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词典释义:
lac
时间: 2024-01-23 18:36:21
TEF/TCF常用常用词TEF/TCF
[lak]

n. m , 常见用法

词典释义

n. m

lac artificiel 人工
lac de barrage 堰塞
un lac de sang 血
tomber dans le lac<转,俗>失败,夭折,无结果




常见用法
le lac Léman莱蒙
un lac immobile一个平静的
les moustiques foisonnent au bord du lac蚊子繁殖

近义、反义、派生词
联想

同音、近音词
laque,  laquent(变位),  laques(变位)
联想词
étang 池塘; rivière 河,江; ruisseau 溪,小河; fleuve 江,河,川; lagon ; lagune ; glacier 冰川,冰河; canyon 峡谷; chalet 区木屋; fjord 峡湾; barrage 拦住,阻止通行;
短语搭配

tomber dans le lac<转,俗>失败,夭折,无结果

être dans le lac〈转义〉〈口语〉失败, 夭折

lac thermokarstique熔化湖

lac malawi马拉维湖(尼亚萨湖)[非洲]

lac Ness尼斯湖

lac fleuri华池

lac frontière界湖

lac interpédonculaire脚间池

lac karstique岩溶湖

lac intérieur内湖

原声例句

Qui vit dans le lac, à part le calmar géant ?

湖里除了巨乌贼外,还生活着什么动物?

[哈利·波特与火焰杯 Harry Potter et la Coupe de Feu]

Place aux Bois... Vous voyez le lac ?

林中广场...您看到了吗?

[Alter Ego+1 (A1)]

Les autres centrales, qui dépendent d'un lac, sont sensibles aux sécheresses.

其他水电中心,取决于湖泊,有可能会干涸。

[« Le Monde » 生态环境科普]

Le ciel s'est fait un joli lac.

天空变成了一个漂亮的湖泊

[巴巴爸爸 Barbapapa]

Moi, j'irais en 1929 au bord du lac de Constance, à Friedrichshafen.

我会去1929 年康斯坦茨湖畔的腓特烈港。

[德法文化大不同]

Beduier va donc au lac et lance Excalibur dans l’eau.

贝狄威尔随后去到湖边,把圣剑抛到水中。

[亚瑟王与圆桌骑士]

Il y a un sauna hyper chaud au bord d'un lac hyper froid.

超级冷的湖边有一个超级热的桑拿。

[Depuis quand]

La plus grande d'entre elle est formée par le lac Tchad.

其中最大的是乍得湖。

[硬核历史冷知识]

Le ciel s'est fait un joli lac, Blanc et gris et l'arc-en-ciel.

天空变成了一个漂亮的湖泊,白灰彩虹色。

[巴巴爸爸 Barbapapa]

Julia avança jusqu'au canal. Sur le lac, les bateliers accrochaient les barques unes aux autres.

朱莉亚一直走到运河边,湖上的许多小船一艘连着一艘绑在一起。

[那些我们没谈过的事]

例句库

Près de cette montagne, il y a un lac.

在这座山旁边,有一个

Il glisse sur un lac.

他在湖上滑。

C'est un grand lac artificiel.

这是个很大的人工湖。

Ce lac est très utile contre les incendies

湖泊在发生火灾的时候发挥了作用。

Le lac Dian situé au sud de Kunming est appelé la "perle brillante du plateau".

位于昆明南部的滇湖被称为是平原上的明珠。

Ce bateau reste immobile sur le lac.

这艘船在湖面上保持不动。

Il est interdit de se baigner dans le lac.

禁止在湖中游泳。

Attention, Jeannette. Tu sais qu’elle donne sur le lac ?

你注意到了吗,Jeannette。你知道这个房间朝向湖吧?

J’ai toujours voulu voir le lac de l’Ouest à Hangzhou.

我早就想去看看杭州西湖了。

Si le temps permet, nous nous permettons au bord du lac.

如果时间允许 ,我们会到湖边散步。

Fondée en 2004, principalement saisonniers engagés dans le lac Yangcheng poilu crabes.

公司成立于2004年,主要经营季节性阳澄湖大闸蟹。

S'il n'y a plus de larmes, notre coeur deviendra un lac tari.

假如没有le眼泪,心是─面干涸旳湖

Il se promenait souvent jusqu'au lac quand il habitait à la campagne.

当他住在乡下时,他经常散步,一直到湖边

Société situé dans le magnifique lac de l'Ouest, l'air frais et magnifique environnement.

公司座落于美丽的西子湖畔,空气清新,环境优美。

Les moustiques foisonnent au bord du lac.

蚊子在湖边繁殖。

Ce lac est le réceptacle de plusieurs rivières.

这个湖泊是好几条河的汇合地。

L'eau de ce lac est parfaitement limpide.

的湖水是非常清澈透明的。

Les plages du lac sont un beau paturage normal.

是一个美丽的海滩牧场正常。

Le lac dans mon rêve s’est desséché au vent.

枕畔的已风干。

L'eau du lac reflète l'image du clocher.

湖水映出钟楼的影像。

法语百科

Le lac de Vaivre à Vesoul (Haute-Saône).

Lac nahuel Huapi en Bariloche (Argentine).

Lac artificiel Tcharvak en Ouzbékistan.

Les lacs sont souvent dans les vallées, mais parfois aussi en altitude, ici près du sommet de Sunnig Grat (Canton d'Uri, Suisse).

Lac de Grand-Lieu, le plus caractéristique des lacs à faible lame d'eau en France, sa profondeur évolue selon la saison avec une (1,60 m profondeur moyenne en été, environ 4 m au max. en hiver) et une superficie qui varie saisonnièrement du simple au double (passant d'environ 35 km en été à 65 km en hiver), ce qui explique d'importantes spécificités écologiques

Le Grand Lac Salé (Utah, États-Unis).

Le lac Gentau, dans les Pyrénées béarnaises, occupe un ombilic glaciaire.

Le lac Michigan, l'un des cinq Grands Lacs d'Amérique du Nord borde la ville de Chicago (États-Unis).

En limnologie, un lac est, de manière générale, une grande étendue d'eau entourée de terre, où il suffit que la profondeur, la superficie, ou le volume soit suffisant pour provoquer un dépôt de sédiments et/ou une stratification (une seule condition remplie suffit à lui donner ce statut).

Dans le langage courant, le lac est un concept assez flou ; les noms locaux donnés aux plans d'eau par la population ne s'accordent pas toujours aux définitions officielles, et c'est souvent la grande taille ou une grande profondeur qui sont alors prises en compte. Un lac est ainsi plutôt plus grand et plus profond qu'un étang, lequel est plus grand et plus profond qu'une mare.

Les plus grands lacs sans débouché maritime sont ainsi nommés « mers fermées », à l'instar de la mer Caspienne, mais la règle est floue puisqu'on parle de la mer Morte et du Grand Lac Salé. Il est parfois proposé de distinguer les mers des lacs par le caractère salé des eaux marines et des eaux douces des lacs.

Étymologie

Le terme lac provient de l'ancien français lac, lequel vient du latin lacus. La plus vieille trace écrite est une racine sanskrit qui désigne à l’origine une dépression, une rupture de l'écorce terrestre remplie d'eau. Ici, le terme exclut les masses d'eau retenues par un barrage, que celui-ci soit naturel ou artificiel. Cela s'explique par le fait que cette définition a évolué au fil des siècles.

Histoire de la définition

En 1**2, le Suisse François-Alphonse Forel, fondateur de la limnologie, fut le premier scientifique à définir clairement un lac. Pour lui, « on désigne par un lac une masse d'eau stagnante sans communication directe avec la mer, située dans une dépression du sol fermée de tout côté. »

Description

L'écosystème lacustre

C'est un système dynamique qui évolue lentement avec le temps et le climat, et sous l'effet des activités humaines du bassin versant.

Plus le lac est profond, plus l'inertie thermique et chimique de la masse d'eau est importante. Inversement, certains vastes plans d’eau superficiels et très peu profonds (« shallow lakes » en anglais) sont très sensibles et immédiatement réactifs aux changements de l'environnement (climat, hydrologie, pollution, activités anthropiques). Ceci vaut d'ailleurs pour les étangs et les mares, mais à d'autres échelles spatiotemporelles.

Les lacs superficiels à fines lames d'eau

Certains volcans possèdent des lacs de cratère dont certains sont des lacs acides et très minéralisés (Remarque : on parle aussi de lacs de lave dans le cas de certains volcans de type basaltique à lave fluide).

Les lacs étant relativement fermés, ils sont vulnérables à certaines espèces invasives quand elles y ont été introduites (volontairement ou non). Ils sont également pour cette raison plus sensibles à certains micro-polluants (ETM, médicaments, antibiotiques, biocides, pesticides, perturbateurs endocriniens) qui peuvent s'y accumuler ou se dégrader à une vitesse différente que dans les cours d'eau.

Selon l'espèce considérée, la qualité de l'eau, la saison et le type de lac, les organismes lacustres ont une stratégie d'occupation spatiale du lac qu'ils adaptent aux variations des conditions environnementales. L'étude de réservoirs (de centrale nucléaire par exemple) non soumis à un marnage ni aux fluctuations naturelles a permis d'étudier la manière dont les poissons et d'autres organismes se répartissent dans l'espace et le temps dans la masse d'eau dans ces conditions de faibles contraintes abiotiques. Selon Holmgren & Appelberg (2000), sept principaux facteurs (variables) environnementaux ont un effet significatif sur le nombre d'occurrences de chaque espèces de poisson dans les différentes couches d'un lac naturel, la conductivité, la température, la surface, la latitude et l’altitude du lac, sa transparence et sa profondeur ma**male. La profondeur de vie d'un poisson semble résulter de choix combinant principalement des variables biogéographiques et de productivité du milieu, avec quelques variations interannuelles notamment liées aux variations météorologiques et de pluviométrie.

Éléments de définition, du vernaculaire au scientifique

La définition des lacs ou étangs, et plus encore celle des zones humides peut varier selon les époques, les pays et les acteurs et fait encore l'objet de débats. D'un point de vue populaire que reprend la toponymie, un lac serait fait d'eau douce, à la différence des mers et des océans, quant à eux salés. Toutefois, cette définition est incorrecte, la mer Baltique comprenant ainsi moins de 4 g/l de sel tandis que le Grand Lac Salé en compte environ 250 g/l. Une autre possibilité était de classer un plan d'eau en lac ou étang selon son appellation locale dans la toponymie. Cependant, il arrive qu'un même plan d'eau soit indifféremment nommé étang ou lac, ou lac et mer. Le critère parfois retenu d'une zonation verticale exclut les lacs plats et très plats dont les couches sont constamment mélangées par le vent.

Le lac Il est défini par le limnologue Laurent Touchart comme « un plan d’eau continental (séparé de la mer, dominé par son bassin d’alimentation et développant son caractère propre), dont la superficie, la profondeur ou le volume sont suffisants pour provoquer une zonation, un étagement ou une régionalisation des processus limnologiques. » La dimension verticale et le mélange des couches tendent à prendre de l'importance pour la classification des lacs et étangs, de même que les interactions entre le lac et son bassin d'alimentation. Pour l’auteur, celles-ci peuvent être déterminantes lorsqu’elles sont suffisamment importantes, et ce de manière conjointe ou indépendante. Or, un plan d’eau que nous qualifions de superficiel ou pelliculaire doit a priori ne posséder qu’une dimension verticale réduite. Par conséquent, les plans d’eau que nous étudions ne peuvent être qualifiés de lacs que lorsqu’ils possèdent, outre les autres caractères de la définition, des dimensions horizontales suffisantes pour provoquer une zonation ou une régionalisation des processus limnologiques ». On parle parfois aussi de lacs souterrains et depuis peu de lacs sous-marins (accumulation d'eau hypersalée dans les grands fonds marins, souvent près d'un suintement froid). Il reste difficile de fixer précisément la frontière entre les concepts de lac et étang ; par exemple le Lac Balaton a été présenté comme un Lac-étang.

La profondeur absolue 
(noté Zm, sans unité) C'est la profondeur mesurée (en mètres) au point le plus profond du lac. Plus un lac est profond et petit, moins les couches d'eau s'y mélangent.

La profondeur relative (notée Zr, exprimée en %) Quand Goldman et Horne en 1983 ont cherché des critères pour bien différencier les mares des étangs). Constatant que la profondeur ne pouvait à elle seule différencier une mare d'un étang, et un étang d'un lac, en prenant les exemples du lac Tchad et du lac Winnipeg, ils ont réutilisé un autre concept : la profondeur relative, calculée d'après la profondeur, pondérée par le critère de superficie (plusieurs modes différents de calcul de cet indice e**stent). À l'époque, Goldman et Horne ne différenciaient toujours pas par une définition claire les plans d’eau profonds des plans d'eau superficiels. Il est depuis admis que « la plupart des lacs ont une profondeur relative de 2 % et que les plans d’eau très creux dépassent les 4 % ».

L'indice de creux (Ic) ; Indice pour décrire la profondeur relative d'un lac, en mettant en rapport sa profondeur et sa superficie. Il a été proposé par Delebecque en 1**8. Cet indice de creux (sans unité) correspond au quotient de la profondeur ma**male (Zm, mesurée en mètres) et de la racine carrée de la superficie (Ao, mesurée en hectares) :

L'indice de creux moyen 
C'est un autre concept, dérivé de l'indice de creux, promu par Meybeck en 1995 pour classer les plans d’eau selon un indice de profondeur pondéré. Il se calcule à partir de l’indice de creux préalablement proposé par Delebecque, mais en utilisant la profondeur moyenne (plus difficile à calculer). Meybeck classe ainsi tous les lacs en 5 classes de plans d’eau suivant leur indice de creux. Quand la profondeur moyenne est inférieure à un indice de 0,1, il parle de Lac très plat, puis de lac plat (de 0,1 à 0,5), lacs normaux (0,5 à 2,5), lacs creux (2,5 à 12,5), et enfin de Lac très creux (12,5 et plus). Le seuil qui sépare chaque catégorie reste néanmoins arbitraire.

Plans d'eaux superficiels ou pelliculaires (peu et très peu profonds) : ils ont été mieux définis par deux manuels de limnologie, de Wetzel (1983) puis de Burgis et Morris (1987). Leur fonctionnement écologique est original. Leurs processus morphologiques sont différents de ceux des eaux profondes. En particulier ; à cause du brassage par convection des couches d'eau par les courants superficiels et secondaires induits par le vent, on n'y constate pas de stratification thermique (homothermie) ou elle ne dure pas plus de quelques jours et on les dits polymictiques, c’est-à-dire avec un rythme de brassage plus rapide que le rythme saisonnier Ils sont nombreux autour de l'arctique (reliques glaciaires). Ils sont également nombreux dans certaines grandes plaines alluviales inondées par de grands fleuves (ex. : Yang Tsé Kiang ou Amazone). Leur écologie particulière est liée à des variations plus intenses et rapides des températures et de la salinité, à la pénétration de la lumière dans toute la couche d'eau, ce qui permet une présence relative potentiellement plus importante des macrophytes, et parfois à une turbidité pouvant devenir importante, liée aux remise en suspension de sédiments en période très venteuses, à leur redistribution par les vagues ou à cause de blooms planctoniques. Dans ces lacs, les cycles biogéochimiques (du phosphore, de l’azote et du carbone notamment) peuvent être accélérés, notamment en zone tropicale et tempérée. Les vaguelettes induites par le vent érodent les berges et transportent les sédiment avec un bilan sédimentaire différent de ce qu'il serait dans un lac profond. Ils sont sensibles aux pollutions et à l'eutrophisation. « L’intensité de la réponse du lac au forçage dépend de deux paramètres : le rapport entre le volume du lac et sa superficie (profondeur moyenne) et le rapport entre le volume du lac et l’apport par les rivières (temps de séjour de l’eau). ».

Convections Les courants de convection sont dits « libres » ou « mécaniques» ; La convection libre ou passive résulte de l'enfoncement naturel d'une couche superficielle rendue plus dense (plus salée le jour avec l'évaporation, plus rapidement refroidie la nuit…), ce qui dans une faible couche d'eau contribue significativement au brassage de toute la colonne d’eau. La convection mécanique est le brassage des couches d'eaux forcées par le vent, l'arrivée d'un courant d'eau, des sources sur le fond du lac, etc. Les mouvements du plancton (daphnies, copépodes notamment) peuvent aussi contribuer aux micromélanges de couches d'eau qui sans cela se stratifieraient plus facilement. La présence active de nombreux poissons ou de gros animaux (crocodiles ou caïmans, lamantins, hippopotames, etc.) contribue aussi au brassage de l'eau.

Dans le droit

En droit international, un lac est entièrement administré par son ou ses États riverains, et ce quelle que soit la distance par rapport au rivage. Dans certains pays, les berges et une bande de terre riveraine ne peuvent pas devenir propriété privée. La libre-circulation sur les rives reste ainsi permise pour tous. En France le Conservatoire du littoral a également compétence sur les « rivages lacustres ». Dans le droit européen de l'environnement, les lacs peuvent être intégrés dans le réseau Natura 2000, et le bon état écologique est une cible pour 2015 (sauf dérogation), imposée par la Directive cadre sur l'eau. Certains auteurs ont proposé une typologie paneuropéenne de critères d'appréciation de leur qualité.

Origines des lacs

Une classification des lacs peut se faire sur le type d'événement géologique qui a présidé à leur formation :

océaniques, c'est-à-dire des restes d'anciens océans séparés des autres mers, par exemple la mer Caspienne, voire la mer Noire pendant les périodes glaciaires ;

tectoniques, dus à l'effondrement de portions de la croûte terrestre, comme le lac Tanganyika, le lac Malawi et le lac Victoria ;

volcaniques, formés dans une caldeira ou un volcan actif (lac acide) : lacs de cratère comme le lac Albano, le lac de Nemi ou le Barombi-mbo; lacs polycratères ou intercratères, comme le lac de Bolsena ou le lac de Bracciano ;

lacs de cratère comme le lac Albano, le lac de Nemi ou le Barombi-mbo;

lacs polycratères ou intercratères, comme le lac de Bolsena ou le lac de Bracciano ;

alluvionnaires, quand un cours d'eau, par exemple le Brenta en Vénétie, rencontre des dépôts alluvionnaires sur son cours, formant ainsi le lac de Levico et le lac de Caldonazzo ;

glaciaires, dus à l'érosion glaciaire, comme les lacs des régions préalpines ; c'est l'exemple des Cent lacs en Italie ;

pro-glaciaires, quand le lac est situé devant et alimenté par un glacier ;

morainiques, quand les matériaux transportés et déposés par les glaciers forment un barrage ;

karstiques, dus à des phénomènes d'érosion en milieu calcaire et souvent très petits ;

de déflation, dus à l'érosion par les vents, tels ceux du Languedoc ;

artificiels, créés par des ouvrages construits par l'homme, souvent des barrages pour la production hydroélectrique, par exemple le lac de Serre-Ponçon.

Répartition

Les lacs naturels sont inégalement répartis. Le contexte hydro-géomorphologique les rend bien plus nombreux dans les anciennes zones glaciaires. Leur géographie varie aussi selon que les hommes les ont vidés ou drainés ou au contraire artificiellement aménagés, construits ou agrandis en établissant des digues et barrages.

En Europe, il y a environ 500 000 lacs de plus de 1 ha (dont près de 50 % en Suède et Finlande), 16 000 dépassant 1 km.

Dans le monde, hormis zone glaciaire Arctique et Antarctique, le nombre de lac d'une superficie supérieure à 0,002 km est d'environ 117 millions. Leur surface totale couvre environ 5 millions de km, soit 3,7 % de la surface terrestre.

Équilibre hydrique

Ce schéma montre les possibles apports en eaux et pertes qui font varier la quantité d'eau présente dans un lac.
Ce schéma montre les possibles apports en eaux et pertes qui font varier la quantité d'eau présente dans un lac.

Les lacs sont généralement alimentés en eaux par plusieurs sources. Les précipitations sont les premières sources, mais leur bilan est relativement faible. Un lac peut aussi être alimenté par un ou plusieurs cours d'eau en amont, par des résurgences, ou par des glaciers. L'eau peut s'évacuer naturellement, principalement par un cours d'eau appelé émissaire, mais aussi par évaporation. Cependant, certains lacs sont dits endoréiques et n'ont pas de cours d'eau émissaires. Le lac peut aussi perdre de l'eau par évaporation, ce mécanisme étant important en été ou sous certains climats. Certains lacs sont ainsi des lacs temporaires, qui ne survivent que lors de certaines saisons et disparaissent en été. Plus rarement, l'eau peut s'infiltrer dans le sol situé sous le lac, si celui-ci est perméable.

Retenue du barrage de Carbonne.

Les lacs constituent une importante réserve d'eau douce utilisée par l'homme pour l'irrigation des cultures, comme source d'eau potable et dans certains cas pour produire de l'énergie électrique. En revanche, certains lacs de retenue sont responsables de l'assèchement de la partie aval de leur bassin.

Courants

Ce schéma montre comment les vents peuvent former des vagues à la surface d'un lac, et comment le vent pousse les eaux sur les berges.
Ce schéma montre comment les vents peuvent former des vagues à la surface d'un lac, et comment le vent pousse les eaux sur les berges.

Bien que stagnante, l'eau des lacs connaît de nombreux mouvements internes. Outre les courants créés par les cours d'eau, en amont ou en aval, et les sources souterraines, il peut se produire des tourbillons ou des ondes dus à diverses causes, parmi lesquelles l'action du vent à la surface de l'eau. En outre, les lacs sont sujets à une série de mouvements, véritables déplacements périodiques d'eau d'un côté à l'autre du bassin, observables comme de réelles dénivellations d'une partie à l'autre de la côte. Dans le lac de Bolsena, malgré sa taille relativement limitée, on a ainsi enregistré des variations de niveau allant jusqu'à 50 cm.

De plus, l'eau des grands lacs dans les villes métropolitaines sont des lacs artificiels (cf. lac du parc des Buttes-Chaumont) dont l'eau ne va pas au sol (source Bodo Groening, 2004, Madrid).

Enfin, les différentes couches d'eau se déplacent en profondeur en raison des différences de température en fonction de la profondeur, de la journée et des saisons.

D'après François-Alphonse Forel, « en opposition avec les fleuves, rivières et autres eaux courantes, les lacs sont formés d'eaux stagnantes ; ces eaux ne sont pas entraînées dans une direction toujours la même ». L'eau des courants lacustres change souvent de direction, à cause des changements de direction du vent, des obstacles rencontrés (côte, île, etc.) et des variations de températures entre différentes zones.

De nos jours, il est proposé d'employer à la place de « masse d'eau » le terme de plan d'eau, ou nappe d'eau, pour raison que de grands mouvements e**stent mais ne suivent pas une pente comme un cours d'eau.

Strates

Les lacs sont plus ou moins stratifiés thermiquement, en termes de, pH, d'oxygénation et écologiquement. Cette stratification, qui peut faire l'objet d'importantes variations saisonnières, peut être enregistrée dans les sédiments) ainsi que les teneurs en certains polluants. Certains mollusques (limnées et bivalves tels que les pisidies) selon qu'ils colonisent ou non la zone profonde des lacs peuvent être des indicateurs de phénomènes d'** ou de to**cité des fonds.

Stratification des eaux d'un lac suivant la saison
Stratification des eaux d'un lac suivant la saison

En hiver, l'ensemble des eaux du lac a température relativement faible. La température des eaux est constante, mais supérieure à zéro, et augmente avec la profondeur. La raison est que les eaux sont protégées de la froideur de l'hiver par la couche de glace. L'ensemble des eaux du lac est pauvre en oxygène, vu que la glace isole les eaux de l’atmosphère.

En été, les eaux du lac sont chargées en oxygène (vu qu'elles sont au contact de l’atmosphère) et sont recouvert par une couche chauffée par le soleil. Cette couche d'eau chaude surmonte une couche d'eaux froides et peu oxygènes (l'oxygène et la chaleur diffusent sur une faible profondeur dans le lac). Les deux couches sont relativement homogènes. Entre les deux couches, la zone de contact voit sa température et son taux d'oxygénation varier rapidement avec la profondeur.

Au printemps ou en automne, les eaux du lac se mélangent suite à des phénomènes de convection thermique, liées à un inversion thermique.

Disparition d'un lac

Au fur et à mesure de milliers, voire de millions d'années, les sédiments se déposent au fond des lacs, s'accumulent sur des mètres ou dizaines de mètres. Dans le même temps les tourbières ou ceintures de végétation arborée peuvent coloniser la partie centrale d'un lac peu profond. Un lac peut ainsi finir par évoluer vers un réseau d'étangs puis une zone de marais puis une tourbière et une forêt alluviale humide (dans les zones restant suffisamment humides) et enfin être totalement comblé.

Incidence des lacs sur les activités humaines

Lac du barrage de Caramany, (Pyrénées-Orientales).

Les lacs constituent d'importantes réserves d'eau douce et de ressources halieutiques. L'irrigation des cultures, la pêche, le pompage d'eau potable (ou à potabiliser) et l'énergie électrique, certaines formes de tourisme et d'activités sportives et nautiques sont des activités qui en dépendent et qui les affectent quantitativement et qualitativement.

Les activités de loisirs et sportives telles que le canotage, la voile ou la planche à voile, des promenades en barque ou en bateau, et de la plongée se pratiquent plutôt l'été en zone tempérée. Dans les pays froids, le ski, la marche en raquette, etc. peuvent être pratiqués sur les lacs gelés. Dans certains pays, de nombreux lacs ou leurs berges appartiennent au domaine privé. La pêche y est pratiquée par des professionnels, ou amateurs en toute saison dans les domaines privés, et plus généralement, pendant la période de fermeture de la première catégorie) pour la pêche à la mouche.

La baignade peut être interdite dans les lacs non aménagés plus dangereux que les côtes maritimes. L'eau y est parfois glacée (lacs de montagne). L'eau y est aussi moins salée, et donc moins dense, ce qui explique qu'elle porte moins le corps. Localement des courants ou tourbillons inattendus peuvent survenir. Dans la nature, ils sont souvent sans surveillance, sans petit bain pour les enfants, et sans équipements de sauvetage.

L'imagerie satellitale et les nouvelles technologies de géolocalisation (GPS, ainsi que des outils tels que Google Earth) ont facilité la connaissance et l'accès aux nombreux lacs qui e**stent sur la planète. Nombre d'entre eux font l'objet d'une surveillance de la qualité de l'eau, voire de plans de restauration.

Symbolique

Le lac symbolise en général l'œil de la terre, un lieu par lequel les habitants d'un monde souterrain pourraient regarder la surface. Pour les gaulois, les lacs étaient considérés comme des divinités, ou des demeures des Dieux.

Lac extraterrestre

Cliché d'une formation ressemblant à un lac, pris par l'instrument THEMIS de la sonde Mars Odyssey le 14 novembre 2003}.

Mars

En 2004, l'équipe scientifique de THEMIS, l'instrument de Mars Odyssey prévu pour détecter la présence d'eau passée sur Mars, a découvert sur une des images de la sonde une « structure qui ressemble à un lac situé au centre du cratère ». En 2005, la sonde Mars Express a détecté, à pro**mité du pôle nord, un lac de glace d'eau dans un cratère.

Titan

Sur Titan, satellite naturel de Saturne, la sonde Cassini a confirmé la présence de lacs d'hydrocarbures liquides.

Pluton

Structure pouvant être un ancien lac d'azote gelé, localisée au Nord de la plaine Spoutnik.

Des structures à la surface de Pluton suggèrent l'e**stence d'anciens lacs sur la planète naine.

中文百科

位于阿根廷内格罗河省的纳韦尔瓦皮湖

湖泊安第斯山脉

湖泊是内陆洼地中相对静止、有一定面积,不与海洋发生直接联系的水体。全世界共有约1.17亿个湖泊,共覆盖了地球近500万平方公里。

从地球历史上来看,湖泊只是暂时性存在的水体,会受到泥沙淤积而慢慢陆化;除了少数古老湖泊,如贝加尔湖,绝大多数湖泊的形成年代都只能回溯到更新世冰河时期。

湖泊的种类

有河流流出的湖通常是淡水湖。没有河流流出的湖则几乎是咸水湖,称为内流湖(或内陆湖),但也有少数像乍得湖一般(因为人为断流),仍然是淡水湖的内流湖。 湖泊支持着非常重要的生态系统,湖水的平均深度一般在2米到100米左右,这是阳光能够穿透的深度,因此,湖水从上到下都能给生物足够的能量,维持丰富的生物。 根据水温、营养物质含量的不同,湖泊可以分为贫营、普养和优养三类,贫营湖泊水温低,营养物质含量少,优养湖泊则相反。而普养则在两者之间;湖泊从贫养转化为优养是一个自然的过程,无论人类是否干预都会发生,但是人类的干扰显着地加快了湖泊优养化的过程。湖泊优养化的最后阶段,会由于污泥的沉积,最终变为沼泽。 内陆海是指与大洋完全分离,或与之没有直接连系的大型水域,虽然因为其范围广大而被称为「海」,但以地理学的角度来说,包括里海和咸海在内的大型水域其实都属于湖泊一类,而非真正的海洋。世界上最大的内陆水域是里海,其水量约占全球湖泊总水量的44%。

湖泊的成因

构造湖:构造湖是指由地壳内力作用所产生的构造湖盆,经贮水而形成的湖泊。如滇池、抚仙湖。

火口湖:火口湖或称火山口湖,是在火山口积水而而形成的湖泊。如长白山天池。

河成湖:河成湖是由于河道迁徙、淤塞等原因而形成的湖泊。如洪湖、白洋淀。

牛轭湖:牛轭湖是一种特殊形态的河成湖,是由于河流截弯取直,弯曲的河道被废弃而形成的湖泊,如乌梁素海。

堰塞湖:堰塞湖是由于因火山熔岩流、地震引起的山崩滑坡、泥石流等原因导致河谷、河床被堵塞而形成的湖泊,如****、唐家山堰塞湖

冰川湖:冰川湖是由冰川挖蚀成的洼坑和水碛物堵塞冰川槽谷积水而成的湖泊。如天山天池、新路海。

岩溶湖:岩溶湖是由碳酸盐类地层经流水的长期溶蚀所产生的岩溶洼地、岩溶漏斗或落水洞等被堵,经汇水而形成的一类湖泊。如草海。

海成湖(潟湖):海湾的湾口处由于泥沙沉积而将海湾与海洋分隔开而形成的湖泊,通常称为潟湖。如杭州西湖。有学者认为太湖也曾是个古潟湖。

风成湖:风成湖是因沙漠中沙丘间的洼地积水而形成的湖泊。如巴丹吉林沙漠的湖泊群。

人工湖——水库:人工挖掘或在河道、海湾筑坝而形成的湖泊。如新安江水库、万宜水库。某些天然湖泊经人工筑坝抬高水位后也可视为水库,如洪泽湖。

湖泊的称谓

中国东部

中国西部 错(纳木错、班公错),通行于藏区。 诺尔(查哈诺尔、腾格尔诺尔) 茶卡(依布茶卡、茶卡盐湖),通行于藏区。 淖(察汗淖、九连城淖) 海子(盐海子、碱海子),通行于蒙古地区、东北地区。 库勒(阿克苏库勒、硝尔库勒)通行于西北**一带。

错(纳木错、班公错),通行于藏区。

诺尔(查哈诺尔、腾格尔诺尔)

茶卡(依布茶卡、茶卡盐湖),通行于藏区。

淖(察汗淖、九连城淖)

海子(盐海子、碱海子),通行于蒙古地区、东北地区。

库勒(阿克苏库勒、硝尔库勒)通行于西北**一带。

世界大湖

依面积计算: 排名 湖名 洲 面积(km²) 体积(km³) 最大深度(m) 所在国家 备注 1 里海 欧亚 371,000 78,200 1,025 阿塞拜疆/伊朗/哈萨克斯坦/俄罗斯/土库曼斯坦 世界、亚洲第一大湖,蓄水量最多的湖泊,咸水湖 2 苏必略湖 北美洲 82,100 12,232 406 加拿大/美国 世界第一大淡水湖,北美洲第一大湖,五大湖之一 3 维多利亚湖 非洲 68,870 2,760 80 肯尼亚/坦桑尼亚/乌干达 非洲第一大湖 4 休伦湖 北美洲 59,600 3,540 229 加拿大/美国 北美五大湖之一 5 密西根湖 北美洲 57,800 4,920 282 美国 北美五大湖之一 6 坦干伊喀湖 非洲 32,900 18,900 1,470 布隆迪/刚果民主共和国/坦桑尼亚/赞比亚 7 贝加尔湖 亚洲 31,494 23,600 1,940 俄罗斯 世界第一深湖、最古老的湖泊 8 大熊湖 北美洲 31,153 2,292 446 加拿大 9 马拉威湖(尼亚萨湖) 非洲 29,500 7,775 706 马拉威/莫桑比克/坦桑尼亚 10 大奴湖 北美洲 27,000 2,088 614 加拿大 11 伊利湖 北美洲 25,700 484 ** 加拿大/美国 北美五大湖之一 12 温尼伯湖 北美洲 24,500 371 36 加拿大 13 安大略湖 北美洲 18,960 1,**0 244 加拿大/美国 北美五大湖之一 14 巴尔喀什湖 亚洲 17,580 122 27 哈萨克斯坦 东半部为咸水湖,西半部为淡水湖 15 咸海 亚洲 17,158 193 40.4 哈萨克斯坦/乌兹别克斯坦 咸水湖,1960年时约68,000平方公里 16 拉多加湖 欧洲 16,400 908 230 俄罗斯 欧洲第一大湖 17 马拉开波湖 南美洲 13,010 280 60 委内瑞拉 咸水潟湖 18 洞里萨湖 亚洲 13,000 40 10 柬埔寨 19 帕托斯湖 南美洲 10,140 - - 巴西 咸水潟湖 20 奥涅加湖 欧洲 9,**0 280 120 俄罗斯 依体积计算: 排名 湖名 洲 体积(km³) 面积(km²) 最大深度(m) 所在国家 备注 1 里海 欧亚 78,200 371,000 1,025 阿塞拜疆/伊朗/哈萨克斯坦/俄罗斯/土库曼斯坦 世界、亚洲第一大湖,蓄水量最多的湖泊,咸水湖 2 贝加尔湖 亚洲 23,600 31,494 1,940 俄罗斯 世界第一深湖、最古老的湖泊 3 坦干伊喀湖 非洲 18,900 32,900 1,470 布隆迪/刚果民主共和国/坦桑尼亚/赞比亚 4 苏必略湖 北美洲 12,232 82,100 406 加拿大/美国 世界第一大淡水湖,北美洲第一大湖,五大湖之一 5 马拉威湖(尼亚萨湖) 非洲 7,775 29,500 706 马拉威/莫桑比克/坦桑尼亚 6 密西根湖 北美洲 4,920 57,800 282 美国 北美五大湖之一 7 休伦湖 北美洲 3,540 59,600 229 加拿大/美国 北美五大湖之一 8 维多利亚湖 非洲 2,760 68,870 80 肯尼亚/坦桑尼亚/乌干达 非洲第一大湖 9 大熊湖 北美洲 2,292 31,153 446 加拿大 10 大奴湖 北美洲 2,088 27,000 614 加拿大 数据源:World Lakes Network

湖泊之最

最大的湖泊及咸水湖:里海(面积达371,000平方公里)

最大的淡水湖:苏必略湖(面积达82,100平方公里)

最大的人工湖:沃尔特水库(面积达8,502平方公里)

最大的火山湖:多巴湖(面积达1,130平方公里)

最深的湖泊及淡水湖:贝加尔湖(水深达1,940米)

最深的咸水湖:死海(水深达330米)

最高的湖泊及咸水湖:纳木错(湖面海拔4,718米)

最高的淡水湖:玛法木错湖(湖面海拔4,585米)

最低的湖泊:死海(湖面海拔负418米)

最咸的湖泊:死海(湖水盐度达30%,为一般海水的8.6倍)

最长的湖泊:坦干依喀湖(长度大约660公里)

最古老的湖泊:贝加尔湖(已经在地球上存在超过2,500万年)

蓄水量最多的湖泊及咸水湖:里海(体积达78,200立方公里)

蓄水量最多的淡水湖:贝加尔湖(体积达23,600立方公里)

蓄水量最多的人工湖:布拉茨克水库(体积达169立方公里)

法法词典

lac nom commun - masculin ( lacs )

  • 1. nappe d'eau douce ou plus rarement salée, occupant une dépression fermée à la surface du globe

    un petit lac de montagne

il n'y a pas le feu au lac locution verbale

  • 1. il n'y a rien de grave ni d'urgent (familier; helvétisme)

    calme-toi, il n'y a pas le feu au lac!

tomber dans le lac locution verbale

  • 1. ne pas réussir ou être abandonné et oublié (familier)

    notre projet de vacances est tombé dans le lac

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