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théologique
时间: 2023-07-25 08:14:09
[teɔlɔʒik]

a., 有关

词典释义
a.
, 有关
短语搭配

controverse théologique神学争辩

somme théologique神学概论

entreprendreun adversaire dans une controverse théologique在有关神学的争论中攻击对手

原声例句

M. le principal d’Amiens, M. le curé de Montdidier et moi, nous argumentons sur certaines questions théologiques dont l’intérêt nous captive depuis longtemps ; je serais charmé d’avoir votre avis.

的耶稣会会长先生、蒙迪迪耶的本堂神甫先生和我,我们正在讨论早就引起我们兴趣的某些神学问题。能听到你的意见,我会感到非常高兴。”

[三个火枪手 Les Trois Mousquetaires]

Comme tout le monde le sait, Pierre, l'existentialisme postule que l'être humain forme l'essence de sa vie par ses propres actions, celles-ci n'étant pas déterminées par des doctrines philosophiques, théologiques ou morales. Qu'est-ce que tu en penses ?

所有人都知道,Pierre, 存在主义要求作为人类,建立起自己生活的本质,是通过他的行为,而不是由他的哲学理论或道德准则来决定的,你怎么认为呢?

[Français avec Pierre - 语法篇]

Gardez-vous du goût profane dans le style théologique. Que dit en effet saint Augustin ? Severus sit clericorum sermo.

“请当心神学作品里的世俗情趣。真的,圣奥古斯丁是怎样说的?severussitclericorumsermo。”

[三个火枪手 Les Trois Mousquetaires]

Geneviève c'est une femme, qui ont dos une forme de virilité, c'est à dire qu'elle est investi d'un pouvoir, qu'elle exerce à l'égal d'un chef, en raison de sa culture, et de ses vertus notre monde s'évertue spirituelle, et théologique.

Geneviáve是一位女性,她有一种活力,也就是说,她被投入了一种力量,她与一位领导人平等地锻炼,因为她的文化,她的美德,我们的世界在精神上和神学上都努力奋斗。

[Secrets d'Histoire]

Mais un autre organisme a contredit le CFCM : la Commission théologique de la Grande Mosquée de Paris a annoncé que le ramadan commencerait demain.

但另一个机构反驳了CFCM:巴黎大清真寺神学委员会宣布斋月将于明天开始。

[RFI简易法语听力 2013年7月合集]

(jeter les fondements soi-disant théologiques du règne de la famille royale locale)

[法语及英语词汇中的文化]

Et ce sens du mot controversé, s’explique tout à fait par l’origine, l’usage du mot en français classique : au 16e, 17e siècle, le mot était pratiquement réservé à un usage religieux, et même théologique.

[Les mots de l'actualité - 2016年合集]

例句库

Il faut laisser de côté les questions théologiques et doctrinales pour se concentrer sur les préoccupations communes, concernant par exemple la santé, l'éducation, l'emploi, l'aide humanitaire et d'autres problèmes liés au développement.

应该搁置意识形态和教义问题,而集中关注共同关心的问题,如卫生、教育、就业、人道主义援助以及其他与发展有关的问题。

Il cherche par ailleurs à promouvoir l'éducation et à sensibiliser les populations sur les questions de justice par l'analyse sociale, la réflexion théologique, la résistance non violente, les publications, les conférences, les ressources techniques et le travail de coalition.

它还设法通过社会分析、神学反思、非暴力抵抗、出版物、演讲社、技术资源和联合工作来促进有关正义问题的知识和认识。

La doctrine de la guerre juste revient en fin de compte à légitimer la guerre, la destruction et la mort en recourant à de faibles arguments théologiques.

正义战争理论通过虚弱的理论根据最终使战争、破坏和死亡合法化。

En dépit des divergences théologiques, je suis convaincue qu'en définitive, la plupart des individus, dans toutes les religions et toutes les cultures, ont des souhaits analogues pour eux-mêmes et pour leur famille - l'éducation et la santé, un lieu où ils puissent vivre en sécurité, un emploi satisfaisant; et souhaitent mener une vie qui ait un sens, et qui contribue à rendre le monde un peu meilleur.

尽管存在神学差异,但我相信,归根结底,每一种信仰和文化的绝大多数人希望他们自己与家人得到类似的东西——教育与保健、安全的邻里、一份好工作——而且大多数人希望我们的生命能起作用,并且使我们的世界变得更好一点。

L'anarchie, la démagogie et le féodalisme théologique constituent aujourd'hui une menace de régression pour la paix, la République laïque, l'état de droit et le régime institutionnel que nous avons mis en place.

今天,无政府主义、蛊惑人心的宣传和神学封建主义对我们正在建设的和平、政教分离的国家、法治和体制秩序构成威胁有所减少。

法语百科

La théologie (en grec ancien θεολογία, littéralement « discours rationnel sur la divinité ou le divin, le Θεός [Theos] ») est un ensemble de champs disciplinaires qui touchent d'une manière ou d'une autre à l'idée de Dieu ou de divin. Selon la tradition dont il est question, les définitions de la théologie peuvent varier grandement.

Le terme et le concept en Occident

Platon

Le premier à avoir employé le terme est Platon qui, dans La République (II, 379 a - 383 c), met dans la bouche de Socrate le mot θεολογία à propos de la mythologie. Et par théologie, il entend, le contexte le montre nettement, une épuration philosophique de la présentation mythologique des dieux, donc le dépassement des fables mythologiques. C’est à ce seul compte que les poètes trouveront place dans la cité idéale qu’il propose.

La théologie selon Aristote

La poésie et les origines de la pensée

Le terme est repris par Aristote, (Métaphysique, livre A (I), 3, 983.b.29 et livre B (III), 4, 1000.a.9-30) pour distinguer les philosophes des théologiens (ou « théologues » d'après la traduction de Jules Barthélemy-Saint-Hilaire, par opposition à la théologie exposée en livre E (VI), 1, 1025.b.16-23) qui racontent, sous forme poétique, la mythologie. Les philosophes, au contraire, sont les tenants de la recherche rationnelle des principes des choses.

Aristote semble néanmoins introduire l'hypothèse que les premiers théologiens et les premiers philosophes avaient une pensée commune, les premiers appelant « dieux » ce que les seconds appellent « principes ». Cette hypothèse que les poètes tels qu'Homère et Hésiode étaient des penseurs à l'instar des philosophes Anaximandre, Parménide et Héraclite, avant la séparation radicale entre la philosophie et la poésie instaurée par Platon et Aristote lui-même, a été développée au XX siècle par Martin Heidegger et Cornelius Castoriadis.

Les divisions de la métaphysique

Toutefois, dans un autre passage de son œuvre (Métaphysique, livre E (VI), 1, 1026a), Aristote distingue trois parties dans la philosophie « théorétique » : la mathématique (connaissance des substances abstraites de la matière), la physique (connaissance des substances immergées dans la matière) et la théologie (connaissance des substances séparées de la matière).

L'existence de substances séparées de la matière, qui poserait les fondements de la théologie au sein de la métaphysique aristotélicienne, n'est pas clairement prouvée par Aristote, qui laisse la question en suspens. Thomas d'Aquin affirmera avoir vu « dix livres d'Aristote » sur la question des substances séparées, qui livreraient donc la fameuse théologie d'Aristote, selon lui non encore traduits [en latin], mais il devra finalement se contenter du livre XII de la Métaphysique, qui évoque le problème sans le résoudre.

Le problème de l'ontothéologie

La théologie philosophique, investigation rationnelle sur les substances divines, est ainsi opposée par Aristote à la Théogonie poétique, irrationnelle et composée de fables. La théologie est une des trois parties théorétiques de la métaphysique, cette dernière étant également appelée « philosophie première » (Métaphysique, A, 2) ou « science de l'être en tant qu'être » (Métaphysique, Γ, 1).

La théologie communique donc avec l'ontologie, puisqu'elle étudie théoriquement les plus hautes réalités, les réalités divines, en acte et non mêlées à la matière. Ce projet, laissé à l'état d'ébauche, sera le point de départ de la majeure partie des débats philosophiques après la mort d'Aristote ; les péripatéticiens, les néoplatoniciens, puis les philosophes musulmans, juifs et chrétiens, tenteront de fonder et de justifier l'existence d'une théologie, qui deviendra – contrairement à son statut chez Aristote, d'origine naturelle et non monothéiste mais pluraliste – inspirée par les textes sacrés et cautionnée philosophiquement par l'idée d'un Premier principe de toutes choses. On passe de l'hellénisme aux monothéismes juif, chrétien et islamique.

Martin Heidegger s'intéressera de nouveau au problème, après quatre siècles d'oubli de l'aristotélisme ou presque (du XVIauXIX siècle inclus), et formulera l'hypothèse de l'ontothéologie. Selon lui, avec Aristote débute l'histoire de la métaphysique (qui s'achève avec Nietzsche dans le nihilisme), qui fait invariablement coïncider l'Être et Dieu (le premier principe), malgré la diversité des auteurs et des pensées.

Théologie révélée ou théologie chrétienne

Le Sauveur par Nikolaï Kocheliov vers 1870

Si les philosophes latins parlent peu de théologie, un passage de Varron - reprenant probablement une tripartition théorisée précédemment par l'école stoïcienne - est resté célèbre : il y distingue la théologie mythique, la théologie physique et la théologie politique. Ce passage a été repris par les écrivains chrétiens pour justifier leur propre démarche ou comme Augustin d'Hippone qui, reprenant cette division, en réfute deux pour ne retenir que la théologie physique comme interprétation du vrai Dieu.

L'emploi du terme dans la philosophie classique a, dans les premiers siècles, suscité une méfiance de la part des auteurs chrétiens. Les termes « théologie » et « théologiens » restent associés à la mythologie païenne. Cependant, Clément d'Alexandrie opère une distinction entre la « théologie du Verbe éternel » et la « mythologie de Dionysos ». Peu à peu, le terme ne s'emploie plus que pour la nouvelle religion. Toutefois, son sens précis n'est pas toujours le même : le mot « théologie » peut ainsi désigner les Écritures ou la confession de la foi chrétienne. Pour d'autres théologiens, la théologie était le discours sur la divinité en général, voire sur la seule divinité du Christ. Les auteurs occidentaux emploient assez peu le terme avant l'époque scolastique, préférant des expressions avec le mot sacer, telles que doctrina sacra, sacra pagina ou sacra eruditio. Cependant, les théologiens latins ont fini par l'utiliser couramment dans leurs écrits, et le mot « théologie » a alors reçu le sens, qu'il a gardé, d'étude systématique de la doctrine chrétienne.

À partir du XVI siècle, le mot théologie redevient plus général. Il est en effet utilisé dans l'expression théologie naturelle, qui désigne la connaissance de Dieu d'une manière considérée comme « naturelle ». Dès lors, il est également utilisé pour d'autres religions que le christianisme, notamment dans des perspectives d'étude comparée des religions. La théologie désigne alors l'image de Dieu et du divin dans les différentes religions, ainsi que leurs doctrines

Le christianisme est sans doute la religion qui a le plus revendiqué le concept de théologie. Certains de ses courants ont ainsi développé un ensemble de dogmes et de doctrines, qui ont donné lieu à de longues controverses.

L'importance de la théologie dans le christianisme s'explique en partie par la nature expansive qu'avait déjà cette religion à sa naissance. Ayant eu à s'opposer aux philosophes de l'empire, elle dut très tôt trouver des moyens de se faire entendre dans le monde gréco-romain, en employant ses termes, en récupérant ses catégories. De ce fait apparurent assez rapidement dans l'empire un néo-platonisme chrétien, ainsi que des formes d'Aristotélisme modifié. À ce facteur qu'on pourrait dire d'inculturation volontaire, s'ajoute l'influence en retour du substrat gréco-romain sur la doctrine chrétienne naissante. Celle-ci était particulièrement ouverte à ce genre de possibilité du fait, entre autres, de la rédaction des évangiles en grec et de la nature particulièrement spéculative de l'évangile de saint Jean. Ainsi, à l'identification, dans la philosophie grecque, de l'être et du logos répond dans l'évangile de Jean, l'identification de Dieu et du logos (« Au commencement était le Verbe [logos], et le Verbe était Dieu » Jn, 1,1).

Comme tous les mouvements religieux, le christianisme a croisé au cours de son histoire plus d'un mouvement de pensée qu'il a intégré, rejeté, influencé. Outre les diversités confessionnelles actuelles et leurs théologies afférentes, ce qu'on nomme traditionnellement les « grandes hérésies » comme le gnosticisme, étaient souvent des synthèses de conceptions philosophiques pré-existantes et de christianisme. Ainsi, dans cette histoire des rencontres entre la pensée et le christianisme, on peut noter, plus proche de nous, l'importance primordiale de celui-ci dans la philosophie de Kierkegaard, qui se place d'elle-même à la frontière de la théologie, de l'éthique, de la philosophie, témoignant par là de la plasticité de ce concept dans la culture chrétienne.

Théologie et foi

La théologie nécessite-t-elle un rapport croyant, une relation existentielle, à son objet ? Il s'agit déjà d'une interrogation théologique, qui n'admet pas de réponse simple. De même que selon Luther la foi justifiante est différente de la fides historica, il existe un habitus théologique qui ne prouve pas la justification et la sanctification du théologien, ni sa vocation. Personne ne peut établir en toute objectivité l’existence de ce rapport croyant, à moins de confondre l’aveu de la foi et la réalité de celle-ci. Par ailleurs, en Europe la théologie est aussi une discipline universitaire, enseignée dans des facultés ou instituts sans qu'une adhésion personnelle des étudiants aux contenus étudiés soit demandée.

Abélard est à l'origine de la distinction entre discours théologique et religieux ; entre les écrits rationnels décrivant Dieu et ses interactions avec les humains et les énoncés religieux tels que prières, rites…

C'est Boèce qui a transmis au monde latin la définition d'Aristote qui distinguait "les mythes de la theologia, et la science philosophique suprême, « science divine » (épistémè théologikè, Métaphysique L.)". Boèce propose une division des sciences : « La philosophie spéculative se divise en trois parties. La physique, […]. La mathématique […]. La théologique (theologica), enfin, s’occupe de ce qui est sans mouvement, abstrait et séparable [de la matière] »

"Le théologien est celui qui croit assez en Dieu pour faire sienne l'interrogation humaine dans ce qu'elle a de plus radical".

Théologie négative

Par opposition à la théologie positive ou encore théologie cataphatique, on appelle théologie négative ou apophatique celle qui ne définit jamais positivement Dieu mais lui prête seulement des attributs négatifs (exemple on ne dira pas de Dieu qu'il est éternel mais non-mortel : « Ô Dieu immortel aie pitié de nous ») .

Ce type de discours théologique repose sur une thèse, qui est que le langage des hommes est inadéquat pour traiter dans toute leur dignité les attributs divins. Ce serait doublement dévaloriser Dieu : un jugement étant composé d'un sujet et d'un prédicat, faire de Dieu le sujet de notre jugement, c'est l'objectiver, et lui accoler un prédicat, c'est lui prêter des propriétés qui, en droit, pourraient être assignées à d'autres objets. C'est utiliser le mythe qui est une « formation de compromis » entre le divin et l'humain. Mais le mythe en parle très mal : en dégradant l'invisible en visible d'où la démythologisation (Rudolf Bultmann).

Transcendant les limites de la pensée et du langage humains, la nature de Dieu serait proprement indicible. C'est pourquoi on pourrait inlassablement énoncer ce qu'il n'est pas, jamais ce qu'il est vraiment.

Une radicalisation de la théologie négative pourrait être de prendre comme point de départ du travail théologique la thèse de Wittgenstein: « Ce dont on ne peut pas parler, il faut le taire » (Tractatus Logico-philosophicus, 7)

Théologie philosophique ou naturelle

La théologie naturelle désigne la discipline philosophique qui traite de la nature de Dieu et de ses attributs connus par la seule raison, sans jamais recourir à la Révélation.

Elle s'efforce de dégager de manière argumentée et déductive les propriétés de Dieu. Par exemple, Augustin appuie sa théologie sur la philosophie de Platon, tandis que Thomas d'Aquin prolonge la Métaphysique d'Aristote.

On peut parler de théologie naturelle pour certains systèmes philosophiques, comme ceux de Descartes ou de Leibniz ; ceux-ci élaborent notamment des preuves de l'existence de Dieu, telles que l'argument ontologique, et s'efforcent de démontrer les attributs divins : éternité, perfection, bonté, toute-puissance, etc.

Mais cette approche philosophique est parfois critiquée : on lui reproche notamment sa froideur, et l'absence éventuelle de recours à la foi, à l'instar de Blaise Pascal qui invoque dans les Pensées le « Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob, non des philosophes et des savants ». En outre, si la raison peut rapprocher certains philosophes de la religion, elle peut tout aussi bien les en éloigner, et étayer l'athéisme ou l'agnosticisme.

Théologie juive

Dans le judaïsme, Dieu est à la fois Unique et Inconnaissable. Il ne peut être, pour les Juifs, qu'approché par l'étude de la Torah et de ses commentaires, ainsi que par la pratique des commandements (mitsvot). Les non-Juifs (Goyim), eux, peuvent se rapprocher aussi de Dieu en respectant les sept lois noahides.

Voir

YHWH

Noms de Dieu dans le judaïsme

Les Lois sur les Fondements de la Torah (wikisource)

Catégorie:Théologien juif

Théologie en islam

Voir Islam et la Catégorie:Courant musulman.

La théologie musulmane repose sur la révélation par Mahomet à travers le Coran de l'existence du Créateur, Allah, unique, omniscient et omnipotent. Cela impose donc de nombreuses limites d'interprétations, car jamais les enseignements philosophiques tirés ne peuvent mettre en cause le Coran. Plusieurs écoles théologiques ont été créées à partir de plusieurs systèmes de pensée qui s'affrontent :

En premier lieu le système méthodologique et la théologie associée appelée Kalâm, fondée sur la réflexion.

Le soufisme, fondé sur une étude mystique, voire ésotérique, de l'Islam

Le Kalâm est utilisé pour élaborer les lois (fiqh).

D'autre part, d'autres branches de l'islam dotées chacune de leur doctrine multiplient les théologies islamiques.

Théologie « athéologique »

Ce terme est parfois utilisé pour désigner le genre de théologie philosophique qui tente de prouver par raisonnement l'inexistence ou la non-attribution de certaines caractéristiques à Dieu ou aux Dieux. Bien que les penseurs matérialistes ou athées préfèrent s'éloigner tout simplement de la métaphysique, certains penseurs, comme Épicure, pratiquent de la théologie « athéologique » (dite aussi « minimaliste »). Dans le cas d'Épicure, ce philosophe tentera de démontrer l'impossibilité du providentialisme des Dieux grecs par des raisonnements logiques.

中文百科

神学(古希腊语:Θεολογια,拉丁语:theologia,英语:Theology)一词,广泛指称所有对神(上帝)这个主题展开的研究或学说。神学一词的希腊文Θεολογια是由Θεος(即「神」)和λογος(即「道/话语/学说」)两个字组合,字面上便有创建人类对上帝正确认识的学说之意。为宗教研究的一个领域。

在基督教于罗马获得胜利以后,在欧洲,神学多被用以指称基督教神学,但在基督教神学之外,还有伊斯兰教神学、犹太教神学等神学体系。有些科学理论家和人文主义代表由于神学受到认信传统所规限而拒绝神学,并且主张公立大学不应该有神学系的设置。

定义

拉丁教父奥古斯丁定义神学(拉丁语:theologia)的意义为「理性的讨论与神明有关的一切事物」。神学家理乍得·胡克定义神学为探讨「神圣事物的科学」。

神学概念的历史发展

「神学」这一概念并非源自基督宗教,而是早已出现在古希腊思想中。在古希腊思想中,「神学」(亦即「关于神的言谈」;后来像巴特这样的神学家把这个概念理解为「神对人的言谈」)一词指称关于诸神故事的唱颂和讲述。这样把神学理解为神话学,最早的证据出现在柏拉图《国家篇》(379 a)的对话录中。柏拉图用批判的标准来衡量诸神神话(当时备受批判的神学),而所用的批判标准就是用以衡量真理的标准:一、善、不变。在亚里士多德那里,神学概念的意含发生了根本的改变:神学作为最高的理论科学现在指向作为真正首要原理的神圣者(《形而上学》,10**a/b)。从而,神学的应用范围就从神话学说转变成形而上学。 在第二世纪,「神学」这一词被基督教作家(即护教者)所采纳,与外邦多神教作家的「神话学」(关于诸神故事的述说)相区别。在优西比乌里,「神学」这一概念大概意指「基督教的上帝论」。在所有教父时期的作家那里,这个概念并不涉及一般而言的基督教学说,而是仅仅涉及那些直接关涉上帝的那些方面。这样,某些早期基督教作家,例如《圣经·约翰福音》的作者以及纳西昂的格列高利,就尤其被指称为「神学家」,因为上帝处于其学说的中心。关于上帝为人类设立的救恩行动和为人类指定的拯救秩序的问题,则在「经世」(希:oikonomia)这一概念下得到处理。 古代教会的基督教神学家往往是主教,中世纪的神学家则往往是修会人士。自从大学作为修会高等学府在中世纪产生以来,神学就总是居首的学系。后来,在中世纪盛期,「神学」这一概念就在阿贝拉尔(早期经院哲学)和波纳文图拉(盛期经院哲学)首次获得了一个更为全面的意含:「关于神圣知识的领域」,包含了整个基督教学说。在这个意义上,「神学」这一概念的意含逐渐固定下来;后来,托马斯·阿奎那的《神学大全》(Summa theologica),视神学为一门思辨性的、理论性的科学。 后来的宗教改革家越来越强调神学的实践方向。马丁·路德也处于修院传统(例如中世纪的安瑟伦和明谷的贝尔纳德)的影响之下来理解神学。神学所关涉的完全是委身于上帝所施行的救恩,以及信徒生活的完满实践。在这种意义上,有为数不少的路德派正统神学家就把神学规定为一门实践科学(scientia practica),尽管这门「科学」不具备科学对严谨的要求。因此,路德宗正统神学的神学体系也就经常获得了一种像中古经院时期《神学大全》那样的系统特性,不过在内容方面则有不同的规划,而且其体系建设也越来越以信仰实践为导向。由此而得到确立的,还有一种越来越理论性的神学理解。 神学作为一门学科,与信仰实践和对信仰的直接知识有所区别,这种不同早在路德宗正统神学那里通过神学家卡利克斯特(Georg Calixt)便已得到指明。这在卡洛夫(Abraham Calov)和奎恩施特(Johann Andreas Quenstedt)的神学进路中明明可见。尽管他们把神学视为先于信仰的,但这种关系在启蒙运动时期却被颠倒过来:神学是次要的、从属的,作为对信仰或宗教所作的反思形式。这种关系规定首先出现在塞姆勒(Johann Salomo Semler)那里。施莱尔马赫把神学理解为一门实证学(positive Wissenschaft),联系于教会领导层。尽管神学与信仰的区分直到今天仍然规范着神学论述,但神学与教会领导层之间的定向关系则是富有争议的。

杜威图书馆分类法中神学的分类

圣经神学

归正神学

公教神学(Catholic Theology)

新教神学

正教神学(Orthodox Theology)

自由神学

历程神学(Process Theology)

新正统神学

基要神学

福音神学

解放神学

处境神学(Contextual Theology)

时代主义神学(Dispensationalist Theology)

存在主义神学

社会神学

其他神学 系统神学 - 亦称「教义学」 圣经注释学 - 亦称「圣经解释学」、「解经学」 教父神学 经院神学 历史神学 实践神学 诠释学神学、诠释学 老子神学 妇女神学 同志神学 社会福音神学 - 曾被视为自由主义神学的子题 汉语神学 东正教神学 异端神学 生态神学 文化神学

系统神学 - 亦称「教义学」

圣经注释学 - 亦称「圣经解释学」、「解经学」

教父神学

经院神学

历史神学

实践神学

诠释学神学、诠释学

老子神学

妇女神学

同志神学

社会福音神学 - 曾被视为自由主义神学的子题

汉语神学

东正教神学

异端神学

生态神学

文化神学

对神学的批判

许多批评者认为神学因为无法满足科学研究的定义,因此神学无法作为一门科学来研究。

法法词典

théologique adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel théologiques )

  • 1. religion qui se rapporte à l'étude de Dieu et de la religion

    des discussions théologiques

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