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taxinomie
时间: 2023-10-07 10:41:58
[taksinɔmi]

n. f 1分类学2物分类学

词典释义
n. f
1分类学
2物分类学
近义、反义、派生词
词:
classement,  classification,  typologie
联想词
classification 分类,分级; phylogénétique 系统发育; taxon 类群; nomenclature 术语,专业词汇,术语分类法; zoologie 动物学; biologie 动物物学, 植物物学; catégorisation 分类, 分门别类; terminologie 术语; épistémologie 认识论; espèce 种类,类别; botanique 植物学的,研究植物的;
当代法汉科技词典

taxinomie f. 分类学, 物分类学

例句库

On a fait remarquer qu'il était difficile d'établir la taxinomie des microzooplanctons, des zooplanctons benthiques et des phytoplanctons dans les zones de prospection.

有人指出,对结核勘探区的浮游微生物、深海浮游动物和小浮游动物进行的分类很成问题。

On a fait remarquer qu'une taxinomie commune (et exacte) dans les différents programmes sur le terrain était indispensable pour déterminer avec certitude les aires de répartition des espèces vivant dans les zones d'extraction de nodules potentielles et évaluer les risques d'extinction.

据指出,为了确定潜在结核开采区内的物种范围和评估其灭绝可能性,各实地方案必须要有共同(和准确)的分类方法。

Ce taxinomiste contrôlera la qualité de la taxinomie établie pour le groupe.

这个专家将负责所涉生物群内的分类质量控制。

On a cependant objecté, en réponse, que le projet de convention classait tous les documents de transport en fonction de leur caractère négociable ou non négociable et que le fait de se référer, par exemple, aux “connaissements”, ainsi qu'aux conséquences juridiques quelconques que cette appellation pouvait emporter en termes de la loi nationale, reviendrait à utiliser une taxinomie contraire à celle du projet.

不过,对此有与会者提出,决议草案是按照运输单证可转让还是不可转让来区分所有运输单证的,把单证说成是“提单”无论这一名称从国内法角度来说会产生什么样的法律后果,势必都将采用一种与公约草案所使用的分类方法相反的分类方法。

法语百科

La classification classique du vivant classe les êtres vivants selon une hiérarchie de groupes de plus en plus vastes.

La taxinomie, ou taxonomie, est une science, branche de la biologie, qui a pour objet de décrire les organismes vivants et de les regrouper en entités appelées taxons afin de les identifier puis les nommer et enfin les classer et de les reconnaitre via des clés de détermination dichotomiques. Elle complète la systématique qui est la science qui organise le classement des taxons et leurs relations. Parmi ces méthodes, les plus récentes incluent une nouvelle approche conceptuelle de la classification mais aussi des méthodes d'analyse d'éléments empiriques restés longtemps ignorés de la science avant l'arrivée, au cours de la seconde moitié du XX siècle, des découvertes de la biologie moléculaire.

La taxinomie s'étend maintenant à d'autres sciences, entre autres les sciences humaines et sociales, les sciences de l'information ou l'informatique.

Étymologie et usage du mot

Le mot taxinomie provient du grec τάξις (taxis) « placement », « classement », « ordre » et de νομός (nomos) qui signifie « loi », « règle »). Le terme fut créé en 1813, sous l'orthographe de taxonomie, par le botaniste suisse Augustin Pyrame de Candolle (1778-1841) dans sa Théorie élémentaire de la botanique ou exposition des principes de la classification naturelle et de l'art de décrire et d'étudier les végétaux, pour désigner dans sa « théorie des classifications » à la fois la méthode et ce qu'il a qualifié de « bases de la botanique philosophique » (Mémoires et souvenirs, Livre III, § 11).

Émile Littré, dans son Dictionnaire de la langue française (version 1872-1877) précisait que le mot « taxinomie » pouvait aussi être utilisé, formé sur l'étymon grec taxis (l'ordre). Le Grand dictionnaire terminologique confirme que taxinomie est recommandé par plusieurs auteurs considérant « taxonomie » comme « un calque de l'anglais taxonomy ». Cependant, la plupart des dictionnaires anglais affirment que le mot taxonomy dérive du français, et, pour le TLFI, l'anglais taxonomy est apparu en 1828 dans Webster's.

Le terme de taxinomie ne dérive pas du mot taxon, ce dernier étant un concept apparu bien plus récemment (mot créé par le botaniste Herman Johannes Lam en 1948). Ainsi, la taxinomie n'est pas, étymologiquement, l'étude des taxons mais bien les lois sur l'ordre, donc les règles de la classification. Cependant, le mot taxinomie est aussi et très souvent utilisé pour nommer la science de la description des taxons. Même les auteurs pronant l'usage du terme "taxinomie" ne parlent pas de taxins. Notez également que les autres langues utilisent des termes similaires à "taxonomie", pas "taxinomie". Ainsi, on écrit "taxonomie" en Allemand, "taxonomy" en Anglais, "taxonom ia" en Espagnol (Castillan), Portugais et en Catalan, "tassonomia" en Italien, etc.

Le terme est devenu d’usage courant au XXIe siècle, soit dans la graphie originale, taxonomie, même si celle-ci est étymologiquement contestée, soit sous la graphie corrigée par Émile Littré, taxinomie avec un « i ». La première de ces graphies reste néanmoins d'usage majoritaire parmi les spécialistes de la discipline.

Différences entre taxinomie et systématique

Dans la plupart des disciplines de la biologie, le terme taxinomie est inséparable de celui de systématique, science qui a pour objet de dénombrer et de classer les taxons dans un certain ordre, basé sur des principes divers.

Dans la pratique, le terme « systématique » désigne aussi bien la méthode utilisée (on dira par exemple la « systématique phylogénétique ») que le résultat obtenu avec cette méthode (la « systématique des Agaricales »). Dans le sens concret de résultat, les deux sciences sont peu distinctes et souvent confondues, car pratiquées simultanément par les mêmes personnes. Les taxinomistes ont de tout temps été nommés systématiciens, car après avoir étudié et décrit des organismes, ils ont tout naturellement essayé de les classer à partir du bas niveau des espèces (alpha taxonomy ou « taxinomie primaire »).

Ceux qui utilisent surtout le sens de méthode, les phylogénéticiens notamment, nomment souvent le résultat classification ou encore « taxinomie ».

Historique et évolution des modèles

Avant Linné

La première classification des végétaux est généralement attribuée à Théophraste à la fin du IV siècle av. J.-C., même si son Histoire des plantes reprend en partie des théories de l'École pythagoricienne. Le premier classificateur connu des animaux fut Aristote, dans le traité Histoire des animaux.

Carl von Linné

Le naturaliste suédois Carl von Linné (1707-1778) posa les fondations de la systématique, et fut l'auteur d'une classification dont les grands principes furent la base de la systématique scientifique jusqu'au milieu du XX siècle.

Augustin de Candolle

Bien que, comme la méthode de Jussieu, elle utilise les binoms linnéens (on dit aussi binôme en Botanique, le Code de Nomenclature zoologique, 4e édition, 1999, corrige bien en "binom", traduction de "binomen" et non "binomial") et préconise la « méthode naturelle » opposée au « système artificiel » de Carl von Linné, la taxinomie proposée par de Candolle s'en écarte par l'importance donnée aux coupures. Alors que pour Linné et Jussieu, la nature « ne fait pas de saut », Candolle insiste sur les discontinuités qui sont à la base de la notion de taxon, à la fois entité et coupure.

La révolution darwinienne

Dans la systématique classique (parfois dite « linnéenne »), l'ordre hiérarchique interne des taxons était fondé à l'origine sur des critères de ressemblance « morphologique » et d'affinités supposées. Bien que fortement anthropocentrique et reflétant des causes de la diversité des êtres vivants (création divine) telles qu’on les pensait voici 250 ans, elle fait encore, en ce début du XXI siècle, partie du bagage culturel commun de tous les naturalistes. Mais par la suite, au fur et à mesure de l'avancée des connaissances, notamment à partir des travaux de Jean-Baptiste de Lamarck et Charles Darwin, cet ordre a rapidement eu l'ambition de donner par surcroît une image de l'évolution. L’anthropocentrisme fut battu en brèche avec Charles Darwin qui recommande en 1859 une classification purement généalogique. S’il y a eu évolution, les espèces doivent être classées selon leur degré d’apparentement évolutif. Mais il faudra attendre près d’un siècle pour que nous y arrivions vraiment, et d'abord pour que nous acceptions la généalogie comme inaccessible (qui descend de qui ?) pour mieux nous concentrer sur la phylogénie (qui est plus proche de qui ?).

Développements modernes

Dans la deuxième moitié du XX siècle, la systématique dite phylogénétique s'est développée à partir d'une méthode de reconstruction qui a connu un développement foudroyant : la cladistique, initiée par Willi Hennig en 1950. Cette méthode est fondée globalement sur des relations évolutives pour laquelle le critère fondamental du choix de la classification est qu'elle doit refléter strictement la phylogénie, c'est-à-dire les degrés d’apparentement entre espèces. La notion même d'une telle phylogénie est une conséquence de la théorie de l'évolution, et le succès prédictif des arbres phylogénétiques une des preuves de cette théorie.

D'importants progrès en génomique ont été permis par l'analyse génétique automatique et le développement des outils et modèles informatiques. Ils imposent et permettent la redéfinition de certaines espèces ou groupes d'espèces et permettraient une meilleure connaissance et suivi des espèces.

Principes communs et différences

Toutes les classifications actuelles se présentent sous la forme d'un arbre (classement arborescent), depuis une racine incluant tous les êtres vivants existants ou ayant existé, jusqu'aux individus. Chaque nœud de l'arbre définit un taxon, qui groupe tous les sous-taxons qu'engendre le nœud.

La notion d'espèce

Un concept important de classification, assez stable, est celui d'espèce. Ce groupement est relativement bien défini, du moins pour les espèces à reproduction.

L'espèce se définit comme une communauté d'êtres vivants interféconds (ou interfertiles, capables de se reproduire entre eux), pouvant échanger du matériel génétique et produisant des descendants eux-mêmes féconds (en effet, certains individus du même genre mais appartenant à des espèces différentes peuvent se croiser pour donner un individu hybride, mais celui-ci est le plus souvent stérile). Dans le cas de la multiplication strictement asexuée, on parle abusivement d'espèces à la place de lignée, le groupement étant alors purement phylogénétique. Le cas des entités à la limite du vivant (virus, prions) est encore différent ; elles sont en général exclues des classifications. Une autre difficulté à citer est celle des symbioses strictes, comme les lichens (qui combinent un organisme de nature fongique, et un organisme capable de photosynthèse, de nature végétale), mais en général, un des deux partenaires est capable de vivre sans s'associer à l'autre, et l'on peut les classer dans deux espèces distinctes, avec comme caractéristique d'une des deux espèces de ne pouvoir survivre sans l'autre.

Emploi du binom latin

Les espèces sont nommées selon le système binominal mis en place par Carl von Linné. Le nom scientifique d'une espèce est la combinaison de deux mots latins ou considérés comme étant du latin (jusqu'à trois dans certaines disciplines, pour une sous-espèce, variété ou forme) généralement écrits en italique : un nom de genre, suivi d'une ou deux épithètes spécifiques.

Au-dessous du rang de genre, tous les noms de taxons sont appelés combinaisons. On distingue plusieurs catégories de combinaisons :

Entre genre et espèce (sous-genre, section, sous-section, série, sous-série, etc.), les combinaisons sont infragénériques et binominales: nom de genre, puis après indication du rang, une épithète infragénérique, par exemple le cèpe appartient à la section « Boletus sect. Edulis » ;

Au rang d'espèce, les combinaisons sont spécifiques et binominales ;

Au-dessous de l'espèce, les combinaisons sont infraspécifiques et trinominales.

Approche phylogénétique

L'approche phylogénétique actuelle fait appel aux données de la cladistique, mais ses exigences se résument à n'accepter que des taxons monophylétiques, c'est-à-dire correspondant à un clade donné. Elle demande que les taxons soient limités à ceux qui respectent les deux conditions suivantes :

tous les individus du taxon descendent d'un individu ancestral particulier ;

tous les descendants de cet ancêtre particulier sont dans le taxon.

On parle alors seulement de taxon monophylétique ou clade. Cette contrainte a amené des modifications fondamentales de la classification scientifique, certaines renversant le « sens commun » modelé par l'héritage culturel. Ainsi les dinosaures n'ont pas disparu, la systématique moderne incluant les oiseaux dans le groupement « dinosaures ».

Parmi d'autres exemples, les taxons traditionnels comme reptiles, poissons, algues, dicotylédones, pongidés, n'ont pas droit de cité en systématique phylogénétique, car considérés polyphylétiques (origines multiples) ou paraphylétiques (incomplets) (dicotylédones a été remplacé par dicotylédones vraies). D'autres ont survécu avec quelques séquelles, comme champignons. Enfin, certains ont surmonté la tempête, comme animal (métazoaires) ou mammifères. Remarquons qu'il n'y avait rien d'évident à ce que tous les animaux multicellulaires partagent un ancêtre commun qui les sépare de tout végétal ou champignon.

À part cela, sa structure reste fondamentalement de type linnéen et sa nomenclature (c'est-à-dire les dénominations elles-mêmes) également.

Il y a plusieurs approches techniques pour élaborer les arbres phylogénétiques.

L'approche cladistique cherche en particulier à déterminer les caractères propres à une branche, qui « signent » un apparentement.

L'approche phénétique, une classification basée uniquement sur des mesures de distance entre taxons (évaluées par exemple en comptant les différences de séquences d'ADN) sans chercher à faire une interprétation phylogénétique.

L’approche probabiliste qui construit des arbres phylogénétiques en utilisant des modèles d’évolution des caractères (le plus souvent moléculaires, mais pas obligatoirement).

Selon les publications, on trouve à ce jour des classifications de tout type, depuis la classification traditionnelle à peine remaniée, jusqu'aux classifications strictement phylogénétiques en passant par différents mélanges, par exemple gardant les catégories, mais s'alignant sur les découvertes récentes en matière de phylogénie.

Évolution des pratiques

Les progrès de la génétique et de la bioinformatique permettent de faire également progresser la taxinomie, ce qui se traduit aussi par de fréquentes révisions et mises à jour, qui s'inscrit parfois dans des modes alternatifs de publication scientifique, plus coopératifs et réactifs.
De plus, l'étude de la biodiversité bactérienne, ou des espèces du sol ou des océans, est complexe et nécessite - outre de nouveaux moyens - une collaboration entre de nombreux spécialistes répartis dans le monde entier.

Les naturalistes ont développé des outils de travail collaboratif et de partage avec par exemple Tela botanica (pour les botanistes) et plus récemment l'European Journal of Taxonomy (EJT ). C'est une revue scientifique internationale de taxinomie descriptive, soutenue par un Consortium EJT (de musées d’histoire naturelle et d'un jardin botanique), publiée en anglais, en format électronique, en licence Open Access, en licence Creative Commons (3.0), c'est-à-dire en accès libre, à publication gratuite et consultation gratuite. Elle traite des domaines de la zoologie, entomologie, botanique et paléontologie. Les articles sont des travaux originaux, devant répondre à des critères de haute qualité en termes de contenu scientifique et de forme (style, illustrations, etc.). La revue est européenne, mais les sujets peuvent concerner toutes les espèces, quel que soit leur pays d'origine. Les révisions taxinomiques, monographies et articles thématiques ou d'opinion pourront ainsi être mieux et plus rapidement partagés.

中文百科

生物分类学通常直接称分类学(英语:taxonomy),是一门研究生物类群间的异同以及异同程度,阐明生物间的亲缘关系、进化过程和发展规律的科学。要将生物分类,首先要知道生物与非生物的定义,但是我们似乎没有办法准确定义,以病毒来说,虽然可在其他生物体内寄生并复制,但在生物体外却没有一般生物的特征如制造或摄取营养,生殖等现象。又如引起疯牛病的朊粒(prion)可以造成感染却无DNA成分,一直以来,DNA被视为生命遗传物质,经由与RNA的转录转译过程,形成蛋白质,再进一步形成组成细胞的各个部分,如细胞膜、胞器等,而细胞则是我们长久以来所认为组成生命体的最小单位。

这种分类应该反映不同生物体间的进化树关系。分类学把生物划分为不同的群,而系统学试图寻找生物之间的关系。占主导地位的分类法是林奈氏分类系统(Linnaean),它包括一个属名和种加词。

生物命名规范

关于如何为生物命名的原则有很多国际协议,例如《国际植物命名法规》(International Code of Botanical Nomenclature,简称ICBN)、《国际动物命名法规》(International Code of Zoological Nomenclature,简称ICZN)以及《国际细菌命名法规》(International Code of Nomenclature of Bacteria,简称ICNB)。第四版的生物命名法规(BioCode)草案在1997年出版,它试图在三个领域标准化命名,但现在还没有被正式采纳。《国际病毒命名和分类法规》(International Code of Virus Classification and Nomenclature,简称ICVCN)是不属于生物命名法规的。

生物分界

原核生物界 -- 原生生物界 -- 真菌界 -- 植物界 -- 动物界

菌界(细菌和蓝藻) -- 原生生物界 -- 植物界 -- 动物界

古菌域 -- 细菌域 -- 真核域

病毒 -- 类病毒 -- 朊病毒

分类表

古菌分类表

细菌分类表

植物分类表 (NCBI)

动物分类表

真菌分类表

原生生物分类表

古菌域

包含嗜盐菌、一些超嗜热菌、嗜酸菌等。

细菌域

包含放线菌、衣原体、支原体、立克次体等。

真核生物域

等辐骨虫纲(Acantharea),如等棘虫。

放射虫纲

双滴虫类(Diplomonadida),如曲滴虫、贾第虫。

Parabasalidea 毛滴虫纲(Trichomonada) 超鞭毛纲(Hypermastigia)

毛滴虫纲(Trichomonada)

超鞭毛纲(Hypermastigia)

异叶足纲(Heterolobosea),如集胞菌。

眼虫门 动质体目(Kinetoplastida) 眼虫纲

动质体目(Kinetoplastida)

眼虫纲

隐藻纲(Cryptophyta)

定鞭藻纲(Haptophyceae),如球石藻、等鞭金藻、棕囊藻。

不等鞭毛类,除下列分类还包括辐球虫、蛙片虫等。 金藻纲 硅鞭藻纲(Dictyochophyceae) 针胞藻纲(Raphidophyceae) 前毛壶菌纲(Hyphochytriomycetes) 卵菌纲 褐藻门,如海带、巨藻、马尾藻、墨角藻。 硅藻门 黄藻门

金藻纲

硅鞭藻纲(Dictyochophyceae)

针胞藻纲(Raphidophyceae)

前毛壶菌纲(Hyphochytriomycetes)

卵菌纲

褐藻门,如海带、巨藻、马尾藻、墨角藻。

硅藻门

黄藻门

囊泡虫类 顶复门,如疟原虫。 纤毛虫类,如喇叭虫、中缢虫、榴弹虫、草履虫、四膜虫。 甲藻门

顶复门,如疟原虫。

纤毛虫类,如喇叭虫、中缢虫、榴弹虫、草履虫、四膜虫。

甲藻门

单孢子虫门(Haplosporidia)

丝足虫类

根肿菌类(Plasmodiophorida)

粒网足虫类(Granuloreticulosea),如有孔虫。

叶足纲(Lobosea),如变形虫(阿米巴)。

黏菌门

灰胞藻纲(Glaucocystophyceae)

红藻门,如石花菜、紫菜。

法法词典

taxinomie nom commun - féminin ( taxinomies ) S'écrit aussi: taxonomie

  • 1. sciences regroupement méthodique et hiérarchique (d'éléments) [Remarque d'usage: originellement réservé aux sciences de la vie, ce terme se rencontre à présent également dans d'autres champs] Synonyme: classification

    une taxinomie des vertébrés

  • 2. philosophie : en philosophie des sciences discipline ayant pour objet la théorie de la classification

    la problématique de la taxinomie

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