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词典释义:
bucolique
时间: 2023-09-13 23:26:21
[bykɔlik]

a. 田园诗,牧歌式 n.f. 田园诗,牧歌

词典释义
a.
田园诗 ,牧歌式
chant bucolique田园诗歌
paysages bucoliques田园风光

n.f.
田园诗,牧歌

近义、反义、派生词
词:
agreste,  bergerie,  pastoral,  rustique,  campagnard,  champêtre,  idylle,  idyllique,  églogue
想词
champêtre <书>田野,乡间; verdoyant 青翠, 葱绿, 绿油油; idyllique 田园诗,牧歌,村歌; paisible 温和,安详; pittoresque 风景如画; verdure 植物绿色,植物青翠葱绿; calme 平静,寂静; romantique 浪漫主,浪漫派; enchanteur 巫师,魔法师; charmant 迷人,富于诱惑力; apaisant 抚慰;
原声例句

Manœuvrées grâce à une hélice à l’extrémité d’une perche qui est immergée dans l’eau, les chauffeurs de ces barques en bois bucoliques se tiennent debout comme des gondoliers.

田园风格的木船是通过一支杠杆底端的浸在水下的螺旋桨来操控的,船夫就站在船头,像刚朵拉的船夫一样。

[旅行的意义]

Le sacré côtoie le paillard des bas-reliefs de la rue des Cornards et le bucolique qui règne dans les nombreux jardins, comme celui de l'Évêché.

圣物与科纳兹街粗俗的浮雕和许多花园(如埃维歇花园)中的田园风光齐头而立。

[ABC DALF C1/C2]

Je consens à la bucolique et aussi à la féerie de marbre et d’or.

我赞成牧人的田舍,同时也赞美大理石和金色的仙界。

[悲惨世界 Les Misérables 第五部]

Ouvrez-moi une bucolique à perte de vue sous une colonnade de marbre.

在大理石的柱廊下向我展现出一望无际的田园风光

[悲惨世界 Les Misérables 第五部]

Le but de cette composition était d'obtenir le cliché d'une version moderne et personnalisée du thème bucolique fameux du déjeuner sur l'herbe de Manet.

这幅作品的目的是获得马奈在草地上享用午餐的著名田园主题的现代和个性化版本的镜头。

[Un podcast, une œuvre]

Un thème bucolique récurrent dans l'Antiquité, en témoignent ces " Chevaux de Saint-Marc" .

古代反复出现的田园主题,这些“圣马可马”就是证明。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年8月合集]

Et puis, " L'Eté" de Nicolas Poussin, une oeuvre au thème bucolique que nous vous décryptons ce soir.

然后是 Nicolas Poussin 的《夏天》,一部田园主题的作品,今晚我们将为您解读。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年8月合集]

L'étude marketing sur l'impact de ces nouveautés auprès des consommateurs n'est pas encore bouclée, mais il semble que plus le vivant s'effondre, plus les enregistrements bucoliques séduisent.

- 关于这些新奇事物对消费者的影响的营销研究尚未完成,但似乎生活越是崩溃,田园录音就越有诱惑力。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年12月合集]

Derrière ses allures de campagne bucolique, c'est l'horreur que revivent ici en pèlerinage Jo et Mayara.

在其田园风光的背后,这是乔和玛雅拉在朝圣时重温这里的恐怖。

[法国TV2台晚间电视新闻 2022年7月合集]

Et bien, les gaz à effets de serre et le dioxyde d'azote refluent, et la Une de Sud Ouest  nous proclame " un répit pour la planète" … Alors nous prend quelque chose de bucolique.

嗯,温室气体和二氧化氮正在回流,Sud Ouest 的头版宣称我们是“地球的喘息之所”......所以我们采取了一些田园风光

[La revue de presse 2020年4月合集]

例句库

Le Général déjeune avec son conseiller diplomatique. C'est le printemps et le Général, soudain bucolique, se met, entre poire et fromage, à déclamer des alexandrins majestueux.

某年春天,戴高乐将军和他的外交顾问共进午餐。将军一时诗兴大发,在吃水果和奶酪时,高声朗诵庄严的亚历山大体诗句后问:“你至少知道这是谁的诗作吧?”

“Si les Arméniens qui vivent dans la diaspora nous envoient de l'argent, nous ne saurons plus comment faire les choses nous-mêmes…” Le lendemain, Irkoyan m'emmène vers le nord dans la direction d'Herik, l'ancien village azéri d'Ahmadlu… Déambulant dans un paysage bucolique qui contraste vivement avec le spectacle des villes et des villages rasés depuis longtemps, les vaches amenées d'Arménie, dont la frontière est proche, broutent parmi les ruines.

“如果旅居海外的亚美尼亚人给我们寄钱来,我们就会忘记如何自助……”第二天,Irkoyan带我朝北边Herik方向走……那里曾经是阿塞拜疆人的Ahmadlu村。 我们在绿草盈盈的地方蜿蜒慢步,同看到的早就被夷为平地的村镇形成鲜明的对比,从亚美尼亚带来的奶牛在废墟间吃草。

法语百科

La bergère des Alpes de Vernet.

La poésie pastorale, ou poésie bucolique, est un genre poétique dont l’objet est de représenter la vie champêtre et les mœurs des bergers, soit d’après la nature, soit d’après des idées et des images de convention.

Ce genre consacré à la description et à la célébration de l’univers de la campagne par rapport à celui de la ville a connu son apogée essentiellement sous l’Antiquité et vers le XVI siècle.

Antiquité

Le terme « bucolique » tire son origine du grec ancien boukolos, le bouvier, personnage le plus souvent représenté par la poésie pastorale, ainsi que les paysans ou les bergers. On a fait remonter la poésie pastorale à des temps reculés, au livre de Ruth chez les Hébreux, au poème des Travaux et les Jours d’Hésiode chez les Grecs, mais, comme genre littéraire à part, elle ne peut être reportée au-delà de Théocrite. Il y eut sans doute longtemps avant lui des poètes qui chantèrent la campagne, mais leurs tableaux de la vie pastorale, ainsi que les chansons où figurent des bergers et des laboureurs, ne constituent pas un genre à part. Le berger Daphnis, dont le nom et les louanges reviennent si souvent chez les poètes de l’Antiquité, et auquel ils attribuent l’invention de la poésie pastorale, doit être mis au nombre des personnages mythiques, ou du moins aucun renseignement positif ne permet de lui donner place dans l’histoire littéraire.

Théocrite, comme poète pastoral, n’a jamais été égalé. Lui seul a représenté la vie des champs avec toute sa vérité et sa rudesse. Dans celles de ses idylles qui mettent en scène des bergers, des gardeurs de bœufs, de brebis, de chèvres, le dialogue où s’échangent soit des propos amis, soit des railleries mordantes, est d’une vérité, d’une réalité telle, qu’on lui a reproché de descendre jusqu’à la grossièreté et la bassesse lorsqu’on a pris pour bas et grossier ce qui est seulement naïf et rustique car il y a, en outre, dans les idylles de Théocrite, une partie lyrique amenée par une lutte de chant, où des vers alternés montrent les côtés plus élevés de la vie champêtre, en peignent les beautés et le charme, en racontent les légendes. Voilà, dans son développement primitif et complet, la poésie pastorale telle qu’on ne la retrouvera plus dans la foule des imitateurs vrais ou prétendus de Théocrite. Bion de Smyrne et Moschidae, successeurs immédiats de Théocrite et ses contemporains, n’ont déjà plus sa simplicité, sa vérité ; ils recherchent l’éclat, et même l’esprit ; par suite, ils préfèrent la description à la forme du dialogue.

Mais l’œuvre pastorale la plus célèbre de l’Antiquité est incontestablement Les Bucoliques, modèles si parfaits de style et quelquefois de sentiment de Virgile qui n’a pris, le plus souvent, de la poésie pastorale que le cadre pour y placer toutes sortes d’idées relatives à la politique, à la religion, à ses intérêts, à ses affections, etc., car on n’y voit pas de peinture de la vie des champs, et ses bergers n’ont ni le langage, ni les mœurs des bergers réels.

Chez Calpurnius Siculus, imitateur de Virgile, l’églogue devient déclamatoire et, malgré quelques traits de sentiment, quelques touches élégantes, la décadence se marque dans le style et dans la pensée. Némésien, contemporain de Calpurnius, eut les mêmes qualités et les mêmes défauts. Parmi les Idylles d’Ausone, on ne peut citer, comme touchant au genre pastoral, que l’idylle des Roses.

Italie

Au XVet auXVI siècle, la pastorale latine fut restaurée par plusieurs poètes italiens, entre lesquels Giovanni Pontano, Jacopo Sannazaro et Marco Girolamo Vida. Tous trois ont manié le vers latin avec une rare habileté, mais Sannazaro se distingue des deux autres, parce qu’il a représenté les mœurs et les travaux des populations qui habitent les rivages de la mer. Ils se caractérisent par la recherche de l’élégance et l’emploi excessif de la périphrase. « Jamais, dit Saint-Marc Girardin, l’horreur du mot propre et l’effort pour trouver le prétendu mot élégant n’ont été poussés plus loin. »

Le Pont de Boucher, 1751.

La poésie pastorale est cultivée par bien d’autres poètes italiens, et dans la langue nationale. C’est surtout dans la pastorale dramatique, et faite pour le théâtre, qu’ils réussirent. Leurs principales œuvres en ce genre furent l’Aminte du Tasse (1573) ; le Pastor fido de Guarini (1590) ; l’Alceo d’Antonio Ongaro (1591), dite « l’Aminte mouillée », Aminta bagnata, parce que les personnages étaient des pêcheurs et non des bergers ; la Filli di Sciro de Guidubaldo Bonarelli (1607) ; la Fidalma de son jeune frère Prospero (1642), etc. Au lieu de ces œuvres où les personnages parlaient non la langue de leur situation, mais le langage raffiné des courtisans tandis qu’au XVIII siècle, la littérature italienne produisit des poésies pastorales où les prêtres, les laboureurs, les pêcheurs parlaient leur propre langue, naïve et sans prétention, et qui se rapprochaient du genre de Théocrite, comme les pastorales écrites en sicilien de Meli, particulièrement ses Ecloghe pescatorie.

France

En France, au XVI siècle, Ronsard et Desportes composèrent des églogues, mais aucun écrivain français n’a eu au même degré le don de la naïveté, de la familiarité champêtre comme Vauquelin de La Fresnaye. Véritable poète pastoral de cette époque, il laisse de côté les titres d’églogues et de bucoliques, pour donner à ses poésies rustiques le titre d’Idillies, c’est-à-dire « imagettes et petites tablettes de fantaisies d’amour », représentant naïvement « la nature en chemise ».

Le XVII siècle s’ouvrit avec l’Astrée, célèbre roman paru de 1607 à 1627 et qui eut un si grand succès pendant près de cent ans. Les bergers y tiennent beaucoup de place ; mais ces bergers sont des gens du monde déguisés, tout pleins de beaux sentiments, des sophistes pointilleux dissertant sur tout, sans oublier la philosophie de Platon. De ces bergers de l’Astrée sortirent bien des personnages abstraits et de convention, n’ayant de la vie pastorale que le chien, la houlette et les moutons, et qui figurèrent pendant plus d’un siècle dans les églogues ou dans les pastorales dramatiques. À cette famille appartiennent les personnages que Racan fait parler dans ses Bergeries (1625), et ceux que les poètes dramatiques français, à l’imitation des Italiens, mirent en scène dans les nombreuses pastorales de la première partie du XVII siècle, telles que la Silvie et la Silvanire de Mairet (1621, 1625).

Les contemporains de ces œuvres admettaient sans peine de voir des courtisans transformés en porteurs de houlettes, et d’entendre ces gardeurs de moutons, gracieux jusqu’à la fadeur, tenir le langage de la société polie. Cette fiction admise, les Églogues de Segrais (1658) se distinguent par la douceur, la tendresse, la pureté, l’agrément ; Timarette et Amire sont, en leur genre, de petits chefs-d’œuvre. La fameuse idylle allégorique d’Antoinette Des Houlières sur ses enfants peut, pour le sentiment et le style, être mise au même rang. Dans les Églogues de Fontenelle (1688), le sentiment fit place à l’esprit, et le manque de naturel se montra sans scrupule. On ne s’en étonnera pas, en lisant, dans son Discours sur la nature de l’églogue, ses arrêts contre « la grossièreté » de Théocrite. « Les discours qu’il prête à ses personnages, ajoute-t-il, sentent trop la campagne ; ce sont là de vrais paysans, et non des bergers. » Avec cet auteur « si délicat, si galant et si fin », comme dit Perrault, le langage et les idées de la poésie pastorale tombent de la convention dans l’afféterie ne parlant qu’à l’intelligence. Moins intéressants, les poètes, du XVII siècle qui le suivent firent moins montre d’esprit que lui et ils remplacèrent, mais moins par raison et par goût que par stérilité, l’esprit par une sentimentalité subtile ou fade. Les peintres reproduisirent sur la toile ce thème poétique, pour produire des œuvres, ne parlant qu’aux yeux, aimables et gracieuses.

Le Moulin de Boucher, 1751.

Dans la seconde moitié du XVIII siècle, l’influence de Gessner, le « Théocrite de Zurich », se fit sentir sur la littérature française. Quelques poètes d’une nature tendre et rêveuse se prêtèrent facilement à une transformation où la critique voulut voir un retour à l’antique, tandis qu’il fallait y voir bien plutôt un pas en avant vers le romantisme. Enthousiaste de Gessner, Berquin lui emprunta surtout ce qu’il a d’un peu précieux et maniéré. Léonard, plus vraiment poète, lui prit la grâce et le sentiment ; le talent mélancolique dont il était doué inclina souvent son idylle à l’élégie.

Florian aussi fut, en une certaine mesure, le disciple de Gessner : « J’ai tâché d’habiller la Galatée comme vous habillez vos Chloés, lui écrivait-il ; je lui ai fait chanter les chansons que vous m’avez apprises, et j’ai orné son chapeau de fleurs volées à vos bergères. » Quelques années plus tard, un poète du premier ordre, André Chénier, allait reproduire l’idylle antique, avec un sentiment exquis, avec une forme de la plus rare pureté. Il devait mériter qu’on dit de lui : « C’est la naïve simplicité de Théocrite, jointe à la douce mélancolie de Virgile. » Lorsque quelques-unes de ses idylles furent mises au jour à la fin du XVIII siècle, ses œuvres tout empreintes de son génie poétique furent appréciées à leur juste valeur. Tout au long du XIX siècle, de grands poètes s'y sont essayés (Vigny et Heredia notamment) mais plus avec un désir de pastiche que par vraie recherche artistique.

Cette poésie peut être considérée comme la dernière manifestation en France du genre pastoral, uniquement à condition d’en exclure les chefs-d’œuvre en prose, comme la Mare au diable ou la Petite Fadette, de George Sand, dont il s’est enrichi plus tard.

Allemagne

L’enthousiasme soulevé par les idylles allemandes de Gessner (Idyllen, 1758, 1762) ne se borna pas au premier moment, puisque bien plus tard Andrieux les comparait aux Bucoliques de Virgile et les leurs préférait sous certains rapports. La littérature allemande compte encore, dans le genre pastoral, von Kleist, l’auteur du Printemps (der Frühling), dont Schiller a dit qu’il avait surtout un admirable talent pour peindre les paysages, et Voß, l’auteur des trois idylles réunies sous le titre de Louise, que distingue une simplicité digne d’Homère. Au genre pastoral appartient en outre par plusieurs côtés le poème Hermann et Dorothée, de Goethe. La littérature hollandaise compte, quant à elle, les idylles pleines d’esprit et de finesse de Tollens.

Grande-Bretagne

La littérature anglaise offre peu d’œuvres pastorales. Au XVI siècle, Spenser donna le Calendrier du berger (The Shepheardes Calender, 1579), poème où il chantait son amour pour la belle Rosalinde, et qui, plein de subtilités et d’archaïsmes, fut difficile à comprendre même pour les contemporains. Vers la même époque, Sidney écrivit, à l’imitation de Sannazare, le roman pastoral intitulé Arcadia. Au XVII siècle, Fletcher publia des églogues sur les pêcheurs (Piscatory Eclogues, 1633), et Milton composa la pastorale de Lycidas.

Un automne pastoral de Boucher, 1749.

Au XVIII siècle, les critiques anglais placent quelquefois dans la poésie pastorale le poème du Cidre, de John Philips, les Saisons (The Seasons, 1730), de Thomson et le Garçon du fermier (the Farmer’s Boy 1800), de Robert Bloomfield, mais ces trois remarquables poèmes rentrent plus particulièrement dans le genre descriptif et didactique. En ce siècle, la littérature anglaise n’offre dans l’églogue, outre les poésies de Collins, que les Pastorales de Pope, le Printemps, l’Eté, l’Automne, l’Hiver, qui, composées à l’âge de seize ou dix-sept ans, doivent être surtout regardées comme des exercices d’un admirable écolier. Son Églogue sacrée du Messie n’est que la quatrième églogue de Virgile ingénieusement adaptée à l’histoire évangélique et combinée avec des passages d’Isaïe.

Portugal

L'écrivain portugais Bernardim Ribeiro (1482-1536) est considéré comme le fondateur du roman pastoral au Portugal. Son « roman sentimental » Menina e Moça ou Saudades, traduit en français sous le titre Mémoires d'une jeune fille triste, est connu pour être l'une des premières œuvres introduisant la notion de saudade. Il est considéré comme le premier roman du genre pastoral de la littérature lusophone et de la péninsule Ibérique. Il est édité pour la première à titre posthume en 1554, à Ferrare, en Italie.La poésie portugaise a, au XVI siècle, plusieurs poètes qui se distinguèrent dans le genre pastoral : António Ferreira, dit « l’Horace portugais » ; Sá de Miranda, passionné comme Ferreira pour l’antiquité, et qui forma avec lui la langue poétique dont se servit Camões ; Pedro de Andrade Caminha, que son élégance a fait ranger parmi les classiques portugais ; Falcão de Resende, Alvarez de Oriente, Diego Bernardès, surnommé « le Prince de la poésie pastorale ». Au commencement du XVII siècle, on cite encore Lobo, dont la Corte na Aldeia (1619), pastorale mêlée de prose et de vers, est regardée comme un chef-d’œuvre.

Espagne

On rattache deux romans de la littérature espagnole au genre pastoral : la Galatée (La Galatea, 1585) de Cervantes et la Diane amoureuse (los Siete Libros de la Diana, 1559) de Jorge de Montemayor. Mais la poésie pastorale proprement dite, dont Juan Boscán commença à donner, au XVI siècle, quelques morceaux dans ses pièces imitées de la littérature italienne, ne fut décidément introduite dans la littérature espagnole qu’au XVII siècle, par Manuel de Villegas. Le poète qui a le mieux réussi, soit dans de véritables églogues, soit dans des romances pastorales, est Meléndez Valdés, dont l’Académie de Madrid couronna, vers 1780, l’idylle intitulée Batilo composée dans le sentiment de celles de Gessner.

Bibliographie

Pierre Barbier, Le Théâtre militant au XVI siècle. La pastorale au XVIet auXVII siècle. Un faiseur de pastorales au XVII siècle, Genève, Slatkine Reprints, 1970.

Alfred Busquet, Essai sur la poésie pastorale, Paris, 1889.

Jacqueline Duchemin, La Houlette et la lyre ; recherche sur les origines pastorales de la poésie, Paris, Les Belles lettres, 1960.

Stéphane Macé, L’Éden perdu : la pastorale dans la poésie française de l'âge baroque, Paris, Champion, 2002. (ISBN 9782745305015)

Alain Niderst, La Pastorale française : de Rémy Belleau à Victor Hugo, Paris ; Seattle, Papers on French Seventeenth Century Literature, 1991.

Коробова А.Г. Пастораль в музыке европейской традиции: к теории и истории жанра. Екатеринбург, 2007

法法词典

bucolique adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel bucoliques )

  • 1. qui évoque la vie simple et heureuse des champs telle qu'elle est décrite dans la poésie pastorale

    un film bucolique

bucolique nom commun - féminin ( bucoliques )

  • 1. poème qui célèbre l'amour de la campagne et la vie idéalisée des bergers

    composer une bucolique

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