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词典释义:
forban
时间: 2023-09-28 05:30:07
[fɔrbɑ̃]

n.m.

词典释义
n.m.

Ce financier est un forban .〈引申义〉这个金融家简直是个强
un forban littéraire〈转义〉 剽窃者, 抄袭者
近义、反义、派生词
近义词:
bandit,  escroc,  flibustier,  canaille,  crapule,  fripouille,  gredin,  margoulin,  requin,  malfaiteur,  pirate,  écumeur,  voleur,  écumeur de mer,  brigand,  gangster
联想词
corsaire ; pirate ; navire 舶,,军舰; pêcheur 民,垂钓爱好者; marin 手; bateau ,艇; aventurier 冒险者,冒险家,投机者; brave 英勇的,勇敢的; pécheur 犯罪的; bandit ,匪徒; capitaine 长;
短语搭配

Ce financier est un forban.〈引申义〉这个金融家简直是个强盗。

Cet homme d'affaires est un forban.这个商人简直贪得无厌。

un forban littéraire〈转义〉 剽窃者, 抄袭者

原声例句

Jusqu’au moment, répliqua Ned Land, où quelque frégate, plus rapide ou plus adroite que l’Abraham-Lincoln, s’emparera de ce nid de forbans, et enverra son équipage et nous respirer une dernière fois au bout de sa grand’vergue.

“直到有一艘比林肯号更快、更灵敏的护卫舰,最后摧毁这个海盗的巢穴,把我们全部解救出来,再次送上轮船的主桅横桁,可以自由自在地尽情呼吸。”尼德·兰继续说道。

[海底两万里 Vingt mille lieues sous les mers]

Elle sert notamment de quartier général au plus redoutable groupe de forbans du Nouveau Monde, le Flying Gang.

它是新大陆上最强大的海盗组织“飞天帮”的总部。

[Pour La Petite Histoire]

Nommé gouverneur des Bahamas, l’ex-corsaire Woodes Rogers met les forbans de New Providence au pied du mur.

被任命为巴哈马总督的前私掠船船长伍德·罗杰斯将新普罗维登斯的海盗们逼上绝路。

[Pour La Petite Histoire]

Bah ! reprit-il, j’ai traversé la Sicile et Calabre, j’ai navigué deux mois dans l’Archipel, et je n’ai jamais vu l’ombre d’un bandit ni d’un forban.

“哼!”他说,“我游遍了西西里和卡拉布里亚,我在爱琴海上曾经航行过两个月,什么海盗强盗我连影子都从没见过一个。”

[基督山伯爵 Le Comte de Monte-Cristo]

Qu'on les nomme corsaires, boucaniers ou forbans, les pirates ont semé la terreur dans les mers du monde entier!

无论他们被称为私掠者、海贼还是强盗,海盗都在全世界的海洋中播下了恐怖的种子!

[Vraiment Top]

例句库

Ce financier est un forban.

〈引申义〉这个金融家简直是个强盗

法语百科

Stéréotype : le pirate creusant, à la recherche d'un trésor (Howard Pyle, Harper's Magazine, 1894).

La piraterie désigne une forme de banditisme pratiquée sur mer par des marins appelés pirates. Cependant, les pirates ne se limitent pas seulement aux pillages de navire, et attaquent parfois de petites villes côtières.

Étymologie et définition

Le mot « pirate » vient du latin pirata (« celui qui tente la fortune, qui est entreprenant ») − attesté depuis Cicéron −, qui s'est imposé devant le terme praedo maritimus. Pirata est un emprunt au grec πειρατής (peiratês), c'est-à-dire « brigand, bandit qui court les mers pour attaquer les navires », mot avec spécialisation de sens dérivé du verbe πειράω (peiraô) signifiant « s'efforcer de », « essayer de », « tenter sa chance à l'aventure ». Cicéron déclare les pirates de l'Antiquité « ennemis communs à tous » (communis hostis omnium) car ils échappent aux catégories habituelles du droit. Au Moyen Âge, la signification du terme « pirate » se restreint pour désigner plus spécifiquement des bandits qui parcourent les mers pour piller des navires marchands.

Les pirates se distinguent des corsaires qui sont des civils faisant la guerre sur mer avec l'autorisation de leur gouvernement (grâce aux lettres de marque), selon les lois de la guerre, avec un statut équivalent aux militaires mais sans être soumis à l'autorité d'un état-major et au contraire d'une façon indépendante. La confusion entre pirates et corsaires résulte de plusieurs faits : jusqu'à la fin du Moyen Âge, les termes de corsaire et pirate, synonymes, étaient employés indifféremment (pour les distinguer, il faut qu'un État souverain délivre une lettre de marque - or l’État souverain n'apparaît en Europe qu'au cours des XVIetXVII siècles) ; les Corsaires faisaient la guerre aux nations ennemies en s'attaquant à leur commerce mais, sans ressources en temps de paix, ils devenaient pirates (comme Francis Drake ou Jean Ango). Cette apparence ne doit pas faire oublier qu'ils respectaient en général les vies et les biens personnels ; seul le navire et le fret faisaient l'objet de la prise, une enquête établissait si la prise avait été légitime et le bien était rendu si tel n'avait pas été le cas. Notons toutefois qu'un corsaire autorisé par un État particulier était qualifié de pirate par les États ennemis. Tout corsaire, donc, est un pirate du point de vue d'un État tiers. L'épisode de la prise du navire portugais Santa Catarina en 1603 par un corsaire hollandais, accusé de piraterie par les Portugais, illustre bien l'ambiguïté de la distinction entre corsaire et pirate - cet incident diplomatique est d'ailleurs à l'origine de la rédaction par le célèbre juriste Hugo Grotius du traité sur « La Liberté des Mers ». Anne Pérotin-Dumont résume bien la situation en écrivant que « savoir si quelqu'un ou non doit être qualifié de pirate est une question dont la réponse appartient à celui qui a le pouvoir ».

La piraterie a connu plusieurs périodes fastes, à la fin du I siècle av. J.-C. en Méditerranée, et au XVIII siècle dans les Antilles et l’Océan Indien puis peu à peu disparu de ces régions, du fait du quadrillage des marines d'État. Le mot pirate est utilisé aussi dans différents contextes autres que maritime : le « pirate de la route », que l'on appelait autrefois « voleur de grand chemin », le « pirate informatique », qui désigne un individu s'introduisant illégalement dans un système informatique. On parle parfois de « pirates » dans le cas de détournement d'avions : c'est le cas des pirates de l'air. Toutefois, il s'agit ici d'une déformation du sens de pirate car il s'agit d'actions terroristes, politiques et non de crimes de droit commun. Plus récemment, on évoque le cas des « biopirates », qui manipulent le vivant en dehors de tout cadre légal, souvent dans des laboratoires clandestins, afin de modifier certaines caractéristiques des espèces vivantes ou d'en créer de nouvelles. Alors que le Moyen Âge et l'époque moderne ont repris une formule de Cicéron selon laquelle le pirate est « l'ennemi commun à tous », la Convention des Nations unies sur le droit de la mer a donné en 1982 une définition plus restrictive du pirate qui est selon le droit international un criminel de droit commun intervenant en haute mer à partir d'un bâtiment.

Histoire

Amaro Pargo, un pirate de l'Âge d'or de la piraterie.

La piraterie existait déjà dans l'Antiquité. Toutes les civilisations anciennes ayant possédé une marine l'ont connue, les Phéniciens comme les Mycéniens, la mer étant considérée comme un espace libre où règne la « loi du plus fort ». Lorsque les États deviennent plus puissants, à la piraterie s'ajoute la guerre de course.

Jules César dut lui-même affronter la piraterie. Lors d'un voyage vers l'Orient entre les années 75 av. J.-C. et 74 av. J.-C., il fut capturé par ceux-ci, à hauteur de l'île de Pharmacuse, à proximité de la ville de Milet en Asie Mineure. Dès sa libération contre rançon, il entreprit de se venger. Après avoir réuni en toute hâte une flottille, il surprit et captura les pirates qu'il fit exécuter et, en partie, crucifier. Pompée se rendit célèbre en nettoyant la Méditerranée des pirates ciliciens.

Les Vikings furent des pirates mais aussi des explorateurs, qui dévastèrent l'Europe du Nord du IX au XI siècle.

Une exposition a été consacrée aux pirates au Musée national de la Marine à Paris du 16 janvier 2002 au 14 octobre 2002.

Terminologies

Boucaniers : les pirates qui sévissaient dans la mer des Caraïbes étaient parfois appelés abusivement boucaniers. À l'origine soit aventuriers, soit déserteurs des différentes nations européennes, les boucaniers vivaient sans chef, et s'occupaient surtout du ravitaillement en viande fumée (« boucanées », d'où leur nom) des équipages de passage quels qu'ils soient. Ils élevaient des bœufs et chassaient les petits cochons sauvages. Ils se trouvaient au nord-ouest de Saint-Domingue et dans la baie de Campeche, mais ils avaient souvent leurs comptoirs à la Tortue. À l'occasion, il leur arrivait de se mêler à une expédition, mais ce n'était pas leur activité principale.

Flibustiers : le mot « flibustier » est dérivé du néerlandais vrijbuiter (« qui fait du butin librement »). Certaines sources citent comme origine le mot flibot (« sorte de petit bateau »), d’autres préfèrent free booter (« libre pillard »). Le mot apparaît lorsque les Hollandais révoltés contre la domination espagnole avaient armé des navires corsaires pour lutter contre l'Espagne. Mais les Pays-Bas n'existant pas en tant qu'État indépendant reconnu avant 1**8, leur statut de corsaire n'était pas reconnu. Les Espagnols les considéraient comme pirates pendant que les alliés des Hollandais les voyaient comme des corsaires. Toute une population va naître à mi-chemin entre piraterie, aventure, guerre de course. Le flibustier est un aventurier qui peut se louer en tant que corsaire au plus offrant en temps de guerre, qui peut naviguer comme marin de commerce comme s'adonner à la piraterie.

Organisation sociale

Contrairement à l'image répandue par les fictions cinématographiques, du fait même de leur mode de vie, peu de pirates mangeaient à leur faim ou devenaient riches, la plupart mouraient jeunes en combat, luttes intestines ou pendus. De nombreux clans de pirates élisaient les dirigeants. Le chef s'imposait par son savoir-faire marin, son audace, son autorité naturelle. On élisait le capitaine ainsi que le quartier-maître qui détenait un contre-pouvoir, secondait le chef auprès de l'équipage pour faire régner l'ordre et était le seul à pouvoir convoquer l'Assemblée. Dans cette assemblée, chaque homme avait le droit à la parole et chaque membre de l'équipage, hormis les mousses et les marins pas encore totalement intégrés, avait une voix dans le vote tout comme le capitaine. Dans certains équipages pirates, il y avait un conseil : une assemblée où uniquement les officiers et artisans pouvaient siéger avec quelques marins expérimentés.

Le quartier maître élu pouvait aussi faire entamer un procès contre le capitaine. Si le capitaine refusait le procès, il était reconnu coupable et était marronné sur une île le plus souvent. De nombreux groupes de pirates partageaient les butins obtenus en suivant un schéma préalable. Les pirates blessés au cours d'une bataille recevaient parfois une prime spéciale. Le butin pouvait être partagé de manière que le capitaine reçoive tout au plus 1,5 fois ou 2 fois plus que les autres, mais jamais plus. Cependant, ces pratiques égalitaires ne se limitaient qu'à très peu des aspects de la vie des pirates, et n'atténuaient pas réellement la rudesse de leur mœurs.

Imagerie

Le traditionnel pavillon de pirates.

C'est la littérature du XIX siècle (notamment L'Île au trésor de Robert Louis Stevenson) qui met en place les stéréotypes actuels : pirate buvant du rhum et maniant le sabre marin, à l'œil borgne caché par un bandeau noir et le perroquet sur l'épaule, au crochet à la main et la jambe de bois, à l'anneau dans l'oreille et pratiquant la torture (cette brutalité provient de l'unique source narrative du XVIII siècle Histoire générale des plus fameux pirates du capitaine Charles Johnson). Par contre, il est avéré que la vie à bord du bateau pirate est plus aisée que sur un bateau marchand : l'équipage est nombreux, sans contraintes horaires, avec une hiérarchie moins pesante car il obéit à un « code d’honneur » et à des règles démocratiques. De même est attesté le Jolly Roger (du français joli rouge), le pavillon de pirates noir ou rouge orné d’une tête de mort surmontant deux tibias entrecroisés, selon la représentation classique; mais il y avait parfois des squelettes, des armes, des sabliers et parfois le capitaine lui-même (tel celui de Black Bart).

Piraterie moderne

Extension de la zone d'opération des pirates somaliens entre 2005 et 2010 :
* Les cercles rouges indiquent la localisation des messages d'alertes;
* Les traits bleu clair indiquent les principales lignes maritimes;
* Les cercles bleus indiquent les principaux ports.
Extension de la zone d'opération des pirates somaliens entre 2005 et 2010 :
* Les cercles rouges indiquent la localisation des messages d'alertes; * Les traits bleu clair indiquent les principales lignes maritimes; * Les cercles bleus indiquent les principaux ports.

Au niveau mondial, l'IMB (International Maritime Bureau) répertorie en 2009 406 incidents, 153 navires ont été pris d'assaut, 49 ont été détournés et 120 ont été la cible de tirs. 1 052 membres d'équipage ont été pris en otage, on dénombre 68 blessés et 8 tués. La zone Nord-Est de l'Afrique totalise à elle seule 217 incidents. On note également que les attaques qui avaient jusqu'alors lieu dans le golfe d'Aden, ont eu lieu en océan Indien et jusqu'à 1000 milles marins des côtes de la Somalie.

Nombres d'attaques par an : 254 (en 2001), 341 (en 2002), 445 (en 2003), 329 (en 2004), 276 (en 2005), 239 (en 2006), 263 (en 2007), 293 (en 2008), 406 (en 2009), 445 (en 2010), et 439 (en 2011). Lorsqu'il a été détourné par des pirates somaliens le 15 novembre 2008, le Sirius Star est devenu le plus grand navire de l'histoire capturé par des pirates.

Dans le domaine du droit international la piraterie est généralement considérée comme le plus ancien exemple d'utilisation du principe de juridiction universelle. Piller les navires en haute mer, bloquer les routes commerciales ou mettre en danger les communications maritimes était considéré par les États souverains comme étant hostis humani generis (ennemi de l'humanité). Puisque la piraterie, par définition, est pratiquée en dehors des juridictions nationales, les poursuites engagées par des États souverains contre des pirates constituent une situation juridique exceptionnelle. Cicéron expliquait déjà dans son traité De officiis que, en tant qu'« ennemi de tous » (communis hostis omnium), le pirate ne devait pas être considéré comme un ennemi légitime, envers lequel on est tenu de respecter certains devoirs : ainsi, d'après le philosophe romain, l'obligation de tenir parole et d'honorer ses serments ne s'appliquait pas au cas où l'on a affaire aux pirates.

L'équipage et les pirates du navire Faina, piraté sur les côtes de la Somalie
L'équipage et les pirates du navire Faina, piraté sur les côtes de la Somalie

Les articles 100 à 108 traitent de la piraterie, en voici des extraits :

Article 100 : Obligation de coopérer à la répression de la piraterie. Tous les États coopèrent dans toute la mesure du possible à la répression de la piraterie en haute mer ou en tout autre lieu ne relevant de la juridiction d'aucun État.

Article 101 : Propriété de la piraterie : on entend par piraterie l'un quelconque des actes suivants : tout acte illicite de violence ou de détention ou toute déprédation commis par l'équipage ou des passagers d'un navire ou d'un aéronef privé, agissant à des fins privées, et dirigé : contre un autre navire ou aéronef, ou contre des personnes ou des biens à leur bord, en haute mer, contre un navire ou aéronef, des personnes ou des biens, dans un lieu ne relevant de la juridiction d'aucun État ; tout acte de participation volontaire à l'utilisation d'un navire ou d'un aéronef, lorsque son auteur a connaissance de faits dont il découle que ce navire ou aéronef est un navire ou aéronef pirate ; tout acte ayant pour but d'inciter à commettre les actes définis aux lettres a) ou b), ou commis dans l'intention de les faciliter.

tout acte illicite de violence ou de détention ou toute déprédation commis par l'équipage ou des passagers d'un navire ou d'un aéronef privé, agissant à des fins privées, et dirigé : contre un autre navire ou aéronef, ou contre des personnes ou des biens à leur bord, en haute mer, contre un navire ou aéronef, des personnes ou des biens, dans un lieu ne relevant de la juridiction d'aucun État ;

contre un autre navire ou aéronef, ou contre des personnes ou des biens à leur bord, en haute mer,

contre un navire ou aéronef, des personnes ou des biens, dans un lieu ne relevant de la juridiction d'aucun État ;

tout acte de participation volontaire à l'utilisation d'un navire ou d'un aéronef, lorsque son auteur a connaissance de faits dont il découle que ce navire ou aéronef est un navire ou aéronef pirate ;

tout acte ayant pour but d'inciter à commettre les actes définis aux lettres a) ou b), ou commis dans l'intention de les faciliter.

La Résolution du Conseil de sécurité des Nations unies 1918, adoptée à l'unanimité en avril 2010, sur proposition de la Russie, demandait à tous les États d'« ériger la piraterie en infraction pénale dans leur droit interne, [d']envisager favorablement de poursuivre les personnes soupçonnées de piraterie qui ont été appréhendées au large des côtes somaliennes et de [les] incarcérer ». Une mesure déjà demandée par d'autres résolutions dont la 1846 de 2008. Une faible minorité d'États membres de l'Union Européenne sont en conformité avec cette demande.

Dans le droit français, la piraterie, définie comme « le fait de s'emparer ou de prendre le contrôle par violence ou menace de violence d'un aéronef, d'un navire ou de tout autre moyen de transport à bord desquels des personnes ont pris place, ainsi que d'une plate-forme fixe située sur le plateau continental », est punie de 20 ans de réclusion criminelle par l'article 224-6 du code pénal français. La loi pénale française est applicable aux infractions commises à bord des navires battant un pavillon français, ou à l'encontre de tels navires, en quelque lieu qu'ils se trouvent (article 113-3 du code pénal français). Par la loi n°2011-13 du 5 janvier 2011, la France a aggravé les sanctions applicables aux actes de piraterie, et fixé un cadre juridique spécifique autorisant la rétention à bord des navires des personnes soupçonnées de piraterie; la loi prévoit notamment que le contrôle de cette retenue est confié au juge des libertés et de la détention.

Pirates célèbres et légendaires

Anne Bonny, de son vrai nom Anne Cormac.

Maria Lindsey : elle pratiquait la piraterie au large de Terre-Neuve au cours du XVIII siècle.

Henry Morgan : boucanier richissime pour avoir pillé Puerto del Principe, Maracaibo, Gibraltar et Panama. Il devint Chevalier et Gouverneur de Port Royal par Charles II.

Amaro Pargo : un pirate de l'Âge d'or de la piraterie.

William Kidd : marin honnête, puis corsaire du Comte de Bellomont, et enfin pirate. Il fut pendu après avoir attaqué un navire anglais par accident. Son corps goudronné fut exposé à Tilbury Point, à l'estuaire de la Tamise. Son trésor est actuellement perdu.

L'Olonnois.

Ching Shih : elle est une célèbre pirate asiatique.

Alvilda : ancienne princesse scandinave devenue pirate.

Barbe Noire : de son vrai nom Edward Teach, est un pirate anglais qui a opéré dans les Antilles et sur la côte est des colonies britanniques en Amérique.

Henry Every : également connu sous le nom de John Avery, ce pirate est devenu célèbre pour s'être emparé des incroyables richesses du Gang-i-Sawai, un bateau du Moghol, de retour de La Mecque.

中文百科

18世纪的海盗凯力可·杰克使用的海盗旗

阿马罗·帕戈, 是一位著名的西班牙海盗。

海盗或称海贼,顾名思意就是海上的强盗。指在沿海或海上抢劫其他船只财产的人,是一门相当古老的犯罪行业。海盗大部分被世人认定为坏人,但也有部分的人认为海盗是维护国家主权的英雄。

历史

索马里海盗 自从人类开始利用船只运输以来,海盗便应运而生。特别是航海发达的16世纪后,只要是商业发达的沿海地带都有海盗,此犯罪行业独特的是,海盗者多非单独的犯罪者,往往是以犯罪团体的形式进行。 在世界上有相当多的典籍记载海盗的行迹。也因此有许多古老的字专称某一时期的海盗,例如中文中的倭寇,英文中的buccaneer,尤其指在17世纪与18世纪在西印度群岛掠夺西班牙船只的海盗。 在1691年至1723年期间,被称为30年的海盗“黄金时代”,成千上万的海盗活动在商业航线上,这个时代的结束以巴沙洛缪·罗伯茨的死为标志。 此外,许多政治人物暨探险家都出身于海盗家庭。例如郑成功、英国探险家法兰西斯·德瑞克和10世纪的丹麦国王哈拉尔德(Harald Gormsson)等。还存在一些成名的女海盗如安娜-波尼等。 清朝时,中国沿海地区有很多海盗,包括著名的张保仔,详细请参阅华南海盗一文。 现代著名的海盗民族是菲律宾摩洛人。在马来西亚一带的马六甲海峡是海盗出没最多的海域。近年索马里一带印度洋海域海盗猖獗,往来该处的船只经常遭到洗劫,部分国家例如美国、中国及新加坡更派遣军队对付。现代海盗的性质已经不同于过去,而且部分海盗更有科技化及集团化之特征。

案例

维京人(公元8至11世纪)

倭寇(公元13至16世纪)

华南海盗(公元1790年至1810年)

女真入侵日本

韩寇

巴巴里海盗

阿马罗·帕戈

英国海盗

索马里海盗

马六甲海盗

幽灵船、海怪、宝藏、海战

流行文化

海盗时常出现在文艺创作中,如金银岛、神鬼奇航、小飞侠、海贼王等。这些作品对海盗的描述大多承袭自先前的创作,而非真实世界的海盗。在西方的作品中常描述海盗让人走甲板、分宝藏、喝酒、戴着海盗帽、穿破衣服、随身带着枪或剑、独眼、带有特定的口音等等。在这类作品的大量的描写下,形成了模仿海盗风格的次文化,如海盗风格的变装派对、飞行意大利面怪物信仰、金属乐团Alestorm等等。在《我是海盗》这本绘本中,作者描述只要被海盗抓住,大部份的下场不是死亡就是沦为奴隶。日本动漫文化对海盗更是有强烈痴迷,许多动漫游戏都能看到浪漫美化的海盗身影。 许多球队使用「海盗」当作他们的称呼。

数据源

↑ 大国海盗

↑ 台北市立图书馆-我是海盗

法法词典

forban nom commun - masculin ( forbans )

  • 1. personne malhonnête et sans scrupules, prête à tout pour s'enrichir (péjoratif) Synonyme: escroc Synonyme: bandit

    un petit forban en blouson de cuir

  • 2. bandit des mers qui attaquait et pillait les navires de commerce pour son propre compte (vieilli) Synonyme: pirate

    un film de forbans

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