Cinq paysans propriétaires cultivent une terre, aidés chacun par un ouvrier agricole.
五名拥有土地的农民耕种一块地,每人还有一名农业工人做帮手。
[法语综合教程2]
Dorénavant, les cinq paysans sont, à eux seuls, capables de produire de quoi nourrir les dix familles.
从此,这五个农民,靠自己,就可以生产出足够养活十个家庭的粮食。
[法语综合教程2]
Il va à la rencontre des mineurs, des ouvriers, des paysans et raconte leurs difficultés dans des articles de presse.
他去见矿工、工人、农民,并在新闻报道中讲述他们的困难。
[un jour une question 每日一问]
La vie n'y est pas chère et il se décrit comme un paysan au bord de la mer.
这里消费不高,他描述自己的生活就像海边的农民。
[巴黎奥赛博物馆]
Il a un peu l'air d'un paysan sicilien avec sa peau cuite, son poil noir et ses vêtements de teintes toujours foncées, mais qui lui vont bien.
他晒黑的皮肤、黑色的汗毛以及他常穿的十分合身的深色衣服使他看上去有些像西西里农夫。
[鼠疫 La Peste]
Nombre de paysans tentent leur chance dans les usines et abandonnent leur ferme.
许多农民去工厂碰运气,放弃了农场。
[德法文化大不同]
Alors il m'a encore collé des granny smith mais sinon on peut prendre des golden, des pink lady, des pommes un peu rustiques, un peu paysannes lais, ça marche bien aussi ok ?
Et puis là pourquoi pas finir avec un petit miel de paysan pour amener un peu de brillance et un peu de gourmandise.
为什么最后不用一点土蜂蜜呢,土蜂蜜可以让烤苹果酥带有光泽感,还会让它变得更好吃。
[米其林主厨厨房]
Charles a 23 ans. C’est le fils d’un paysan d’Auvergne, mais il ne veut pas travailler la terre.
查尔斯23岁,是一个奥弗涅农民的儿子,但是他不想在地里工作。
[简明法语教程(上)]
Le vol lui-même peut-être gai, à l’exemple de ce tout jeune paysan –qui représente le monde– qui tranche la bourse du sinistre misanthrope au milieu des champs.
Le lendemain, le type qui voudrait remercier le paysan, constate qu'il n'a pas un rond en poche, mais comme il est ventriloque, il décide de lui faire un petit tour en guise de remerciements.
Je n’y comprends rien, dit son père le paysan. Alors, il decide que son deuxième fils ira à son tour au château, avec un nouveau panier.
我一点儿也想不明白,农夫说。于是,他决定让二儿子带上一支新篮子再去城堡一趟。
Une autre cause encore diminuait le mauvais vouloir des paysans, le docteur avait une fille, objet de respect et d’amour de tous.
另外还有一个原因也减少了农民们的敌意,这位医生有个女儿,备受大家的尊敬与喜爱。
Quand il rencontre la première fois Mme de Rênal, dans les yaux de Mme de Rênal "le teint de ce petit paysan était si blanc, ses yeux si doux, ...... ce pouvait être une jeune fille déguisée".
La superficie de l’habitation actuelle par citadin est de 22.96mètres carrés, la superficie de l’habitat par paysan est de29.54mètres carrés.
城区人均现住房建筑面积22.96平方米,农民人均住房使用面积29.54平方米。
Voici pour vous la «Danse aux étuis à tabac», une danse des Yi interprétée par des paysans du Département autonome Honghe des Hani et des Yi de la province du Yunnan.
请欣赏彝族舞蹈《烟盒舞》,由来自云南省红河哈尼族彝族自治州的农民歌舞表演队表演。
Alors le Normand, radieux d'une joie muette de vieux paysan, se releva, et, pour son plaisir, coupa la gorge du cadavte.Puis, il le traina jusqu'au fossé et l'y jeta.
La nouvelle se répand et arrive aux oreilles d’un paysan, qui, justement, cultive des figures avec l’aide de ses trios fils.
这个消息散布开来,并传到了一个农夫耳中,这个农夫刚好是和他的三个儿子一起种无花果的。
Je lui demande pourquoi il ne prend pas un tricycle ? Car les engins ne sont pas à eux, ils les louent quotidiennement. Nous les paysans sommes habitués à beaucoup marcher. Le vélo me fait mal.
我问他为什么不踩三轮车,因为车子都是租来的。他说,俺们农民兄弟习惯走路,蹬轮子不是俺们的爱好。
Les jeunes gens instruits sont très appréciés par les paysans pauvres et moyens-pauvres.
知识青年得到贫下中农的好评。
On avait volé le cheval d’un paysan.
有人偷走了一位农民的马。
Les paysans venant de la zone des Trois Gorges plantent des arbres fruitiers comme orangers par exemple sur les pentes des collines pour s`enrichir.
从三峡库区迁移出来的农村移民,在山坡上种植柑橘等优质水果,努力走向富裕.
De près, quand on ouvre la barrière vermoulue, on croit voir un jardin géant, car tous les antiques pommiers, osseux comme les paysans, sont en fleurs.
La cueillette de la lavande est une activité complémentaire réservée aux petits paysans, aux femmes et aux enfants. La fleur est vendue aux grassois comme matière première.
薰衣草的采集是农民、妇女、儿童的业余活动。它被作为初级产品卖给格拉斯人。
Il mettait en mots l’extraordinaire appétit de ceux quise nourrissaient de la maigreur des paysans et des ouvriers, pourle temps d’une mascarade, d’un monde àl’envers.
Les membres de la famille paysanne se réunissaient la nuit dans leur cour pour contempler la pleine lune faisinante, en savourant les offrandes après la cérémonie religieuse.
Le paysan est une personne qui exerce le métier d'agriculteur et vit à la campagne. Il peut adopter ou subir une économie de subsistance. Il peut être amené à se déplacer d'une manière saisonnière dans d'autres « pays » par exemple vers des pâturages qui font défaut à ses bêtes. Il façonne son environnement (et indirectement le paysage) par ses différents prélèvements, apports, aménagements, plantations, etc. Ses activités sont souvent multiples : élevage, cultures, maçonnerie, artisanat et, accessoirement, commercialisation de ses excédents de production.
On ne peut pas parler de métier de « paysan », le terme ne figurant jamais dans les listes des métiers de la terre.
Avant l'Empire romain
L'avoine et le seigle se développent en Europe occidentale.
Les fèves, les lentilles, les petits pois, les pois chiches et la vigne font également leur apparition.
Le cheval domestique arrive des pays de l'est et du nord.
Au Moyen Âge
Paysan au Moyen Âge
L'accroissement de la population des campagnes se traduit par une diminution de la taille des parcelles et une paupérisation persistante.
Au Moyen Âge, il y avait deux catégories de paysans : les serfs, qui sont au service du seigneur de génération en génération et qui peuvent difficilement devenir libres, et les vilains, qui sont libres.
La première catégorie de paysans était l'alleutier. Il possédait entièrement sa terre, il lui avait donné son nom de famille, cet alleu était une terre libre. La proportion d'alleutiers, au haut Moyen-Âge, variait de 10 % à 50 %, selon les provinces. En Europe, la Suisse, l'Allemagne, les Flandres et le Massif Central étaient des régions fortement allodiales. Allodial est un mot commun à la plupart des langues européennes.
Entre 1050 et 1150 les seigneurs poussent les paysans à défricher pour créer de nouvelles terres cultivables, et ainsi augmenter la production agricole. Cette période s'achève au XIII siècle. Les villages qui naissent ont des noms qui rappellent ces défrichements : Les Essarts (du verbe essarter, c'est-à-dire « défricher »), noms en -sart (Robersart), ou encore les noms de village en « Saint- » qui rappellent le rôle joué par les monastères dans cette conquête de nouvelles terres à labourer.
L'augmentation de la population engendre le développement de nouveaux villages qualifiés de « Neufs Bourgs » (le Neubourg), de « Bourgs Neufs » (Le Bourgneuf), de « Neuves Villes » (Neuville) ou encore de « Neufs Vics » (sur vicus; Neuvy). Dans le sud de la France, on appelle « bastides » les nouveaux villages créés au XIII siècle ou après la Guerre de Cent Ans.
Les paysans, qu'ils soient serfs ou tenanciers, paient un loyer en argent ou en nature et ils doivent travailler dans la réserve du seigneur plusieurs jours par semaine. En outre, ils accomplissent des corvées : entretien des chemins et des canaux, charrois, etc. Ils doivent aussi toutes sortes de redevances comme les banalités. Ils doivent payer la dîme à l'église et le tonlieu.
De nouveaux instruments font leur apparition tels que la charrue, le collier d'épaule.
Sous l'Ancien Régime
Avant la Révolution française
Dans l’Ancien Régime et évolution au XVIIIsiècle
La société rurale est divisée de façon hiérarchique : au plus haut, les laboureurs, ceux qui possèdent des terres et emploient des personnes, vivent bien plus aisément que les serfs, qui occupent le plus bas des échelons. Ces derniers tendent à disparaître, plus qu’un million de serfs au milieu du siècle, et cela va être déterminant : les paysans ne dépendent plus, ou en tout cas beaucoup moins, d’une puissance supérieure. Avec le servage, c’est l’un des derniers vestiges de la féodalité qui disparaît. Ceux qui sont encore liés à un homme peuvent racheter leur liberté avec des charges, qui, dépréciation de la monnaie aidant, ne vont cesser de se dévaloriser. Un processus est donc en marche visant l’indépendance des paysans, et va aboutir la nuit du 4 août 1789, lors de l’abolition des privilèges.
Mais pourtant, malgré cet apparent gain de liberté, d’autres règles asservissent les paysans, cette fois plus horizontalement, mais verticalement : les liens communautaires qui sont une sorte de servitude collective. Les paysans ayant généralement des petites parcelles, ils doivent s’assembler pour être plus productifs, organiser des pâturages, sous peine de sanctions juridiques. Le petit paysan n’a donc aucun pouvoir de décision : il ne peut planter autre chose que ce qui l’est dans le reste de la collectivité, ne peut enclore sa parcelle… paradoxalement, cela nuit à la productivité, et favorise les crispations entre les membres de ces communautés. Ce modèle est appliqué dans toute l’Europe, exception faite de l’Angleterre, qui entreprit des réformes, et l’on peut le considérer comme l’inspirateur des kolkhozes en Russie.
L’agriculture au XVIII siècle en France est encore une agriculture de subsistance : on ne produit pas pour exporter. Cela est dû à plusieurs facteurs : tout d’abord, les douanes trans-régionales. Ces taxes, contestées par les économistes, qu’ils soient physiocrates ou libéraux, défavorisent les échanges, car ajoutées à la fixation nationale des prix, elles retirent toute compétitivité aux produits venant d’autres régions. Les infrastructures sont dans un état catastrophique : les routes sont jonchées de trous et sont un véritable repaire à brigands, ce qui rend difficile la circulation des biens. Malgré les innovations, les techniques de mise en culture sont encore très rudimentaires, et la jachère est encore utilisée. Les nouvelles plantes, le maïs et la pomme de terre, augmentent la production agricole, mais ne suffisent pas à éviter disettes et famines, les cultures dépendant des caprices de la météorologie.
L’organisation de la société rurale en France au XVIII siècle est donc comparable à la situation que traverse la majeure partie de l’Afrique en ce moment : agriculture dépendante des aléas naturels et techniques simplistes, exportations très limitées, liens très forts entre les paysans ; d’une façon générale, on peut dire que l’agriculture n’avait que peu évolué depuis la fin de l’Antiquité, mais qu’elle va connaître très rapidement de nombreuses améliorations, notamment à partir de la Révolution française. Le statut des paysans quant à lui à évolué lentement au fil du siècle, avec la disparition progressive du servage et une indépendance croissante.
Sous la Monarchie absolue
Tout d’abord, les paysans sont défavorisés vis-à-vis de l’impôt. Alors que le clergé ne paye qu’une somme qu’il choisit, et qui est appelée le don gratuit, et que les Nobles sont exempts d’impôts, ils « payent l’impôt du sang », le tiers état doit payer des impôts aux deux ordres précédemment cités. En effet, en plus des impôts royaux, comme la gabelle, ou impôt sur le sel, le tiers état doit payer la dîme au clergé, puis tous les impôts nobiliaires, ou droits seigneuriaux. Les paysans doivent en outre donner une partie de leur récolte aux rentiers du sol, qui sont des nobles, des cléricaux ou des bourgeois : c’est le fermage. Les paysans sont donc défavorisés à cause des impositions, non seulement par rapport aux nobles et aux cléricaux, mais aussi aux bourgeois, pourtant membres du dernier ordre aussi.
Ensuite, les paysans n’ont pas de représentation politique. Les États généraux, lorsqu’ils sont réunis, c'est-à-dire pratiquement jamais, ne font pas cas des demandes des membres du troisième ordre, minoritaires, et encore moins des paysans : ils sont méprisés par les autres députés qui considèrent qu’ils ne font rien d’honorifique ni de méritoire, contrairement à eux et jugent l’inégalité comme normale et nécessaire au bon fonctionnement de la société. Ils sont exclus de tous postes administratifs, judiciaires ou autres travaux lucratifs exigeant des responsabilités, n’ont pour la plupart pas accès à l’instruction. Les paysans représentent une masse influençable ne disposant ni de représentation politique, ni de pouvoirs et dont va savoir se servir la bourgeoisie lors de sa révolte anti-nobiliaire, et plus tard à la Révolution française.
Les revendications des paysans à la veille de la Révolution sont diverses et sont difficilement différenciables de celles des bourgeois, ces derniers ayant une influence certaine sur eux: ils luttent pour un impôt et une justice égalitaires, et donc pour la suppression des justices seigneuriales, ils veulent que les enrôlements forcés dans les milices et l’armée n’aient plus lieu et que les capitaineries et domaines de chasses exclusifs n’existent plus. D’une manière générale, ils veulent donc la suppression des privilèges, qui d’après eux n’ont plus lieu d’être pour les nobles, puisqu’ils ne payent pas plus l’impôt du sang qu'eux-mêmes, ni pour l’Église.
Les paysans sont défavorisés économiquement et politiquement par la monarchie absolue, et semblent être inactifs sur ce dernier plan. Pourtant, grâce à l’influence des nobles d’abord, puis des bourgeois, ils seront le moteur de la Révolution française, malgré un attachement au roi et à l’Église très importants.
Les paysans, malgré leur importance, ont donc été méprisés et ignorés par les deux autres ordres, et même par la bourgeoisie avant la révolte anti-nobiliaire, et défavorisés économiquement, ce qui a provoqué leur mécontentement grandissant et a été l’une des causes de la Révolution française. Leur rôle a donc été capital dans les années précédant la chute de la monarchie, puis lors des États généraux et la nuit du . Nonobstant, il n’aura pas fallu attendre cette dernière pour que les paysans obtiennent des réformes quant à leur dépendance vis-à-vis des seigneurs. Si les nobles et le clergé avaient prêté ouïe aux demandes des paysans comme cela s’est fait en Angleterre, la monarchie aurait-elle été préservée ?
Propriété des terres
À la veille de la Révolution française, 80 % de la population française est rurale, dont 60 % sont paysans et 40 % vivent de l'artisanat et de l'industrie.
Concernant la propriété, 50 % des terres cultivées appartiennent aux nobles et au clergé, et 50 % aux paysans. Cependant, ces chiffres varient d'une région à l'autre et ne représentent qu'une moyenne sur l'ensemble du territoire. D'une manière générale, les paysans possèdent des terres moins bonnes que les classes privilégiées.
À l'époque moderne, peu de paysans ne possèdent aucune terre. En revanche, beaucoup possèdent très peu : les trois-quarts possèdent moins de 2 hectares. Les très grandes propriétés sont également rares.
Modes de faire-valoir
L'exploitation des terres se fait de trois façons:
le faire-valoir direct : le paysan, propriétaire de sa terre la cultive lui-même avec sa famille. L'auto-suffisance pour une famille est assurée à partir de l'exploitation d'une terre de 5 hectares environ.
le faire-valoir indirect : le propriétaire (bourgeois, noble, communauté ecclésiastique généralement) loue les terres à un paysan selon deux modes : en fermage, c'est-à-dire contre un loyer fixe dénommé le plus souvent cens, et parfois de services comme la corvée ; en métayage, qui correspondait la plupart du temps à un partage à moitié-fruit de la récolte (ou environ), ce partage pouvant s’accompagner de corvées et de redevances fixes.
en fermage, c'est-à-dire contre un loyer fixe dénommé le plus souvent cens, et parfois de services comme la corvée ;
en métayage, qui correspondait la plupart du temps à un partage à moitié-fruit de la récolte (ou environ), ce partage pouvant s’accompagner de corvées et de redevances fixes.
Au XIXsiècle
Au début du XIXsiècle, le monde paysan, marqué par une permanence des structures sociales et des techniques agraires, occupe une grande place dans la société française. Même si son importance est minimisée par sa place politique et sociale, la grande majorité des Français est alors composée de paysans. Le système agricole est encore très fragile et soumis à de nombreux aléas (notamment météorologiques), l'économie agricole est encore une juxtaposition de systèmes régionaux.
À la fin du XIX siècle, le monde paysan a effectué une première révolution et a connu son apogée, l'agriculture s'est modernisée et le marché agricole s'est unifié; la paysannerie a un poids important dans la vie politique du pays. Au début du XX siècle, la paysannerie semble entrer dans une phase de déclin, une vaste redistribution des hommes est en cours sur l'ensemble du territoire, l'agriculture n'est plus la seule source de production, le secteur industriel est en plein essor et la civilisation urbaine pénètre les campagnes. L'exode rural est cependant plus tardif en France qu'ailleurs, et ce n'est que lors des Trente Glorieuses que la modernisation réelle de l'agriculture et du statut du paysan, qui périclite, remplacé par le statut d'exploitant agricole, est effective.
Situation actuelle
Comme bien des agriculteurs de l'Afrique subsaharienne, ce paysan camerounais cultive la terre à des fins uniques de subsistance, pour nourrir sa famille.
En France, aux yeux de l'administration (notamment de l'Insee), le paysan est forcément un agriculteur quand il est professionnel. Une tranche importante de paysans français revendique farouchement cette appellation souvent pour se démarquer de l'agriculture productiviste et/ou par souci de ne pas rompre avec leur racines, leur appartenance à la terre. Certaines fédérations d'associations comme la FADEAR (Fédération Associative pour le Développement de l’Emploi Agricole et Rural) parlent alors d'agriculture paysanne.
1. agriculture personne qui vit à la campagne, de la culture et de l'élevage Synonyme: cultivateur Synonyme: agriculteur
le tracteur du paysan
2. personne considérée comme grossière et brutale (familier; péjoratif) [Remarque d'usage: est aussi employé comme une insulte] Synonyme: rustre Synonyme: bouseux Synonyme: péquenaud