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词典释义:
pétoncle
时间: 2023-09-25 03:59:17
[petɔ̃kl]

n. m. 1. 【动】扇贝

词典释义

n. m.
1. 【动】扇贝
近义、反义、派生词
词:
amande
联想词
homard 螯虾,龙虾; crabe 蟹; cabillaud 一种小鳕; saumon ; thon 金枪; coquille 贝壳,甲壳; crevette 虾; morue ; anchois ; corail 珊瑚,珊瑚虫,珊瑚树; poisson ;
原声例句

Les pétoncles du monde entier peuvent aussi s'appeler Noix de Saint-Jacques. Difficile de s'y retrouver.

全世界所有的扇贝肉都能被称为瑶柱。所以很难找出。

[Food Story]

On les reconnaît par rapport aux pétoncles, au fait qu'elles ont une valve supérieure plate et la valve inférieure bombée.

我们要把它们从其他扇贝中辨认出来,关键是它们有着平坦的上瓣和拱起的下瓣。

[Food Story]

Tout ce qui n'est pas Pecten maximus, c'est du pétoncle.

所有不以Pectines Maximus(大扇贝)为名的,都是普通扇贝

[Food Story]

Dominique va tester des pétoncles du Chili et d'Argentine et des coquilles Saint-Jacques de Normandie et de Bretagne.

多米尼克将要测试的是来自智利,阿根廷的普通扇贝以及诺曼底和布列塔尼的圣雅克扇贝。

[Food Story]

Commençons avec les pétoncles du Chili qui, eux aussi, ont du corail. La première assiette, elle ignore de quel nom il s'agit.

让我们从智利的扇贝开始,它有点珊瑚虫。第一道菜,不管它的名字了。

[Food Story]

Et moi, j'ai mis 1 bon. 0.6 de moyenne, donc pour le pétoncle chilien. Il avait vraiment moins surpris parce que ce n'est pas quelque chose de haut de gamme. C'est pas un super produit.

我给1分。所以智利扇贝的平均分是0.6分。这也不太让人吃惊,因为这本来也不是什么特别高质量的东西。这不是特别好的产品。

[Food Story]

Mais c'est tout petit, avec un petit pétoncle qui vient d'Argentine. Comme quoi le pétoncle, ça peut être un bon produit aussi, mais c'est du pétoncle petit.

但是它太小了,这些是来自阿根廷的小扇贝。作为扇贝来说也是不错的产品了,只不过是小扇贝。

[Food Story]

C'est une coquille Saint-Jacques. Ce n'est pas un pétoncle, c'est une coquille Saint-Jacques, mais bretonne sans corail, donc peut être ça fait la différence.

这也是圣雅克扇贝,不是普通扇贝,不过是布列塔尼的无珊瑚虫的圣雅克扇贝,所以可能有些不同。

[Food Story]

Ce n'est pas la coquille Saint-Jacques, c'est du pétoncle.

这不是圣雅克扇贝,这是普通扇贝

[Food Story]

Au contraire des pétoncles qui, eux, ont les deux valves bombée.

这和那些两瓣都是拱起的扇贝们不同。

[Food Story]

例句库

Il préfère le pétoncle.

他更喜欢扇贝

法语百科
Description de cette image, également commentée ci-après

Le pétoncle, de nos jours, désigne des bivalves pectinidés autres que les coquilles St-Jacques.

L'histoire de ce mot est en réalité complexe. Jusqu'à la fin du XVIII siècle, il a servi pour nommer une grande diversité de coquillages avant que Jean-Baptiste de Lamarck n'en fasse un genre précis (Pectunculus). Les pétoncles de Lamarck et des naturalistes du XIX siècle ne correspondent toutefois pas du tout aux coquillages que nous connaissons aujourd'hui sous ce nom.

Plusieurs espèces de pétoncles jouissent d'une excellente réputation gastronomique et font donc l'objet d'une exploitation à fort potentiel économique (pêche et pectiniculture).

Étymologie

Les coquilles Saint-Jacques (ici Pecten jacobaeus) étaient nommées « peignes » dans l'Antiquité. Les pétoncles (pectunculus) étaient de petits peignes.

« Pétoncle » dérive directement du latin classique pectunculus, que l'on traduit par « petit peigne de mer » ; c'est le diminutif de pecten, le peigne de mer, c'est-à-dire la coquille St-Jacques.

On le trouve en français sous la forme poitoncle en 1415, puis petoncle en 1551.

Histoire

Les auteurs de référence du monde gréco-latin dans le domaine de l'histoire naturelle connaissent bien les coquilles Saint-Jacques : les noms qu'ils leur donnent, kteis (κτεις, κτενος) dans le cas d'Aristote et pecten pour Pline l'Ancien, sont sans ambiguïté traduits par « peigne », une appellation toujours en usage de nos jours. Il n'est toutefois pas certain que cette appellation n'ait pas englobé d'autres espèces. L'incertitude n'est pas moindre pour pectunculus, le terme qui a donné le français « pétoncle », et dont divers auteurs avancent même qu'il pourrait avoir été équivalent de « coquillage ».

Quoi qu'il en soit, les pétoncles figurés par Guillaume Rondelet en 1558 dans son Histoire entière des poissons sont bien des pectinidés, appartenant aujourd'hui au genre Chlamys. À partir de cette époque, à la suite des écrits de Pierre Belon puis de Martin Lister, les termes « pétoncle » et « pectunculus » sont employés par les naturalistes pour nommer d'assez nombreux bivalves souvent sans rapport avec les pectinidés. La situation du terme français restera confuse tout au long du XVIII siècle, certains auteurs adoptant la position de Belon et Lister, d'autres conservant préférentiellement la signification initiale faisant référence à la coquille Saint-Jacques et autres pectinidés ; ainsi, la cinquième famille des bivalves de Dezallier d'Argenville, consacrée aux peignes — dont il écrit qu'ils « se nomment en François Pétoncles » —, comporte-t-elle essentiellement des pectinidés, mais aussi des coquillages étrangers à cette famille.

Au XIX siècle, les spécialistes réservaient l'appellation « pétoncle » aux amandes de mer, ici Glycymeris glycymeris.

En 1758, Carl von Linné classe tous les pectinidés dans la section « Pectines » de son genre Ostrea. Au début du XIX siècle, Lamarck les range tous dans le genre Pecten, qu'il nomme systématiquement « peignes » en français, et ne fait pas mention à leur sujet de l'appellation « pétoncle ». En fait, il réserve ce terme français à un nouveau genre qu'il nomme Pectunculus en latin et qui correspond à des coquillages d'une tout autre famille, aujourd'hui connus sous le nom de Glycymeris, ou amandes de mer. La communauté des malacologistes lui emboîtera le pas et, pour les spécialistes français du XIX siècle, « pétoncle » sera durablement le nom usuel des mollusques du genre Glycymeris actuel.

Les dictionnaires reflètent de façon assez approximative cette évolution. L'édition de 1762 du Dictionnaire de l'Académie française en écarte les pectinidés (en excluant les peignes), conformément à certaines idées de l'époque ; les éditions suivantes se replieront sur une définition plus vague, et plus prudente. Le Larousse, conservant l'acception du XIX siècle, l'assimile à l'amande de mer. Seul le Grand dictionnaire terminologique québecois entérine l'usage actuel, lui donnant pour équivalent l'anglais scallop qui désigne sans équivoque les pectinidés.

Le Dictionnaire de l'Académie et le Littré en font un substantif féminin ; il est masculin pour la plupart des autres dictionnaires, dont le Larousse et le GDT, ainsi — conformément à la désinence masculine du pectunculus latin —.que dans les usages naturaliste, halieutique et commercial.

Usage actuel

Le pétoncle géant est une espèce de très grande taille dont les plus grands spécimens atteignent 21 cm.

S'agissant de pectinidés, les auteurs anciens insistaient sur le fait que les pétoncles correspondaient à des modèles réduits de coquilles Saint-Jacques. Le sens actuel du mot rejoint cette acception ancienne en ce qu'il s'agit toujours de pectinidés ; mais il s'en écarte légèrement en ceci qu'il vise, sans tenir compte de la taille, tous les pectinidés qui n'appartiennent pas au genre des coquilles Saint-Jacques (Pecten). Or on donne le nom de pétoncle à des animaux dont les dimensions égalent ou excèdent celle des Pecten (par exemple le pétoncle géant du Canada, le pétoncle géant du Pacifique, le pétoncle japonais et le pétoncle des roches).

France

L'utilisation vernaculaire du terme « pétoncle » est attestée depuis le XVI siècle au moins sur le littoral atlantique français, en particulier en Vendée et Saintonge. Elle y a toujours cours, soit sous sa forme standardisée soit sous diverses variantes dialectales (petunclle, petungue). On trouve aussi plusieurs formes du mot sur les côtes de la Manche (péton, pétonge, pétonche…). Le vocabulaire maritime en langue bretonne l'a lui-même incorporé sous diverses formes, du Morbihan aux Côtes-d'Armor (peton, petonk, pitougnenn…) ; peton y est attesté depuis 1732. En France, il vise essentiellement les deux espèces régulièrement pêchées et commercialisées, le pétoncle blanc et le pétoncle noir. De fait, il est désormais compris partout. Une certaine « officialisation » du terme par les administrations et les milieux de la pêche a certainement facilité cette évolution. En témoigne l'impressionnante quantité de recettes de pétoncles sur la toile ; sauf rarissime exception, elles concernent toutes des pectinidés.

Effectivement, dans les documents officiels récents, qu'ils émanent de l'Administration, de l'Ifremer ou des organismes professionnels en rapport avec la pêche ou avec le commerce des produits de la pêche et de l'aquaculture, l'appellation « pétoncle » est sans exception associée à des pectinidés. La signification qui avait cours au XIX siècle dans les milieux scientifiques semble donc définitivement écartée : les coquillages du genre Glycymeris sont désormais nommés amandes ou amandes de mer. Étrangement, la Liste des dénominations commerciales de la DGCCRF, très complète en matière de produits de la mer, mentionne séparément les pectinidés en reprenant la référence à l'arrêté du 26 juin 1996, qui est spécifiquement consacré aux appellations des pectinidés, pétoncles et coquilles Saint-Jacques.

Canada

Au Canada, où ne vit aucune espèce du genre Pecten, le terme pétoncle désigne sans ambiguïté l'ensemble des pectinidés à vocation commerciale. Il s'agit avant tout du pétoncle géant de l'espèce Placopecten magellanicus, de grande taille et de grande importance économique, pêchée et un peu cultivée dans l'est du pays (Maritimes, en particulier Nouvelle-Écosse, et Québec). Mais l'appellation concerne aussi des espèces de moindre valeur économique : sur la côte atlantique, le pétoncle d'Islande (Chlamys islandica) et le pétoncle de baie (Argopecten irradians), introduit dans l’Atlantique canadien à des fins d'aquaculture ; sur la côte pacifique, le pétoncle géant du Pacifique (Patinopecten caurinus) et le pétoncle des roches (Crassadoma gigantea), de très grande taille tous deux, mais considérés comme trop rares pour être exploitables, le pétoncle rose (Chlamys rubida) et le pétoncle épineux (Chlamys hastata), espèces de taille moyenne faisant l'objet d'une petite pêche commerciale, ainsi que le pétoncle japonais (Patinopecten yessoensis) introduit à des fins d'élevage.

L'Office québécois de la langue française fait du mot « pétoncle » un équivalent du scallop anglais. Il recommande d'éviter le terme « coquille Saint-Jacques » pour faire référence aux pectinidés canadiens.

Autres pays francophones

Les pays francophones riverains de l'Atlantique du nord-est et de la Méditerranée semblent avoir adopté en matière de pectinidés commerciaux une nomenclature analogue à celle de la France.

En Belgique, un arrêté royal du 22 mai 1996 consacre la dichotomie entre coquilles Saint-Jacques et pétoncles, ces derniers correspondant à l'ensemble des pectinidés à l'exception du genre Pecten (les représentants du genre Chlamys pouvant en outre être nommés « vanneaux »).

En Algérie, le décret du 18 mars 2004 fixe les tailles marchandes d'un certain nombre de ressources halieutiques. Quatre espèces de pectinidés sont concernées, la coquille Saint-Jacques et trois pétoncles nommés pétoncle bigarré (Chlamys varia), pétoncle glabre (Chlamys glabra) et pétoncle operculaire (Aequipecten opercularis). Au Maroc, où sa pêcherie est peu développée, Aequipecten opercularis est également connu sous le nom de pétoncle blanc.

Pétoncle ou peigne ?

Dans l'Antiquité, le terme pecten, traduit par « peigne », faisait référence aux coquilles Saint-Jacques. Au XIX siècle, notamment sous l'impulsion de Lamarck, le terme latin et son équivalent français furent employés pour désigner tous les pectinidés. Si ce dernier usage perdure, la concurrence avec pétoncle tourne de plus en plus à l'avantage de ce dernier. On ne trouve plus guère le terme « peigne » que dans certaines publications de la FAO, parfois reprises dans divers sites web liés aux milieux de la pêche. Certaines espèces reçoivent éventuellement les deux appellations : ainsi, Placopecten magellanicus peut-il être nommé « pétoncle géant » ou « peigne hauturier de l'Atlantique » , et l'espèce Chlamys imbricata est appelée aussi petit peigne noueux.

Noms en français et noms scientifiques correspondants

Le pétoncle géant du Pacifique (Patinopecten caurinus) peut atteindre 25 cm.
Le pétoncle géant du Pacifique (Patinopecten caurinus) peut atteindre 25 cm.

Le Pétoncle glabre MHNT

Note : Certaines espèces ont plusieurs noms.

Grand pétoncle - Chlamys orbicularis

Petit pétoncle - voir Pétoncle noir

Pétoncle - le plus souvent Chlamys spp. ou le Pétoncle noir

Pétoncle des Antilles - Lyropecten antillarum (Antilles)

Pétoncle austral - Adamussium colbecki (Antarctique)

Pétoncle de baie - Argopecten irradians

Pétoncle bénédicte - Chlamys munda (Antilles)

Pétoncle bigarré - voir Pétoncle noir

Pétoncle blanc - Aequipecten opercularis (Mer du Nord, Manche, Atlantique, Méditerranée.)

Pétoncle chilien - Argopecten purpuratus (Pacifique du sud-est)

Pétoncle à côtes fines - Chlamys multisquamata (Antilles)

Pétoncle écailleux - Chlamys squamata (Indo-Pacifique)

Pétoncle épineux - Chlamys hastata

Pétoncle étendard - Bractechlamys vexillum

Pétoncle éventail - voir Pétoncle chilien

Pétoncle géant - Placopecten magellanicus

Pétoncle géant du Pacifique - Patinopecten caurinus

Pétoncle gibecière ou Pétoncle-gibecière - Chlamys pesfelis (Méditerranée)

Pétoncle glabre - Flexopecten glaber (Méditerranée, Mer Noire)

Pétoncle d'Islande - Chlamys islandica

Pétoncle japonais ou Pétoncle du Japon - Patinopecten yessoensis

Pétoncle léopard - Annachlamys flabellata (Indo-Pacifique)

Pétoncle manteau - Gloripallium pallium (Indo-Pacifique)

Pétoncle mantelet - Decatopecten amiculum (Indo-Pacifique)

Pétoncle multistrié - Crassadoma multistriata (syn. Chlamys multistrata) (Méditerranée)

Pétoncle noir - Chlamys varia (Atlantique du nord-est)

Pétoncle ondé - Chlamys flexuosa (syn. Flexopecten flexuosus (Méditerranée)

Pétoncle operculaire - voir Pétoncle blanc

Pétoncle orné - Chlamys ornata (Antilles)

Pétoncle patte de lion - Lyropecten nodosus

Pétoncle péruvien - voir Pétoncle chilien

Pétoncle protée - Flexopecten proteus

Pétoncle râpe ou Pétoncle râpé - Comptopallium radula (syn. Decatopecten radula

Pétoncle des roches - Crassadoma gigantea

Pétoncle rose - Chlamys rubida

Pétoncle sénateur - Chlamys senatoria (Indo-Pacifique)

Pétoncle de Singapour - Volachlamys singaporina (Indo-Pacifique)

Pétoncle volant - Argopecten ventricosus

Utilisation

Salade de noix de pétoncle accompagnée de tapenade

Les pétoncles, comme tous les pectinidés, sont parmi les fruits de mer les plus appréciés. Ils doivent sans doute cette réputation à leur taille assez grande, à leur chair plus tendre que celle de la plupart des autres mollusques et, surtout, à une saveur très particulière, généralement très douce. C'est à Russell Henry Chittenden, biochimiste à l'université Yale, que l'on doit, en 1875, la découverte de la teneur particulièrement élevée du muscle adducteur de pétoncle en glycogène.

C'est effectivement le muscle adducteur, plus connu sous le nom de « noix », qui constitue la partie la plus prisée du mollusque ; pour l'essentiel, ce sont donc les noix de pétoncles qui sont commercialisées.

Il se consomme cru, poché, poêlé ou passé au four (pétoncles farcis). Le pétoncle peut s'utiliser congelé ou frais. On consomme aussi le corail de pétoncle (l'organe génital). Le pétoncle est un fruit de mer très estimé pour ses valeurs nutritionnelles en acides gras : pauvre en acides gras saturés mais riche en Omégas-3. On reconnait sa fraîcheur à l'odeur, à l'absence de liquide suspect ou, lorsqu'il est vivant, à sa contraction musculaire.

Différence de valeur nutritionnelle

Les protéines du pétoncle Chlamys varia cuit à la vapeur est de 23,2 grammes pour 160 milligrammes de sodium par rapport à la coquille de Saint Jacques qui est de 15,6 grammes pour 156 grammes de sodium.

中文百科

扇贝俗称元贝或带子,北方称鲜贝,属于双壳类软体动物,双壳纲牡蛎目,附着在浅海岩石或沙质海底生活。扇贝的品种很多,全世界海洋都有。很多扇贝作为美食食用,其贝柱(或称珧柱、瑶柱)与俗称带子的栉江珧类似,但价格相去甚远。色艳鲜艳辐射状花纹的扇贝受收藏者喜爱,花纹被采纳为艺术品的图案。

解剖学

扇贝的眼睛可达100个。 扇贝中央有收缩肌肉,其壳里面有一个瘢痕,是这种肌肉的附着点。扇贝是贝类中唯一迁徙的物种。其外壳的形状往往是高度规则。扇贝在壳的边缘有高达100个简单眼睛,像一串珠子。它们是反射眼,一个直径约一毫米,视网膜是比其他的双壳类物种更复杂。它们的眼睛包含两个视网膜类型,一个适应光线和另一个适应于黑暗物体,如附近一个捕食者的影子。它们不能感知物体的形状,但可以检测出不断变化的光线和运动。

分类

女王扇贝属 Aequipecten P. Fischer, 1886

日月蛏属 Amusium Roding, 1798

海湾扇贝属 Argopecten Monterosato, 1889

Bractechlamys Iredale, 1939

Caribachlamys Waller, 1993

锦海扇蛤属 Chlamys Röding, 1798

Crassadoma Bernard, 1986

隐扇贝属 Cryptopecten Dall, Bartsch & Rehder, 1938

Decatopecten G. B. Sowerby II, 1839

Delectopecten Stewart, 1930

Euvola Dall, 1898

Haumea Dall, Bartsch, and Rehder, 1938

Hinnites De France, 1821

Hyalopecten Verrill, 1897

Laevichlamys Waller, 1993

Leptopecten A. E. Verrill, 1897

Lindapecten Petuch, 1995

Lyropecten Conrad, 1862

Malanochlamys

Nodipecten Dall, 1898

Palliolum di Monterosato, 1884

Patinopecten Dall, 1898

海扇蛤属 Pecten Muller, 1776

Placopecten Verrill, 1897

Spathochlamys Waller, 1993

常见食用扇贝

虾夷盘扇贝 Patinopecten yessoensis

女王扇贝 Aequipecten opercularis

海湾扇贝 Argopecten irradians

亚洲日月蛤 Amusium pleuronectes

麦哲伦海扇蛤 Placopecten magellanicus

图集

扇贝的眼

扇贝中的阿芙罗黛蒂, 罗浮宫

大海扇蛤 (Pecten maximus) 右,旁为欧洲牡蛎(Ostrea edulis).

Jakobsmuschel "untere", flache Schalenhälfe

女王海扇蛤 Aequipecten opercularis

法国海扇蛤 Chlamys varia

法国海扇蛤 Chlamys varia

Chlamys swifti

法法词典

pétoncle nom commun - masculin ( pétoncles )

  • 1. cuisine coquillage à la chair très estimée

    j'ai préparé de la soupe aux pétoncles

  • 2. zoologie mollusque bivalve lamellibranche (de la famille des arcidés) qui vit sur les fonds sableux ou rocheux de l'océan Atlantique

    la coquille d'un pétoncle

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