amérique du Nord, tandis que l’Hermione amena le Marquis de La Fayette aux Amériques lors de la guerre d'indépendance. On peut également noter les exploits de certains navigateurs solitaires, notamment Joshua Slocum qui accomplit le premier tour du monde en solitaire à bord du yacht Spray, Marcel Bardiaux, ou encore le voilier Joshua de Bernard Moitessier qui reste une référence en matière de voilier hauturier.

Pen Duick, plan Fife souvent admiré pour son élégance sous voiles.

Bateaux imaginaires ou historiques

Quelques bateaux imaginaires ont marqué la littérature : ils se trouvaient déjà dans les récits religieux et mythologiques comme l'Arche de Noé dans la Bible ou Argo dans la mythologie grecque, ils ont continué à travailler notre imaginaire avec le Hollandais volant dans les récits de pirates, le Péquod (en) dans le roman Moby Dick, Vingilótë dans l'œuvre de Tolkien, ou le Nautilus dans Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne.

D'autres bateaux ont pris une importance historique : le Bounty est connu pour sa mutinerie, le Grand Saint Antoine pour avoir apporté la peste à Marseille, le Rainbow Warrior de Greenpeace pour son sabotage, Le Renard pour les exploits de son capitaine, Robert Surcouf. De nombreux paquebots ont marqué l'histoire maritime en raison de leur taille ou de leur élégance, tels le Normandie, le Norway (ex-France), le Queen Mary ou le Queen Elizabeth 2. Enfin, certains voiliers ont marqué l'histoire de la course par leurs performances (tels Dorade ou Poulain) ou par leur esthétique (tel Endeavour, un des Classe J), voire les deux (comme la série des Pen Duick d'Éric Tabarly).

Autour des bateaux

Si la navigation est l'activité la plus évidente, les bateaux sont présents d'autres façons dans les activités humaines :

Vie en mer et attachement

Dhow en Mozambique

La navigation s'est développée avec les avancées technologies mais aussi avec les capacités de manœuvre des bateaux. Si les navires modernes ont ajouté un certain confort et si les instruments de navigation ont rendu les routes maritimes plus sûres, la vie en mer a longtemps été associée à des conditions spartiates et des dangers omniprésents, la mer rappelant aux Hommes la supériorité de la nature. Tant qu'il n'atteint pas une taille suffisante, un bateau reste un objet soumis aux caprices du vent et des vagues : la vie à bord est alors une lutte constante contre l'humidité, les mouvements brusques ou le mal de mer. Aux débuts de la plaisance, les pêcheurs bretons disaient d'ailleurs :

Qui va en mer pour son plaisir
irait en enfer pour passer le temps.

Un bateau peut ainsi être qualifié selon ses aptitudes nautiques : sa façon de « tenir la route », de remonter au vent, « d'étaler » un coup de vent, ou de répondre aux sollicitations de son barreur. De nombreux dictons sont associés au comportement des bateaux, tels que « grand rouleur, grand marcheur ». On finit même par prêter des caractères aux bateaux : l'un sera réputé capricieux, l'autre docile à la barre ; les expressions associées au comportement humain ou animal sont aussi employés : tel bateau « se vautre » dans les vagues, tel autre « file doux » à la cape. Jeremy Guiton explique le fait que les bateaux soient féminins en anglais par la ressemblance avec le caractère supposé imprévisible des femmes… La vie à bord d'un bateau a enfin légué dans de nombreuses langues des expressions courantes, dont on oublie souvent l'origine en les employant: on se souhaite « bon vent… », untel « a mis les voiles », tel autre « largue les amarres »…

L'équipage d'un « bon » navire pourra légitimement en être fier et l'on trouve fréquemment des marins attachés sentimentalement à leur bateau, finissant par lui donner un surnom ou refusant sa démolition. À l'inverse, une série d'évènements ou certaines superstitions peuvent donner une mauvaise réputation à un bateau, qui sera supposé « maudit ». L'attachement aux bateaux se retrouve aussi dans le modélisme nautique visant à construire des modèles réduits, mobiles ou non, de navires existants. Les bateaux en bouteille étaient traditionnellement réalisés par les gardiens de phares.

Symbolique

Le bateau de Gokstad au Musée des bateaux vikings, Oslo, Norvège.

L'homme a longtemps considéré l'eau comme la frontière vers le royaume de ses dieux, et le bateau est naturellement l'outil qui permet d'aller vers l'au-delà. Les Égyptiens, civilisation résolument fluviale où le Nil occupe la place prépondérante, rejoignent le royaume des morts à bord d'une barque fluviale. La barque solaire en est l'exemple le plus connu. On parle ainsi de bateau tombe lorsqu'il sert à enterrer une personne : les Vikings honorent leur morts en les enterrant avec leur bateau dans un tumulus. Le bateau de Gokstad en est l'un des exemples les plus célèbres, mais aussi ceux des tombes royales du Vestfold, au bord du golfe d'Oslo, à Tune ou à Oseberg.

Les noms de bateaux sont aussi chargés de sens : résultant généralement d'une décision du propriétaire, le changer n'est pas forcément bon signe. On trouve ainsi des noms glorieux pour des bateaux de guerre (le Téméraire), des noms de femmes en leur honneur, des références à des personnes illustres, et bien souvent des noms de poissons ou d'oiseaux marins. Plus récemment, le monde de la compétition a vu les noms des bateaux refléter ceux de leurs sponsors. Les navires commerciaux construits en série ont parfois également des noms en série (comme la CMA-CGM qui utilise des noms d'opéras pour ses porte-conteneurs). Le baptême d'un bateau se fait souvent juste avant son lancement, en la présence d'un parrain ou d'une marraine.

La superstition enfin n'est pas absente de l'univers des bateaux. L'animal à longues oreilles, cousin du lièvre, dont le nom ne doit jamais être prononcé à bord d'un navire en est l'exemple le plus connu.

Archéologie marine

Chantier de l’Hermione

L'archéologie marine consiste à retrouver et restaurer les restes de bateaux que l'on peut retrouver enfouis sur les plages ou à l'état d'épaves au fond de l'eau (on parle alors d'archéologie sous-marine, la branche principale) ; la campagne de 2003 menée sur le site des épaves de La Pérouse sur l’île de Vanikoro a fait connaître au grand public cette discipline scientifique. Un navire qui a sombré, sauf s'il a été pillé par des plongeurs clandestins et des chercheurs de trésors, livre une partie de sa structure et, souvent, sa cargaison intacte. Chaque épave est un moment d'histoire échoué au fond des mers. Cette activité archéologique, relativement récente, permet de beaucoup mieux comprendre le riche passé de l’histoire des bateaux, qu’il s’agisse de pirogues préhistoriques ou des grands vaisseaux du XVII siècle. L'épave d'un bateau ancien est un microcosme de la technologie et de la culture de son temps.

C’est en partie grâce à cette activité par exemple que l’association Hermione-La Fayette s'est lancée dans la reconstruction de la frégate Hermione, navire qui, en 1780, permit à La Fayette de rejoindre les insurgés américains en lutte pour leur indépendance. D'autre part, les épaves servent aussi de sites privilégiés pour la plongée sous-marine et peuvent aussi servir d'abri à la flore et la faune.

Arts et culture

Bateaux quittant le port, Le Havre, Claude Monet, 1874 (60 x 101 cm), collection privée.

Vingt mille lieues sous les mers. Une des premières éditions de Hetzel.

Le monde de la navigation a inspiré certains genres artistiques propres comme les chants de marins ou les marines ; mais les bateaux ont également été une source d'inspiration dans d'autres genres. On les retrouve dans de nombreuses disciplines : dans les arts picturaux, le romantisme a fait la part belle aux bateaux et notamment aux naufrages avec Turner, puis l'impressionnisme quand Monet parle de « sa chose » faite au Havre : « Du soleil dans la buée et, au premier plan, quelques mâts de navire pointant. » Plus récemment, la photographie de mer et de bateaux a acquis ses lettres de noblesse lorsque des photographes comme Philip Plisson ont été nommés peintres de la Marine en France.

Les récits d'exploration, de batailles navales ou de piraterie sont aussi à l'origine d'une riche littérature, remontant à Homère et son Odyssée. Les genres sont nombreux :

récits de voyage comme Le Jacques de Jean de Léry ou le Voyage autour du monde de Bougainville

romans d'aventures comme L'île au trésor, de Robert Louis Stevenson, Vingt mille lieues sous les mers, Les Enfants du capitaine Grant de Jules Verne, Capitaines courageux de Rudyard Kipling, la série des Horatio Hornblower et l' African Queen de C. S. Forester, Cyclone à la Jamaïque, de Richard Hughes, ou les aventures du capitaine Jack Aubrey de Patrick O'Brian

récits plus poétiques comme Moby Dick d'Herman Melville; Le Vieil Homme et la Mer d'Ernest Hemingway; Typhon, Le Nègre du Narcisse, de Joseph Conrad

fables et contes comme le Conte du pêcheur et du voyageur de Beaumont.

Plus récemment, en France, les bandes dessinées telles que H.M.S. (Casterman) ou Tramp (Dargaud) reprennent aussi ces thèmes, déjà abordés dans Les Passagers du vent de François Bourgeon, sans oublier Tintin et Le Secret de La Licorne d'Hergé.

Certains chants de marins ont fini par être connus du grand public francophone, comme Santiano de Hugues Aufray qui chante son « fameux trois-mâts, fin comme un oiseau » ou le nostalgique Maman les p'tits bateaux qui vont sur l'eau de notre enfance ; d'autres navires d'actualité ont inspiré des chanteurs comme le France pendant son désarmement qui inspirera Michel Sardou.

L'opéra s'inspire d'histoires plus mythiques, comme Le Vaisseau fantôme de Wagner.

Enfin, le cinéma a abondamment utilisé les histoires de grands navires comme Les Révoltés du Bounty ou Titanic, ou des bateaux imaginaires tel le Black Pearl inspiré de la Marie-Céleste dans le film Pirates des Caraïbes.

La poésie des bateaux

« Les formes élancées des navires, au gréement compliqué, auxquels la houle imprime des oscillations harmonieuses, servent à entretenir dans l'âme le goût du rythme et de la beauté. »

À l’image de Baudelaire, les hommes sont de tout temps fascinés par l’eau. Existe-t-il un poète qui n’ait à un moment évoqué la source de la vie terrestre, admirant et craignant tout à la fois cet élément magique qui lui refuse sa présence ? Sans bateau, point d'évasion sur l'eau !

Paul Verlaine rêve cette évasion en bateau :

« Cependant la lune se lève
Et l'esquif en sa course brève
File gaîment sur l'eau qui rêve. »

Vaincre héroïquement la violence de la mer, comme le décrit Victor Hugo dans Les Travailleurs de la mer, reste le désir souvent inassouvi de l’Homme. Platon, bien avant lui, déjà s’émerveille : Il y a les vivants, il y a les morts, et il y a ceux qui vont sur la mer.

Enfin, Arthur Rimbaud fait s'exprimer son bateau ivre en le faisant chanter entre ciel et terre, entre paradis et enfer :

Naufrage du Minotaure, Joseph Mallord William Turner, 1905, musée Calouste-Gulbenkian de Lisbonne.

« La tempête a béni mes éveils maritimes.
Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots
Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes,
Dix nuits, sans regretter l'œil niais des falots !
Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sûres,
L'eau verte pénétra ma coque de sapin
Et des taches de vins bleus et des vomissures
Me lava, dispersant gouvernail et grappin.

Et dès lors, je me suis baigné dans le Poème
De la Mer, infusé d'astres, et lactescent,
Dévorant les azurs verts ; où, flottaison blême
Et ravie, un noyé pensif parfois descend

J'ai vu des archipels sidéraux ! et des îles
Dont les cieux délirants sont ouverts au vogueur:
- Est-ce en ces nuits sans fonds que tu dors et t'exiles,
Million d'oiseaux d'or, ô future Vigueur ?
Mais, vrai, j'ai trop pleuré ! Les Aubes sont navrantes.
Toute lune est atroce et tout soleil amer:
L'âcre amour m'a gonflé de torpeurs enivrantes.
Ô que ma quille éclate ! Ô que j'aille à la mer ! »

Bateau et ses synonymes

De toutes les constructions humaines capables de flotter et de se déplacer sur l'eau, c'est le terme bateau qui est l'appellation la plus familière. Mais il a de nombreux synonymes.

Le bateau sur lequel le marin est embarqué est le bord. c'est sa "maison" et aussi son outil de travail.

Franglais : Ship . Un super ship le Duperré, véritable hunter-killer de sous-marins.

Militaire : Bâtiment . L'escorteur d'escadre D'Estrée a été le premier bâtiment refondu ASM.

Nautique : Navire . Ce navire étalait bien mieux à la mer que certains marins de son équipage.

Critique : Baille . Malheur au bel esprit qui aurait qualifié l'Étourdi de baille.

Méprisant : Rafiot…Bis répetita !

Emphatique : Vaisseau . Vauquelin mon ami, tu es le plus fier vaisseau du Ponant.

Railleur : Reine des quais . Toujours à la mer, on ne pouvait pas dire que la Bellatrix était la reine des quais.

Administratif : Unité . Unité administrative, le Gascon gérait fort bien son personnel.

Carriériste : Commandement . Bâtiment chef de division, c'était un commandement de "cap de veau" lourd.

Culotté : Gros cul (feu le bâtiment de ligne). Loin d'être un gros cul, le Colbert n'était pas non plus un mouille cul.

Archaïque ou poétique : Nef. Duquesne, nef grise qui avec ton poisson blanc labourait l'Iroise…

(D'après Tournures et parlures de la marine de l'officier des équipages Jean Tupet, publié par l'ACORAM aux éditions du Gerfaut.)

中文百科

停靠在英国多塞特郡普勒港的塞文类救生艇。这是英国最大型号的救生艇,长达17米。

停靠在意大利威尼斯的救护船

艇是一种在水面滑行或 浮于水面的船只。通常只航行于内陆水域(如湖泊)或沿海地区。不过,像捕鲸划艇一类的艇曾设计作近海航行。根据传统航海术语定义,艇是「体积小至可被其他船只装载的物体」。不过现今的小船如内河船、湖船、渡轮的体积已大至不可被其他船只装载。不计潜水性能和体积,潜水艇也可算作小船。

种类

无动力或人力驱动艇:竹筏是无动力艇的典型代表,就意味着不需要额外动力只能向下游航行。而人力驱动艇依靠人力航行,包括独木舟、皮艇等。

帆船 :以风力驱动船只航行的艇。

马达快艇:在船尾外部装挂马达的一种小型高速快艇。

结构

艇主要有船身、甲板、机舱和龙骨的部件组成。其中船身需要符合浮力原理,保证艇可以浮在水面上。而一般一艘艇只会有一个甲板,机舱用于安置动力驱动装置和燃料,龙骨则用来固定整艘艇的框架。 结构: 1- 烟囱, 2- 船尾, 3- 螺旋桨和舵, 4- 舷, 5- 锚, 6- 球状船首, 7- 船头, 8- 甲板, 9- 上层建筑 (工程) ]]

动力

人力 (无固定支点或有固定支点的手划艇等等)

风力 (帆船)

发动机驱动螺旋桨 内置发动机 内燃机 (汽油,柴油) 蒸汽机 (煤, 燃油) 核动力 (一些海军舰艇和潜艇) 外置发动机 电能 明轮 喷射机 (摩托艇, 喷射艇) 风机 (气垫船)

内置发动机 内燃机 (汽油,柴油) 蒸汽机 (煤, 燃油) 核动力 (一些海军舰艇和潜艇)

内燃机 (汽油,柴油)

蒸汽机 (煤, 燃油)

核动力 (一些海军舰艇和潜艇)

外置发动机 电能

电能

明轮

喷射机 (摩托艇, 喷射艇)

风机 (气垫船)

体育赛事

赛艇是奥林匹克运动会的传统比赛项目之一,由一名或多名桨手坐在赛艇上,通过桨和桨架之间的简单杠杆作用进行划水,使赛艇前进的一项水上运动。

图片

另见

独木舟

皮艇

游艇

贡多拉

马达快艇

舢舨

渡轮

驳船

法法词典

bateau nom commun - masculin ( bateaux )

  • 1. marine construction constituée d'un bâti rigide et flottant permettant de se déplacer sur l'eau

    un bateau à moteur

  • 2. partie abaissée d'un trottoir qui permet un passage aux véhicules

    se garer sur un bateau

bateau nom commun - masculin ; singulier

  • 1. marine navigation de sport et de loisir

    faire du bateau

bateau adjectif ; invariable

  • 1. qui est banal, attendu (familier)

    un sujet bateau

  • 2. dont la forme est proche de celle d'une embarcation

    des chaussures bateau

mener en bateau locution verbale

  • 1. tromper en jouant de la crédulité (de quelqu'un) (familier)

    les enfants aiment mener leurs parents en bateau

相关推荐

antérograde a.amnésie antérograde 【医学】远事遗忘(症)

décédé a. 死亡的, 走过的

obsessionnel obsessionnel, lea.1. 【心理学】强迫性 2. 心神不3. 有强迫性神经(官能)症— n.强迫性神经(官能)症者

tortue 龟,乌龟

grillon 蟋蟀

长三角 Cháng-Sānjiǎodelta du Changjiang

digitale n. f.洋地黄, 毛地黄

mariage 结婚,婚姻

météorisme n. m. [医]腹胀, 鼓胀, 气胀

récapitulatif a.摘的, 重述点的, 概括的