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词典释义:
concile
时间: 2023-09-20 15:31:16
[kɔ̃sil]

n.m. 1. 宗教评,主教 2. pl. (主教上决定的)教谕,教规

词典释义
n.m.
1. 宗教评 ,主教
concile général[plénier, œcuménique]
concile national国主教
2. pl. (主教 上决定的)教谕,教规
recueil des conciles教规汇编

近义、反义、派生词
近义词:
synode
联想词
synode 教务,宗教; pape 罗马教皇; schisme 分立; épiscopat 主教职位或任期; évêque 主教; diocèse 主教管,教; pontificat 教皇的职位或任期; congrès ,大,代表大,年; papauté 罗马教皇的职位; conclave 秘密; clergé 教士,神职人员,僧侣;
短语搭配

intimer un concile〔宗〕指定主教会议的时间和地点

Concile œcuménique公会议, 大公会议

concile national全国主教会议

recueil des conciles教规汇编

La chrétienté d'Orient était représentée au concile par des observateurs.东方基督教修会派观察员列席主教会议。

Un concile œcuménique est une manifestation de la catholicité de l'glise.大公会议是教会普世性的显示。

Le concile du Vatican de 1870 a proclamé l'infaillibilité du pape en matière de dogme et de morale.1870年的梵蒂冈教规宣布教皇在教义和精神方面绝对正确。

原声例句

Et bien sûr, l'Église a pour principe invariable et obligatoire de loger les plus démunis, ordonnant sa charité dans des textes de conciles.

当然,教会的不变和必要原则是安置最贫困的人,在教规中就规定了这一点。

[硬核历史冷知识]

Leur création  remonte au règne de l'empereur Constantin 1er, la première mention de leur existence étant formulée  dans un concile du IVème siècle.

[硬核历史冷知识]

例句库

Cette fête fut célébrée à partir du Concile d’Éphèse (431) qui avait proclamé Marie Mère de Dieu.

人们从Concile d’Éphèse (431)年间开始庆祝圣母升天节,因为正是Concile d’Éphèse宣布玛丽亚是上帝的母亲。

Sur une note plus encourageante, le Concile des évêques de l'Église orthodoxe serbe, qui est convoqué deux fois par an, s'est dit à nouveau disposé à coopérer avec la Commission chargée de la reconstruction et avec le Conseil de l'Europe.

一个令人鼓舞的迹象是,塞尔维亚东正教主教大会在两年一次的会议中重申愿意与该委员会和欧洲理事会进行合作。

法语百科

Un concile (du latin concilium, assemblée), ou synode (du grec ancien sun-odos = chemin commun), est une assemblée d'évêques de l'Église catholique (romaine ou non) ou orthodoxe. Il manifeste une dimension essentielle de toute Église chrétienne : la synodalité ou organisation hiérarchique du corps en vertu de laquelle les prélats chargés du gouvernement de chaque portion de l'Église (évêques) sont susceptibles de se réunir pour prendre ensemble des décisions qui engagent la foi et la discipline de tous sous l'autorité d'un primat.

Il s'agit donc d'une assemblée d'évêques qui établit les doctrines, les dogmes (concile œcuménique) et de discipline commune (conciles généraux et conciles particuliers). Une des formes de leurs décisions est le canon ou loi.

Histoire et présentation générale

On distingue cinq sortes de conciles répartis en deux catégories principales : les conciles œcuméniques et les conciles particuliers.

les conciles généraux sont les assemblées de tous les évêques appartenant à une même communion ecclésiale. En ce cas, œcuménique prend son sens premier et étymologique d'universalité. Il ne désigne pas toutes les Églises chrétiennes mais toutes les parties (évêques, fidèles, diocèses) d'un même ensemble ;

les conciles particuliers où ne sont convoqués qu'une partie des évêques.

Parmi les conciles particuliers on distingue :

les conciles nationaux ou pléniers, composés de tous les évêques d'un État ;

les conciles régionaux (aussi pléniers), composés de tous les évêques de plusieurs provinces ecclésiastiques formant une région (actuellement par exemple en Italie).

les conciles provinciaux, convoqués par un évêque métropolitain, où sont réunis les évêques d'une province ecclésiastique ;

les synodes diocésains, convoqués par l'évêque du lieu.

Les conférences épiscopales ne sont ni des conciles, ni des synodes, mais des assemblées consultatives de prélats qui n'engagent que leurs participants et non toutes les communautés dont ils ont la charge.

Le concile semble trouver son origine en l'an 49, lors de l'assemblée de Jérusalem (appelée couramment et abusivement concile de Jérusalem). Cette assemblée de chrétiens mûrs (anciens), dont faisaient partie notamment les apôtres du Christ, a décidé que tous les nouveaux chrétiens baptisés, qu'ils aient été juifs ou non-juifs, ne seront plus soumis aux prescriptions de la loi judaïque tels que le sabbat, la circoncision et la cacheroute.

Tout concile est convoqué par le supérieur de tous les évêques concernés (pape ou patriarche pour le concile œcuménique, métropolitain pour le concile provincial, etc.). Lorsque le pouvoir ecclésiastique n'en avait pas les moyens, ou lorsque ceux-ci étaient exercés par l'État, spécialement lorsque l'Église était assimilée à un organisme étatique, les autorités civiles (empereur, roi, princes) ont tenté de se réserver le droit de convoquer les conciles. Toutefois, aucun concile ne peut édicter de loi sans l'approbation de l'autorité ecclésiastique qui le préside.

Le schisme de 1054 est la séparation entre l'Église d'Occident et l'Église d'Orient, traditionnellement placée en 1054, et appelée Schisme d'orient par les catholiques, et Schisme d'occident par les orthodoxes. À partir de cette date, l'œcuménicité des conciles n'est plus absolue ; elle est relative à l'ensemble des églises en communion de foi avec l'autorité qui convoque le concile.

Dans l'orthodoxie

Dans les églises orthodoxes, le concile est l'instance qui décide pour l'ensemble des patriarcats de l'une ou l'autre Église. Il est dit œcuménique s'il est déclaré tel par le concile suivant (représentant ainsi l'opinion partagée par tous), ses décisions engagent alors toutes les églises qui le reconnaissent comme tel. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les orthodoxes ne reconnaissent pas le concile de Constantinople IV (879-880) comme œcuménique : il n'a été suivi d'aucun autre concile, certains proposent d'ailleurs de mettre à l'ordre du jour du prochain concile panorthodoxe la proclamation de l'œcuménicité de ce huitième concile.

Dans le catholicisme

Pour les catholiques, l'autorité et la compétence du concile, en matière de doctrine ou de discipline, sont subordonnées aujourd'hui à celles du pape, lequel confirme puis promulgue les décrets conciliaires. Seul le pape convoque et dissout les conciles, qu'ils soient généraux, régionaux ou locaux. Le synode, qui n'a aujourd'hui qu'une autorité consultative (mais néanmoins écoutée par le pape), se distingue du concile œcuménique par un ordre du jour qui ne concerne qu'une zone géographique ou qu'une Église particulières et spécifiques.

Rôle et tenue des conciles

Le premier concile universel intervient douze ans après que Constantin I le Grand eut porté le christianisme au rang de religion légale (le Christianisme était en effet interdit jusqu'à cette date, à ne pas confondre avec l'étatisation du Christianisme) ; Constantin ressent alors la nécessité de convoquer un concile œcuménique chargé d'arbitrer le conflit entre Arius et Athanase. Ce premier concile œcuménique, souvent appelé concile des cinq Patriarcats, débute en 325.

À partir de 325, le concile (sauf cas de force majeure) est réuni tous les ans mais un concile peut durer plusieurs années. De ce fait, sur place, il donne lieu, à la création d’un quartier ou village épiscopal.

Les convocations se font d’un concile sur l’autre. Les conciles se tiennent habituellement sur plusieurs années, car les voyages peuvent durer plusieurs semaines voire plusieurs mois et que certaines questions théologiques (p.e. la Grâce, l’Incarnation, la Trinité, etc.) demandent des temps très longs de débats de réflexion. Ils se tiennent au début, sur le territoire de l’Empire Romain puis sur le territoire des Empires Romain et Carolingien, amputé à partir de la conquête musulmane (post 632) du croissant allant de la Syrie à la Tunisie (l’Algérie et le Maroc n’ont jamais été terres conciliaires).

Classement des conciles et synodes

Ce classement a longtemps donné lieu à discussions car les actes des conciles — acta en latin — n’étaient souvent pas datés ou datés a posteriori. Des travaux universitaires ont tenté de les répertorier rigoureusement, tels que la « Base d'Information Bibliographique en Patristique » de l’Université Laval, Québec, publiée sous la direction du professeur René-Michel Roberge, qui constitue actuellement une des bases les plus complètes et les plus accessibles.

Liste des conciles jusqu'en 1054

conciles généraux

Sept de ces conciles sont reconnus par l'Église catholique et par l'Église orthodoxe (Liste des conciles œcuméniques).

325 : I concile de Nicée dit concile des cinq Patriarcats, il condamne la gnose et l'arianisme (doctrine d'Arius). Adoption du symbole de Nicée. Adoption de la consubstantialité du Père et du Fils. Fixation de la date de Pâques. Adoption de l'ordre des sièges patriarcaux Rome, Alexandrie, Antioche et Jérusalem.Adoption du dogme de la trinité

381 : I concile de Constantinople (Églises des deux conciles) contre la négation de la divinité du Saint-Esprit et contre les Ariens. Adoptions de la consubstantialité de l'Esprit-Saint avec le Père et le Fils, du Symbole de Nicée-Constantinople. Attribue le 2 rang au siège patriarcal de Constantinople, reléguant Alexandrie au troisième rang.

431 : I concile d'Éphèse (Églises des trois conciles) proclame Marie Mère de Dieu et condamne Nestorius. Proclame l'Unité de Personne en Jésus-Christ. Adoption du Symbole d'Éphèse en 433.

451 : concile de Chalcédoine condamne la doctrine d'Eutychès selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, Divine, la nature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature divine, doctrine dite des monophysites. Au contraire, le concile affirme ses deux natures, divine et humaine en l'unique personne de Jésus-Christ. Adoptions du Symbole de Chalcédoine et de la Discipline des Sacrements.

506 : concile d'Agde définit le rite selon lequel tout chrétien doit recevoir la communion 3 fois par an, à Pâques, à la Pentecôte et à Noël.

553 : II concile de Constantinople condamne les œuvres suspectes du nestorianisme (Cf. Nestorius).

680-681 : III concile de Constantinople condamne le monothélisme. Les monothélites, disciples de Sergius, évêque de Constantinople, modifiaient, en partie, l'erreur d'Eutychès (voir supra) : ils enseignaient qu'il n'y a qu'une seule volonté de Jésus-Christ, la volonté divine qui absorbe et anéantit la volonté humaine.

692 : concile in Trullo, dit aussi synode de Constantinople ou concile Quinisexte : il n'est qu'un complément, sur les seules questions de discipline, aux deux conciles précédents. Il n'a été reçu que par les Églises chrétiennes d'Orient

787 : II concile de Nicée (Églises des sept conciles) condamne l'iconoclasme. Il autorise et précise le culte des images (pas de l'image en elle-même, mais de ce qu'elle entend représenter).

869-870 : IV concile de Constantinople, contre le schisme de Photius. Ce concile affirme que la Tradition est l'une des règles de foi. La trichotomie est condamnée (l'homme est composé d'un corps, d'une âme et d'un esprit) et la dichotomie est affirmée (l'homme est composé d'un corps et d'une âme). L'Église orthodoxe ne le reconnaît pas.

Autres conciles (régionaux)

251 : concile de Carthage accepte la réconciliation des lapsi sous conditions (1993 CHPRZ).

262 : concile de Rome condamne le modalisme.

264 : concile d'Antioche.

268 : concile d'Antioche condamne Malchion et le Malchionisme (1904 CHP/ 1917 CPR).

269 : concile d'Antioche condamne Paul de Samosate et sa théorie du logos impersonnel.

305-306 : concile d'Elvire sur le mariage des chrétiens, et sur le célibat des clercs.

314 : concile d'Ancyre, publication de textes canoniques, (de la) Nomination d'évêques; Acta: « Canones XXV » (1994 CEHP), « Nomina episcoporum » (1993 CDPRZ).

314 : concile d'Arles; tenu le1 août 314, ce concile condamne le donatisme (1971 CDPR).

325 : concile d'Antioche, sur la nomination des évêques (1993 CDPRZ).

340 ou 355 : concile de Gangres condamnant Eustathe de Sébaste.

341 : concile d'Antioche.

344 (ou 343) : concile de Sardica en Illyrie ; affirme la primauté du pontife romain et combat les Ariens.

351 : concile de Sirmium, confirmation de la profession de 342 à Trèves, anathème contre Photin, évêque arien de Sirmium.

353 : concile d'Arles, condamnation d'Athanase, l’évêque d’Alexandrie; convoqué par l'empereur Constantin II, ce concile consacre la victoire temporaire de l'arianisme.

356 : concile de Béziers - Saturnin, évêque arien d'Arles exile l'évêque Hilaire.

357 : concile de Sirmium, triomphe du parti radical arien

358 : concile d'Ancyre, sous la direction de Basile d'Ancyre, de tendance homoiousienne, anathémise le parti arien.

359 : concile de Sirmium, à l'initiative de Constance II, compromis entre les anoméens et les homéens, appelé par dérision le credo daté.

359 : concile de Rimini. Les évêques de Vienne et de Narbonne suivent leur chef l'évêque d'Arles Saturnin à ce concile qui définit un dogme différent du symbole de Nicée (dogme Arien).

359 : concile de Séleucie.

361 : concile de Paris, condamne Saturnin d'Arles et l'arianisme.

362 : concile d'Alexandrie. Acta : « Epistula synodalis siue Tomus ad Antiochenos » (1979 CHPR).

Entre 343 et 380 : concile de Laodicée : l'invocation de noms angéliques autres que ceux des trois archanges Michel, Gabriel et Raphaël est condamnée pour éviter les pratiques magiques et idolâtres.

374 : concile de Valence (CPL 1776c).

379 : concile d'Antioche, condamnation du symbolisme (1916 CP).

380 : concile de Saragosse, condamne le priscillianisme.

381 : concile d'Aquilée condamne les évêques ariens Pallade et Sécondien.

382 : concile de Rome condamne l'apollinarisme.

390 : concile de Carthage, définit les règles de nomination des évêques (1972 CHDPRZ).

396 : concile de Nîmes, tenu le1 octobre (CPL 1779).

401 : concile de Turin sur les conflits territoriaux et de préséance entre les évêchés d'Arles et Marseille.

402 : concile de Milève pour la Numidie.

410 : concile de Séleucie.

411 ou 412 : concile de Carthage pour l'Afrique proconsulaire.

414 : concile de Jérusalem contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.

414 ou 415 : concile de Diospolis, contre Pélage et la minimisation du rôle de la Grâce.

415 : synode de Jérusalem (415).

416 : concile de Milève (416) pour la Numidie.

416 : concile de Carthage.

418 : 16 concile de Carthage, pour l'Afrique proconsulaire et la Numidie.

441 : premier concile d'Orange.

449 : second concile d'Éphèse, aussi connu sous le nom de « Brigandage d'Éphèse » à la suite de l'annulation de ses actes au concile de Chalcédoine.

465 : concile de Vannes.

484 : concile de Beth Lapat.

486 : concile de Séleucie (486).

490 - 502 : concile d'Arles II. Actes: textes canoniques (1997 CDPRZ).

506 : concile d'Agde définit entre autres le rite selon lequel tout catholique doit recevoir la communion 3 fois par an, à Pâques, à la Pentecôte et à Noël.

511 : concile d'Orléans.

516 : concile d'Agaune, modifia la règle jusqu'alors suivie dans le monastère Saint-Maurice d’Agaune.

517 : concile d'Épaone en Burgondie sur l'administration de l'Église.

529 : concile de Vaison.

529 : concile d'Orange, présidé par Césaire, ce concile condamne le semi-pélagianisme et donne une formulation théologique de la grâce telle qu'elle avait été prônée par Augustin, contre ceux qui, comme Jean Cassien, donnaient un rôle plus important au libre arbitre.

535 : concile de Clermont, (16 décrets) dont l'évêque sera librement élu par le clergé et le peuple, avec le consentement du métropolitain (archevêque).

549 : le 28 octobre, le cinquième concile d'Orléans réuni à l'initiative du roi de Paris Childebert I exige du pape qu'il condamne les thèses d'un recueil favorable à Nestorius, insistant sur la nature humaine de Jésus. Il stipule un assentiment royal à l'élection des évêques.

550 : concile de Toul (contre les mariages incestueux).

551 : concile d'Eauze tenu par les évêques de la Novempopulanie, et présidé par l'évêque métropolitain Aspais.

553 : concile de Paris convoqué par Childebert.

557 : concile de Paris.

561-563 : I concile de Braga.

571 : II concile de Braga.

573 : concile de Paris.

584 : second concile de Valence.

589 : III concile de Tolède, (Espagne wisigothique).

614 : concile de Paris (15 décrets) dont l'évêque obtient la juridiction exclusive sur les clercs de son diocèse.

647-653 : concile de Chalon-sur-Saône.

649 : concile de Latran (Rome) condamne les Monothélistes.

650 : concile de Rouen ; il impose des surveillants pour faire respecter le repos dominical.

694 : concile de Tolède (royaume wisigoth, en Hispanie).

754 : concile de Hiéreia I: condamne l'idolâtrie du culte rendu aux images et reliques, officialise l'iconoclasme.

754 : concile de Quierzy-sur-Oise, convaincu par Chrodegang, Pépin le Bref y fait adopter la liturgie romaine et le chant romain (Ivan Gobry in Pépin le bref, Pygmalion).

755 : concile de Ver.

757 : concile de Compiègne.

765 : concile d'Attigny.

769 : concile de Latran (Rome).

794 : concile de Francfort (empire d'occident) sur l'iconoclastie.

809 : concile d'Aix-la-Chapelle (Empire d'occident) ajoute le Filioque pour les Églises franques.

813 : concile de Tours, l'un des cinq conciles régionaux réunis par Charlemagne au mois de mai 813, avec ceux de Mayence, de Chalon, de Reims et d’Arles.

817 : concile d'Aix-la-Chapelle (Empire d'occident), précise la règle d'Aix (à partir de la règle de saint Chrodegang), un peu moins stricte au sujet de la pauvreté.

818-819 : second concile d'Aix-la-Chapelle. Dans les actes du concile: capitulaire civil, capitulaire ecclésiastique (Bor. no 138, manuscrits); instructions aux « missi » impériaux (1954 CDHMP).

835 : concile de Thionville.

843 : concile de Germigny.

855 : troisième concile de Valence.

859 : concile de Langres.

862 : concile de Širakawan (Églises arménienne, byzantine et jacobite).

864 : concile de Pitres ,le 20 juin.

866 : premier concile de Soissons.

879 : concile régional de Mantaille. Formation du royaume de Provence.

891 : Meung-sur-Loire.

897 : concile cadavérique de Rome.

909 : concile de Trosly, dans la province de Reims, les évêques proposent d'octroyer un territoire aux Vikings.

994 : concile d'Anse.

989 : concile de Charroux (Auvergne).

1041 : concile de Nice, institution de la trêve de Dieu.

1046 : concile de Sutri (Italie).

1049 : concile de Reims.

Liste des conciles à partir du grand schisme d'Orient en 1054

conciles généraux

Les conciles ci-dessous réunissent, en plus des seuls évêques catholiques, les généraux des ordres monastiques, les princes et des universitaires; tant d'Occident que d'Orient — l'Église catholique englobe l'Occident mais le dépasse tout autant, nombre d'Églises d'Orient étant unies à Rome sans être pour autant de rite latin. Les décrets de ces conciles œcuméniques ne sont actuellement reconnus que par l'Église catholique.

1123 : I concile du Latran.

1130 : concile de Clermont. Il condamne la pratique du tournoi.

1139 : II concile du Latran.

1179 : III concile du Latran définit les règles pour les élections papales.

1184 : concile de Vérone excommunie les Vaudois.

1215 : IV concile du Latran condamne les Vaudois et les Albigeois (Cathares), décrète sur la confession, la communion, le mariage et la hiérarchie des sièges patriarcaux.

1229 : concile de Toulouse, interdiction de lire la bible ou d'en posséder une dans la langue vernaculaire et de la traduire à partir du latin dans la langue vernaculaire.

1245 : I concile de Lyon, réforme les règles d'élection des évêques.

1274 : II concile de Lyon, réforme les règles d'élection du pape.

1311-1312 : concile de Vienne condamne des Bégards et des Béguines.

1414-1418 - concile de Constance, fin du grand schisme d'Occident qui débuta en 1378, à l'ouverture du concile, trois papes se disputent le Saint Siège.

1431-1442 : concile de Bâle affirme explicitement l'autorité des conciles sur le pape — le conciliarisme, et de ce fait n'est pas compté comme œcuménique ; il fut continué à Ferrare 1438 et à Florence (1439-1445).

1512-1517 : V concile du Latran - Schisme luthérien (1520) - Schisme anglican (1534) condamne la supériorité du concile sur le pape et réaffirme, par la bulle "Aeternus Pastor", la supériorité du pape.

1545-1563 : concile de Trente définit la foi catholique sur les points niés par le protestantisme et entreprend une réforme radicale du fonctionnement de l'Église. Il fixe la doctrine sur le nombre et la nature des sacrements, réorganise l'Église autour du prêtre et renforce la primauté du pape.

1869-1870 : I concile du Vatican, définit le dogme de l'infaillibilité pontificale.

1962-1965 : II concile du Vatican.

Autres conciles

1059 : concile de Rome sur la présence réelle et contre Béranger de Tours.

1080 : concile d’Avignon, qui révoque l’archevêque d’Arles Aicard, et nomme officiellement Gibelin sur ce diocèse. Gibelin est consacré par le pape.

1082 : concile de Meaux

1087 : concile de Bénévent.

1095 : concile de Plaisance.

1095 : concile de Clermont, prédication de la première croisade par le pape Urbain II.

1107 : concile de Troyes (France) sur les investitures.

1121 : deuxième concile de Soissons. Condamne Abélard.

1140 : concile de Sens (France) condamnation d'Abélard à l'instigation de saint Bernard.

1140 : concile de Dieulouard (Lorraine).

1160 : concile de Pavie (Italie) sur la succession d'Adrien IV.

1227 : concile de Narbonne.

1252 : concile de Sens, tenu à Paris.

1253 : concile de Paris (novembre). À la suite du meurtre du chantre de l'église de Chartres, le clergé de la cathédrale de Chartres est transféré à Mantes.

1255 : concile de Paris. Sentence contre les meurtriers du chantre de l'église de Chartres.

1256 : concile de Paris. Débat sur les clercs chartrains mêlés au meurtre du chantre.

1274 : concile de Lyon.

1311 : concile de Vienne.

1326 : concile de saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.

1337 : nouveau concile de saint-Ruf près d'Avignon ; il est présidé à nouveau par le camérier de Jean XXII, Gasbert de Valle, archevêque d'Arles.

1347 : concile de Sens, 14 mars 1346.

1409 : concile de Pise (Italie) - convoqué pour tenter de régler le sérieux problème du Grand Schisme d'Occident.

1414-1418 : concile de Constance - résout la crise sus-nommée.

1423 : concile de Pavie (Italie).

1431-1449 : concile de Bâle (Suisse)

1551 : concile de Lima (Pérou) - convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.

1567 : concile de Lima (Pérou) - convoqué pour l'archevêque Jerónimo de Loayza.

1583 : concile de Lima (Pérou) - convoqué pour l'archevêque Saint Turibio de Mongrovejo?

1727 : concile d'Embrun, Archevêché d'Embrun - convoqué par l'archevêque Pierre Guérin de Tencin pour déposer l'évêque M Soanen.

1601 : concile de Lima (Pérou) - convoqué pour l'archevêque Saint Turibio de Mongrovejo.

1772 : concile de Lima (Pérou) - convoqué pour l'archevêque Diego Antonio de Posada.

1797 : concile de Paris (Église constitutionnelle).

1800 : concile de Rouen (Église constitutionnelle).

1801 : concile de Paris (Église constitutionnelle).

1811 : concile de Paris.

法法词典

concile nom commun - masculin ( conciles )

  • 1. religion : dans l'Église chrétienne assemblée solennelle des évêques qui traite des affaires de l'Église

    un concile catholique • concile œcuménique

  • 2. religion : dans le Bouddhisme assemblée des principales personnalités et des représentants des grandes communautés, qui discute des principes et des doctrines

    un concile bouddhiste

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