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词典释义:
géodynamique
时间: 2023-09-15 15:46:21
[ʒeodinamik]

a. , n. f 球动力学(的)

词典释义
a. , n. f
球动力学(的)
近义、反义、派生词
近义词:
dynamique,  dynamique globale,  géologie dynamique,  géologie
联想词
tectonique 构造质学,大构造学; géologique 质学的,质的; géologie 质学; topographie 形学; volcanique 火山的; structurale 结构; géologue 质学者,质学家; géographie 理学; astrophysique 天体物理; topographique 形学的; géopolitique 治学, 治学;
当代法汉科技词典

géodynamique adj. . f 球动力学[的]

短语搭配

Satellite de géodynamique à laser激光地球动力卫星

Satellite expérimental de géodynamique des océans地球动力实验海洋卫星

système de télémétrie géodynamique par laser地球动力激光测距系统

例句库

Le traitement des données observées permettra, en plus de fournir une base géodésique fondamentale pour le projet, d'en incorporer les résultats aux bases de données susceptibles de détecter des éventuels mouvements géodynamiques.

通过处理观测数据,不仅将为项目提供基本大地测量基准,而且将把处理结果纳入数据库,从而可以发现可能发生的地球动力运动。

Afin de comprendre les processus tectoniques et géodynamiques qui se produisent dans l'océan Indien, le mouvement interplaques et la déformation de l'écorce terrestre entre l'Inde et l'Antarctique ont été étudiés.

研究了南亚次大陆与南极洲之间的板块运动和地壳变形,以便了解印度洋发生的大地构造和地体运动进程。

L'Observatoire de géodynamique fondamentale de l'Université de Lettonie fait partie de deux réseaux de technologie spatiale: le réseau mondial de l'ILRS et le réseau du Système mondial de localisation du Référentiel européen de l'Association internationale de géodésie.

拉脱维亚大学基础地球动力学观测所是两个空间技术网络的成员,即全球国际激光测距服务网和国际测地学协会欧洲参考框架小组委员会全球定位系统(GPS)网。

Le Programme intégré de forages océaniques est un programme de recherches marines international sur les milieux du sous-sol marin, qui étudie la biosphère des profondeurs, les changements environnementaux, les processus et les effets, les cycles de la croûte terrestre et la géodynamique.

综合大洋钻探计划是一项国际海洋研究计划,目的是通过研究深海生物圈、环境变化、过程和影响及硬土周期和地球动力学来调查海底次表层环境。

Les effets des mouvements tectoniques dans un secteur de la zone géodynamique de Santiago de Cuba ont pu être analysés grâce à des techniques faisant appel au Système mondial de localisation (GPS).

利用全球定位系统技术研究了古巴圣地亚哥地球动力区一部分地区的结构活动情况。

Les centres d'astronautique et de géodésie et géodynamique poursuivent leurs recherches avec succès.

宇航学中心和大地测量学和地球力学中心的科研工作继续顺利进行。

Y ont également participé des représentants des organisations intergouvernementales, internationales et nationales suivantes: Institut central autrichien de météorologie et de géodynamique, Institut international d'analyse appliquée des systèmes, Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), Année Internationale de la Planète Terre, Commission européenne, Organisation européenne pour l'exploitation de satellites météorologiques (EUMETSAT), ESA, NASA, Service géologique des États-Unis, OMM et Bureau des affaires spatiales.

以下政府间组织、国际组织和国家组织也派代表参加了会议:奥地利中央气象和地球动力研究所、国际应用系统分析研究所、政府间气候变化专门委员会、国际行星地球年、欧洲联盟委员会、欧洲气象卫星利用组织、欧空局、美国国家航空和宇宙航行局、美国地质调查局、世界气象组织和外层空间事务处。

La station de positionnement par satellite (GPS) (station SCUB) située à l'observatoire géodynamique du Centre national de recherches sismologiques à Santiago de Cuba a été reclassée station de référence du Service international du Système GPS pour la géodynamique participant à la réalisation pratique de l'ITRF (repère international de référence terrestre), ce qui signifie que l'un des points qui définissent le système de base des coordonnées terrestres se trouve désormais sur le territoire cubain.

位于古巴圣地亚哥的国家地震研究中心(CENAIS)地球动力学观察站的全球定位系统 (GPS) 站 (SCUB站)被重新划归为一个IGS 参考站,参加目前建立国际地球参考框架 (ITRF)的工作,这意味着确定基本的陆地坐标系的站点之一如今位于古巴境内。

Cette station est très importante pour les études géodynamiques et géodésiques dans le pays et le fonctionnement en continu de la station SCUB a permis de déterminer la vitesse et la direction du mouvement de la plaque nord-américaine dans la région de Santiago de Cuba et d'observer les fluctuations de la composante nord-sud du mouvement qui sont liées à l'activité sismique dans les zones proches.

该站点对于国内的地球动力学和测地学非常重要,通过SCUB站的持续运作,已经可以在古巴圣地亚哥地区确定北美板块移动的速度和方向,并且观察与邻近地区地震活动有关的该运动的南北构成中的波动。

L'AFREF, qui repose sur les techniques actuelles de localisation par satellite, est l'infrastructure géodésique pour des projets multinationaux qui ont besoin d'un géocodage précis (par exemple, localisation tridimensionnelle et localisation dans l'espace et dans le temps, géodynamique, données précises de navigation et géo-information).

非洲大地参照框架以现有卫星定位技术为依据,是多国项目的大地测量基础设施,需要有准确的地理参数(例如,三维定位和循时定位、地球动力学、准确无误的导航信息和地理信息)。

Le cadre de référence s'appuiera sur les techniques actuelles de localisation par satellite et assurera l'infrastructure géodésique pour des projets multinationaux qui ont besoin d'un géocodage précis (par exemple, localisation dans l'espace et dans le temps, géodynamique, données précises de navigation et géo-information).

该参照框架项目将以现有的卫星定位技术为基础,并将为要求精确地理参照(如三维和时间定位、地球动力学、精确的导航和地理信息)的多国项目提供大地测量基础设施。

法语百科
Chute de météorite - Meteor crater – Coon Butte (Arizona) – d ~ 1 200 m – p ~ 150 m – ~ 25 000 B.P
Chute de météorite - Meteor crater – Coon Butte (Arizona) – d ~ 1 200 m – p ~ 150 m – ~ 25 000 B.P
Éruption de l’Eyjafjallajökull (Islande) – 29/03/2010
Éruption de l’Eyjafjallajökull (Islande) – 29/03/2010
Sismisité de la Turquie NW ; séisme d’Izmit - 11/12/1999
Sismisité de la Turquie NW ; séisme d’Izmit - 11/12/1999
Mouvements de terrain en montagne - écroulement de versant, lave torrentielle, cône de déjection… - Morignone - Alta Valtellina (Sandrio - Lombardie) - (28/07/1987)
Mouvements de terrain en montagne - écroulement de versant, lave torrentielle, cône de déjection… - Morignone - Alta Valtellina (Sandrio - Lombardie) - (28/07/1987)

La géodynamique étudie, décrit et explique l’évolution du système terrestre ; à partir d’observations de terrain synthétisées par des modèles types de comportements, elle caractérise et étudie les phénomènes naturels qui ont affecté le géomatériau et qui l’affectent encore. Elle est interne pour ce qui se passe en profondeur et externe pour ce qui se passe en surface ; les phénomènes internes sont ceux qui produisent les reliefs ; les phénomènes externes sont ceux qui les détruisent.

En nombre limité, les phénomènes géodynamiques sont globaux et permanents ; leurs événements sont innombrables, mais les endroits où ils se produisent et les circonstances de leur production sont spécifiques : en profondeur comme en surface, il ne se passe pas n’importe quoi, n’importe où, n’importe comment, n’importe quand.

Le système terrestre

Le système terrestre est d’une part un petit élément du système solaire qui lui impose sa structure et son comportement propres, et d’autre part un ensemble particulièrement complexe, structuré en continents, inlandsis, océan et atmosphère qui ont des comportements spécifiques, tout en interagissant d’innombrables façons à d’innombrables niveaux. Depuis l’origine, des reliefs se créent et se détruisent incessamment à la surface du globe ; l’eau s’évapore de l’océan pour tomber sur les continents et retourner à l’océan par les fleuves ; à un endroit donné, le temps varie plus ou moins d’un jour à l’autre : système dynamique instable, le système terrestre évolue sans cesse sous l’action d’innombrables phénomènes naturels dont les phénomènes géodynamiques font partie.

Le cycle géologique

Les phénomènes géodynamiques sont les manifestations observables du comportement du système terrestre ; depuis toujours, la surface terrestre est le siège ou l’élément d’actions gravitaires, électromagnétiques, radioactives... dont les effets sont de plus ou moins la modifier sans cesse à toutes les échelles d’espace et de temps : depuis la nuit des temps, des reliefs se créent et se détruisent à sa surface par les effets cumulés de chutes de météorites, d’éruptions volcaniques, de séismes, de mouvements de terrain, de cyclones, de crues, de tsunamis... qui sont des événements intempestifs mais normaux de phénomènes géodynamiques pérennes.

L’enchaînement de phénomènes internes d’orogenèse/surrection et de phénomènes externes d’érosion/sédimentation/diagenèse constitue un cycle géologique dont la durée se mesure en dizaines voire centaines de millions d’années. Les nombreux cycles qui se sont succédé depuis l’origine n’ont pas eu la même durée ni la même histoire, mais incessamment, au cours de chaque cycle des reliefs ont surgi à la surface du globe, puis ont été érodés jusqu’à être aplanis.

Un cycle géologique est une suite fluctuante de phases semblables de durée variable au cours desquelles se produisent irrégulièrement des événements plus ou moins analogues, surrections, érosions…, qui modifient l’état de la Terre, toujours différent à la fin d’un cycle de ce qu’il était au début. Pas strictement distinctes et enchaînées, les phases d’un même cycle se recouvrent en partie : le relief commence à être éroder avant que sa surrection soit terminée et le cycle suivant débute avant que le précédent soit achevé. Nous assistons à l’achèvement de la surrection des Alpes et au début de leur érosion, première phase du cycle en cours.

 Tectonique des plaques : carte des limites de plaques et de l’activité orogénique actuelle.
Tectonique des plaques : carte des limites de plaques et de l’activité orogénique actuelle.

Au cours d’un cycle, des collisions de plaques et le volcanisme créent des montagnes que l’air et de l’eau éventuellement glacée vont immédiatement grignoter : la partie superficielle d’un massif rocheux s’altère, des débris s’en détachent et sont transportés sur ses pentes jusqu’à atteindre un replat où ils sédimentent et se compactent. Ce jeu inéluctable se poursuit en principe jusqu’à la disparition quasi totale du massif et de l’ensemble montagneux auquel il appartient ; il est permanent à l’échelle du temps géologique.

En fait, la Terre bouge sans cesse ; la « dérive des continents » schématisée par la tectonique des plaques, est un phénomène géodynamique comme un autre : ses périodes paroxystiques correspondent aux phases orogéniques durant lesquelles la surrection est plus forte que l’érosion ; de courtes durées à l’échelle du temps géologique, elles sont séparées par de longues périodes de stase apparente durant lesquelles l’érosion est plus forte que la surrection ; mais les phases de stases ne sont pas plus monotones que celles de surrection.

Les phénomènes géodynamiques

Pratiquement tous les phénomènes géodynamiques sont connus, bien caractérisés, documentés et étudiés : leurs cours sur lesquels on ne peut pas agir efficacement, sont compliqués mais intelligibles ; plus ou moins fréquents, plus ou moins violents, leurs événements analogues sont spécifiques, localisées et rapides, parfois presque instantanés, plus ou moins efficients, possibles mais non certains à un endroit donné, à un moment donné ; ils paraissent ainsi aléatoires voire imprévisibles, mais s’ils sont effectivement particuliers et contingents, ils sont aussi explicables ; généralement irrépressibles, ce ne sont pas des anomalies mais des péripéties courtes et rapides parmi d’autres dont on ne peut pas empêcher la réalisation.

Certains événements naturels comme une éruption volcanique, un écroulement de falaise… ou d’autres involontairement provoqués comme l’écroulement d’un talus de déblai, un tassement d’ouvrage… sont observables, mais peu le sont directement, au moment où ils se produisent ; on les caractérise plutôt indirectement en observant leurs effets, en étudiant l’état résultant du site affecté dont la stabilité qui semble à nouveau acquise n’est qu’apparente.

À l’échelle de temps de la Terre, le cours d’un phénomène géodynamique paraît continu et plus ou moins monotone, mais il ne l’est pas à l’échelle du temps humain, car la plupart du temps, on observe une tendance moyenne plus ou moins proche de la stase, et de loin en loin, incidemment, quelques événements spécifiques et contingents de très courte durée, à partir d’un certain seuil d’intensité qui dépend à la fois de la nature du phénomène considéré et de nos sens ou de nos instruments ; la tendance ne renseigne donc pas sur l’éventualité de leur manifestation. La fonction intensité/temps de n’importe quel phénomène est continue, mais à n’importe quelle échelle de durée, elle est apparemment désordonnée voire chaotique, avec successivement des tendances à la hausse, à la baisse ou à la stabilité durant des périodes plus ou moins longues et plus ou moins espacées, avec des minimums et des maximums relatifs plus ou moins individualisés et parfois des paroxysmes ; même à très court terme, on ne peut discerner au mieux que des tendances d’évolution et parfois des renversements de tendances ; au départ, ces renversements ne sont jamais très caractéristiques ; par la suite, ils peuvent s’amplifier ou s’annihiler, rendant toute prévision incertaine voire impossible. Un tel cours dépend en effet d’un nombre plus ou moins grand de facteurs que l’on est généralement loin de connaître tous et dont on ignore souvent l’importance relative ; ils sont spécifiques de phénomènes secondaires distincts, moins complexes que lui, mais néanmoins très rarement simples ; ils évoluent indépendamment les uns des autres ; ils ont des hauts et des bas, des paliers, leurs intervalles de monotonie sont plus ou moins longs, leurs changements de tendances sont brusques ou lents… S’il était strictement déterminé, le phénomène devrait être en stase, maximum ou minimum quand tous ses facteurs le sont aussi, ce qui est très peu fréquent, plus ou moins variable dans un sens comme dans l’autre quand au moins l’un d’entre eux varie de la même façon ou quand plusieurs varient de façon plus ou moins désordonnée, ce qui est le plus courant et à son paroxysme quand ils sont à peu près tous à leur maximum, ce qui n’arrive que très rarement.

Évolution d’un phénomène géodynamique
Évolution d’un phénomène géodynamique

Mais ni déterminés ni aléatoires, les phénomènes géodynamiques ont des cours sinueux qui ne sont jamais réellement cycliques ; ils ne paraissent chaotiques que parce que l’on ne sait pas les modéliser correctement : les modèles sont déterministes alors que les phénomènes géodynamiques ne le sont pas ; leurs évolutions sont généralement cohérentes ; leurs événements sont analogues et quelles que soient leurs intensités elles demeurent dans des limites floues mais définies : il ne se passe pas n’importe quoi, n’importe où, n’importe quand. L’évolution de l’état d’un site soumis aux événements qui le modifient incessamment, suit un cours à peu près tracé dont la tendance générale est de rendre cet état plus ou moins proche de la stabilité : cette évolution est continue mais n’est pas monotone ; un événement du présent se produit à la suite d’une série d’événements analogues du passé et il précède en principe une série d’événements analogues dans le futur ; c’est sur la continuité de l’évolution et l’analogie des événements qu’est fondée l’estimation de leur probabilité d’occurrence. Mais une action extérieure ou d’une circonstance peu fréquente peut plus ou moins perturber cette évolution, sans toutefois le faire sortir de ses limites, de son attracteur ; après un événement perturbateur, l’état final du site n’est jamais identique à son état initial, mais il n’en est jamais très éloigné ; rien de ce qui s’y est produit ne se reproduira invariablement et strictement de la même façon, mais des événements analogues, d’intensité plus ou moins grande, s’y produiront sûrement à plus ou moins long terme, avec des effets analogues cumulatifs : des glissements successifs sont des événements limités dans l’espace et dans le temps de l’érosion permanente d’un versant.

Les événements successifs d’un même phénomène qui se produisent dans un même site, sont imbriqués, interdépendants, coinfluents, plus ou moins analogues, jamais identiques ; ce qui se passe auparavant, pendant et après l’un d’entre eux est certes coordonné, mais l’enchaînement est plus ou moins indécis. En théorie, on ne peut les prévoir qu’à condition que leurs suites soient suffisamment longues et homogènes pour pouvoir être exploitées par le calcul des probabilités : à partir de l’historique fiable du cours d’un phénomène à un endroit donné, on peut, dans les limites de cet historique et de cet endroit, se représenter son évolution en estimant les fréquences d’événements d’intensités données ; on admet alors sans réel fondement qu’il y a d’autant moins de chances de voir se produire une certaine intensité qu’elle est plus forte, et qu’il y a d’autant plus de chances d’observer une intensité plus forte que la période d’observation est plus longue. Par analogie avec les cycles astronomiques, on a abusivement bâti la prospective géodynamique en prêtant à tous les phénomènes naturels des cours périodiques et à leurs événements analogues des temps de retour réguliers, annuels, décennaux centennaux ou même millénaux, selon leur intensité. En demeurant très prudent voire circonspect, on peut ainsi attendre un événement intempestif générateur d’accident, éventuellement le prévoir, pas le prédire. Pour l’annoncer, il faudrait disposer d’événements plus modérés que l’on appelle précurseurs ; existent-ils ? se produiront-ils ? où et quand ? les remarquera-t-on ? On ne sait pas répondre à ces questions ; au cours du déroulement d’un phénomène surveillé – en dehors à très court terme de certaines crues –, on ne peut pas repérer la situation qui va provoquer un événement d’intensité donnée et on ne peut pas discerner celle qui en provoquera peut-être un autre analogue.

Mais, une fois qu’il s'est produit, on peut expliquer l’événement, caractériser ce qui l’a provoqué et éventuellement annoncé sans que l’on s’en soit rendu compte. On peut ainsi espérer en comprendre le processus et s’en prémunir ultérieurement par des actions de prévention et de protection. Ce n’est peut-être pas grand-chose et on est loin d’en être certain d’y parvenir ; c’est déjà beaucoup et on ne peut pas faire mieux.

En effet, la connaissance de n’importe quel phénomène géodynamique a été d’abord indirecte par l’observation passive de ses effets puis empirique par l’extrapolation souvent hasardeuse de ces observations et par la conjecture ; elle est devenue pratique par des observations systématiques raisonnées, par la détermination de ses facteurs les plus influents, l’analyse de leurs rôles et de leurs influences respectives ; elle ne serait théorique par l’expression paramétrique de chacun d’eux, la combinaison mathématique de leurs influences et de leurs variations que pour les phénomènes simples traités par la physique élémentaire ; malgré les moyens de la géomécanique, on en est loin ; les relations déterminées directes de cause à effet sont extrêmement rares sinon inexistantes dans la nature.

Les phénomènes internes

Éruption volcanique;

Séisme

Les phénomènes externes

Érosion Altération : action mécanique - actions physico-chimiques - altération des roches. Ablation : mouvements de pente - reptation et fluage - coulées, laves, lahars – glissements - écroulements rocheux

Altération : action mécanique - actions physico-chimiques - altération des roches.

Ablation : mouvements de pente - reptation et fluage - coulées, laves, lahars – glissements - écroulements rocheux

Transport : glaciers – cours d’eau – vent

Sédimentation : dépôt – consolidation - diagenèse

Bibliographie

Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

A. Foucault & J.-F. Raoult, Dictionnaire de géologie, 6 éd., Dunod, Paris, 2005.

L. Moret, Précis de géologie, 4 éd., Masson et Cie., Paris, 1962.

Aubouin, Brousse et Lehman, Précis de géologie, tome 3 Tectonique et morphologie, Dunod, Paris, 1975.

Campy et Macaire, Géologie des formations superficielles, Masson, Paris, 1994.

J.Y Daniel et al., Sciences de la Terre et de l’univers, Vuibert, Paris, 1999.

Pierre Martin, Ces risques que l'on dit naturels, Eyrolles, Paris, (2 édition 2007).

Pierre Martin, Géologie appliquée au BTP, Eyrolles, Paris, 2010.

Articles connexes

Risque naturel

Catastrophe naturelle

Géotechnique

Portail de la géologie

中文百科

地球动力学是研究地球大尺度运动或整体性运动的各种力学过程、力源和介质的力学性质的固体地球物理学的分支学科。

地球动力学的任务就是分析这些现象,并透过这些现象寻求其力学机理,掌握这些现象出现和变化的规律,预期它们今后的发展趋势。地球自身的引力当然是推动构造运动的长期作用力,日、月引潮力,地球转动和摆动引起的惯性力也必须考虑。它们之中有的虽然极小,但可以起到触发构造运动的作用。地球内部物质的热运动所产生的力以及它们的粘滞性亦属必须考虑之列。地球模型是地球动力学的基础之一。在当代的地球动力学研究中,人们通常将地球看成是由地壳、地幔和地核 3部分组成(见地球内部的构造和物理性质)。这 3部分的相对大小、密度和它们的弹性系数、粘滞系数等力学参量尚无定值,各学者的采用值尚有差别,从而派生出许多模型,1066A、PREM就是当前常用的两个模型。地球动力学的最终目标就是了解地球整体及其所在系统(太阳系)的过去、现在和未来的行为,并利用这些认识为人类生存提供可持续发展的物质与环境基础。

地球物理学概要

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地球动力学

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地球发电机原理

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地球引力

地幔对流

岁差

地震波

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美国气象学会

加拿大地球物理联盟

环境与工程地球物理学会

欧洲地球科**盟

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**(IUGG)

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美国地震学会

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法法词典

géodynamique adjectif ( même forme au masculin et au féminin, pluriel géodynamiques )

  • 1. sciences de la terre : en géologie qui repose sur l'étude des phénomènes ayant marqué la formation et l'évolution de la surface de la Terre

    le contexte géodynamique d'un pays

géodynamique nom commun - féminin ( géodynamiques )

  • 1. sciences de la terre : en géologie étude des phénomènes ayant marqué la formation et l'évolution de la surface de la Terre

    la géodynamique chimique

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poulain n.m. 1. (不满30个月的)马,马驹子;马的毛皮 2. 培养的新手 3. poulain (de chargement) (搬桶用的)梯形滑道 4. poulain de charge 〔船〕护舷木 5. 〔船〕(船下水前船台上的)撑柱

Cf 参考,参照

envier v. t. 羡慕; 嫉妒, [古]想望, 想获得:常见用法 法语 助 手

contrepoint n. m. 对位法, 对位法作品; 配合主题, 对位主题

dégourdir v. t. 1. 使不再麻木:2. [引]把…热一热:3. [转]使变得活跃, 使变得机灵, 使变的聪明伶俐se dégourdir v. pr. 1. 使自己活动一:2. 变得活跃, 变得机灵, 变得聪明伶俐常见用法

fugacité n.f. 1. 〈书〉短暂,转即逝 2. 逸性,逸变

poivré poivré, ea.1. 加, 用调味;味 2. 〈转义〉辣;放肆, 淫秽

accompagnement n.m.1. 陪同, 伴随;陪同人员, 随从人员2. 〈转义〉伴随物;附属物 3. 【烹饪】配菜 4. 【音乐】伴奏, 伴奏部分 5. 【军事】 6. (重病人或长期卧床病人的)陪护;陪伴常见用法

centupler v. t.乘以一, 使增加到倍:

collé collé (être) adj. 考试不及格 point collé 胶合接头