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词典释义:
planète
时间: 2023-07-27 08:36:02
常用词TEF/TCF专四
[planεt]

行星

词典释义
n.f.
1. 【天文学】行星
planètes inférieures [supérieures]内 [] 行星
la planète , notre planète 地球
la planète informatique信息世界

2. 星宿 [占星术用语]
être né sous une bonne planète 生来命好, 福星高照

常见用法
le réchauffement de la planète全球变暖
les habitants de la planète Mars火星上的居民们

近义、反义、派生词
  • soleil   n.m. 太阳;阳光;晴天

近义词:
globe,  monde,  univers,  astéroïde,  terre
galaxie 银河, 星系; humanité 人类; planétaire 行星; galactique 银; terre 地球; globe 球,球体; extraterrestre 星的,地球以的; extra-terrestre 侨; continent 大陆,陆地,洲; orbite 轨道; monde 世界;
当代法汉科技词典

planète f. 大行星; 星体; 行星

planète (notre) 地球

planète principale 大行星

planètes inférieures 内行星

planètes supérieures 行星

短语搭配

la planète, notre planète地球

dommages provoqués à la planète植物损害

le globe terraqué, la planète terraquée地球

être né sous une bonne planète生来命好, 福星高照

planète erratique彗星

planète stationnaire稳定行星

planètes supérieures外行星

planètes inférieures内 行星

planète télescopique〈引申义〉用望远镜观察到的行星

planètes secondaires卫星

原声例句

Ah ba en 2002 le FBI l'affichait comme étant l'un des cinq principaux trafiquants de drogues de la planète.

嗯,在2002年,联邦调查局将他列为世界五大贩毒者之一。

[历史人文]

La Terre n'est pas une planète quelconque !

地球可不是一颗普通的行星

[小王子 Le petit prince]

Vous imaginez combien j'avais pu être intrigué par cette demi-confidence sur " les autres planètes" .

你们可以想见这种关于“别的星球”的若明若暗的话语使我心里多么好奇。

[小王子 Le petit prince]

L'histoire d'un virus qui envahit la planète.

病毒入侵地球的故事。

[Une Fille, Un Style]

Je puis t'aider un jour, si tu regrettes trop ta planète.

如果你有天后悔来到这个行星的话,我可以帮助你。

[《小王子》音乐剧精选]

J’ai moi-même visité les régions les plus affectées par le changement climatique, j’en suis revenu avec la même conviction que nous devons assurer un développement durable et équitable sans pour autant compromettre les ressources limitées de notre planète.

我自己曾亲身参观过那些遭受气候灾害的地区,所以我坚定不移地加入到这场行动,来保护我们地球的不可再生能源。

[奥朗德演讲汇总]

Si tout le monde faisait un peu d’efforts, il suffirait de peu de choses pour protéger la Terre, économiser l’énergie et « soulager » notre planète.

如果每个人都付出一点儿努力的话,只需要小事情就能保护地铁,节约能源使地球“松一口气”。

[蜗牛法语 | 专四必备470动词]

La courbure de notre planète nous empêche de voir au delà.

我们星球的弧度使我们无法看到它的外面。

[Jamy爷爷的科普时间]

Les Romains de l'Antiquité ont nommé les planètes qu'ils voyaient en l'honneur de leurs dieux.

古罗马人用他们的神来命名他们看到的行星

[Vraiment Top]

Ils savaient ainsi que la vie dont ils étaient exclus continuait à quelques mètres d'eux, et que les murs de ciment séparaient deux univers plus étrangers l'un à l'autre que s'ils avaient été dans des planètes différentes.

他们因此而了解到,他们被排除在外的生活还在离他们几米远的地方继续进行,他们明白,水泥高墙隔断的两个世界相互之陌生,胜过它们各自处在两个不同的星球

[鼠疫 La Peste]

例句库

Il y a huit planètes autour du soleil.

太阳周围有八颗行星

Notre planète est polluée.

我们的星球被污染了。

Est-ce qu'il y a des habitants sur la planète Mars?

火星上有居民们吗?

La septième planète fut donc la Terre.

第七个行星,于是就是地球了。

Le français dans le monde : une communauté en expansion Le français compte parmi les grandes langues de communication de la planète.

影响不断扩大 法语是重要的国际交流语种之一。

Il n'y a pas de tigres sur ma planète, avait objecté le petit prince, et puis les tigres ne mangent pas l'herbe.

小王子顶了她一句:“在我这个星球上没有老虎,而且,老虎是不会吃草的”。

Les océans deviennent la poubelle de la planète.

海洋成了全球的垃圾场。

Et si la planète est trop petite, et si les baobabs sont trop nombreux, ils la font éclater.

它的树根能把星球钻透,如果星球很小,而猴面包树很多,它 就把整个星球搞得支离破碎。

Les planètes tournent autour du Soleil.Alors que la Lune tourne autour de la Terre.

行星是围绕着太阳转的,而月亮则是绕着地球转的。

Est-ce qu'il y a des habitants de la planète Mars?

火星上有居民们吗?

Tu viens d'une autre planète?

你来自另一个行星吗?

Je connais bien des grosses planètes comme la Terre, Jupiter, Mars, Vénus.

我非常了解这些类似地球,木星,火星,金星的大行星

Et cela, malgré la faible activité solaire, qui a contribué à diminuer —faiblement— la température de la planète.

虽然太阳活动的减弱让地球的气温略微降低了些,但总体依旧居高不下。

Imaginons une situation extrême, terrifiante –celle-là même quevit le plus grand nombre sur notre planète.

让我们想象一个极端的、可怕的情景——这正是我们地球上大部分人所生活的情景。

Chaque jour j'apprennais quelque chose sur la planète, sur le départ, sur le voyage.

每天我都了解到一些关于小王子的星球,他的出走和旅行等事情。

Nous sommes des planètes différentes, mais nos orbites ont un point commun.

我们是不同的行星,但轨道有了交点。

Deux planètes assez difficiles à vivre vont influencer votre secteur santé : Saturne et la Lune.

土星和月亮给你的健康带来不良影响。

Le petit prince a quitté la planète, mais vous pensé que c'était la Rose abandonné.

小王子离开了星球,你却以为是玫瑰抛弃了他。

Que tout le monde soit heureux, que la planète soit en paix, que l'équipe de Juventus ne soit pas dégrader !

希望所有人幸福,希望世界和平,希望尤文不要降级!

C'est ensemble que nous allons préserver la planète.

我们将一起保护地球

法语百科

1- Mercure ; 2- Vénus ; 3- Terre ; 4- Mars ; 5- Jupiter ; 6- Saturne ; 7- Uranus ; 8- Neptune Les tailles respectives des huit planètes et du Soleil (en haut du schéma) sont respectées, mais pas les distances.

Une planète est un objet céleste orbitant autour du Soleil ou d'une autre étoile et possédant une masse suffisante pour que sa gravité la maintienne en équilibre hydrostatique, c'est-à-dire sous une forme presque sphérique. Par extension on qualifie parfois aussi de planètes les objets libres de masse planétaire.

Ptolémée fut l'un des premiers à essayer de comprendre la formation et le fonctionnement des planètes. Celui-ci en était venu à la conclusion que toutes étaient en orbite autour de la Terre selon un mouvement déférent et épicyclique. Bien que l'idée que les planètes tournent autour du Soleil ait été suggérée à plusieurs reprises, il a fallu attendre le XVII siècle pour que cette opinion soit corroborée par les tout premiers télescopes d'observations astronomiques, réalisés par Galilée. Par la suite, une analyse minutieuse des données d'observation mène Johannes Kepler à trouver que les orbites des planètes ne sont pas circulaires, mais bien elliptiques.

Il n'existe pas de définition officielle générale du mot « planète » hormis une définition de travail de l'Union astronomique internationale (UAI) datant de 2002 et modifiée en 2003. En bref, celle-ci définit la limite supérieure des planètes par la limite de fusion nucléaire du deutérium (au-delà on parle de naine brune) et exclut les objets libres de masse planétaire (appelées sous-naines brunes). La limite inférieure est définie comme pour les planètes du système solaire. Cette limite date de 2006 et précise, en termes simples, que l'objet doit, en plus de tourner autour du Soleil, être relativement sphérique et avoir éliminé tout corps rival se déplaçant sur une orbite proche (cela peut signifier soit en faire un de ses satellites, soit provoquer sa destruction par collision). De fait, ce dernier critère ne s'applique pas aujourd'hui aux exoplanètes pour des raisons technologiques. On estime que le nombre d'exoplanètes dans notre seule galaxie est d'au moins 100 milliards.

Selon la définition de 2006, il y a huit planètes confirmées dans le Système solaire : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

En même temps que la définition d'une planète était clarifiée, l'UAI définissait comme étant une planète naine un objet céleste répondant à tous les critères, sauf l'élimination des corps sur une orbite proche. Contrairement à ce que suggère l'usage habituel d'un adjectif, une planète naine n'est pas une planète, puisque l'un des critères de la définition des planètes n'est par définition jamais rempli par les planètes naines ; ceci explique qu'il n'y ait, comme listé ci-dessus, que huit planètes dans le Système solaire. On compte actuellement cinq planètes naines dans le Système solaire : Cérès, Pluton, Makémaké, Hauméa et Éris. Cependant il est possible et même probable qu'à l'avenir cette liste devienne plus longue que celle des planètes.

La liste des planètes a fortement varié au gré des découvertes et nouvelles définitions de l'astronomie. La Terre n'est considérée comme une planète que depuis la reconnaissance de l'héliocentrisme (position centrale du Soleil), Pluton et Cérès furent classées comme planètes en premier lieu lors de leur découverte, mais la définition de l'UAI a conduit à exclure de manière claire de tels objets.

Étymologie

Le substantif féminin « planète » est emprunté, par l'intermédiaire du latin planeta, au grec ancien πλανήτης, planếtês, pris de l'expression πλανήτης ἀστήρες, planếtês astêres, qui désigne un « astre en mouvement » ou « astre errant », par opposition aux étoiles qui apparaissent immobiles sur la voûte céleste.

Ce mouvement — apparent si l'on suit la planète dans le ciel d'une nuit à l'autre — a été observé très tôt par les hommes de toutes les civilisations, mais sa complexité est longtemps restée un mystère pour les astronomes jusqu'à l'identification de ce mouvement apparent à la résultante des courses elliptiques de la Terre et des autres planètes autour du Soleil.

Si les planètes du Système solaire sont visibles la nuit dans le ciel, c'est parce qu'elles réfléchissent la lumière du Soleil, contrairement aux étoiles qui brillent de leur propre feu.

Planètes du Système solaire

Les quatre planètes telluriques du Système solaire : Mercure, Vénus, Terre et Mars (à l'échelle).

On connaît avec certitude l'existence de huit planètes dans le Système solaire. En Occident elles sont chacune nommées d'après un dieu romain, sauf la Terre, et on leur associe un symbole astronomique, voire astrologique. Par ordre croissant d'éloignement du Soleil, ce sont :

Mercure (symbole ☿)

Vénus (♀)

la Terre (⊕/♁)

Mars (♂)

Jupiter (♃)

Saturne (♄)

Uranus (♅)

Neptune (♆)

Une neuvième planète pourrait également exister, à une distance très supérieure aux autres planètes connues.

Les planètes du système solaire peuvent être divisées en deux catégories :

les planètes telluriques : Mercure, Vénus, la Terre et Mars;

et les géantes gazeuses : Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

Les quatre géantes gazeuses du Système solaire : Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune devant le limbe du Soleil (à l'échelle).

Pour se souvenir de l'ordre, une méthode courante est de mémoriser une phrase mnémotechnique comme « Me Voici Toute Mignonne, Je Suis Une Nébuleuse », les initiales de chaque mot suivant celles des planètes, classées par distance en partant du Soleil. Celle donnée ici est une adaptation de la phrase « Me Voici Toute Mignonne : Je Suis Une Nouvelle Planète », écrite à l'époque où on considérait Pluton comme une planète.

En effet, historiquement, Pluton, comme (1) Cérès, a été considérée comme une planète depuis sa découverte. Puis les astronomes ont reconsidéré ce statut en constatant qu'il s'agissait d'un objet d'un type relativement courant découvert depuis les années 2000. Ils ont requalifié Pluton le 24 août 2006 car on a découvert d'autres objets transneptuniens de taille comparable dans la ceinture d'astéroïdes extérieurs, comme (136199) Éris (paradoxalement on hésitait alors à qualifier cet objet de dixième planète, et on le désignait alors par son nom de code Xéna, car la décision sur le nom était trop lourde de responsabilité au cas où il serait qualifié de planète).

Caractéristiques des planètes du Système solaire Nom Diamètre équatorial Masse Demi-grand axe (UA) Période de révolution (années) Inclinaison sur le plan équatorial du Soleil (°) Excentricité de l'orbite Période de rotation (jours) Satellites Anneaux Atmosphère Planètes telluriques Mercure 0.382 0.06 0.387 0.24 3.38 0.206 58.** — non négligeable Vénus 0.949 0.82 0.723 0.62 3.86 0.007 -243.02 — non CO2, N2 Terre 1.00 1.00 1.00 1.00 7.25 0.017 1.00 1 non N2, O2 Mars 0.532 0.11 1.523 1.88 5.65 0.093 1.03 2 non CO2, N2 Géantes gazeuses Jupiter 11.209 317.8 5.203 11.86 6.09 0.048 0.41 67 oui H2, He Saturne 9.449 95.2 9.537 29.46 5.51 0.054 0.43 62 oui H2, He Uranus 4.007 14.6 19.229 84.01 6.48 0.047 -0.72 27 oui H2, He Neptune 3.883 17.2 30.069 1**.8 6.43 0.009 0.67 14 oui H2, He par rapport à la Terre. Voir dans l'article Terre les valeurs absolues. Une valeur négative indique une planète tournant sur elle-même dans le sens inverse de la Terre.

Définition

La définition d'une planète telle que reprise ci-dessus dit en substance qu'un corps doit présenter une masse d'au moins 5 × 10 kg et un diamètre d'au moins 800 km pour être considéré comme une planète.

Pour le dictionnaire, dont les définitions n'ont qu'une valeur académique et non scientifique, une planète est un « objet céleste compact, dépourvu de réactions thermonucléaires (ou anciennement : sans lumière propre), gravitant autour du Soleil ou, par extension, d'une étoile ».

En 2003, Sedna avait déjà été décrétée par les médias comme étant la dixième planète du Système solaire, mais beaucoup d'astronomes étaient réticents pour lui accorder ce statut. En fait, les astronomes n'étaient pas unanimes sur la définition d'une planète et l'UAI a donc tranché la question.

Jusqu'en 2006, la National Academy of Sciences américaine définissait une planète comme étant un corps de moins de deux masses joviennes gravitant autour d'une étoile. Mais cette définition ne tenait pas compte des récentes découvertes, dont celles de (136199) Éris (en 2005), de (90377) Sedna et autres objets de la Ceinture de Kuiper.

Distinguer planète et étoile

Classiquement, le terme « planète » s'oppose à celui d'« étoile ». Planète et étoile diffèrent en ceci que l'énergie lumineuse rayonnée par une planète ne provient pas de son sein propre mais de l'étoile autour de laquelle elle gravite (toute planète émet des rayonnements électromagnétiques, généralement dans l'infrarouge en raison de sa faible température). Même si cette opposition entre production et réflexion de lumière garde une part essentielle de sa pertinence, elle pose quelques problèmes conceptuels de définition.

Ce qui aujourd'hui distingue le plus utilement le concept de planète et celui d'étoile est le mode de formation :

la formation d'une étoile résulte de l'effondrement d'une sphère de gaz ;

la formation d'une planète résulte de l'agrégation de poussières dans un disque, suivie ou non d'une accrétion gazeuse, en fonction de la masse du noyau.

Les planètes

Bien qu'elles n'émettent pas de lumière visible, les planètes produisent un peu d'énergie détectable en infrarouge (IR). Pour la Terre, vu de l'espace, ceci est environ 4 000 fois moins que ce qui est reçu du Soleil. Le phénomène est plus important pour Jupiter, Saturne et Neptune. Dans l'infrarouge, elles renvoient 2 à 2,5 fois plus d'énergie qu'elles n'en reçoivent du Soleil.

Théoriquement, il existe des planètes qui n'orbitent autour d'aucune étoile. Formées autour de ces dernières, elles peuvent être libérées de leur lien gravitationnel par diverses interactions gravitationnelles. De telles planètes, dites « planètes flottantes » ne reflètent la lumière d'aucune étoile. Le 14 novembre 2012, l'Institut de planétologie et d'astrophysique de Grenoble a annoncé la découverte probable d'une planète de cette catégorie, appelée CFBDSIR 2149-0403.

Au sein du Système solaire, les planètes ont une orbite elliptique qui est, à l'exception de Mercure, quasi circulaire et dont le Soleil est situé à l'un des foyers. Les planètes orbitent toutes dans un plan approximatif, nommé écliptique. L'écliptique est inclinée de sept degrés par rapport au plan de l'équateur du Soleil. Les planètes orbitent toutes dans la même direction, dans le sens contraire de celui des aiguilles d'une montre lorsque regardées du dessus du pôle nord du Soleil.

Les étoiles

Les étoiles les plus petites, les naines brunes, n'ont jamais été assez massives pour engendrer un processus de fusion thermonucléaire en leur sein, à part les plus massives qui brûlent le deutérium de leur enveloppe pendant quelques dizaines de millions d'années avant de se refroidir. Les naines brunes rayonnent un grand nombre de milliards d'années mais pas selon le processus classique (proton/proton ou CNO) ; elles n'appartiennent pas de ce fait à la séquence principale.

Propositions récentes de définition

Tout astronome a besoin de construire une définition scientifique qui peut s'avérer parfois assez éloignée de la définition communément admise.

Quatre définitions ont été proposées en 2005 par l'astronome Michael E. Brown qui permettent d'avoir une idée plus claire sur la question :

Point de vue purement historique, les Planètes sont : Mercure, Vénus, la Terre, Mars, Jupiter, Saturne, Uranus, Neptune et Pluton, aucune autre de plus.

Historique mis à jour. On peut envisager des raisons historiques tenant compte des dernières découvertes. Dans ce cas Mercure jusqu'à Pluton sont des planètes ainsi que tout nouvel objet plus grand que Pluton (désormais classée comme planète naine).

La sphère gravitationnelle. Tout objet arrondi en raison de sa force gravitationnelle, qui ne produit pas sa propre lumière et qui gravite directement autour du Soleil, et par extension d'une étoile, est une planète. Cette définition de l'aspect régi par la gravité permet de classer le corps Cérès de la ceinture d'astéroïdes parmi les planètes.

Les classes de populations. Cette définition du terme « planète » est la plus complexe mais également la plus satisfaisante d'un point de vue scientifique. Une population est un ensemble d'individus appartenant à la même espèce. Dans notre contexte, il s'agit d'un ensemble d'objets solitaires partageant les mêmes propriétés.

Michael Brown et son équipe reconnaissent qu'il n'existe pas de définition scientifique qui épouse à la fois les conditions rencontrées dans le Système solaire et notre culture. Comme il l'a écrit « pour une fois j'ai décidé de laisser gagner la culture. Nous, scientifiques, pouvons continuer nos débats, mais j'espère que nous serons globalement ignorés ». Pour lui, la question est donc entendue : en 2005, il existe donc dix planètes dans le Système solaire et une kyrielle d'autres populations de petits corps.

À l'inverse, beaucoup d'astronomes préfèrent considérer qu'il existe huit planètes (de Mercure à Neptune), et qu'en raison de leurs caractéristiques, Pluton et les autres corps de la ceinture de Kuiper, qu'ils soient petits ou gros, sont des objets d'un autre type (qu'on désigne d'ailleurs sous le terme générique de transneptuniens).

Autres systèmes planétaires

Depuis 1990, année de la découverte des premières planètes extrasolaires par Aleksander Wolszczan, on sait qu'il existe des planètes autour d'autres étoiles. Il est même probable que leur présence soit très courante étant donné le nombre de planètes identifiées depuis lors, alors que les techniques dont on dispose pour le moment ne permettent de détecter que les planètes massives et proches de leur étoile. Même si celles qui ont été détectées jusqu'ici sont presque toutes des planètes géantes (au moins de la taille de Jupiter ou Saturne), les astronomes ne désespèrent pas de mettre en évidence des planètes similaires à la Terre, ce qui pourrait justifier certaines recherches d'une vie extraterrestre. Entre 1995 et 2005, près de 170 exoplanètes ont été ainsi découvertes.

En 2005, pour la première fois, des astronomes ont pu discerner la lumière émise directement par deux planètes, malgré la lueur éblouissante et toute proche de leurs étoiles. Jusqu'alors, les découvertes n'étaient qu'indirectes, en constatant les perturbations exercées par les planètes sur leurs étoiles ou en mesurant une baisse de luminosité lors d'une éclipse.

Cette fois, deux découvertes presque simultanées ont été faites par deux équipes différentes observant des planètes différentes. Mais comme les deux équipes ont toutes deux utilisé le télescope spatial infrarouge américain Spitzer, la Nasa a décidé de profiter de l'occasion pour annoncer les deux découvertes en même temps.

Le 13 juin 2005, une équipe de scientifiques américains a annoncé la découverte de la 155 exoplanète découverte depuis 1995. Les caractéristiques de cette planète sont :

Distance à la Terre : 15 années-lumière ;

Température : entre 204 et 361 degrés Celsius ;

Masse estimée : 5,80 à 7,50 fois celle de la Terre ;

Son étoile est Gliese 876 (aussi connue sous le nom de BD-15°6290, une naine rouge dans le Verseau).

Dans la revue Nature du 14 juillet 2005, l'astrophysicien polonais Maciej Konacki du California Institute of Technology (Caltech) a révélé qu'il avait découvert une géante gazeuse, autour de HD 188753, une étoile triple (un système binaire gravitant autour d'une étoile primaire de type solaire). La planète, HD 188753 Ab, gravite autour de l'étoile principale et est du type Jupiter chaude, c'est-à-dire une géante gazeuse comme Jupiter, mais beaucoup plus proche de son étoile que ne l'est Jupiter du Soleil — plus proche de son étoile que Mercure ne l'est du Soleil, en fait ! Les modèles actuels (juillet 2005) de formation de telles planètes supposaient une formation à une distance appropriée pour une planète géante, suivie d'un rapprochement vers l'étoile centrale, ce qui n'est pas possible dans le cas particulier de HD 188753.

La première photographie optique d'une exoplanète a été publiée le 13 novembre 2008. D'une masse probablement proche de celle de Jupiter, cette planète, baptisée Fomalhaut b, est en orbite autour de l'étoile Fomalhaut dans la constellation du Poisson austral (Piscus austrinus), à une distance d'environ quatre fois celle séparant Neptune du soleil.

Formation des planètes

On considère que les planètes se forment en même temps que leur étoile, par accrétion et condensation d'un nuage de gaz et de poussières sous l'influence de la gravitation. Tous les modèles de formation planétaire commencent donc par la formation d'une, voire de deux ou plus, étoiles au sein d'un effondrement, suivie par l'accrétion des poussières dans le disque résiduel circumstellaire.

Image du disque protoplanétaire de HL Tauri réalisée par l'Atacama Large Millimeter Array.

Formation stellaire préalable dans l'atmosphère galactique

Une galaxie est un corps autogravitant aplati formé de gaz plus ou moins ionisés (plus ou moins chauds autrement dit) qui se stratifient selon l'épaisseur par gravité. Le plan médian, appelé plancher galactique, le plus dense, correspond pourrait-on dire à la troposphère terrestre et c'est en son sein que se déroule la formation d'étoiles, assimilables à des précipités de gaz, suivie d'une restitution partielle sous le mode nébuleuse planétaire ou supernova, selon la masse de l'étoile. Le gaz restitué est enrichi en éléments lourds (C, N, O, Si, Al, Mg, Fe, etc.) qui se condensent en poussières, dont le rôle ultérieur est essentiel pour la formation planétaire.

Les étoiles naissent en groupe au sein de vastes complexes moléculaires qui parsèment le plancher galactique. Ces complexes (ou nuages) moléculaires sont ainsi nommés en référence au fait que l'hydrogène s'y présente sous forme de molécule de dihydrogène H-H. Ces « régions H2 » sont particulièrement denses (plus de 10 000 atomes/cm) et froides (typiquement 10 à 100 K) par rapport aux régions voisines HII formées d'hydrogène ionisé (chaudes à 10 000 K et presque vides avec 10 atomes/cm ou moins). La formation de ces régions nous introduit au phénomène central de la formation stellaire (qui se reproduit ensuite un peu différemment pour les planètes gazeuses, au moment d'accréter) : l'effondrement gravitationnel.

Il y a effondrement lorsque la force de gravité créée par le nuage excède la pression thermique résultant du couple température-densité. L'effondrement est typiquement un phénomène auto-entretenu : au fur et à mesure que les molécules du nuage se dirigent vers le centre, sa densité augmente et avec elle la gravité qu'il génère.

Mais le processus ne peut pourtant se continuer que si l'énergie thermique peut s'évacuer. En se contractant, c’est-à-dire en chutant librement sur lui-même, le nuage convertit son énergie gravitationnelle en énergie cinétique et celle-ci engendre une pression thermique, à l'occasion de nombreux chocs. Il faut donc que le nuage rayonne, phénomène facilité par la densité croissante, qui augmente la probabilité des chocs moléculaires, en partie non-élastiques.

Il se forme ainsi au centre un noyau de gaz (« modèle de nucléation »), alors appelé proto-étoile, sur lequel tombe un flux de gaz à une vitesse qui croit avec la gravité de l'astre, c’est-à-dire avec sa masse. Un corps en chute libre percute la surface de l'astre avec une vitesse égale à la vitesse de libération de cet astre. Elle augmente rapidement au-delà de 10 km/s pour la proto-étoile. Au bilan, l'énergie gravitationnelle du nuage (Eg = GM²/r) est convertie en chaleur à la surface du jeune astre et constitue une quantité d'énergie rayonnée considérable. L'étoile naissante, avant même d'entamer le processus de fusion de l'hydrogène possède une température de surface 10 fois supérieure à ce qu'elle deviendra après stabilisation en séquence principale (soit pour le Soleil de l'ordre de 60 000 K contre 6 000 K par la suite). L'intense rayonnement de la proto-étoile, situé dans les UV, permet donc la poursuite du processus, tant que le nuage qui la surplombe reste transparent.

Cette transparence est contrecarrée par la présence de poussière en densité croissante avec l'effondrement et qui l'opacifie. Toutefois en même temps que le nuage se contracte, il augmente sa vitesse angulaire de rotation afin de conserver son moment M de rotation.

En tout point, M ~ w.r avec w la vitesse angulaire, en rad.s-1 et r la distance au centre de gravité. Si le r moyen diminue, w augmente : les pôles se dépeuplent en conséquence en faveur de l'équateur et ce tournoiement accéléré aplatit le nuage.

Les pôles étant déchargés de matière, l'étoile peut rayonner librement sur une moitié de son angle solide. Par contre, la rotation de ce disque (où va se dérouler la formation planétaire) limite le processus d'effondrement et l'arrête complètement en l'absence de mécanisme qui dissipe son énergie de rotation.

Ce disque est extraordinairement ténu, par rapport à toute forme d'état de la matière observable sur Terre. Il s'agit pourtant d'une zone très dense de gaz et de poussière, à l'échelle interstellaire. Un corps de taille métrique en orbite en son sein met moins de 10 Ma pour tomber sur la proto-étoile, en dissipant son énergie gravitationnelle par frottements.

C'est dans cet intervalle que vont pouvoir se former des planètes.

Phase A : formation des flocules centimétriques

Au départ, le nuage possède une opacité non négligeable sur une épaisseur de l'ordre de 10 à 30 UA. La poussière responsable de cette opacité tombe doucement, à une vitesse de un à dix mètres par seconde, au sein du gaz ténu, vers le plan de révolution. En 10 000 ans environ, la proto-étoile se dote d'un disque fin de poussières (quelques kilomètres d'épaisseur) enserré dans une galette de gaz qui garde presque son épaisseur initiale. La poussière, durant sa chute au sein d'un gaz turbulent forme au hasard des flocules qui peuvent atteindre des tailles centimétriques (10 000 fois plus gros que les poussières). L'agrégation résulte des simples forces de contacts entre grains.

Phase B : formation des planétésimaux

Avant que ces grumeaux poussiéreux aient atteint une taille kilométrique, ils génèrent une traînée hydrodynamique suffisante pour les faire plonger vers la surface de la jeune étoile en moins d'un siècle (pour un corps de un mètre situé à une unité astronomique). Il s'agit donc d'une étape critique. La phase de formation allant du centimètre au kilomètre (soit un gain de cinq ordres de grandeur) est une des plus difficilement modélisables, les rencontres au hasard à grande vitesse (plusieurs kilomètres à dizaines de kilomètres par seconde) étant tout autant susceptibles de pulvériser l'agrégat que de former un corps plus massif capable d'encaisser les chocs ultérieurs.

En raison de sa masse supérieure, un des corps parvient à attirer par gravitation des poussières du sillon planétaire dans un périmètre qui excède son diamètre. À l'issue de ce stade, il peut atteindre le kilomètre et est à la fois attractif pour ce qui l'entoure et résistant en termes de traînée. Il se forme alors un planétésimal, dont le diamètre peut atteindre cinq à dix kilomètres et la masse est de l'ordre de mille milliards de tonnes. Il deviendra un petit corps (astéroïde ou comète) ou une planète.

À ce stade, le système est peuplé de milliards de comètes coexistant avec des corps solides de tailles échelonnées du micromètre au kilomètre.

Phase C : formation des cœurs planétaires

La formation de planète à partir des planétésimaux dure environ 100 000 ans et a fait l'objet de simulations numériques qui en donnent l'image suivante :

au départ, des collisions aléatoires au sein d'un ensemble de milliards de planétésimaux engendrent la croissance de certains aux dépens des autres ;

dès qu'un planétésimal a gagné une masse largement supérieure à la masse moyenne des planétésimaux voisins, il peut engloutir tout ce qui se trouve dans sa zone d'influence gravitationnelle ;

une fois le vide fait autour de lui, sa croissance s'arrête faute de matériau : on a alors affaire à un cœur planétaire dont on dit qu'il a atteint sa « masse d'isolation ». À une UA, cette masse d'isolation représente environ le dixième de la masse terrestre et correspond à l'agglomération d'environ un milliard de planétésimaux.

Phase D : formation des noyaux telluriques

Les simulations numériques montrent que les orbites circulaires des cœurs planétaires sont perturbées par les interactions gravitationnelles mutuelles et ont tendance à devenir elliptiques, ce qui favorise la collision des cœurs et leur croissance par agglomération. Cette phase nettoie également le système en formation des innombrables planétésimaux résiduels qui, s'ils frôlent de trop près les planètes en formation sont détruits par la force de marée ou expulsés dans l'espace interstellaire.

Dans un disque circumstellaire d'environ un millième de masse solaire, une planète tellurique (ou rocheuse) peut se former en 10 à 100 millions d'années et le scénario qui précède rend compte avec succès de leur formation.

Phase E : formation des enveloppes gazeuses

Expliquer la formation des planètes gazeuses — quelque 100 000 ans à 1 million d'années — comme Jupiter ou Saturne dans un disque de masse minimal, tel que précédemment défini est plus problématique.

Les planètes géantes sont sans doute constituées d'un cœur solide (métaux + silicates + glaces planétaires) qui doit ensuite capturer par gravité une enveloppe gazeuse, ce qui nécessite l'atteinte d'une masse critique en deçà de laquelle la pression due à l'énergie libérée par les planétésimaux qui rentrent en collision avec le cœur planétaire est suffisante pour s'opposer à l'effondrement gravitationnel du gaz environnant, et l'enveloppe gazeuse reste peu importante. À l'emplacement des géantes gazeuses de notre système, la masse critique est de l'ordre de quinze masses terrestres ce qui correspond à peu près à la masse de Neptune ou d'Uranus.

Cette masse critique a été atteinte car ces planètes sont au-delà de la ligne des glaces où la quantité de matière solide disponible était plus importante grâce à la condensation de l'hélium et de l'hydrogène qui forment des glaces (méthane CH4, ammoniac NH3, neige carbonique CO2, glace d'eau H2O, etc.).

Au-delà de la masse critique l'accrétion ne s'arrête qu'après épuisement du gaz disponible dans la fraction du disque où s'est formée la planète, ouvrant ainsi un sillon dans le disque protoplanétaire. Ainsi se forment des géantes gazeuses de la masse de Jupiter (trois cents masses terrestres) ou de Saturne (cent masses terrestres).

Encore faut-il pour cela que tout le disque ne soit pas déjà retombé sur l'étoile. Or sa durée de vie n'est que de un à quelques dizaines de millions d'années.

Vue d'artiste de la planète extrasolaire HD 209458 b (Osiris).

Les simulations montrent que pour former des planètes de la masse de Saturne et de Jupiter le disque doit posséder une masse de trois à cinq fois supérieure à la masse minimale suffisante à la formation des planètes telluriques et doit les former en un temps limité par la durée de vie du disque.

Principes de nomination des planètes

Les noms des planètes du Système solaire sont attribués par les commissions de l'Union astronomique internationale (UAI). Celles-ci adoptent de manière cohérente les noms des dieux de la mythologie romaine qui ont été imposés par l'astrolâtrie de la mythologie grecque. En raison de sa couleur rouge, on dénomma la quatrième planète Mars en référence au dieu romain de la guerre (et donc du sang) et, plus récemment, la planète (136199) Éris, déesse de la discorde pour la planète naine dont la découverte a obligé les astronomes à redéfinir la notion de planète au détriment de Pluton, qui ne respecte pas le nouveau critère d'« élimination des rivales ».

中文百科

按比例缩放的行星尺寸的星球: 第一行:土星、OGLE-TR-122和木星; 第二行(被放大在第二张图里):天王星和海王星; 第三行:地球,白矮星天狼星B,金星; 第四行(被放大在第三张图里)—— 上:火星和水星; 下:月球,矮行星冥王星和妊神星

行星(英语:planet;拉丁语:planeta),通常指自身不发光,环绕着恒星的**。其公转方向常与所绕恒星的自转方向相同(由西向东)。一般来说行星需具有一定质量,行星的质量要足够的大(相对于月球)且近似于圆球状,自身不能像恒星那样发生核聚变反应。2007年5月,麻省理工学院一组空间科学研究队发现了已知最热的行星(2040摄氏度)。

随着一些具有冥王星大小的**被发现,「行星」一词的科学定义似乎更形迫切。历史上行星名字来自于它们的位置(与恒星的相对位置)在天空中不固定,就好像它们在星空中行走一般。太阳系内肉眼可见的5颗行星水星、金星、火星、木星和土星早在史前就已经被人类发现了。16世纪后日心说取代了地心说,人类了解到地球本身也是一颗行星。望远镜被发明和万有引力被发现后,人类又发现了天王星、海王星,冥王星(2006年后被排除出行星行列,2008年被重分类为**,又称「矮行星」)还有为数不少的小行星。20世纪末人类在太阳系外的恒星系统中也发现了行星,截至2013年7月12日,人类已发现2000多颗太阳系外的行星。

名称及由来

在中国,根据西汉《史记、历书》记载「黄帝考定星历,创建五行,起消息(修正历法,订出正月起始)。」

《尚书。舜典》:“在璇玑玉衡以齐七政。”孔颖达疏:“七政,其政有七,于玑衡察之,必在天者,知七政谓日月与五星也。木曰岁星,火曰荧惑星,土曰镇星,金曰太白星,水曰辰星。

英文行星一词planet源于古希腊文“πλανήτης(planētēs)”,意为“游走者”(wanderer)。

1792年日本学者本木良永在翻译哥白尼的地动说时将“行星”译作“惑星”,取其位置游移不定让人迷惑之意。明治时代亦有京都大学的学者使用“游星”一词来指“行星”。

1859年伟烈亚力与李善兰合作翻译的《谈天》是中文文献中第一次介绍哥白尼的地动说,也是中文“行星”一词第一次出现。

历史

日心说确立了太阳在天空中心的地位,太阳不动而地球在运行,因此地球就取代了太阳的地位成为行星,太阳则被归入恒星。

卫星的概念在稍后也随着伽利略卫星的发现逐渐被接受,有一个短暂时期,这些卫星都被认为是行星,很快行星被限定必须直接围绕太阳运行,因此月球也被排除在行星行列之外。

最终,日月金木水火土七大行星变为地金木水火土六大行星。

1781年,第七颗行星天王星被发现;

1801年,谷神星被发现,有长达49年的时间被称为第8颗行星;

1846年,第八颗行星海王星被发现;

1930年,冥王星被发现,有长达76年的时间被称为第9颗行星;

定义

围绕于恒星运转(即公转)

有足够大的质量来克服固体应力,以达到流体静力平衡的形状(即近于球形)

已清空其轨道附近区域(即是该区域内最大**,即以其自身引力把轨道两侧附近的小**「吸引」成为自己的卫星)

太阳系以内的行星

类地行星(又称“岩质行星”):即水星、金星、地球和火星,表面是岩石固体。

类木行星(又称“气体行星”):即木星、土星、天王星和海王星,主要成分是气体。

内侧行星:太阳系中地球轨道内侧的行星,包括水星与金星。

外侧行星:太阳系中地球轨道外侧的行星,包括火星、木星、土星、天王星、海王星。

其它恒星系的行星

**测量法(Astrometry)

视向速度法(Radial Velocity)

凌日法(Transit Method)

脉冲星计时法(Pulsar Timing)

重力微透镜法(Gravitational Microlensing)

法法词典

planète nom commun - féminin ( planètes )

  • 1. astronomie corps céleste dépourvu de lumière propre, qui gravite autour du Soleil

    la Terre est une planète

  • 2. lieu où vit l'humanité

    le réchauffement de la planète

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