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词典释义:
standardiste
时间: 2023-08-11 21:05:20
TEF/TCF
[stɑ̃dardist]

总机话务员,电话局话务员

词典释义
n. f.
话总机话务话局话务
近义、反义、派生词
联想:

近义词:
opérateur
联想词
réceptionniste ; serveuse ,服务; hôtesse 女主人; stagiaire 实习的,见习的; infirmière 护士的,护理的; téléphonique 话的; barman 男侍者; concierge 看门人,守门人; patronne 企业主,雇主,老板,掌柜; technicien 术专家; secrétaire 秘书;
当代法汉科技词典

standardiste n, 话务

原声例句

Femme : Oui, je suis la nouvelle standardiste.

有呀,我是新的话务员

[Compréhension orale 1]

La standardiste : Un moment, s’il vous plaît. (Musique.)

请等一下。

[得心应口说法语]

La standardiste : Robot et Frères, bonjour.

机器人兄弟公司为您服务。

[得心应口说法语]

La standardiste : Je suis désolée, ça ne répond pas. Voulez-vous rappeler plus tard ?

不好意思,对方没有回应,你可以稍后再打吗?

[得心应口说法语]

Estelle : Ah... la standardiste est malade, vous pourrez répondre au téléphone en classant les dossiers?

啊… … 接线员生病了,你可以一边整理文件,一边接下电话吗?

[Compréhension orale 2]

Standardiste : Ne quittez pas.... Je vous passe Monsieur Janin.

请别挂断...我帮您接通Janin先生。

[商务法语教程]

La standardiste : Pour quel jour et pour quelle heure ?

哪一天?什么时候?

[Vite et bien 1]

La standardiste : À 6 heures ou à 18 heures ?

是上午6点还是下午6点呢?

[Vite et bien 1]

La standardiste : Quelle est votre adresse ?

您的地址是什么呢?

[Vite et bien 1]

La standardiste : D’accord,monsieur. Quel est votre numéro de téléphone ?

好的,先生。您的电话号码是多少呢?

[Vite et bien 1]

例句库

La standardiste : Très bien, c'est noté.

好的,记下了。

La standardiste vous passe la communication dans deux minutes .

再过两分钟总机小姐就会帮您接通。

Le Service des télécommunications comprend huit agents du Service mobile (1 technicien radio principal, 1 spécialiste des transmissions, 1 spécialiste des commutateurs, 4 techniciens radio et 1 assistant de logistique), appuyés par trois standardistes (agents locaux).

电信事务的人员编制由8名外勤工作人员组成,其中包括1名高级无线电技术员、1名传输工程师、1名转接工程师、4名无线电技术员、和1名后勤办事员,并由3名交换台操作员(当地雇员)提供支助。

La Section comprendra également : 24 agents recrutés sur le plan international (agents du Service mobile) chargés des stocks, de la gestion du matériel, de la facturation, de la maintenance du réseau, de l'assistance aux utilisateurs, des transmissions radio et d'autres fonctions techniques liées au réseau des services informatiques et de transmissions; 39 agents locaux (techniciens radio et téléphone, standardistes); ainsi que 14 Volontaires des Nations Unies (assistants et techniciens pour le centre de transmissions, le réseau et l'aide aux utilisateurs) déployés dans toute la zone de la Mission.

24名国际工作人员(外勤事务),他们负责库存、资产管理、通告、网络、服务台、电台以及有关信息技术和通信网络的其他技术职能;39名当地雇员(电台和电话技术员、交换台操作员)以及14名联合国志愿人员(通信中心、网络、服务台助理和技术员),他们部署在整个任务区。

法语百科

Un standard téléphonique en 1967

Un standard téléphonique est le plus ancien type de commutateur téléphonique : les connexions entre usagers sont réalisées par un opérateur (le ou la standardiste), au moyen de cordons équipés de connecteurs de type jack. On parle de PABX pour les commutateurs téléphoniques automatiques d'entreprises ou d'immeubles.

Contrairement à la légende, aucun standard, ou central téléphonique n'a jamais « explosé ». Il peut en revanche leur arriver d'être saturés.

Le commutateur téléphonique électromagnétique inventé par Almon Strowger en 1888 a progressivement remplacé les standards manuels dans les centres d'appels. Dès 1919 quand le système Bell a adopté un standard automatique. Néanmoins de nombreux standards manuels restèrent opérationnels durant la seconde moitié du vingtième siècle dans les bureaux, les hôtels ou dans d'autres entreprises.Plus tard les équipements électriques et la technologie informatique ont donné aux opérateurs un accès à de nombreuses fonctionnalités.

Fonctionnement

Standard PBX, 1975
Standard PBX, 1975

Le standard téléphonique est en général conçu pour faciliter le travail de l'opérateur qui lui fait face. Il est constitué d'un panneau arrière (vertical) composé de rangées de prises jack femelles, chaque prise étant désignée et connectée comme l'extension locale d'une ligne d'abonné (qui dessert un client individuel) ou comme une liaison « inter standards » entrante ou sortante. Chaque prise jack est également associée à une lampe. Sur la table (horizontale) ou le bureau devant l'opérateur, se trouvent des colonnes de boutons, de lampes et de câbles. Chaque colonne consiste en un commutateur à deux positions extrêmes :"avant" et "arrière", une lampe "avant" et une lampe "arrière" suivi d'un câble souple "avant" et d'un câble souple "arrière". Ces deux cordons (donc souples) et l'équipement associé constituent un dicorde. La position "avant" permet à l'opérateur d'entrer en conversation avec le correspondant relié à la paire de fils du câble téléphonique associé. Le bouton arrière des anciens tableaux manuels permet de faire sonner les téléphones. Dans les standards plus récents ce bouton permet de collecter l'argent provenant des appels des cabines téléphoniques. Chaque bouton a trois positions : en arrière, normal ou en avant. Quand le bouton est en position normale, un circuit électrique connecte les paires de fils des câbles avant et arrière (phase de conversation). Un bouton en position avant connecte l'opérateur à la paire de câbles et un bouton en position arrière envoie un signal de sonnerie dans le câble (dans les standards les plus anciens). Chaque câble est composé d'un triple câble jack : deux pour le système pointe-anneau qui permet de tester, de faire sonner et de parler, et un pour le signal occupé. Quand un appel est reçu, la lampe correspondant à la prise jack s'allume sur le panneau arrière et l'opérateur répond en plaçant le câble arrière dans la prise jack correspondante tout en réglant le bouton sur sa position avant. L'opérateur converse ensuite avec l'appelant, ce dernier exprime sa demande. Si c'est un autre numéro local (abonné connecté au même standard), l'opérateur place le câble avant dans la prise jack associée et place le bouton en position arrière pour appeler le destinataire. Après la phase de connexion, l'opérateur laisse les deux câbles branchés avec le bouton en position normale afin que les 2 personnes puissent communiquer. La lampe de supervision s'allume lorsque l'appel est terminé. Chacune des 2 personnes peut également faire clignoter la lampe de supervision de l'opérateur en appuyant brièvement sur le commutateur permettant de raccrocher, s'ils ont besoin d'aide pour résoudre un problème. Quand l'opérateur décroche un cordon, un contre-poids placé derrière le standard fait descendre le cordon afin que celui-ci ne s'emmêle pas.

Sur une liaison entre 2 standards, les signaux « décroché » et « raccroché » doivent passer dans les 2 directions. Sur une liaison unidirectionnelle, le standard A provoque un « court-circuit » pour signaler un « raccroché » et ouvre le circuit pour un « décroché », tandis que le standard B envoie une polarité normale ou inversée sur la paire torsadée reliant les 2 centraux. Ce système de signalisation à polarité inversée a été ensuite réutilisé dans les systèmes à échange automatique.

Histoire

Standardistes téléphoniques à Salt Lake City, États-Unis dans les années 1910.
Standardistes téléphoniques à Salt Lake City, États-Unis dans les années 1910.

Les premiers téléphones dans les années 1870 étaient loués par paire ce qui limitait les conversations entre ces deux instruments. L'usage d'un standard téléphonique apparut rapidement plus avantageux que dans le télégraphe. En juin 1878, la Boston Telephone Dispatch company commença à engager des garçons comme opérateurs téléphoniques. Ceux-ci avaient été très efficaces comme opérateurs télégraphiques, mais leurs attitudes (manque de patience) et leurs comportements (farces...) étant inacceptables pour des contacts téléphoniques instantanés, les entreprises commencèrent donc à employer des femmes pour les remplacer. Ainsi le 1 septembre 1878, la Boston Telephone Dispatch engagea Emma Nutt. C'était la première femme opératrice. Les petites villes avaient traditionnellement leur standard téléphonique installé dans la maison de l'opérateur pour qu'il ou elle puisse répondre aux appels 24h sur 24. En 1894, la compagnie de téléphonie et de télégraphie de Nouvelle-Angleterre installa le premier standard alimenté par batterie à Lexington au Massachusetts.

Les premiers standards des villes de grande taille étaient en général installés du sol au plafond afin que les opérateurs puissent atteindre l'ensemble des lignes lors des échanges. Les opérateurs étaient des garçons qui utilisaient des échelles pour connecter les câbles les plus hauts. Vers la fin des années 1890, cette organisation ne suffisait plus face au nombre croissant de lignes et conçu la division multiple des standards pour que les opérateurs puissent travailler ensemble, avec une équipe sur le « tableau A » et une autre sur le « B ». Ces opérateurs étaient presque toujours des femmes avant le début des années 1970 quand des hommes furent de nouveau engagés. Les câbles utilisés étaient souvent surnommés cordboard par les employés des entreprises de téléphone. Le passage aux premiers systèmes automatisés de panneau de contrôle (Panel Switch) élimina tout d'abord les opérateurs « B » avant que, souvent des années plus tard, les opérateurs « A » soient eux aussi remplacés. Les standards ruraux ou situés dans les banlieues restèrent pour la plupart de petite taille et assez simples. Les clients finissaient donc souvent par connaître leur opérateur par son nom.

Tandis que les échanges téléphoniques s'automatisaient, les standards continuaient de servir des buts précis. Avant l'avènement des appels automatiques interurbains de longue distance (direct distance dialing), les utilisateurs contactaient des opérateurs longue distance afin de réaliser leurs appels taxés. Dans les plus grandes villes, il existait souvent un numéro spécifique qui donnait directement un accès aux opérateurs longue distance. Ailleurs les utilisateurs contactaient leur opérateur local qui les mettaient en relation avec l'opérateur longue distance.

L'opérateur longue distance enregistrait le nom et la ville de la personne qui devait être contactée. Il prévenait ensuite l'utilisateur qui appelait de raccrocher et d'attendre que l'appel soit complété. Chaque centre d'appel avait seulement un nombre limité de canaux  Phrase à traduire sur laquelle le doute persiste, en premier argument    merci d’apporter votre expertise, et de préciser vers les villes éloignées, et si ces circuits étaient occupés l'opérateur essayait alors un chemin alternatif à travers des villes proches. L'opérateur reliait alors le canal vers la ville de destination. L'opérateur de destination  Phrase à traduire sur laquelle le doute persiste, en premier argument    merci d’apporter votre expertise, et de préciser obtenait alors le numéro grâce à l'opérateur local et effectuait alors l'appel. Une fois que le destinataire avait répondu, l'opérateur lui demandait de patienter le temps que l'appelant réponde à l'appel lui aussi. L'opérateur démarrait le temps de conversation une fois que l'appel avait commencé.

 Phrase à traduire sur laquelle le doute persiste, en premier argument    merci d’apporter votre expertise, et de préciser

Dans les années 1940, avec l'avènement des appels automatiques interurbains et multi-fréquence l'opérateur connectait la prise jack dans un bi-canal et composait automatiquement le code géographique relatif à la région de destination de l'appel. Si le client connaissait le numéro et que le but de l'appel était un appel automatique interurbain, l'opérateur effectuait directement l'appel. Si la ville distante n'avait pas de numéro pour les appels automatiques interurbains, l'opérateur appelait l'opérateur de cette ville et lui demandait d'appeler le numéro souhaité.

Dans les années 1960, une fois que la plupart des clients avaient accès à des appels automatiques interurbains, un seul type d'opérateur commença à remplir à la fois les fonctions locales et longue-distance. Un client pouvait appeler pour demander un appel en PCV, un appel facturé à un numéro tiers ou un appel de personne à personne  Phrase à traduire sur laquelle le doute persiste, en premier argument    merci d’apporter votre expertise, et de préciser. Tous les appels payants depuis des cabines téléphoniques requéraient l'aide d'un opérateur. L'opérateur pouvait également aider à compléter les numéros locaux ou longue-distance qui n'étaient pas complets. Par exemple si le client entendait la tonalité correspondant à un téléphone occupé l'opérateur pouvait intervenir et indiquer que tous  Phrase à traduire sur laquelle le doute persiste, en premier argument    merci d’apporter votre expertise, et de préciserles circuits étaient occupés ou qu'il y avait un problème au niveau de la ligne. L'opérateur était également capable d'utiliser une route différente pour effectuer l'appel. Si l'opérateur ne pouvait pas accéder au téléphone voulu grâce à l'appel automatique interurbain, il pouvait appelé l'opérateur dans la ville de destination et lui demander d’essayer d'appeler la ligne pour savoir si celle-ci était occupée ou hors-service.

Les câbles utilisés dans les standards furent remplacés dans les années 1970-80 par des systèmes TSPS ou similaires, ce qui réduisit grandement l'implication de l'opérateur dans les appels. Le client composait directement le numéro composé d'un 0, d'un indicateur géographique et du reste du numéro au lieu de simplement composer le 0 qui le mettait en relation avec l'opérateur. L'opérateur répondait alors et fournissait le service désiré (accepter un appel en PCV par exemple) avant de laisser l'appel être automatiquement pris en charge par le système TSPS.

Avant la fin des années 1970 et le début des années 1980, il n'était pas rare que les villes les plus petites aient leurs propres opérateurs. Un code géographique était en général d'abord relié au centre d'appel des grandes villes, et les centres d'appels plus petits desservaient les villes plus petites de cette région. Le système TSPS permit aux compagnies téléphonique de fermer les plus petits centre d'appels et de consolider les services régionaux qui pouvaient être à des centaines de kilomètres du client.

法法词典

standardiste nom commun - masculin ou féminin ( standardistes )

  • 1. personne dont le métier est d'assurer le service d'un service de standard téléphonique

    une standardiste bilingue

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