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词典释义:
parentèle
时间: 2023-09-12 17:09:51
[parɑ̃tεl]

n. f <旧> 1关, 戚关2或戚的总称

词典释义
n. f
<旧> 1戚关
2戚的总称
近义、反义、派生词
近义词:
famille,  parenté
联想词
parenté ; descendance 子孙,后裔,后,后人; famille 家庭; progéniture 子孙,后,后裔; fratrie 兄弟姊妹; hérédité 继承,世袭; généalogie 家谱,家,世; aristocratie 阶级,; ascendance ; cousine 表妹; sélection 选择,挑选,选拔;
当代法汉科技词典

parentèle f. 家

例句库

La parentèle des personnes citées ci-dessus (parents, tuteurs, enfants, enfants adoptifs, frères et sœurs, grands-parents, petits-enfants et conjoints).

圆点1至3所列人员的亲戚——父母、养父母、子女、养子女、兄弟姐妹、祖父母、孙子女和配偶。

法语百科

La parenté est une relation sociale privilégiée, consanguine ou non, fondée sur l'existence, réelle ou supposée, d'une filiation commune, d'une alliance ou sur une adoption. Selon les sociétés, elle est le fondement de droits et d'obligations particulières.

Dans le cas des parentés d'alliance, on parle souvent d'affinité, dans celui des parentés d'adoption, d'affiliation.

Un lien commun

Nous pouvons considérer que chaque individu de chaque société entretient des relations de parenté. Cependant il est certain que dans certaines sociétés les parents auront des rôles différents : dans les sociétés dites industrialisées, à côté des parents un grand nombre de relations s'établissent (dès le plus jeune âge, à la crèche et ensuite à l'école et au travail, dans un club de sport,...), ainsi la parenté a moins d'importance que dans des sociétés claniques où la parenté règle pratiquement toutes les relations.

La parenté articule des fonctions intégrantes et discriminantes qui vont au-delà des proches parents ou de la famille, que l'on donne à ce terme un sens étroit ou étendu. La filiation, par exemple, peut définir l'appartenance à des groupes pérennes qui s'étendent sur un réseau généalogique qui va bien au-delà des parents proches qu'un individu est amené à connaître ou à fréquenter au cours de sa propre existence, ses géniteurs, les oncles, ou les neveux, etc. À ce titre, un lignage, un clan, voire une caste, sont des extensions généralisatrices du principe de filiation. Dans une société donnée, on dira ainsi que les X sont les descendants du castor mythique ; dans telle autre, qu'ils sont les descendants de tel héros. Enfin dans des sociétés stratifiées, la pérennité dans le temps des échelons qui la composent repose aussi sur la filiation. L'aristocratie de l'ancien régime affirmait, entre autres, se distinguer de la roture par le « sang bleu » qui l'unissait de façon exclusive, et l'appartenance à l'aristocratie se transmettait par filiation. Ces exemples divers montrent que l'étude de la parenté, entendue d'une façon générale, permet de s'interroger sur des questions aussi centrales que « qui sommes-nous ? » et « qui sont les autres ? ».

La parenté a été analysée par les anthropologues de bien des manières, et selon des optiques parfois contradictoires. À défaut d'aborder l'histoire de cette sous-discipline de l'anthropologie, nous examinerons quelques concepts clés des études de parenté, en nous fondant sur les sources indiquées en bibliographie.

Évolution de la parenté

Il est légitime d'étudier le substrat commun que la parenté humaine partage avec l'organisation de la reproduction ou la vie collective d'autres organismes sexués. Pour des raisons évolutives évidentes, la parenté humaine est plus proche de l'organisation des collectifs de primates supérieurs que de celle des oiseaux, des reptiles ou des insectes.

La genèse évolutive de la parenté humaine reste à ce jour un domaine hautement conjectural. Christian Ghasarian évoque l'hypothèse d'une naissance conjointe de la parenté et du langage, et en tire une série de conséquences de type psychanalytique. La constitution d'une représentation de la filiation aurait ainsi donné plus d'importance au père qui, dès lors, aurait pu « s'interposer » dans la relation entre la mère et ses enfants, une nouveauté à son tour non dépourvue de conséquences sur le développement psychique de ces derniers. Toutefois, si la parenté humaine apparaît en même temps que le langage, on ne saurait montrer trop de prudence au moment d'en tirer des conséquences.

Lévi-Strauss se refuse à produire une genèse conjecturale de la parenté, mais admet pour sa part que pour qu'une parenté humaine puisse exister, trois conditions a priori sont nécessaires :

l'existence de la règle comme règle ;

la réciprocité comme forme d'intégration de soi et autrui ;

le caractère synthétique du don.

Cette réunion d'éléments permet l'avènement d'une prohibition de l'inceste « humain » qui est au fondement du « contrat social » original et originel que constitue pour lui la parenté. Lévi-Strauss l'a parfois exprimé dans les termes classiques du passage de la nature à la culture. L'aliénation minimale de la prohibition - je ne peux pas épouser qui je veux - permet l'établissement d'un ordre collectif minimal - je peux épouser la femme que tu ne peux pas épouser. Il reste que le statut des trois conditions a priori de la parenté, pose problème d'un point de vue évolutif, et dans son rapport avec le développement du langage articulé, puisque l'on ne saurait les aborder autrement que comme des « propriétés invariantes » d'un « esprit humain » dont la conception est par définition soustraite à tout processus évolutif. S'il y a pour Lévi-Strauss un « esprit humain » il ne semble pas y avoir un « esprit animal », et par conséquent le problème de leur continuité ne peut même pas être posé. Résoudre la question de la parenté humaine, et sa continuité ou sa rupture avec l'organisation d'une « pré-parenté » chez les hominidés anciens, nécessite de répondre à la question épineuse de l'origine du langage.

Liens de parenté

Parmi la parenté en général, on peut distinguer trois types de liens :

la filiation ;

l'alliance ;

la germanité.

Les liens de parenté, bien qu'on ait tendance à les considérer comme « naturels » ou biologiques, ne le sont que dans la tradition occidentale : c'est ainsi que la « consanguinité » est considérée comme biologique. Mais dans cette tradition aussi, des liens de parenté peuvent être créés par un processus juridique, comme dans le cas de l'adoption ou de la fraternité symbolique (amitié par exemple). La parenté ne peut pas reposer exclusivement sur des liens consanguins, car ces liens impliqueraient la parenté de tous, surtout dans les petites sociétés. L'organisation sociale sur cette base serait impossible. Des liens de parenté sont donc généralement sélectionnés dans la généalogie, les autres n'étant pas pris en compte. Il apparaît donc que la consanguinité est surtout définie culturellement. La filiation définit ces liens.

Droit civil français

Le droit civil français définit le degré de parenté dans le titre relatif aux successions. Depuis le début du XIX siècle, le degré de parenté y est défini comme le nombre total de générations qui séparent deux individus. Autrement dit, c'est la longueur du chemin qui va, dans leur arbre généalogique, de l'un à l'autre en passant par leur ascendant commun (qui peut être l'un d'eux). Un enfant et son père sont parents au premier degré. Deux sœurs sont parentes au deuxième degré : une « génération » de l'une des sœurs à leurs parents, plus une « génération » des parents à l'autre sœur ; un individu et son grand-père sont également parents au deuxième degré : une génération de l'individu à ses parents, plus une génération des parents au grand-père ; dans les deux cas, il y a un intermédiaire : le couple des parents (ou le parent commun). Un oncle et sa nièce sont parents au troisième degré. Des cousins germains sont parents au quatrième degré.

Droit civil belge

Le droit belge des successions, comme le droit civil français, définit le degré de parenté comme le nombre total de générations qui séparent deux individus.

Droit canon

Le droit canon de l'Église chrétienne définit, dans le texte relatif à la consanguinité, le degré de parenté entre deux individus comme étant, en ligne directe, le nombre de générations entre eux et, en ligne collatérale comme la somme des degrés dans les deux lignes directes

Un frère et sa sœur sont ainsi « parents au premier degré ». Des cousins germains sont donc parents au deuxième degré car il faut remonter à la génération du grand-père ou de la grand-mère pour trouver un ancêtre commun. Ce mode de calcul vaut pour les individus d'une même génération. Lorsque les générations des deux individus considérés sont différentes, on mentionne les degrés de chacune des deux branches : un oncle et sa nièce sont dits « parents du premier au deuxième degré ». L'ancêtre commun est en effet le père ou la mère de l'oncle (premier degré) qui est aussi le grand-père ou la grand-mère de la nièce (deuxième degré).

Filiation

La filiation est, selon Ghasarian, « le principe gouvernant la transmission de la parenté. » La filiation permet de donner un statut social à un individu et de classer les hommes, ce qui est particulièrement important, par exemple pour les règles du mariage. La filiation ne repose généralement pas sur des critères biologiques et dépend plutôt de la conception reçue du lien de parenté.

Les anthropologues distinguent trois grands types de filiation (cf. Ghasarian, p. 58) :

filiation unilinéaire patrilinéaire ou matrilinéaire ;

filiation bilinéaire ;

filiation indifférenciée.

Note : ces organisations sont particulièrement complexes, et un exposé détaillé demanderait un grand nombre de schémas pour être intelligible. Nous nous en tiendrons donc à des généralités.

Filiation unilinéaire

C'est l'organisation la plus répandue. La filiation est imposée à chacun, du côté du père ou de la mère. Généralement, dans ces systèmes, on estime l'importance du rôle physique de l'homme ou de la femme dans la procréation d'après cette appartenance au père ou à la mère.

Dans la plupart des filiations unilinéaires les femmes sont dominées par les hommes. D'après Laburthe-Tolra, ce système est fondé par la force physique, plus grande chez l'homme, et donc aussi par la violence, malgré la rébellion des femmes dans beaucoup de sociétés traditionnelles.

Patrilinéaire (dite agnatique):

Dans cette filiation, l'individu appartient au groupe parental consanguin de son père. Les relations sociales à l'intérieur du groupe et le droit dépendent des hommes. La femme réside alors chez son mari et doit se soumettre à son autorité. Exemples : Birmanie, Chine ancienne, Grèce, Rome.

Matrilinéaire (dite utérine):

L'individu est cette fois inclus dans le groupe consanguin de sa mère : les droits se transmettent par les femmes. Dans ce cas, le mari n'a que peu d'importance, et c'est le frère de la mère (oncle) qui possède des droits sur les enfants. On trouve aussi des sociétés où la parenté est patrilinéaire alors que le droit de propriété (y compris l'état d'homme libre) est matrilinéaire. Dans ce système, les femmes n'ont souvent pas plus de pouvoir politique que dans le système patrilinéaire, bien que leurs rôles économiques et religieux soient plus importants. On doit donc distinguer parenté matrilinéaire et matriarcat : la parenté matrilinéaire est la plupart du temps patriarcale.

Filiation bilinéaire (dite aussi double filiation)

Cette filiation est rare : elle combine les deux systèmes de filiation précédents. L'individu obtient des aspects sociaux précis de chaque côté : nom de famille, droits, devoirs, statuts, biens, culte des ancêtres, etc. Exemples : chez les Juifs, la parenté est patrilinéaire, mais la judéité se transmet par les femmes ; Touareg ; Hereros.

Filiation bilatérale ou indifférenciée (dite cognatique)

L'individu fait dans ce cas partie d'au moins deux groupes de parenté, du côté de sa mère et de son père à partir des grands-parents. Cette organisation structure des sociétés plus complexes que dans les cas précédents. Selon Ghasarian, ce système de parenté concerne cinquante pour cent des sociétés humaines.

L'individu peut choisir sa filiation : en Occident, le choix n'est pas obligatoire pour avoir un statut, mais il l'est dans les sociétés traditionnelles, ce qui fait distinguer entre droits effectifs et droits potentiels. Par ce choix, l'individu doit s'établir en résidence dans l'une ou l'autre parenté, ou se partager entre les deux, et ses droits varient en conséquence. Ce choix laisse une grande liberté individuelle, puisque c'est l'individu qui est censé rendre ses droits effectifs ; l'individu peut en outre parfois modifier son choix de résidence.

Réserves sur ces divisions

Des ethnologues ont fait remarquer que ces divisions sont trop rigides pour décrire les parentés réellement à l'œuvre dans les sociétés : c'est une certaine proportion de patrilinéarité et de matrilinéarité qu'on y trouverait en fait. Pour Rodney Needham (dans « La Parenté en question », citée par Ghasarian), il n'y a « aucun principe de filiation unique. » La conformité d'une société à un modèle uniforme est ainsi selon lui improbable. En conséquence, le classement des sociétés selon ces critères n'a rien d'évident.

Le lignage

Le lignage est un ensemble de personnes (y compris les morts) qui descendent d'un même ancêtre (homme ou femme). Le lignage renvoie à l'ancien droit coutumier d'origine germanique (le lien du sang). Au Moyen Âge, le lignage structure la hiérarchie féodale, au sein de la noblesse (dite de sang). Ainsi la vassalité qui unit au travers des obligations réciproques d'homme libre à homme libre était le plus souvent jointe au lignage et à la parenté (c'est-à-dire à l'alliance par le mariage de deux lignages, par exemple, les mariages d'Anne de Bretagne avec Charles VIII puis avec Louis XII qui firent entrer la Bretagne dans le royaume de France).

Le lignage comprend de très nombreux aspects :

organisation (économie, travail, etc.) ; y compris dans les sociétés traditionnelles le don et le contre don ;

droit (héritage / succession, autorité des Anciens, gestion et usage des biens, etc.) ;

fiscalité (droits de succession, définition fiscale du ménage, etc.) ;

religion (cultes des ancêtres) ;

service (chasse, gestion du bétail, etc.) ;

etc.

Cet ensemble forme une personne morale (encore que juridiquement ce terme s'applique plutôt aux sociétés et associations), dont les membres sont les représentants.

Relations des individus dans la parenté

Le respect

La familiarité

Les interdits (notamment l'inceste)

L'évitement : cette relation, qui s'apparente au respect, comporte de nombreux aspects liés à la personne évitée. Évitement des regards, des contacts physiques, de la présence, de la réalisation de certains actes (nutrition par exemple) en présence de la personne, etc. Ce comportement concerne plusieurs types de relation et se produit suivant le lieu, le moment de la journée, etc. : mari et femme, gendre et beaux-parents, etc. Par exemple, dans certaines sociétés, le gendre est censé se cacher s'il aperçoit sa belle-mère : c'est un comportement de crainte qui doit permettre d'éviter les conflits et conserver le respect mutuel.

Les relations à plaisanteries

Alliances et mariage

Types de mariages

Le mariage implique l'union de deux personnes (une femme et un homme ; deux femmes ; ou deux hommes), formant ainsi une famille, qu'ils aient des enfants ou non. C'est en effet la fonction sociale du mariage qui est prise en compte.

Pour exemple, un homme stérile peut se marier dans la quasi totalité des pays du monde. Une femme stérile peut par exemple tenir le "rôle d'un homme" tel qu'il est défini chez les Nuer.

Les situations ci-dessous sont rares :

polygamie. C'est le mariage d'un individu (homme ou femme) avec plusieurs personnes (hommes ou femmes) ; on distingue deux types de mariage polygame : mariage polygynique, où l'homme a plusieurs épouses légitimes. Cette pratique est généralement associée au statut social de l'homme, le nombre de femmes témoignant de son importance et de sa puissance. Le statut des femmes y est variable : les femmes peuvent être enfermées comme des biens (signe de richesse), ou au contraire disposer d'une grande liberté dans leurs activités par une répartition des tâches entre les épouses, mariage polygynique sororal : l'homme se marie à une femme, puis par la suite à sa sœur, voire à plusieurs d'entre elles, mariage polyandrique : la femme a plusieurs hommes légitimes, mariage polyandrique fraternel : la femme se marie avec des frères ;

mariage polygynique, où l'homme a plusieurs épouses légitimes. Cette pratique est généralement associée au statut social de l'homme, le nombre de femmes témoignant de son importance et de sa puissance. Le statut des femmes y est variable : les femmes peuvent être enfermées comme des biens (signe de richesse), ou au contraire disposer d'une grande liberté dans leurs activités par une répartition des tâches entre les épouses,

mariage polygynique sororal : l'homme se marie à une femme, puis par la suite à sa sœur, voire à plusieurs d'entre elles,

mariage polyandrique : la femme a plusieurs hommes légitimes,

mariage polyandrique fraternel : la femme se marie avec des frères ;

lévirat. Dans ce type de mariage, une femme doit épouser le frère de son mari défunt. Le nouveau mari a alors le devoir de poursuivre la lignée de son frère ; les enfants issus de cette union seront socialement considérés comme ceux de l'ancien mari. Exemples : Grèce antique, Rome ;;

sororat. Dans ce type de mariage, c'est cette fois la sœur d'une épouse défunte qui assure la continuité de la lignée.

mariage morganatique : pour les souverains, mariages où l'un des époux, et les enfants du couple, renoncent à une partie des prérogatives d'héritage.

Quelques aspects

Économie du mariage

Procréation

Fidélité des mariés

L'épouse est généralement considérée par l'homme et se voit elle-même comme un bien, comme dans le cas de la polygynie. À ce titre, c'est souvent la virginité de la future mariée qui fait sa valeur. Les rapports sexuels avant le mariage sont pour une femme une cause de déshonneur et d'impureté dans de nombreuses sociétés traditionnelles. Quant à l'homme, il est souvent tenu d'épouser la femme avec qui il a eu des rapports sexuels.

L'adultère est soit interdit aux deux époux, soit accepté pour les deux, soit interdit à l'un des deux seulement. Ce point, comme la virginité, est lié à l'honneur et peut entraîner des vengeances. Dans certaines sociétés, les femmes sont échangées entre époux.

Statut social et pouvoir

La parenté peut être considérée comme une expression de l'organisation du pouvoir ; voir sur ce point anthropologie politique.

Le chef de famille

Statut des femmes

Statut des anciens

Statut des ancêtres

中文百科
  家族亲戚关系称呼表(修正图)
  家族亲戚关系称呼表(修正图)

亲属(kinship)是指具有同一个系谱起源的实体(人、天神或其他动物)之间的关系,无论这个系谱起源是透过生物、文化或历史的继嗣关系。

在人类学,亲属体系同时包括借由继嗣与婚姻而彼此有所关联的人们,而在生物学亲属这个字指称血统和交配。人类透过婚姻而创建的亲属关系一般称为「姻亲」,以对比于「血亲」(也称为「血缘关系」),即使说这两种亲属关系,在彼此具有共同继嗣关系而发生婚姻关系的人们当中,可能会交叠。家庭关系的社会文化系谱关系,并不限于人类,也可追溯到天神 (参阅神话、宗教)、在该地区或自然现象之中的动物(如起源故事)。

亲属关系是社会的最基本原则之一,用来将个体纳入社会团体、角色、类别和系谱当中。家庭关系可被具体表示(例如母亲、弟弟、爷爷),或依据关系程度而抽象表示。某一种关系可能具有亲属紧密性(例如,父亲之于孩子),或反映一种绝对事物(例如,介于母亲和没有孩子的女人之间的地位差异)。关系程度并不完全等同于继承权或法律继承。许多伦理守则(例如儒家的孝道)认定这种亲属链接关系,是在具有关系的人们之间创造了义务,这比跟陌生人之间的关系更强大。

亲属研究的历史

伊罗奎型亲属关系(Iroquois kinship)(也称「二分合并」)

克鲁型(Crow kinship)(二分合并的延伸)

欧马哈型(Omaha kinship)(也是一种二分合并的延伸)

德拉威型(Dravidian kinship)(典型的类分制亲属关系,具有二分合并,但又完全不同于伊罗奎)。多数澳大利亚原住民亲属关系也是类分制。

爱斯基摩型(Eskimo kinship)(也称为「直系亲属关系」)

夏威夷型(Hawaiian kinship)(也称为「行辈型系统」)

苏丹型(Sudanese kinship )(也称为「描述型系统」)。摩尔根将华人亲属称谓归类于这一型,详见汉语亲属系统。

汉语亲属称谓

汉语的亲属,是指因婚姻或血缘与和人类个体结成的社会关系,父母、兄弟姊妹等亲属又称亲人或家人,其他则称为亲戚。阐述亲属关系的记录最早见于先秦典籍《尔雅》第四章的《释亲》。中国古代唐朝学者孔颖达对亲戚的注解为“亲指族内,戚言族外”,所谓族内是指父系同宗者,以男性为中心,包括宗族内的男性和他们的配偶,但不包括已出嫁女性和她们的配偶。现代则多分为血亲、姻亲及配偶。

参阅

亲属主义(Kinism)

亲属称谓(Kinship terminology)

家庭

系谱学

教父母

继承

养育亲属(Nurture kinship)

拟亲属关系(Fictive kinship)

氏族

朝代

部落

族群

遗传

达尔文学派人类学(Darwinian anthropology)

亲属选择

亲属分析

血亲

嫁娶劳役(Bride service)

聘礼

人际关系

澳洲原住民亲属(Australian Aboriginal kinship)

汉语亲属系统

塞尔维亚-克罗地亚亲属(Serbo-Croatian kinship)

灰姑娘效应

阿萨姆亲属(Assamese kinship)

爱尔兰亲属(Irish Kinship)

引用文献

↑ On Kinship and Gods in Ancient Egypt: An Interview with Marcelo Campagno Damqatum 2 (2007)

↑ Houseman and White 1998a (Bibliography)

↑ Read 2001

↑ Wallace and Atkins 1960

↑ White and Johansen, 2005, Chapter 4. (Bibliography)

↑ White and Johansen, 2005, Chapters 3 and 4 (Bibliography)

法法词典

parentèle nom commun - féminin ( parentèles )

  • 1. sciences humaines : en ethnologie ensemble des personnes liées entre elles par un lien de consanguinité

    le pouvoir de l'ancien sur la parentèle

  • 2. ensemble des personnes avec lesquelles on a un lien de famille (soutenu) Synonyme: parenté

    toute la parentèle a assisté aux noces

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