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词典释义:
écriture
时间: 2024-03-17 15:29:32
常用词
[ekrityr]

n. f. 1文字; 字体, 书法; 字迹, 笔迹; 2写, 写入[指把数据存入内存]; 3文体, 风格; 特殊的写作手法, 特殊的作曲手法; 4证书, 证明文件5 ~s. pl. 账簿, 账目, 商业信札常见用法

词典释义

n. f.
1文字; 字体, 书法; 字迹, 笔迹;
écriture pictographique 象形文字
écriture idéographique 表意文字
une écriture de chat 字迹难认


2写, 写入[指把数据存入内存];
3文体, 风格; 特殊的写作手法, 特殊的作曲手法;
un roman d'une écriture recherchée 一部以典雅的文笔写成的小说
l'écriture concise et nerveuse de Mérimée 梅里美简洁而刚劲的文笔


4证书, 证明文件
5 ~s. pl. 账簿, 账目, 商业信札
passer une écriture 入一笔账
tenir les écritures 记账




常见用法
une belle écriture一手好字
une écriture illisible字迹不清

近义、反义、派生词
近义词:
genre,  manière,  phraséologie,  plume,  style,  ton,  graphie,  graphisme,  rédaction,  composition,  griffe,  patte
联想词
lecture 阅读,阅览; réécriture 重写; narration 叙述,叙事,讲述; calligraphie 书法; poésie 诗,诗歌,诗词; écrire 写,书写; typographie 活版印刷术; ponctuation 标点; autobiographie 自传; énonciation 陈述,发表,说明; littérature 文学;
短语搭配

tenir les écritures记账

passer une écriture入一笔账, 过一笔账;入一笔账

protégé en écriture写保护;防写保护

protéger en écriture写保护;防写保护

contrefaire son écriture变换自己的笔迹

commis aux écritures抄写员, 文书;办事处办事员

comparer deux écritures把两种字迹作比较

accessible en écriture可写;可写入

déguiser son écriture改变自己的笔迹

soigner son écriture锤炼文笔

原声例句

Non, répond une autre écriture anonyme.

不,另一位匿名者回答说。

[热点资讯]

Voltaire ne délaisse pas pour autant l'écriture.

伏尔泰并没有因此而忽视写作。

[Quelle Histoire]

Parce que quelqu'un a pu imiter son écriture.

因为别人可以模仿他的笔迹

[《火影忍者》法语版精选]

Le plus difficile, je crois, c’est l'écriture du chinois.

最难的就是汉字的书写。

[北外法语 Le français (修订本)第一册]

– Voici comment il faut lire cette écriture, nous dit-il.

“应该这样来解读这一段文字。”他对我们说。

[《第一日》&《第一夜》]

Sur le premier j'avais reconnu l'écriture soignée de Boniface.

我认得邦尼菲整齐的笔记。

[经典电影选段]

Ça, c'est ce qu'on appelle l'écriture inclusive.

这就是我们所说的包容性写作。

[Piece of French]

En son hôtel. Le tabac reconnu lui fit reconnaître l’écriture.

他的公馆。熟悉的烟味使他认出笔迹。

[悲惨世界 Les Misérables 第五部]

Elle regarda l'écriture manuscrite et mit la lettre dans sa poche.

她看着信上的字迹,把它放进了口袋。

[那些我们没谈过的事]

C’était une pétition en grosse écriture de cuisinière.

这是一份用女厨娘那种粗大字体写成的请求书。

[红与黑 Le rouge et le noir 第一部]

例句库

La taxe doit être comptabilisée distinctement dans les écritures comptables.

税款必须在会计帐薄中清晰记录。

L'écriture n'a pas changé le monde.

写作没有改变世界。

Il déguise son nom , son visage , sa voix et son écriture.

他改名换姓,伪装其面貌,嗓音和笔迹

J’aitoujours été sensible àl’écriture de Dagerman, àce mélange detendresse juvénile, de naïveté et de sarcasme.

我对达耶尔曼的写作总是很敏感,对他那种混杂了青春柔情、天真纯洁和讽刺挖苦的风格。

Ensuite, la pensée et les méthodes d'écriture.

然后是它的思想内容和写法.

L'écriture est-elle donc aussi une manière de réussir à vivre?

写作本身是否也因此成为一种成功生存的方式呢?

Plus que toute autre marque, Montblanc symbolise "l’Art de l’écriture".

比任何标志更突出的,博朗峰象征着艺术和写作。

La culture de l’écriture est son domaine, son cœur de compétence.

写作的文化就是它的范畴、心灵和竞争力的源泉。

Gao délaissera donc en partie la peinture jusqu’en 1983, année où il est banni de l’écriture.

因此,高氏放弃部份绘画时间,直到一九八三年,那年他被禁止写作。

Finalement et après de nombreuses aventures pour aller chercher les écritures, Wukong est couronné Bouddha Vainqueur.

完结,在最终通过重重艰险取到西天经书之后,悟空被封为斗战胜佛。

Puis je avoir les différentes phases d’écriture des traits avec votre site ?

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Il s’agit là d’un travail phénoménal d’écriture, de réalisation et de montage.

这三部曲同时显示出写作、导演和剪接三方面的惊人成就。

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La ceinture façon cuir, imprimée et écriture gravée reflets argent, boucle métallique rectangulaire.

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Madame Duras, il y a chez vous une profonde passion pour l'écriture.

杜拉斯女士,在您的作品中有种对写作的深深的热情。

L'écriture fut la seule chose à la hauteur de cette catastrophe d'enfant.

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L'écriture littéraire se nourrit-elle d'images extérieures ou est-elle créatrice d'images ?

文学写作是否是从外在的影像吸取灵感抑或是影像的创造者?

Excusez ma mauvaise écriture.

〈口语〉请原谅我字得很差。

En effet, ce centre organise des activités telles que danse, musique, théâtre, atelier d'écriture.

这个中心组织一些活动,如:舞蹈,音乐,戏剧,写作等。

Au Viet Nam, on dénombre 30 groupes ethniques possédant une écriture propre.

越南有30个少数民族有书面文字。

法语百科

Statue de Gudea dédiée au dieu Ningishzida, v. 2120 av. J.-C., musée du Louvre.

Inscription, en écriture arabe calligraphiée datant du premier tiers du XI siècle (vers 1011), gravée sur le fût d'une colonne dans la Grande Mosquée de Kairouan (Tunisie).

L’écriture est un moyen de communication qui représente le langage à travers l'inscription de signes sur des supports variés. C'est une forme de technologie qui s'appuie sur les mêmes structures que la parole, comme le vocabulaire, la grammaire et la sémantique, mais avec des contraintes additionnelles liées au système de graphies propres à chaque culture.

Dans les sociétés humaines émergentes, le développement de l'écriture est probablement lié à des exigences pragmatiques comme l'échange d'informations, la tenue de comptes financiers, la codification des lois et l'enregistrement de l'histoire.

Autour du IV millénaire av. J.-C., la complexité du commerce et de l'administration en Mésopotamie dépasse les capacités de mémorisation des hommes de sorte que l'écriture y devient une méthode plus fiable d'enregistrement et de conservation des transactions. Dans l'Égypte antique et en Mésoamérique, l'écriture a pu évoluer pour l'élaboration des calendriers et la nécessité politique de consigner les événements historiques et environnementaux.

Ainsi, l'écriture a joué un rôle dans la conservation de l'Histoire, la diffusion de la connaissance et la formation du système juridique.

Le résultat de l'écriture est généralement un texte dont le destinataire est le lecteur.

L'apparition de l'écriture distingue la Préhistoire de l'Histoire, car elle permet de conserver la trace des événements et fait entrer les peuples dans le temps historique. Elle marque aussi une révolution dans le langage et le psychisme, car elle fonctionne comme une extension de la mémoire.

Systèmes d’écriture

Les systèmes d'écriture peuvent être classés fonctionnellement en trois grandes catégories : logographique ; syllabique et alphabétique. Certains y ajoutent les systèmes sémasiographiques. Il existe aussi des systèmes mixtes. L'étude des systèmes d'écriture et de leur évolution au cours de l'histoire humaine est l'étymographie.

Sémasiographies

Les sémasiographies sont des systèmes de communication d'idées qui ne s'appuient pas sur la représentation d'unités d'une langue parlée. Tous les spécialistes ne s'accordent pas à les considérer comme des écritures : on parle également parfois de pré-écritures ou proto-écritures. Les symboles Adinkra des Akans, au Ghana et en Côte d'Ivoire, en sont un exemple.

Écritures logographiques

Un logogramme est un caractère ou glyphe écrit qui représente un mot ou un morphème. Il s'agit d'un pictogramme lorsque le logogramme représente directement un objet, d'un idéogramme lorsqu'il symbolise une idée.

En complément, les systèmes logographiques incorporent généralement une composante directement phonétique, représentant des syllabes ou des sons sans référence à un sens précis : on parle alors de phonogrammes.

Dans les anciens caractères chinois, cunéiformes ou dans l'écriture maya, un glyphe peut être un morphème, une syllabe ou les deux. Les hiéroglyphes égyptiens comportent à la fois des logogrammes et des phonogrammes consonantiques.

Un grand nombre de logogrammes est nécessaire pour écrire une langue.

Écritures syllabiques

Dans un syllabaire, chaque symbole représente une syllabe. Le linéaire B utilisé pour écrire le mycénien ou les kana japonais sont des syllabaires. En moyenne, 80 à 120 signes syllabiques sont typiquement nécessaires pour écrire une langue.

Écritures alphabétiques

Lamelles de Pyrgi gravées sur des plaques en or pour commémorer un traité entre les Étrusques et les Phéniciens datant du VI siècle av. J.-C.. Elles sont écrites en alphabet étrusque et phénicien. Retrouvées à Pyrgi, le port de Cerveteri. Musée national étrusque de la villa Giulia à Rome, Latium.

Une écriture alphabétique est un ensemble de symboles dont chacun représente un phonème de la langue. La combinaison de plusieurs symboles est nécessaire pour représenter une syllabe ou un mot. Une trentaine de signes alphabétiques peuvent suffire à écrire une langue.

Il existe trois grands types d'écriture alphabétique.

Les abjads ou alphabets consonantiques ne comportent de signes que pour les consonnes. C'est le cas de la plupart des systèmes d'écriture du Moyen-Orient, bien que les voyelles puissent y être indiquées secondairement et de façon plus ou moins facultative par l'ajout de divers diacritiques ou matres lectionis (consonnes jouant un rôle vocalique). Le terme d'abjad provient de la contraction des noms des quatre premières lettres de l'alphabet arabe : ʾalif, bāʾ, ǧīm et dāl (أﺑﺠﺪ).

Les alphabets proprement dits comportent à la fois des signes pour les consonnes et les voyelles. Le premier à être développé fut l'alphabet grec, issu de l'alphabet phénicien (qui est un abjad). Le passage de l'abjad à l'alphabet complet se fit en réaffectant à la notation des voyelles certaines lettres correspondant à des consonnes du phénicien qui n'avaient pas d'usage en grec. La plupart des alphabets ultérieurs dérivent de ce prototype grec. Le mot même d'alphabet provient des noms deux premières lettres de l'alphabet grec : alpha, bêta.

Les alphasyllabaires représentent une autre voie d'évolution des abjads vers la notation systématique des voyelles. Dans ces systèmes, les signes de base représentent des consonnes seules ou suivies d'une voyelle inhérente, et les autres voyelles sont indiquées par des diacritiques ou des modifications de la forme des signes consonantiques. Les alphasyllabaires sont répandus dans l'écriture des langues en Éthiopie, en Érythrée, en Inde et dans les pays du Sud-Est asiatique. Ils sont appelés également appelés abugidas, par contraction de quatre signes de l'alphasyllabaire guèze : አቡጊዳ, a-bou-gui-da.

Systèmes mixtes

Le système d'écriture d'une langue peut faire coexister plusieurs sous-systèmes de fonctionnements différents. C'est le cas en japonais, où sont employés simultanément des logogrammes (les kanji, usage japonais des caractères chinois) et deux syllabaires (les hiragana et les katakana). Un autre exemple est constitué par les semi-syllabaires, qui comportent à la fois des signes pour des syllabes entières et d'autres pour des phonèmes isolés.

Histoire

Sceaux harrapéens de la civilisation de la vallée de l'Indus, III millénaire av. J.-C.

Problématique

Le développement récent des études de littératie, en remettant en cause certaines préconceptions communes sur l'écriture et la lecture, peut amener à ré-évaluer les dates habituellement proposées pour l’apparition de l’écriture. En effet, selon le critère utilisé pour identifier un système d'écriture, on aura des résultats différents. Certains soutiennent par exemple que les sceaux de la vallée de l'Hindus, qui datent du III millénaire av. J.-C., ne constituent pas une écriture au sens propre, alors que pour d'autres, on ne les considère pas comme des systèmes d'écriture parce qu'on projette sur ces traces notre concept moderne d'écriture. L'histoire de l'écriture est donc dépendante d'une série de conceptions que nous avons concernant le langage et le rapport entre l'écrit et l'oral, et s'appuie sur une philosophie du langage particulière.

Proto-écriture

Peinture dans la grotte de Lascaux.

Selon André Leroi-Gourhan, « l'art figuratif est, à son origine, directement lié au langage et beaucoup plus près de l'écriture au sens le plus large que de l'œuvre d'art ». Cet art serait lié à la constitution d'un couple intellectuel associant phonation et graphie.

Ce point de vue est partagé par le paléoethnologue Emmanuel Anati, pour qui l'écriture en tant que telle n'a pas une origine unique mais s’est développée sur les divers continents à partir de prémices communes et ne s’est fixée sous une forme systématique que là où l'état de la société l'exigeait. Selon ce chercheur, qui a réuni une documentation sur 70 000 sites d’art rupestre, dans les grottes de 160 pays, ainsi que sur 500 000 vestiges mobiliers, l'art rupestre associe régulièrement des pictogrammes (figures humaines et animales) et des idéogrammes (traits, points, quadrillages) et cet art visuel préhistorique forme un code intentionnel et organisé. Anati a ainsi identifié dans des grottes de la Dordogne et des Hautes Pyrénées des séquences d’idéogrammes incisés sur des os datant de plus de 15 000 ans. Il s’agit là d’une proto-écriture, mais non pas d’une écriture au sens strict du terme, car ces symboles ne correspondaient vraisemblablement pas à des sons d’une langue précise.

De même, on a trouvé en Chine des traces anciennes de caractères, plus tard utilisés par l'écriture mais ne formant pas encore un système articulé, datant de 7 à 8 000 ans. Le site archéologique de Banpo révèle qu'il s'agit de pictogrammes incisés sur des os oraculaires.

Débuts de l’écriture

« L'émergence de l'écriture ne se fait pas plus à partir d'un néant graphique que celle de l'agriculture ne se fait sans intervention d'états antérieurs. » L'écriture n'est apparue que là où existait déjà depuis un certain temps un État organisé avec des institutions politiques et religieuses :

« Il ne put y avoir d'écriture, de représentation visible de cet invisible que sont les actes mentaux de numération et de nomination, que dans la mesure où la représentation des dieux invisibles avait déjà imprimé son ordre parmi les humains. »

Mésopotamie

Tablette cunéiforme de Ritmal. Vers 2400 av. J.-C.
Tablette cunéiforme de Ritmal. Vers 2400 av. J.-C.

Le sumérien semble être la plus ancienne langue écrite connue (3600 av. J.-C.), sous une forme d'écriture appelée le cunéiforme. Cette écriture a été plus tard reprise pour l'akkadien, l'ougaritique, l'amorrite et l'élamite, ainsi que par les rois égyptiens qui voulaient communiquer avec leurs provinces du Proche-Orient et les rois mésopotamiens.

En Mésopotamie, l'écriture n'est pas apparue d'un seul coup, mais s'est mise au point de façon progressive durant plusieurs millénaires. Au cours du septième millénaire avant notre ère, pour des besoins de comptabilité, on commence à utiliser des jetons en argile (calculi) pour compter les possessions (troupeaux, récoltes) et les biens manufacturés. Par la suite, le système se raffine. Ces calculi de 2 cm de long moulés en argile symbolisent des nombres sous trois aspects : des sphères, des cônes et des cylindres. Ces jetons représentent à la fois la nature de la marchandise (une jarre d’huile = un jeton de forme ovoïde) et la quantité (10 moutons = un jeton de forme lenticulaire). Vers 3400 av. J.-C. apparaissent les bulles-enveloppes à calculi dans lesquelles sont placés les jetons. Vers 3300 av. J.-C., on grave sur la surface de ces bulles d’argile scellées des pictogrammes, ou dessins stylisés, représentant les jetons à l’intérieur. Puis les jetons sont abandonnés et seuls sont utilisés les pictogrammes. Un système d’écriture se met ainsi en place vers 3300 av. J.-C., alors qu'apparaissent les premières tablettes numériques et, vers 3200 av. J.-C., des tablettes avec chiffres et logogrammes.

D’abord composée de signes renvoyant à des choses, cette écriture se complexifie et, vers le début du troisième millénaire, recourt à un certain nombre de phonogrammes pour représenter des sons. Le principe du phonogramme est le même que dans un rébus, où les dessins d'un chat et d'un pot permettent de signifier le mot chapeau. En Mésopotamie, cette écriture utilise plus de 600 signes. Chaque signe pouvait, selon le contexte, renvoyer à plusieurs sens : le signe du pied pouvait signifier « marcher », « se tenir debout », « transporter », etc.

Vers 2600 av. J.-C., les tablettes ne sont plus seulement utilisées à des fins de comptabilité ou d'administration, et ne sont plus rédigées uniquement sous forme de listes, mais contiennent aussi des récits mythiques dont le plus connu est l'Épopée de Gilgamesh. La temporalité du récit a pour effet de renforcer la linéarité de l'écriture : « La conquête de l'écriture a été précisément de faire entrer, par l'usage du dispositif linéaire, l'expression graphique dans la subordination complète à l'expression phonétique. »

Vers 2000 av. J.-C., la Mésopotamie est conquise par les Akkadiens, et la langue du conquérant supplante le sumérien, qui est réduit à servir de langue sacrée. L'écriture doit alors s'adapter en développant son aspect phonétique, de façon à transcrire l'akkadien. Elle restera en vigueur dans le royaume de Babylone qui se développe peu après, puis du royaume d'Assyrie. L'écriture cunéiforme sera également adoptée par les Élamites et les Hittites, même si ces derniers parlent une langue indo-européenne, très différente de l'akkadien.

Cette écriture est appelée cunéiforme parce qu'elle utilise un calame pour faire des marques dans l'argile humide. Une extrémité du calame était coupée en coin ou en biais, l’autre extrémité en équerre : l'objet permettait ainsi de dessiner un coin, un rond et un cône, représentant ces calculi, et de dessiner les formes conventionnelles. Une fois les signes tracés sur une tablette d'argile molle, celle-ci est mise à sécher au soleil ou dans un four.

Les scribes constituaient l'élite des fonctionnaires. Ils étaient formés dans des é***** de scribes, où la discipline était très sévère. Dans les débuts de l'écriture, ils étaient placés sous la protection de la déesse Nisaba ; à la suite de la conquête assyrienne, ils relèvent du dieu Nabû, le scribe par excellence.

Plus de 500 000 tablettes ont été conservées, dont 85 % ont un contenu de type administratif, juridique, religieux ou scientifique, tandis que le reste est constitué par des chroniques, des lexiques, des lettres, des lamentations et des textes littéraires et mythiques. D'abord orientée de haut en bas, cette écriture prend l'orientation gauche-droite à partir de 2600 av. J.-C. Les tablettes sont de formes et de tailles très variées : certaines ont 30 cm de côté, beaucoup ont une taille qui se rapproche d'un téléphone intelligent ou encore plus petite, telle une tablette de 2,2 cm de haut sur 2,6 cm de large qui compte 30 lignes de texte et un total de 144 signes. Les textes d'une certaine ampleur nécessitaient plusieurs tablettes. Les textes sont souvent accompagnés d'un colophon. La bibliothèque du roi Assurbanipal (669-627 av. J.-C.) découverte à Ninive en 1849 et déposée au British Museum compte plus de 20 000 tablettes.

Égypte

Inscription en hiéroglyphes sur un mur du temple de Philae.

Scribe accroupi (Musée du Louvre).

Texte en démotique sur la pierre de Rosette.

En Égypte, l'inscription la plus ancienne est la palette de Narmer, datée de 3200 av. J.-C., rédigée en écriture hiéroglyphique. Au lieu de se former progressivement, cette écriture est bien structurée dès son apparition : « D'emblée, les Égyptiens, à la différence de leurs voisins sumériens, conçoivent un système graphique qui peut tout exprimer. », mais ce peut être la conséquence d'une influence de la Mésopotamie. Selon certains spécialistes, les hiéroglyphes égyptiens, malgré leurs différences avec l'écriture cunéiforme mésopotamienne, y trouvent probablement leur origine.

Le mot « hiéroglyphe » signifie littéralement « caractère » (glyphe) sacré (hiéros) : selon un mythe égyptien repris par Platon dans le Phèdre, l'écriture aurait été inventée par le dieu Thot. Le plus souvent, les hiéroglyphes se lisent de droite à gauche. Le sens de la lecture est indiqué par l'orientation des têtes humaines ou des oiseaux, le lecteur devant lire en allant vers la face ou le bec, sauf si l'inscription est placée à côté de la statue d'un dieu important. Il faut 5 000 signes pour écrire en hiéroglyphes. Ceux-ci sont de trois sortes : des pictogrammes, des phonogrammes et des déterminatifs indiquant de quelle catégorie de choses il est question. L'emploi des phonogrammes syllabiques fait évoluer le système vers l'acrophonie, soit l'attribution d'un signe au premier phonème de la syllabe représentée, qui est obligatoirement une consonne, mais « les Égyptiens ne franchissent pas le pas qui les aurait amenés au système alphabétique ».

Tout comme à Sumer, l'écriture est réservée à une élite de fonctionnaires hautement spécialisés, les scribes, qui sont au service des pharaons, des prêtres et des autorités militaires. Cette fonction héréditaire est importante pour assurer les communications à l'intérieur d'un empire étendu et pour en assurer l'unité. Le scribe, anciennement placé sous la protection de la déesse Seshat, déesse de l'écriture, sera par la suite rattaché au dieu Thot. Sa plume est le symbole de la vérité et son animal emblématique est le babouin.

La plupart des textes sont écrits sur des volumen faits de feuilles de papyrus. La tige du papyrus était découpée en fines lamelles qu'on assemblait en les entrecroisant et en superposant deux couches. La feuille ainsi obtenue était séchée sous pression puis polie. On collait ensuite avec de la pâte d'amidon autant de feuilles ensemble qu'on le souhaitait pour obtenir un rouleau de longueur variable : les plus longs peuvent mesurer jusqu'à 40 m de long. Le scribe, assis en tailleur, déroulait le rouleau de la gauche vers la droite, et utilisait pour écrire une baguette de roseau d'une vingtaine de centimètres qu'il trempait dans « une encre composée d'un mélange de poudre de suie et d'eau, additionnée d'un fixateur comme de la gomme arabique. Titres, en-têtes et débuts de chapitres étaient écrits à l'encre rouge, à base de poudre de cinabre, un sulfure de mercure, ou de minium, un oxyde de plomb ». Le procédé de fabrication était tenu secret, de façon à garantir un monopole à l'Égypte et à assurer à l'État une importante source de revenus, car les rouleaux étaient exportés dans tout le bassin méditerranéen dès le milieu du III millénaire av. J.-C.. Le rouleau le plus ancien, datant de 2900 av. J.-C., a été trouvé à Sakkara. Au total, la masse des documents conservés en cette écriture est cent fois moins importante que celle des tablettes en cunéiforme, car le végétal est moins durable que l’argile cuite.

Vers 650 av. J.-C. les scribes adoptent l'écriture démotique, qui est une écriture cursive plus claire et plus rapide à écrire que les hiéroglyphes. Elle figure sur la pierre de Rosette grâce à laquelle les hiéroglyphes ont pu être déchiffrés par Champollion en 1822.

Écritures élamites

Disque de Phaistos. Hiéroglyphes crétois.

Au fil des siècles, trois systèmes d'écriture se sont développés dans le royaume d'Élam, situé au sud-ouest du plateau iranien.

Le proto-élamite est le plus ancien. On a retrouvé des tablettes d'argile datant de 3200-2900 av. J.-C. à Suse, capitale d'Élam. L'écriture proto-élamite se serait développée à partir d'une écriture cunéiforme. Elle compte environ un millier de signes, et serait partiellement logographique. Ces tablettes n'ont pas été déchiffrées.

L'élamite linéaire est une écriture toujours non déchiffrée peut-être dérivée du proto-élamite et utilisée entre 2250 av. J.-C. et 2220 av. J.-C.

L'écriture cunéiforme élamite fut en usage de 2500 à 330 av. J.-C., adaptée à partir de l'akkadien. Cette écriture consiste en 130 symboles, soit bien moins que la plupart des autres écritures cunéiformes.

Écritures crétoises

On a trouvé en Crète trois types d'écriture : a) des hiéroglyphes gravés sur des sceaux en stéatite ou dans de l'argile, tel l'énigmatique disque de Phaistos datant de la première moitiés du II millénaire av. J.-C. ; b) le linéaire A, une écriture toujours non déchiffrée, au même titre que les hiéroglyphes, utilisée entre 1700 av. J.-C. et 1450 av. J.-C. ; c) le linéaire B, dérivé du linéaire A, utilisé entre 1375 av. J.-C. et 1200 av. J.-C., et qui a été déchiffré dans les années 1950.

Alphabet phénicien

Un alphabet grec archaïque sur une poterie (Musée national archéologique d'Athènes).

L'alphabet phénicien est adapté du proto-cananéen vers le XIV siècle av. J.-C., à la suite d'une évolution qui pourrait avoir commencé en Égypte trois siècles plus tôt. Il se développe et se fixe à Byblos (anciennement Gebal) vers 1060 av. J.-C. Il s'agit d'un abjad, ou alphabet consonantique, car les langues sémitiques ont très peu de voyelles. Vingt-deux signes y correspondent à vingt-deux sons de consonnes. Chaque signe représente le dessin de l'objet correspondant à son premier phonème : la lettre « a » (aleph) renvoie au bœuf, la lettre « b » (bet) à une maison, etc. Cette écriture est orientée de droite à gauche. Elle n'a pratiquement pas laissé de traces, mais s'est propagée rapidement sur le pourtour méditerranéen, et notamment en hébreu.

Les Grecs adoptent cet alphabet dès la fin du IX siècle av. J.-C. ou le début du VIII siècle av. J.-C. Ils y ajoutent des voyelles en reprenant des signes du phénicien notant des consonnes qui n'existaient pas en grec. L'alphabet grec compte alors 17 consonnes et 7 voyelles. Quant à l'orientation de l'écriture, on adopte d'abord le boustrophédon, qui consiste à commencer la ligne de gauche à droite puis à revenir de droite à gauche pour la ligne suivante, de la même façon que le paysan trace les sillons dans un champ. Au V siècle av. J.-C., l'orientation gauche-droite se généralise.

Les exemplaires les plus anciens de papyrus grecs qui nous soient parvenus datent du IV siècle av. J.-C.. On se servait aussi de tablettes recouvertes de cire, surtout pour des exercices scolaires, parce que la même surface pouvait être effacée et servir à nouveau. On écrivait aussi sur de la poterie.

L'écriture alphabétique mise au point par les Grecs sera reprise par de nombreuses langues, notamment l'étrusque, d'où dérive, vers le III siècle av. J.-C., un alphabet latin comptant 20 lettres. Outre notre alphabet et l'alphabet cyrillique, on peut rattacher à cette même origine l'écriture de nombreuses langues de la péninsule indienne, notamment le devanagari.

Chine

En Chine, après une période allant du XV siècle av. J.-C. au x siècle av. J.-C. où l’écriture ossécaille (pratiquée sur des os et des écailles de tortue) était utilisée à des fins divinatoires, une écriture sigillaire se développe à partir des formes archaïques. Elle comptera 9 353 caractères vers la fin du II siècle.

Méso-Amérique

En Amérique centrale, la découverte, en 1999, de la stèle de Cascajal a conduit à réviser les dates auparavant proposées pour l'Amérique pré-colombienne et à faire remonter l’apparition de l’écriture aux environs de 1200 av. J.-C. dans la civilisation olmèque. À leur suite, aux environs du III siècle, les Mayas développent une écriture à base de logogrammes syllabiques comportant plus de 700 glyphes (450 signes principaux et 250 signes additionnels).

Tout comme dans « les plus anciennes écritures de la Méditerranée, d'Extrême-Orient ou d'Amérique, [celles-ci] débutent dans des notations numériques ou calendériques et dans celle de noms de divinités ou de hauts personnages, sous la forme de figures assemblées en petits groupes à la manière de mythogrammes successifs. »

Les Incas auraient utilisé des cordes nouées, les quipus, comme un système d'écriture ou à tout le moins pour enregistrer des données.

Supports et outils de l'écriture

Sappho écrivant avec un stylet sur une tablette de cire. I siècle. (Musée archéologique national de Naples).

De nombreux matériels ont été utilisés à travers l'histoire comme supports de l'écriture, certains durant des millénaires : la stèle de pierre, la plaque de bronze, la feuille d'or ou d'argent, la tablette d'argile, la poterie, la tablette de cire, l'écorce de bouleau, la soie, des lattes de bambou en liasse, le volumen de papyrus et le codex de parchemin. Aujourd'hui, depuis la création de l'imprimerie, le papier est de loin le support le plus utilisé, mais il est concurrencé par l'encre électronique et l'écran à cristaux liquides ; ces derniers affichent des textes souvent stockés dans un « nuage ».

Les outils pour tracer les glyphes sont des styles en os ou en fer, des calames, des plumes, puis des plaques d'mprimerie ou des claviers de machine à écrire. Depuis le début du XXI siècle, le stylet, le clavier d'ordinateur et le téléphone intelligent ont popularisé l'écriture sous traitement de texte. Avec l'expansion de ces derniers outils, la possibilité que l'écriture cursive ne soit plus enseignée, comme c'est le cas en Finlande, inquiète les psychologues, car la gestuelle de l'écriture active des zones spécifiques du cerveau et contribuerait à solidifier les apprentissages.

Le support est organisé de façon à former un espace propre à recevoir le texte, généralement la page. La direction du texte varie selon les systèmes d'écriture : de gauche à droite (sens le plus répandu), de droite à gauche (arabe, hébreu), de haut en bas (écritures asiatiques), de bas en haut.

Écriture et oralité

L’écriture a été regardée avec suspicion dans plusieurs systèmes religieux qui y voyaient une menace pour la transmission orale et l'ordre existant. Platon rapporte un ancien mythe égyptien selon lequel l’invention de l’écriture se ferait au détriment de la mémoire :

« Cette connaissance aura pour effet, chez ceux qui l'auront acquise, de rendre leurs âmes oublieuses, parce qu'ils cesseront d'exercer leur mémoire : mettant en effet leur confiance dans l'écrit, c'est du dehors, grâce à des empreintes étrangères, non du dedans et grâce à eux-mêmes qu'ils se remémoreront les choses. »

De même, la religion hindoue se méfiait de l’écriture, au point que le Rig Veda, son livre le plus sacré, ne pouvait pas être mis par écrit et devait être transmis exclusivement sous forme orale, depuis sa composition vers le XI siècle av. J.-C. La méfiance à l'égard de l’écriture était telle qu’un fidèle ne devait même pas réciter ce livre après avoir pratiqué des activités d’écriture.

Selon le témoignage de Jules César, les druides gaulois ne voulaient pas que leurs poèmes sacrés soient confiés à l’écriture, de peur que l’on en vienne à négliger la mémoire et que leur science ne se répande dans le vulgaire :

« Là, dit-on, ils apprennent un grand nombre de vers, et il en est qui passent vingt années dans cet apprentissage. Il n'est pas permis de confier ces vers à l'écriture, tandis que, dans la plupart des autres affaires publiques et privées, ils se servent des lettres grecques. Il y a, ce me semble, deux raisons de cet usage : l'une est d'empêcher que leur science ne se répande dans le vulgaire ; et l'autre, que leurs disciples, se reposant sur l'écriture, ne négligent leur mémoire ; car il arrive presque toujours que le secours des livres fait que l'on s'applique moins à apprendre par cœur et à exercer sa mémoire. »

Sur les quelque 3 000 langues répertoriées dans le monde, les linguistes n'en dénombrent « qu'à peine plus d'une centaine qui s'écrivent. »

Impact culturel

La généralisation de l'écriture a eu des effets importants sur le plan culturel et social. Selon l'anthropologue Jack Goody, « l'écriture, surtout l'écriture alphabétique, rendit possible une nouvelle façon d'examiner le discours grâce à la forme semi-permanente qu'elle donnait au message oral. » Il en résulta une extension du champ de l'activité critique, ce qui favorisa la rationalité, l'attitude sceptique et la pensée logique. Les effets ne s'arrêtent pas là :

« Simultanément s'accrut la possibilité d'accumuler des connaissances, en particulier des connaissances abstraites, parce que l'écriture modifiait la nature de la communication en l'étendant au-delà du simple contact personnel et transformait les conditions de stockage de l'information. Ainsi fut rendu accessible à ceux qui savaient lire un champ intellectuel plus étendu. Le problème de la mémorisation cessa de dominer la vie intellectuelle ; l'esprit humain put s'appliquer à l'étude d'un texte statique [...], ce qui permit à l'homme de prendre du recul par rapport à sa création et de l'examiner de manière plus abstraite, plus générale, plus rationnelle. »

En transformant le matériau sonore du langage en une suite graphique, purement visuelle, l'écriture mérite d'être considérée comme une technologie dont les outils consistent en une surface soigneusement préparée et un jeu d'instruments pour écrire — plume, calame, stylet, pinceau, clavier.

Une fois mis sous forme écrite, le discours peut être réactualisé par les lecteurs à l'infini. Dépouillé de sa dimension sonore par la lecture silencieuse, l'écrit entraîne à voir la vie intérieure comme une réalité neutre et impersonnelle. Il rend possibles les grandes traditions religieuses introspectives — bouddhisme, judaïsme, christianisme et islam. Par le jeu de la transcription de sa pensée personnelle, l'écriture a pour effet d'augmenter le champ de conscience.

Les effets de l'écriture seront encore multipliés avec la mécanisation de l'écriture par l'imprimerie, qui marque « une nouvelle étape vers des schémas encore plus formalisés » et donnera naissance au roman.

中文百科
 中世纪的书吏正在写作
中世纪的书吏正在写作

写作是人类有意识地使用文本来记录信息、表达意向。纪录信息的工具和方法数之不尽,一般会用笔在纸上写作,但过去也有人在石版、竹简、龟壳、墙壁等材质上写作。随着科技发展,使用打字机或电脑记录文本也可称为写作。

写作是利用文本来记录信息,不同于插画、石洞壁画等绘画。写作也和非符号式的语言记录方式(例如录音)不同。

写作可能在从一些古老的文化开始的,因为政治的扩张,需要有可靠的方式来传递信息、记录财务帐目及历史数据等,因此开始了写作。约在西元前四千年,在美索不达米亚贸易和管理的复杂程度已超过人类所能记忆的程度,因此就用写作来作为一个可靠的永久性记录。在古埃及和美索不达米亚,写作和历法及记录历史及环境有关,在中国最早的写作是在宫廷中的占卜立。

写作是人类表现无穷创作力的方法之一,这些作品称为文学。作品的情节可以是虚构或纪实的,可以表现为各式长短的各种文体,例如:记叙文诗词歌赋、小说、剧本、书信等。

近代更有许多新文体,因使用电脑网络的方式传播,透过段落及文本的使用,甚至图文并茂,丰富了带给读者的感受。新诗、散文、小说诗、博客等。而内容上抒情、应用、分享之外细分种类繁多,大致有心情写作、开箱文、炫燿文、纪录式的食谱、攻略、技术文档、专题、小说、散文、教学式的穿搭配件、生活常识、各地小吃、旅游介绍、男女社、搏君一笑(吓、怒、泪)的恶搞、垃圾邮件等。

法法词典

écriture nom commun - féminin ( écritures )

  • 1. style de rédaction Synonyme: plume

    l'écriture de l'auteur nous enchante

  • 2. littérature création littéraire

    se consacrer à l'écriture

  • 3. forme de réalisation graphique (de signes langagiers tracés sur un support)

    il a une belle écriture, bien formée et très lisible

  • 4. code langagier formé par un système de signes graphiques

    un paléographe qui étudie l'écriture cunéiforme

  • 5. capacité à utiliser un code langagier graphique

    apprendre la lecture et l'écriture

  • 6. sciences humaines représentation de la langue parlée sous forme de code graphique

    l'apparition de l'écriture

  • 7. technique mode de réalisation graphique

    l'écriture à la machine

  • 8. mise en écrit (de quelque chose) Synonyme: rédaction

    passer dix mois à l'écriture d'un ouvrage

  • 9. trace laissée par un graphisme

    une écriture presque invisible

  • 10. représentation graphique codée

    le système d'écriture des nombres

  • 11. comptabilité inscription comptable

    faux en écriture • passer une écriture

  • 12. réalisation graphique (d'un code langagier tracé à la main sur un support)

    une page d'écriture

  • 13. type de signes graphiques utilisé par un code langagier

    l'écriture arabe

  • 14. réalisation de graphismes (selon un type de procédé)

    l'écriture à la plume

  • 15. type de création littéraire

    l'écriture autobiographique

  • 16. technique de composition musicale

    les écritures dodécaphonique et sérielle

  • 17. forme stylistique de représentation visuelle

    une écriture chorégraphique très appréciée

  • 18. création musicale

    un musicien qui se consacre à l'écriture d'opéra

  • 19. style musical

    reconnaître l'écriture d'un grand musicien

  • 20. droit document écrit pouvant servir de preuve

    la force juridique de l'écriture

  • 21. œuvre littéraire écrite

    un hommage à la production d'écriture d'un écrivain

  • 22. narration écrite (de quelque chose)

    il se consacre à l'écriture de sa vie

l'écriture automatique locution nominale - féminin ; singulier

  • 1. littérature le procédé de création littéraire utilisé par les surréalistes

    les œuvres issues de l'écriture automatique

écriture privée locution nominale - féminin ( (écritures privées) )

  • 1. droit document écrit échangé entre particuliers

    la reconnaissance de dettes relève de l'écriture privée

écriture publique locution nominale - féminin ( (écritures publiques) )

  • 1. droit document écrit qui a valeur de publicité ou d'authenticité

    être poursuivi pour faux en écriture publique et usage

Écriture nom commun - féminin ( Écritures )

  • 1. religion texte de la Bible juive ou chrétienne

    un croyant qui se réfère à l'Écriture

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