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词典释义:
vagabondage
时间: 2024-03-03 23:50:00
[vagabɔ̃daʒ]

n.m. 1. 流浪,漂泊,漫 2. 〔法〕流浪罪 3. 〈转〉移,飘忽不定,心神不定

词典释义
n.m.
1. 流浪,漂泊,漫
avoir le goût du vagabondage流浪成瘾
Repris par le démon du vagabondage, le voilà reparti pour Rome.他对漫着了魔,瞧他又动身去罗马了。
2. 〔法〕流浪罪
un mineur inculpé pour vagabondage et fugue一个被控流浪和家出走的未成年人
vagabondage spécial介绍卖淫罪
3. 〈转〉移,飘忽不定,心神不定
Les vacances lui permettaient de s'abandonner aux vagabondages de son imagination.假期使他能沉湎于想像的飘忽不定之中。

近义、反义、派生词
近义词:
errance,  flânerie,  déambulation
联想词
errance 流浪,,漫步; vagabond 流浪汉,民,流氓; enfermement 坐月子; délit 轻罪,不法行为; voyage 旅行; évasion 跑,越狱; rêverie 幻想,空想; délinquant 犯轻罪的; fugue ,暂出走; périple 长途旅行; pérégrinations ;
短语搭配

vagabondage spécial介绍卖淫罪

un mineur inculpé pour vagabondage et fugue一个被控流浪和离家出走的未成年人

Les vacances lui permettaient de s'abandonner aux vagabondages de son imagination.假期使他能沉湎于想像的飘忽不定之中。

avoir le goût du vagabondage流浪成瘾

Repris par le démon du vagabondage, le voilà reparti pour Rome.他对漫游着了魔,瞧他又动身去罗马了。

原声例句

Des soldats conduisent en prison une mère et ses enfants pour délit de vagabondage.

宪兵将流浪的妇女和孩子带去监狱。

[巴黎奥赛博物馆]

La mendicité et le vagabondage sont perçus comme le terreau de la révolte  et inquiètent les autorités.

乞讨和流浪被视为滋生叛乱的温床,令当局感到担忧。

[硬核历史冷知识]

Il a besoin de ce vagabondage mental, ces moments où nos pensées partent dans le vague, dans une forme de rêverie éveillée.

他需要这种精神上的游荡,这些我们的思想以清醒的遐想形式变得模糊的时刻。

[La revue de presse 2022年8月合集]

C’était cette coureuse de Lydie quelle avait enfermée, disait-elle, pour la punir de n’être rentrée qu’à cinq heures, après toute une journée de vagabondage. On ne pouvait plus la dompter, elle disparaissait continuellement.

她把轻佻的丽迪关起来了。她解释说,丽迪在外边闲荡了一整天,到五点钟才回来,为了给她点儿惩罚才把她关起来。她往往跑得叫人连影儿都找不到,简直没法管了。

[萌芽 Germinal]

例句库

J'ai constaté un véritable vagabondage des ministres ivoiriens dans tous les pays.

我发现科特迪瓦的部长们确实在全国各地游荡。

Beaucoup étaient détenus pour cause d'absentéisme scolaire, de vagabondage ou parce qu'ils étaient sans abri.

有很多孩子被拘禁,是因为逃学、流浪、或是无家可归。

Ils nous ont accusés de vagabondage.

他们给我加上了游荡的一切罪名。

Elles sont généralement arrêtées pour vagabondage alors qu'elle se promènent dans la nuit sans but précis.

这些妇女往往在“夜间无目的地游荡”时被当作流氓或流浪者逮捕。

Le vagabondage est maintenant considéré par les sans abri comme «la moins mauvaise option» dont ils disposent.

现在,露宿街头被无家可归者认为是他们的最佳选择。

Toutefois, dans de nombreux cas, ils ont seulement commis des délits mineurs tels que vagabondage et menus larcins.

但是,很多的案件都是小罪如闲荡和盗窃。

Enfin, il a souligné que les articles relatifs aux délits de vagabondage et de mendicité ont été supprimés.

最后,它强调废除有关流浪和乞讨罪的条款。

Affaire du Gouvernement costa-ricien, International Law Reports, vol. 67, 140, p. 587, par. 26; «Affaires vagabondage», International Law Reports, vol. 56, 140, p. 370, par. 55.

哥斯达黎加政府案,67 I.L.R. 140, p.587,第26段;“Belgian Vagrancy 案”, 56 I.L.R. 140, p.370,第55段。

En effet, une personne ne pourra être arrêtée pour délit de vagabondage ou de racolage que si son comportement est pressant ou persistant.

只有认定一个人有长期拉客或者游荡拉客的行为,才将其逮捕。

Pendant la même période, 71 personnes ont été poursuivies en vertu de l'article 132 pour incitation de mineurs à la prostitution, au vagabondage ou à la mendicité.

同期,71人因引诱未成年人进行卖淫、流浪或乞讨而根据第132条被起诉。

Cette absence de suivi a entraîné la dérive de la plupart de ces enfants vers la criminalité, le vandalisme, le vagabondage, la mendicité, le vol et la prostitution.

由于缺乏督导,这些儿童最终大都走上犯罪、破坏他人财产、流浪、乞讨、盗窃和卖淫的道路。

Le Comité juge préoccupante la pratique du travail forcé dans les prisons, en particulier pour les mineurs et les personnes incarcérées pour vagabondage ou pour d'autres infractions mineures.

委员会表示关切的是,在监狱强迫劳动的做法,特别是对未成年人和那些因流浪罪及其他轻微罪行而被关押的人进行强迫劳动的做法。

La loi annulée sur le vagabondage a été remplacée par des amendements à la loi sur le conseil du tourisme et la loi sur la ville et les communautés.

废止的《流浪法》已被《旅游管理局法》的修正法案及《城镇和社区法》所代替。

Dans le cadre de la stratégie, le Gouvernement du Royaume-Uni prévoit également modifier sa réglementation pour faire à nouveau du vagabondage et du racolage à des fins de prostitution des délits passibles d'une peine.

根据上述战略,联合王国政府还打算修改拉客罪和游荡拉客罪的定义,并实施新的处罚措施。

Tu es un objet d'art élairé de la lumière du cabinet, je me sens ébloui par ta extrême beauté, mais il ne se supporte pas, le vagabondage avec un trésor si précieux et si fragile.

你是一件在陈列室的灯光下闪耀的艺术品,我被你的炫美吸引着,但我不能带着意见如此稀有易碎的珍宝去流浪

Cela étant, quand ces mesures échouent, la police peut, après consultation d'autres organes comme les services sociaux, engager des poursuites pénales contre une personne de moins de 18 ans pour vagabondage, racolage ou harcèlement.

但如果帮助无效,警察可在与社会服务部等其他机构协商之后,对未满18岁的踯躅街头或拉客者提出刑事诉讼。

Souvent, ils finissaient par se livrer au vol, au vagabondage et à l'alcoolisme et l'école se voyait obligée de payer des amendes à cause de leur comportement, situation qui avait des effets négatifs sur l'enseignement.

儿童往往参与偷窃、流浪和酗酒,学校不得不支付由此引起的罚款,所有这些均对教学标准产生负面影响。

Le Comité recommande à l'État partie de prendre des mesures pour interdire la pratique du travail forcé dans les prisons, notamment dans le cas des mineurs et des personnes incarcérées pour vagabondage et pour des infractions mineures.

委员会建议该缔约国采取措施禁止在监狱强迫劳动的做法,包括禁止强迫未成年人和因流浪罪及其他轻罪而被关押的人劳动的做法。

Il est assez courant que le Code pénal contienne des dispositions incriminant divers problèmes comportementaux des enfants, tels que le vagabondage, l'absentéisme scolaire, la fugue et certains autres actes, alors qu'ils sont fréquemment imputables à des difficultés psychologiques ou socioéconomiques.

刑法甚为通常地列入一些条款,将犯有流浪、逃学、出走及其他行为的一些行为问题儿童列为罪犯,而这些问题行为往往是由于心理或社会经济问题所致。

La prostitution est illégale en Jamaïque et elle est traitée par les lois qui concernent le fait de racoler et de rôder au titre de la loi sur le vagabondage (qui a été maintenant annulée) et des lois sur le fait de rôder.

在牙买加卖淫是违法的行为,在《流浪法》(现已废止)和《游荡法》中关于引诱和闲荡的法规就涉及卖淫行为。

法语百科

Leatherman (en) (« L'homme de cuir »), un vagabond du XIX siècle qui voyageait entre le fleuve du Connecticut et celui du Hudson dans la seconde moitié du XIX siècle. Probablement d'origine lyonnaise, il parlait couramment français et fabriquait lui-même ses vêtements. Les passeports ont souvent été des moyens de répression à l'égard du vagabondage et autres sans-papiers ou « gens sans aveu ».

Le vagabondage désigne communément le style de vie de celui qui vit de manière permanente sans adresse et sans emploi fixe, volontairement ou non, le « sans feu, ni lieu », errant de ville en ville, à la différence du mendiant qui se fixe sur un territoire. Juridiquement, le vagabond était souvent celui qui était inconnu dans l'endroit où il se trouvait, qui ne possédait aucun passeport ou autre certificat d'identité ou de bonnes mœurs, et ne pouvait se faire « avouer » (reconnaître) par quelqu'un (curé d'une autre paroisse, etc.). Le vagabondage était alors lourdement réprimé; le délit de vagabondage n'a disparu du droit français qu'en 1992.

Le terme « vagabond » peut être utilisé, au sens péjoratif, pour représenter un sans-abri. Il peut aussi désigner celui qui part à l'aventure pour vivre une expérience de vie différente du mode de vie sédentaire; c'est pourquoi on dit qu'ils vivent de manière désordonnée, du moins en apparence. Des vagabonds célèbres ont existé, par exemple Gandhi, Nietzsche, Lanza Del Vasto, et d'innombrables philosophes-vagabonds. Le vagabond est celui qui décide de vivre pour une durée indéfinie sans attache, dans un but spirituel (voir Les Clochards célestes de Kérouac), social ou sous une contrainte matérielle. Au sortir de leur période vagabonde, certains d'entre eux ont produit telle ou telle œuvre, résultant de l'inspiration littéraire ou artistique découlant cette phase de vagabondage.

La fable de Jean de La Fontaine, Le Loup et Le Chien, illustre bien une situation où un vagabond l'est par choix.

Histoire

Le vagabondage au Moyen Âge

La distinction entre le « mendiant valide », le « pauvre honteux » et les « oyseux » qui vivaient d'aumônes (« ceux qui n'ont même pas honte de mendier », selon saint Augustin) pose problème aux autorités gestionnaires des villes au Moyen Âge. L'ordonnance prise en France en 1351 par Jean II le Bon précise ainsi que « Ceux qui voudraient y donner l'aumône n'en donnent à nul gens sain de corps et de membre qui puisse besogne faire dont ils puissent gagner leur vie, mais les donnent à gens contrefaiz, aveugles, impotents et autres misérables personnes. » En Angleterre, à la même époque, l'ordonnance de Richard II de 1388 assimile tout mendiant valide – « every person that goeth to begging and is able to serve or labor » – aux vagabonds, qui relèvent de mesures de police, et les distingue des invalides – « impotent beggars » – qui peuvent exercer leur activité sur place, si les habitants les tolèrent. Cette même distinction se répète à travers la longue série des condamnations du vagabondage et de la mendicité par les Valois et dans les premières « poor laws » anglaises du XVI siècle.

Au Moyen Âge, l'image du gueux en haillons avec besace et bâton ferré parcourant la campagne pour mendier doit être nuancée : ces personnes sont le plus souvent à la recherche du travail ou fuient des épidémies. Les discours et contes de fées qui sanctifent ces pauvres évoluent progressivement à la fin de la période médiévale, se doublant d'une représentation de « mauvais pauvres » simulant et pervertissant la charité.

Le vagabondage sous l'Ancien Régime

Chemins de pèlerinage médiévaux vers Saint-Jacques-de-Compostelle. Les pèlerins devaient se munir de certificats d'identité s'ils voulaient éviter d'être considérés comme des « vagabonds ».

En Angleterre, en 1547, une loi peu appliquée autorise de marquer au fer rouge les vagabonds et de les asservir pendant deux ans.

Sous l'Ancien Régime, la progression de la pauvreté accroît la mendicité et le vagabondage, notamment dans les grandes villes. En 1526, le philosophe Jean Louis Vivès estime dans son traité De subventione pauperum que la charité encourage les pauvres à ne pas chercher de travail. Il est le premier à proposer l'intervention de l'État pour mettre au travail les inactifs. Au XVI siècle, le pouvoir royal décide de prendre en charge par l'État la gestion de la pauvreté. L'idée de regrouper les indigents dans des ateliers de charité ou des maisons du travail est reprise sous le règne de Louis XIV, et plus encore au XVIII siècle, notamment à l'initiative de Turgot. Le vagabond est à cette époque appelé chemineau, trimard ou trimardeur.

Parallèlement au cours du XVII siècle, le pouvoir royal veut régler le problème du vagabondage en menant une politique d'enfermement systématique dans les hôpitaux généraux. Cette politique d'internement forcé des pauvres a affecté l'ensemble des États européens.

En Angleterre, dès 1575, un acte d'Elisabeth I institue des établissements visant « la punition des vagabonds et le soulagement des pauvres ». Les Houses of Correction qui auraient dû être présentes dans chaque comté vont laisser la place aux workhouses qui, dans la seconde moitié du XVIII siècle trouveront leur véritable expansion. Foucault note qu'en « quelques années, c'est tout un réseau qui a été jeté sur l'Europe ». Aux Pays-Bas, en Italie, en Espagne, en Allemagne se créent également des lieux d'internement de même nature.

En France, Louis XIV effectue deux déclarations, le 31 mai 1682 et le 27 août 1701, « portant bannissement des gens sans aveu et vagabonds hors de Paris ». Enfin, alors que les Tsiganes, dont les premiers représentants arrivent en France au début du XV siècle, étaient bien accueillis au XVI siècle, leur situation se dégrade lors du XVII siècle, étant alors assimilés à des vagabonds.

Sous la Régence, la déportation est envisagée comme peine alternative, notamment aux galères, pour les « gens sans aveu et vagabonds », avec l'objectif explicite d'exploiter les colonies. Une déclaration royale du 12 mars 1719 dispose ainsi :

« Mais le besoin que nous avons de faire passer les habitants dans nos colonies nous a fait regarder comme un grand bien pour notre état de permettre à nos juges au lieu de condamner les dits vagabonds aux galères, d’ordonner qu’ils seraient transportés dans nos colonies comme engagés pour y travailler aux ouvrages auxquels ils seraient destinés ainsi qu’il est porté par notre déclaration du 8 janvier dernier… »

En janvier-mai 1750, des émeutes accueillent à Paris la volonté du comte d'Argenson de « moraliser » la ville en expulsant vers la Louisiane les « filles de mauvaise vie » et les vagabonds. Les maçons de la Creuse, voyageant sans certificat de bonnes mœurs ou sans livret ouvrier, ont souvent été réputés vagabonds et traités comme tels par la police. En 1787, sous le règne de Louis XVI, les ateliers de charité passent sous la responsabilité des Assemblées provinciales.

Le vagabondage à l'époque moderne

Au XIX siècle prédomine l'image du vagabond dangereux, tel Joseph Vacher, le chemineau éventreur de bergers, à la fin du siècle. Bien que bénéficiant de l'assistance sociale d'œuvres caritatives privées, il est soumis à une forte répression, le délit de vagabondage étant apparu dans le Code pénal de 1810. Le tzigane est fiché par le carnet anthropométrique d’identité obligatoire depuis la loi du 16 juillet 1912.

La fin du XIX siècle voit l'avènement en France d'une nouvelle catégorie de pauvres : les « sans-abri », assistés légitimes qui sont pris en charge dans un dispositif spécifique, celui des asiles de nuit. La révolution industrielle et l'urbanisation massive ont en effet favorisé le chômage et la mendicité. Ces nouveaux vagabonds étaient généralement mis en prison ou dans des dépôts de mendicité mais ces établissements sont désormais perçus comme des lieux de contamination morale, d'où l'instauration d'asiles de nuit dont l'objectif est de rééduquer les vagabonds et les réintégrer dans le monde du travail en les plaçant dans un refuge-ouvroir ou un atelier de profession (analogues des workhouses en Angleterre).

Au milieu du XX siècle se développe l'image bienveillante du clochard ayant choisi ce type de liberté, tel Jehan-Rictus. Image qui se renverse à la fin du XX siècle avec la multiplication des SDF, des arrêtés anti-mendicité étant pris par différents maires, le premier en 1993 par le maire de Montpellier Georges Frêche.

Vagabondage selon le droit

Enregistrement de l'écrou d'un inculpé de rupture de ban probablement condamné pour vagabondage. 1859-1869.

En France, selon le Code pénal de 1810 (art. 269 à 273), le vagabondage était un délit réprimé de trois à six mois d'emprisonnement. L'art. 270 donnait la définition juridique suivante : « Les vagabonds ou gens sans aveu sont ceux qui n'ont ni domicile certain, ni moyens de subsistance, et qui n'exercent habituellement ni métier, ni profession. » Ces trois conditions devaient être réunies pour qualifier le délit de vagabondage, excluant dès lors les nomades, qui ont fait l'objet d'une loi spécifique en 1912 (voir carte d'identité en France). En 1972, des décrets définissent la catégorie juridique des « gens du voyage ».

Ces articles ont été abrogés par une loi de décembre 1992, entrée en vigueur le 1 mars 1994, réformant le Code pénal. À la suite de cette abrogation, de nombreuses municipalités, notamment dans les zones touristiques, ont mis en place des arrêtés anti-mendicité dès l'été 1995.

Sans-domicile fixes

On emploie en France, de manière usuelle, le sigle SDF (Sans domicile fixe), à propos de cette frange de la population qui, marginale sur le plan social, pose à la société et notamment aux municipalités de multiples problèmes quant à la manière la plus judicieuse et rationnelle de la traiter, tant en matière de police (troubles fréquents sur la voie publique…), que d'assistance médicale (difficulté à l'hospitalisation…), ou sociale (difficulté, allant souvent jusqu'à l'incapacité à la réinsertion…). Les SDF nécessitent souvent d'être assistés, secourus, aidés et soignés. Ils le sont le plus souvent par des organismes caritatifs privés, fonctionnant sur le principe du bénévolat social, surtout pendant les plus grands froids…

Vagabonds célèbres

Apollonios de Tyane

Benoît-Joseph Labre, saint catholique, surnommé le « vagabond de Dieu »

Charlot, personnage de vagabond créé par Charles Chaplin, icône du cinéma muet

Diogène de Sinope, vagabond philosophe

Jean Genet

Gandhi

Jack Kerouac, écrivain de la Beat Generation, auteur, notamment, de Sur la route

Lanza del Vasto

Jack London

le Juif errant, immortel et condamné, de ce fait, à un éternel vagabondage

Christopher McCandless

George Orwell

Raspoutine

Joseph Vacher, le vagabond « tueur de bergers »

François Villon, poète vagabond

Jules Bourglay (en)

法法词典

vagabondage nom commun - masculin ( vagabondages )

  • 1. droit état d'une personne qui n'a ni foyer ni revenus fixes et erre à l'aventure, où ses pas la portent

    le vagabondage est considéré comme un délit dans la société française

  • 2. déplacement sans but précis Synonyme: errance

    ses vagabondages l'ont mené à l'autre bout du monde

  • 3. fait de passer d'un sujet à l'autre au gré des associations (soutenu)

    le vagabondage de l'imagination

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