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nativité
时间: 2023-10-15 00:25:53
[nativite]

n.f. 耶稣、圣母以及某些圣徒诞生日 la nativité de la Vierge圣母马利亚诞生日 la Nativité, le jour de la Nativité圣诞节 On avait avancé de quelques jours l'exécution, pour ne pas tomber dans les fêtes de la Nativité (Yourcenar).为避免冲犯圣诞节,死刑已提前几天执行。(尤斯纳尔) an de la Nativité公元纪年

词典释义
n.f.
1. 耶稣、圣母以及某些圣徒诞生日
la nativité de la Vierge圣母马利亚诞生日
la Nativité, le jour de la Nativité圣诞节
On avait avancé de quelques jours l'exécution, pour ne pas tomber dans les fêtes de la Nativité (Yourcenar).为避免冲犯圣诞节,死刑已提前几天执行。(尤斯纳尔)
an de la Nativité公元纪年
2. 表现耶稣诞生的艺术品
Raphaël a peint plusieurs Nativités.拉斐尔创作了好几幅耶稣诞生图。
3. 诞生时日
nativité placée dans le signe des Gémeaux命合
4. 〈 生时天
5. 〈 〉诞生
C'est l'astre puissant et bénin qui a éclairé ma nativité (Bossuet).照耀我呱呱坠地的是那颗光亮而熙和的星体。(博絮埃)
6. 诞生日

近义、反义、派生词
近义词:
noël
联想词
Annonciation 榜文; crèche 马槽; fête 节,节日,节庆; résurrection 复活; célébration 庆祝; biblique 《圣经》的,有关《圣经》的; église 教会,教堂; Noël 圣诞节; Pentecôte 圣灵临节; représentation 表现,表达; chapelle 小教堂,礼拜堂;
当代法汉科技词典
n. f. 【宗教】(耶稣、圣母及某些圣徒的)诞生日; 耶酥诞生图, 耶稣诞生塑像
短语搭配

Raphaël a peint plusieurs Nativités.拉斐尔创作了好几幅耶稣诞生图。

la Nativité, le jour de la Nativité圣诞节

an de la Nativité公元纪年

la nativité de la Vierge圣母马利亚诞生日

C'est l'astre puissant et bénin qui a éclairé ma nativité (Bossuet).照耀我呱呱坠地的是那颗光亮而熙和的星体。(博絮埃)

nativité placée dans le signe des Gémeaux命合双子宫

On avait avancé de quelques jours l'exécution, pour ne pas tomber dans les fêtes de la Nativité (Yourcenar).为避免冲犯圣诞节,死刑已提前几天执行。(尤斯纳尔)

原声例句

Je me doubte que ne croyez asseurement ceste estrange nativité. Si ne le croyez, je

[Gargantua(巨人传)- François Rabelais]

例句库

Johnny Josef Thaljiye, 19 ans, a été abattu dans l'enceinte de l'Église de la Nativité à Bethléem.

的Johnny Josef Thaljiye在伯利恒的Nativity教堂院内遭到枪击。

法语百科

Représentation de la Nativité lors de la fête de Noël

Nativité d'Andreï Roublev

Le terme Nativité (avec une majuscule et sans précision supplémentaire) désigne principalement la naissance à Bethléem de Jésus de Nazareth. La date de cette naissance marque l'année origine du calendrier grégorien, qui fait aujourd'hui référence dans la majeure partie du monde. La Nativité est célébrée le 25 décembre par les catholiques et les protestants et correspond à l'acceptation chrétienne de la fête de Noël. Chez les catholiques, cette célébration a donné naissance à la tradition de la crèche de Noël.

Le terme peut également s'employer pour désigner la naissance de personnalités éminentes et saintes. Ainsi, l'usage a également consacré les termes de « Nativité de la Vierge Marie » (célébrée le 8 septembre) (voir l'article correspondant) pour désigner la naissance de sa mère, Marie, et celle de « Nativité de saint Jean-Baptiste » (célébrée le 24 juin) pour celle de saint Jean le Baptiste. Le mot avec majuscule désigne également une représentation de ces naissances : depuis le haut Moyen Âge, celles-ci, objet d'une fête liturgique, ont été le sujet de nombreuses représentations artistiques sous forme de peintures, sculptures ou vitraux.

Étymologie

Le mot nativité vient du latin nativitas qui signifie « naissance ».

Récit dans les religions monothéistes

Récits chrétiens

L'historien S. Mimouni souligne le fait que, aux I et II siècles, "les récits de Matthieu 1-2, et de Luc 1-2 ne devaient pas être reconnus comme authentiques par tous". De plus, comme à cette époque, "on ne savait rien de précis sur les origines de Jésus", cette lacune a rendu possible une grande "diversité dans la représentation de la conception et de la naissance de Jésus" dont les apocryphes chrétiens ont gardé la trace. Le même auteur souligne "l'extrême efflorescence dans la pensée chrétienne quant à l'origine de Jésus", "avant que l'orthodoxie ne vienne unifier ces traditions par la canonisation" des quatre évangiles du Nouveau Testament.

Nouveau testament

Selon l'évangile de saint Luc, Joseph accompagné de son épouse Marie, qui était sur le point d'accoucher, était venu à Bethléem afin de s'y faire recenser. N'ayant pas trouvé de place à l'auberge, ils s'installèrent dans une étable, dans laquelle Jésus serait né. Marie y plaça son bébé dans une crèche (mangeoire à bestiaux). La fête du Jour de la Nativité est fixé au jour de Noël.

« En ces jours-là, parut un édit de l'empereur Auguste, ordonnant de recenser toute la terre — ce premier recensement eut lieu lorsque Quirinius était gouverneur de Syrie. — Et chacun allait se faire inscrire dans sa ville d'origine. Joseph, lui aussi, quitta la ville de Nazareth en Galilée, pour monter en Judée, à la ville de David, appelée Bethléem, car il était de la maison et de la descendance de David. Il venait se faire inscrire avec Marie, son épouse, qui était enceinte. Or, pendant qu'ils étaient là, arrivèrent les jours où elle devait enfanter. Et elle mit au monde son fils premier-né ; elle l'emmaillota et le coucha dans une mangeoire, car il n'y avait pas de place pour eux dans la salle commune. »

— Évangile selon Luc 2,1-7

Selon l’évangile attribué à Matthieu, les Rois mages guidés par l'Étoile de Bethléem rendent visite à la Sainte Famille et adorent l’enfant à Bethléem.

« Jésus était né à Bethléhem en Judée, sous le règne du roi Hérode. Or, des mage venant de l'Orient arrivèrent à Jérusalem. Ils demandaient : où est le roi des Juifs qui vient de naître ? Nous avons vu se lever son étoile, et nous sommes venus lui rendre hommage. Quand le roi Hérode apprit la nouvelle, il en fut profondément troublé, et tout Jérusalem avec lui. Il convoqua tous les chefs des prêtres et les spécialistes de la Loi que comptait son peuple et il leur demanda où devait naître le Messie. A Bethléhem en Judée, lui répondirent-ils, car voici ce que le prophète a écrit : et toi, Bethléhem, village de Judée, tu n'es certes pas le plus insignifiant des chefs-lieux de Juda, car c'est de toi que sortira le chef qui, comme un berger, conduira Israël mon peuple. Là-dessus, Hérode fit appeler secrètement les mages et se fit préciser à quel moment l'étoile leur était apparue. »

— Évangile selon Matthieu 2,1-7

Apocryphes chrétiens

"D'un point de vue historique, écrit S. Mimouni, il convient de ne surtout pas considérer les récits canoniques comme supérieurs aux récits apocryphes. À l'époque de leur rédaction - vers la fin du I siècle et durant tout le II siècle - les uns et les autres avaient très certainement le même statut théologique. C'est pourquoi, même s'ils n'ont pas été retenus dans le Canon, les récits apocryphes doivent être considérés comme les témoins des représentations de la conception et de la naissance de Jésus qui avaient cours de leur temps.".

Des récits de la nativité de Jésus se trouvent notamment dans le Protévangile de Jacques (voir ci-dessous la section 2.3.), dans l'Ascension d'Isaïe (voir les différents récits de la conception de Jésus dans les écrits apocryphes), et dans l'Apocalypse d'Adam.

Récit coranique

Dans l'islam, soit 600 ans après la naissance de Jésus, Jésus est un prophète et est appelé Îsâ. Sa naissance est décrite dans la sourate 19, Maryam.

« Elle devint donc enceinte de l'enfant et se retira avec lui en un lieu éloigné. Puis, saisie par les douleurs de l'accouchement, elle s'adossa au tronc d'un palmier en s'écriant : « Plût à Dieu que je fusse morte et oubliée bien avant cet instant ! ». Une voix l'appela alors de dessous d'elle : « Ne t'afflige point ! Ton Seigneur a fait jaillir un ruisseau à tes pieds. Secoue vers toi le tronc du palmier, il en tombera sur toi des dattes mûres et succulentes. Mange, bois et réjouis-toi ! S'il t'arrive de voir quelqu'un, dis-lui : “ J'ai fait vœu d'un jeûne au Tout-Miséricordieux. Je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain.” ». Puis elle revint auprès des siens avec l'enfant dans ses bras. »

— Sourate 19 version de L’Alcoran (Traduction de Du Ryer), 22-27

Lieu

Maquette d'une maison israélite avec une étable au niveau de sa cour centrale sans toit, probable lieu de naissance de Jésus.

Hypothèses des historiens

S'il est communément admis que Jésus est un Juif galiléen dont la famille est originaire de Nazareth, le lieu de sa naissance n'est pas connu avec certitude et son historicité douteuse. Les récits des Évangiles de l'enfance relèvent surtout de théologoumènes (affirmations théologiques présentées dans les récits fictifs bibliques comme des faits historiques) de la part des auteurs bibliques qui ont plus une visée doctrinale qu'un souci historique.

La sage-femme (à gauche) et Salomé (droite) donnant le bain au nouveau-né.

Pour la ville natale de Jésus, les historiens hésitent entre le berceau familial de Nazareth, où il passera toute sa jeunesse, le village de Capharnaüm qui apparaît dans les évangiles comme le centre de sa mission, voire la bourgade de Chorazeïn. Le témoignage de Luc et Matthieu sur la ville natale de Bethléem en Judée est contesté car ces deux auteurs évangéliques l'ont probablement choisie pour des raisons théologiques, Bethléem étant la ville du roi David de la lignée duquel le Messie attendu par les juifs doit descendre, selon la prophétie de Michée.

Évangiles canoniques

D'après l'évangile selon saint Luc, Jésus est né dans une étable car ses parents n'ont pas trouvé un espace approprié dans la καταλυματι (kataluma, « salle haute, salle de séjour »), terme qui ne se traduit pas par « hôtellerie », « auberge » ou « relais de caravansérail » mais désigne plus probablement la chambre prévue pour les hôtes, ce qui suggère que la Sainte Famille logeait chez des proches. L'évangile utilise le terme grec φάτνῃ, « phatnê », traduit en latin dans la Vulgate par praesepium qui désigne l'étable à l'étage inférieur d'une maison israélite ou en plein air dans sa cour (une famille de condition moyenne y abritant la nuit un âne, une vache ou quelques moutons), mais aussi la stalle d'une étable, le râtelier ou la mangeoire selon le principe du « pars pro toto ». Marie a placé Jésus dans cet endroit probablement attenant à la kataluma sans que l'évangile précise s'il s'agit d'une auge de pierre surmontée d'un râtelier de bois destiné à porter le fourrage des bestiaux comme l'évoquent souvent les scènes de la Nativité. Tout au plus peut-on considérer que l'étable fournissait chaleur et discrétion nécessaires pour un accouchement alors que la chambre d'hôte était pleine ou trop petite. La mangeoire pour les animaux est désignée par le francique *krippia, le latin cripia, d'où est issu le mot « crèche » qui désigne spécifiquement à partir du XIII siècle la mangeoire dans laquelle le Christ a été déposé à sa naissance.

L’évangile selon saint Matthieu (Mt 2,11) raconte que les Rois mages adorent l’enfant à Bethléem même, dans une oikos (« maisonnée », domus de la Vulgate). La Légende dorée parvient à mêler tous ces éléments, évoquant le bœuf, unique tête de bétail de Joseph qu'il a emmené pour le vendre, l'âne servant de monture à la Vierge et juxtapose à six mots de distance, la domus de Matthieu et le praesepium de Luc.

Le récit de la crèche, de l'Annonce aux bergers, de l'Adoration des bergers et des mages ne doit pas faire l'objet d'une lecture littéraliste mais appartient au registre littéraire du merveilleux et à la théologie métaphorique. En effet, les récits de l'enfance de Jésus de Matthieu et Luc « posent de nombreux problèmes littéraires et historiques, tant leur écriture apparaît tardive, relevant plutôt du merveilleux à la manière des récits d'enfance du monde judéo-hellénistique. ». De plus, la triple mention de l'enfant « couché dans une crèche » (verset 7, 12 et 16) est un effet littéraire. Outre ce merveilleux, le symbolisme de la crèche ou de la grotte est un rappel du dépouillement et de l'humble cadre du lieu de naissance du Christ, reprenant le motif théologique de la kénose.

Évangiles apocryphes

Le thème légendaire de la naissance dans une grotte se développe au II siècle, dans le Dialogue avec Tryphon 78,5 de l'apologète et philosophe chrétien Justin de Naplouse, composé vers 160, et dans un évangile apocryphe, le Protévangile de Jacques, également composé au II siècle. Selon cette tradition fixée par écrit quelques décennies après la rédaction des évangiles canoniques, au cours du voyage de la Sainte famille de Nazareth à Bethléem, Marie enceinte descend de l'âne pour se reposer auprès d'un point d'eau, dans le village actuel de Bir-el Quadismu (nom arabe signifiant « puits du repos »). Elle n'a pas le temps d'atteindre Bethléem et se rend dans une grotte où Jésus apparaît miraculeusement. Les maisons à flanc de colline pouvaient en effet abriter une étable dans une grotte.

Dans Marie des apocryphes, Enrico Norelli souligne l'importance qu'ont prise dans l'imaginaire chrétien, au sein même de l'Église, des éléments contenus dans un évangile apocryphe comme le Protévangile de Jacques : « l'âge avancé de Joseph ; la virginité in partu [virginité de Marie pendant l'accouchement], absente des textes devenus canoniques mais clairement affirmée ici ; la naissance dans une grotte » ; « alors que d'un côté les autorités ecclésiales rejetaient fermement les apocryphes, de l'autre elles en prélevaient des éléments, passant sous silence leur origine ou les blanchissant via une nouvelle légitimation du récit ».

Un autre évangile apocryphe, l'Évangile du Pseudo-Matthieu du VIII siècle combine la version de la grotte et celle de la crèche : le voyage des parents est interrompu sur l'ordre d'un ange qui invite Marie à entrer dans une grotte où jaillit une lumière miraculeuse qui resplendit pendant tout son accouchement. Deux jours après la naissance, Marie quitte la grotte, entre dans une étable et dépose l'enfant dans une crèche, le bœuf et l'âne l'adorant. La tradition de l'association de ces deux animaux est probablement une influence intertextuelle des premiers commentateurs chrétiens comme Grégoire de Nysse et Léon le Grand qui rattachent la scène de la Nativité au Livre d'Ésaïe, interprétant le bœuf comme le peuple juif enchaîné par la Loi, et l'âne, bête de charge qui supporte le fardeau de l'idolâtrie, comme les Gentils. La Basilique de la Nativité de Bethléem est d'ailleurs construite au IV siècle au-dessus de plusieurs grottes.

Coran

Jésus ne naît pas dans une étable ou dans une grotte, mais sous un palmier, près d'une source. Selon Patricia Crone, ce récit coranique s'inspire du récit chrétien de la fuite en Égypte (où le palmier peut trouver sa place).

Date

Nativité, icône de Kastoria.

L'année de sa naissance n'est pas non plus connue précisément. Les dates retenues peuvent osciller entre 9 et 2 av. J.-C.. Les évangiles selon Matthieu et selon Luc la situent sous le règne d'Hérode I le Grand dont le long règne s'achève en 4 avant notre ère. L'estimation généralement retenue par les historiens actuels va de 7 à 5 avant notre ère.

La naissance de Jésus est célébrée par les chrétiens d'Orient et d'Occident le 25 décembre. Certaines Églises orthodoxes (celles de Jérusalem, de Russie, de Serbie et la République monastique du mont Athos) utilisent le calendrier julien : pour elles, le 25 décembre tombe actuellement le 7 janvier.

Aucun texte dans les évangiles ne précise la période de l’année où a eu lieu cet événement. C’est le pape Libère qui décide, en 354, que Noël sera fêté le 25 décembre et qui codifie les premières célébrations pour pouvoir assimiler les fêtes populaires et païennes, célébrées autour du solstice d'hiver. Cette nouvelle date est rapidement adoptée en Orient (un sermon de saint Jean Chrysostome l’atteste) et, depuis la fin du IV siècle, elle supplante la date antique du 6 janvier.

Seule l'Église apostolique arménienne a conservé l'usage ancien de fêter ensemble, le 6 janvier, à la fois la Nativité, l'Adoration des mages et le Baptême du Christ. Le 6 janvier, les Églises d'Orient fêtent aujourd'hui le baptême du Christ et les Occidentaux l'Adoration des mages, événements liés à l'avènement du Christ dans le monde.

La première Anno Domini est traditionnellement considérée comme l'année qui a suivi la Nativité, c'est la première année de l'ère chrétienne dans le calendrier grégorien. C'est la circoncision du Christ (fêtée le 1 janvier) qui marque le début de cette année.

Célébrations de l’événement

Sarcophage de Stilicon à Milan (IV siècle ap. J.-C.), une des plus anciennes représentations de la Nativité.

La christianisation de Noël sous l'empire romain a conduit à en faire la fête de la Nativité pour les chrétiens. C'est une des fêtes religieuses les plus importantes de l'année liturgique chrétienne. Chaque année, au début de l'Avent (1 à 4 semaines avant Noël), les familles catholiques installent dans leur maison une crèche qui représente la scène. La crèche est le plus souvent retirée en même temps que le sapin après l'Épiphanie début janvier, même si une tradition veut qu'elle demeure en place jusqu'à la Chandeleur. On trouve également une crèche dans chaque église à cette époque de l'année. Les pratiquants vont soit à la veillée de Noël suivie d'une messe de minuit le 24 décembre au soir, soit à la messe du jour de Noël le 25, soit participent aux deux. Dans les pays de tradition chrétienne se perpétuent depuis des siècles les chants de Noël, compositions populaires qui célèbrent la naissance de l'Enfant Jésus et les événements qui l'accompagnent (visite des bergers, des rois mages, etc.)

Représentations

Nativité par Charles Le Brun.

Les représentations populaires de la Nativité montrent Joseph et Marie penchés sur le berceau de Jésus, entourés d'animaux de ferme (le bœuf et l'âne). L'étable où ils auraient trouvé refuge est, selon l'inspiration des artistes, soit une grotte, soit une grange, voire une interprétation architecturale (Botticelli). Des bergers et leurs moutons arrivent, alertés par des anges.

Les deux plus anciennes représentations de la Nativité qui soient connues datent du IV siècle. La première consiste en une peinture murale ornant la chambre mortuaire d'une famille chrétienne ayant vécu aux environs de 380, découverte dans les catacombes de Saint-Sébastien à Rome. L'autre mention fait référence à une scène peinte sur un sarcophage de la Basilique Sainte-Marie-Madeleine de Saint-Maximin-la-Sainte-Baume représentant l'adoration de l'Enfant Jésus par les rois mages. Mais l'essentiel des représentations remonte en occident au Moyen Âge, tandis qu'en Orient les icônes ont très tôt représenté la Nativité. De très nombreux peintres y ont depuis trouvé leur inspiration.

中文百科
《耶稣降生》
《耶稣降生》

耶稣降生的事迹记载在《新约圣经》的《马太福音》和《路加福音》中,据信完成最早的《马可福音》没有记载相关情况。

马太福音和路加福音都记载耶稣是马利亚所生的儿子,当时马利亚已经与大卫家族的约瑟订婚,却奇迹般地由圣灵的能力怀孕,约瑟并非耶稣真正的父亲。天使向一群牧羊人宣告耶稣的降生,至少40天之后来自东方的三个占星术士也由于一个特别的星的引导前来祝贺。 福音书宣称耶稣的降生是以色列先知预言的应验。

在基督教的圣诞节庆典中,中心内容就是回忆、再现耶稣降生的场景,圣诞节的名称意味着基督徒相信拿撒勒的耶稣就是旧约圣经中应许要来的“基督”或弥赛亚。在罗马天主教和其他一些基督教团体中,圣诞节主要的宗教庆典就是教堂仪式午夜弥撒或圣诞节早晨的礼拜仪式,圣诞节确定在12月25日。在圣诞节前的40天内,东正教实行斋戒。

耶稣名字的含义

犹太人非常重视取名字,认为一个人的一生和他的名字有关。「耶稣」这名字在希伯来语的意思是“耶和华是救主”,因为「他要将自己的百姓从罪恶里救出来」(太 1:21)。在旧约里继摩西之后带领以色列百姓进入迦南的「约书亚」,还有他原来的名字「何西阿」,都是同样的意思(民 13:8,16);它们是希伯来文,耶稣则是希腊文。

耶稣的另一个名字是「以马内利」,意思就是「上帝与我们同在」(太 1:23)。这是旧约先知以赛亚在亚哈斯王面前提及犹大国要蒙拯救时说的一个预言,被马太福音的作者引用来应验耶稣的降生(赛7:1-17)。当世界充满危险罪恶时,上帝不是离去不管,而是差遣祂的独生子降生,表明祂愿意赦免人的罪,带给人希望和光明。

当先知以赛亚预言耶稣降生时,他还提到这个婴孩许多其他的名字:「他名称为奇妙策士、大能的神、永在的父、和平的君」(赛 9:6),这都是要表明耶稣一生所做奇妙的事工。

耶稣降生

有关耶稣降生的记载,四福音中马可福音略而不提,约翰福音只说耶稣道成肉身,住在我们中间,充充满满地有恩典有真理(约 1:14)。只有马太福音和路加福音有比较详细的记载。

耶稣基督的降生,早在几百年前就有先知预言:先知以赛亚说,将有童女怀孕生子,给他起名叫以马内利(赛 7:14、太 1:23);先知弥迦说,基督要降生在犹大地的伯利恒(弥 5:2、太 2:6);先知何西阿传达上帝的话,说:「我从埃及召出我的儿子来」(何 11:1、太 2:15);先知耶利米预言到有许多婴孩被杀,拉结(注 1)不肯受安慰(耶31:15、太 2:18)。这些事都在耶稣降生前后一一应验。

马太福音第二章记载大希律王想要杀婴孩耶稣的事情,应验耶里米书的预言。大希律是以土买人,亦即以东人,受罗马皇帝分封,管理犹太、撒马利亚、加利利等地。他娶了犹太哈斯摩年王室之后玛丽安娜成为他众多妻子中的一个,又为了讨好犹太人,任命其弟阿利多布作大祭司,但后来却因嫉妒而把阿利多布淹死。晚年的时候,希律由于猜忌多疑而成为一个疯狂的杀手,他不但杀了爱妻玛丽安娜,又杀了她许多亲戚,连他和玛丽安娜所生的两个儿子也不能幸免。临死之前,他又下令杀那将要继承他王位的儿子(注 2)。大希律一听到从东方来的占星术士说,伯利恒城中有一个犹太人的王降生,他和耶路撒冷全城的人就都不安,暗下决心要除去他为快。但是占星术士受到天使的警告,没有回复他,反而从别条路回家(太 2:12),他一气之下,就把伯利恒城四周围两岁以下的婴孩都杀光。犹太人对王有个期许,特别是他们期待「弥赛亚」(注 3)来到,带领他们挣脱异族统治。

马太福音记载另一种人,就是祭司长和文士,他们虽然懂律法,地位又崇高,连国王有疑惑时都要来请教他们(太 2:3-6),但是耶稣的降生似乎与他们无关。他们十分清楚基督要降生在伯利恒,但是上帝的天使却通知了城外守夜的牧羊人而不是这些饱学之士。

路加福音用另一个角度来描写耶稣的降生。马太福音是为犹太人写的,他写耶稣的家谱上溯到亚伯拉罕为止 (太 1:1- 17)。路加福音则为外邦人而写,写耶稣基督的家谱上溯到人类共同的始祖亚当(路 3:23-28)。路加福音强调耶稣的降生是为万民预备的(路2:10、30-32),他描述比较多个**件,像牧羊人、西面、女先知亚拿等看见婴孩耶稣欢喜的情形。

耶稣的母亲马利亚

耶稣的母亲马利亚被天使称为有福的女子,当她知道她被选中要以童女之身怀耶稣时,她第一个反应是:「我没有出嫁,怎么有这事呢?」(路 1:34)这是所有的人都会有的疑惑。天使对她说:「圣灵要临到你身上,至高者的能力要荫庇你,因此所要生的圣者必称为上帝的儿子。」(路 1:35) 天使并且引用马利亚的亲戚伊利莎白(注 4)年老怀孕为例来说明,上帝要成就的事,没有不可能的。天使一离开,马利亚就去拜访伊利莎白,她想,大概只有伊利莎白能够了解她此时的心情。果然,伊利莎白一看到马利亚,她所怀的胎就在腹里跳动。这件事在四福音中只有路加福音有这样的描述,路加是医生,能够注意到胎动这么细微的事。伊利莎白还证实了马利亚以及她所要怀之胎的身份,称马利亚所要生的为「主」(路 1:43)。

马利亚在耶稣的一生当中看到许多奇妙、不能理解的事情,她总是把这些事存在心里,反复思想(路 2:19、2:51)。她和约瑟所创建的家庭并不是十分富有,这可从他们把婴孩耶稣献上时,是用班鸠雏鸽,而不是献牛羊看得出来(路 2:22-24,对照利 12:8)。在圣殿中,虔诚的老西面谈论耶稣的将来,并告诉马利亚她将心如刀割。马利亚的谦卑与顺服的心,在她见伊利莎白时所唱的诗里表露无遗:「我心尊主为大;我灵以上帝我的救主为乐。」(路 1:46-47) 伊利莎白也曾赞赏她说,「这相信的女子是有福的!」(路 1:45) 难怪她会被选做耶稣肉身的母亲。除了耶稣之外,马利亚后来还生了不少儿女,有雅各、约西、西门、犹大等(太 13:55)(这是基督新教的观点,罗马天主教和东正教承认圣母玛利亚是始胎无染原罪的童贞圣母)

耶稣降生年代的争议

约翰福音 2:13-20 记载:耶稣开始出来工作后第一次上耶路撒冷过逾越节,那时大希律建殿已经 46 年。约瑟夫记载大希律于公元前20-19年开始建造圣殿,从公元前20年开始算起,第46年是公元27年,足见约翰福音 2:20所记载的是公元27年的逾越节发生的事,约在春天。

估计耶稣在约翰福音 2:13-20 记载:逾越节以前约半年,出来受洗,开始传道,这时约为公元26年底。犹太人的祭司或公会成员开始有资格出来工作的年龄是三十岁,所以推算公元26年时主耶稣三十岁,如此,耶稣就在公元前5降生。

历史背景

出生日期

新约马太福音和路加福音中都没有提到耶稣的出生日期。

地点

新约中仅有马太福音和路加福音记载了耶稣出生在伯利恒(马太福音 2:1, 路加福音 2:4)。根据路加福音记载,由于罗马皇帝要求进行户口普查,约瑟和马利亚来到祖先大卫的城伯利恒。路加福音还提到马利亚在一个马槽中生下了耶稣,因为客店里没有为着他们的地方(ἐν τῷ καταλύματι).” 希腊语καταλύματι可以翻译成“旅馆”或“客房”。一些学者推测约瑟和马利亚可能寻求在亲戚处而不是旅馆内住宿,但不料房屋已满,只得藏身在一个带有马槽的房间内。希腊文原文“κατάλυμα”传统上译为“旅馆”,但是希腊文原文这个词汇在另外两个场合(路加福音 22:11和 马可福音 14:14)用来描述耶稣和他的门徒吃逾越节晚餐的地点。 耶稣是否真正出生于伯利恒也存在争议。约翰福音就记载了耶路撒冷人认为耶稣来自于拿撒勒,与弥迦的预言不符,故对其弥赛亚的身份表示怀疑(约翰福音 7:40-43)。其他福音书,即使是记载了耶稣降生过程的马太福音和路加福音的其余部分,都反复将耶稣写为来自于加利利。现代学者也对两福音中降生记载的历史可靠性提出质疑,不仅包括其宣称的户口普查与历史记载的冲突,也包括两书在谱系、时间、出逃埃及等记载的不一致性。 东方三博士来访 耶稣降生 东方三博士

以马内利

天使向马利亚宣告耶稣降生
天使向马利亚宣告耶稣降生
法法词典

nativité nom commun - féminin ( nativités )

  • 1. religion : dans la religion chrétienne fête de la naissance (du Christ, de sa mère ou de Jean-Baptiste) [Remarque d'usage: la Nativité, avec majuscule, désigne la naissance du Christ]

    la nativité de la Vierge

  • 2. représentation du Christ nouveau-né en peinture ou en sculpture

    une nativité flamande

Nativité nom commun - féminin ; singulier

  • 1. religion : dans le christianisme fête religieuse chrétienne commémorant à Noël la naissance de Jésus-Christ

    la messe de la Nativité

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entente 相处,谅解

doublage n.m.1. 重复2. 【纺织】并条;并线, 并丝3. 【印刷】重复误排4. 加衬里 5. 以金属薄板包覆船底;包覆船底的金属板6. 【戏剧】演员的替代7. 【电】配音复制, 译制

renfort 增援,支援,增补

chlorotique a. 1. 〔医〕萎黄病的;萎黄病的 2. 〔植〕缺绿病的;缺绿病的 n. 萎黄病者