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词典释义:
suzeraineté
时间: 2023-09-23 00:13:20
[syzrεnte]

n. f 1封建地位; 封建权2<转><书>宗权

词典释义
n. f
1封建地位; 封建
2<转><书>宗
近义、反义、派生词
近义词:
domination,  hégémonie,  leadership,  prédominance,  souveraineté,  suprématie
反义词:
allégeance
联想词
souveraineté 权,王权; vassal 诸侯,封臣,附庸; domination 控制,支配; seigneurie 权; suprématie 最高权力,霸权; protectorat 护国,护领地; principauté 亲王或公侯封地或爵位; annexion 兼并,并吞; royauté 王权,王位; hégémonie 霸权,盟权; mainmise 控制,操纵;
例句库

En conséquence, les relations de suzeraineté ne rendaient pas la Grande-Bretagne responsable de l'acte ayant fait l'objet de la plainte.

因此,宗主关系“并未导致英国对所申诉的行为应负的责任。”

Les relations internationales de dépendance comme la «suzeraineté» ou le «protectorat» justifiaient que l'État dominant soit tenu pour internationalement responsable du comportement formellement attribuable à l'État dépendant.

从“宗主国”或“保护国”等国际从属关系看来,应该使支配国为正式归于附属国的行为承担国际责任。

法语百科

La suzeraineté est une situation dans laquelle une région ou une nation est tributaire d'une entité plus puissante qui permet au tributaire certaines autonomies domestiques limitées pour contrôler ses affaires étrangères. L'entité plus puissante dans la relation de suzeraineté, ou à la tête de l'État de l'entité plus puissante, est ainsi appelé le suzerain.

Dans un système féodal, le suzerain est un seigneur qui octroie un fief à son vassal lors de la cérémonie de l'hommage.

Le terme de suzeraineté a été utilisé pour décrire la relation entre l'Empire ottoman et ses régions environnantes. Il diffère de la souveraineté en cela que le tributaire a quelques autonomies de gouvernance limitées.

Bien que ce concept ait existé dans plusieurs empires historiques, il est difficile à décrire avec les théories du droit international du XX siècle, dans lesquelles la souveraineté existe ou n'existe pas. Alors qu'une nation souveraine peut consentir par traité à devenir le protectorat d'un pouvoir plus fort, le droit international moderne ne reconnaît aucune manière de rendre cette relation théoriquement irrévocable par le pouvoir plus faible.

Chine

Histoire

Historiquement, l'empereur de Chine se voyait comme le centre de la totalité du monde civilisé. En particulier, les relations diplomatiques avec l'Asie de l'Est étaient fondées sur l'idée que les souverains de cette région tenaient leur autorité de l'empereur. Les Chinois appelaient cette conception chaogong tizhi (朝贡体制) ou "système du tribut". Le degré auquel cette conception était tenue pour vraie a changé dans les faits d'une dynastie à l'autre. Cependant, même pendant les périodes où le pouvoir politique a été également distribué à travers plusieurs entités politiques, la théorie politique chinoise ne reconnaît qu'un empereur et affirmait que son autorité était suprême à travers le monde entier. Les relations diplomatiques avec l'empereur de Chine ont été échafaudées sur la théorie d'États tributaires, bien qu'en pratique les relations tributaires avaient souvent pour résultat une forme de commerce, sous la théorie que l'empereur dans sa bienveillance récompenserait l'état tributaire avec des cadeaux d'égal ou de plus grande valeur.

Ce système s'est rompu aux XVIII et XIX siècles de deux façons. Premier pendant le XVIII siècle, la Chine a été gouvernée par la dynastie Qing de l'ethnie des Mandchous qui a gouverné un empire multiethnique et a justifié son régime par différentes théories de gouvernance. Même si par contradiction avec les théories Han chinoises traditionnelles selon lesquels l'empereur serait le dirigeant universel, les Qing ont commencé à faire une distinction entre les secteurs du monde qu'ils ont gouverné et les secteurs qu'ils n'ont pas gouverné. Le système s'est aussi rompu car la Chine a dû faire face à des pouvoirs européens dont les théories de souveraineté ont été basées sur le droit international et les relations entre des États égaux.

En un sens, les États européens ont tenté de décrire les relations entre la dynastie Qing et ses régions extérieures en termes de suzeraineté, bien que cette notion ne corresponde pas du tout à la théorie diplomatique chinoise traditionnelle.

*****

« Carte de la Chine et des pays voisins soumis en partie à l'empereur Tschien-Long », de Johann Christian Hüttner

En 1853, les orientalistes Guillaume Pauthier et Louis Bazin évoquent la suzeraineté de la Chine des Qing sur le ***** dans leur ouvrage Chine moderne ou description historique, géographique et littéraire de ce vaste empire :

« Par ses possessions de l'Asie centrale, la Chine, située à l'extrémité du continent asiatique, où elle a vieilli isolée depuis plus de quatre mille ans, comme dans un monde à part, touche à l'empire de Russie, né d'hier et qui déjà pourrait l'envahir ; par sa suzeraineté sur le Thibet, elle touche aux possessions de l'empire Britannique : deux voisinages plus dangereux pour elle, nation industrieuse et riche, que toutes les hordes tartares contre lesquelles elle éleva jadis ce fameux rempart de cinq cents lieues de longueur, qui deviendrait impuissant contre l'avidité civilisée de ses nouveaux voisins. »

La même année, le géographe Samuel Augustus Mitchell publie, dans son New Universal Atlas, une carte de la Russie en Asie où le ***** est inclus dans les frontières de l'Empire chinois (En anglais Chinese Empire, en vert sur la carte).

Le géographe russe, Mikhail Ivanovitch Veneioukov, parle en en 1870 parle de pays vassaux en citant Le ***** et les autres dépendances de l'Empire Mandchou :

« En même temps, quelques explorateurs ont pénétré dans l'intérieur des pays vassaux du Fils du ciel et y ont fait des levées et des observations astronomiques. Ainsi les cartes de la Mongolie, de la Dzoungarie et, en partie, de la Mandchourie, du Turkestan oriental et du Thibet, ont été presque totalement transformées. Mais celle de la Chine proprement dite, de l'Empire du Milieu, était restée à peu près telle qu'elle a été dressée par les jésuites. »

Après son expédition militaire de 1903-1904 au *****, la Grande-Bretagne reconnaît en 1906 la souveraineté de la dynastie Qing sur le ***** lors du traité de Pékin. Ainsi qu'en avril 1908 lors du second traité de Calcutta, amendant celui du 5 décembre 1893. Entre 1910 et 1912, les Qing envoyèrent des troupes au ***** pour y restaurer leur autorité mais la Révolution chinoise de 1911 y mit un terme.

Territoire administrés par la République de Chine en 1945, à la fin de la seconde guerre mondiale[interprétation personnelle]
Territoire administrés par la République de Chine en 1945, à la fin de la seconde guerre mondiale

Selon le professeur Naomi Standen de l'université de Birmingham, si la République populaire de Chine fait remonter l’incorporation du ***** à la Chine à la dynastie Yuan, cette interprétation est récente. Pour la République de Chine qui avait succédé à la dynastie Qing la Chine n'a exercé une suzeraineté et même une souveraineté sur le ***** qu'à partir de la dynastie Qing.

Inde

Sikkim

À la suite du Mouvement pour l'indépendance de l'Inde en 1947, un traité a été signé entre le Chogyal et le Premier ministre de l'Inde qui était à l'époque Jawaharlal Nehru. Ce traité a donné à l'Inde la suzeraineté, en forme de protectorat, sur le Sikkim, celui-ci gardait en échange son indépendance. Cette situation a duré jusqu'en 1975, date à laquelle la monarchie du Sikkim a été abrogée et ce dernier s'est unis à l'Inde.

Bhoutan

L'Inde ne se préoccupe plus des affaires dans le domaine externe, de la défense, des communications et des affaires étrangères du Bhoutan. Néanmoins, l'Inde apporte un support substantiel à l'Armée royale du Bhoutan et garanti son aide en cas d'agression externe. Ceci est l'une des nombreuses situations en politique internationale où deux États souverains ont accepté que le plus puissant s'occupe de la défense du plus faible.

Autres pays

En géopolitique moderne, il n'est pas inhabituel pour de plus grand pays de s'occuper de la défense et des relations étrangères d'un pays moindre proche. Ceci diffère de la suzeraineté traditionnelle dans le fait que les pays moindres ont le droit d'abroger cet arrangement par un référendum. Quelques exemples proéminent sont:

Italie/Saint-Marin

Italie/Vatican

France/Monaco

France/Andorre

Espagne/Andorre

Suisse/Liechtenstein

Nouvelle-Zélande/Niue

Nouvelle-Zélande/Îles Cook

Nouvelle-Zélande/Tokelau

Australie/Nauru

Angleterre/Île de Man jusqu'en 1765

États-Unis/Micronésie, Îles Marshall, et Palaos (gouverné maintenant par la Compacts of Free Association)

Suzerain historique

Valachie

Moldavie

Principauté de Serbie

中文百科

宗主权是指国家对其属国的内政及外交拥有干预的权力,对属国享有宗主权的国家即是宗主国。宗主国通常在一定程度上拥有属国的外交权,但属国仍保有独立的自治权力。较有权的一方为宗主。英文里的宗主权「Suzerainty」原是用来形容奥图曼帝国及其周围属地的关系。与主权不同的是,宗主关系里的附庸通常有一定程度的自治权,也可指封建帝王对进贡诸侯的关系。

宗主在历史上许多帝国中存在,但很难用20世纪后的国际法定义,因为宗主关系需要很明确的存在或不存在。一个主权独立的国家可以和一个强权签署协约受其保护,但现代国际法并没有硬性规定宗主关系不能撤回。

中国

历史上中国自认为是天下的中心,要求周围国家承认中国的宗主地位,例如越南、朝鲜等。理论上,藩属国从中国皇帝身上得到治权,但中国皇帝对从属国的影响力因朝代而不同。但即使在天下分治时期,中国政治理论通常仍只承认一个统治中原的君王(如周、汉)。藩属国常以进贡之名行贸易之实。属国进贡后中国常还以等值或更多的礼物。 但这套系统在18世纪之后便逐渐衰败,因清朝皇帝以不同的权力理论统治各族,并开始分别实质统治和名义统治的地区。西方势力进入中国之后,国际法的思想更加速其瓦解。 欧洲国家常用宗主关系形容清朝和其周边国家的关系, 但这并不完全符合传统中国的外交理论。 西藏 中华民国和中华人民共和国都宣称拥有西藏的主权,世界大部分国家也都承认中国对西藏的统治。早在元朝,中原王朝就已经在西藏行使治权,西藏成为宣政院辖地。虽然明朝有些反复,其后也一直没放弃这权力。所以即使面对着藏独运动者的反对,革命后的中国政府仍然根据国际法统治西藏。 清朝政府长期地治理过西藏:清政府18世纪率军驱除入侵西藏的蒙古准噶尔汗国军队,从此继元朝后继续驻军西藏,并在西藏设有驻藏大臣进行实际上的管理。清政府并在19世纪与20世纪时与大英帝国签定过《中英藏印条约》、《中英续订藏印条约》等涉藏条约。但藏独人士认为中国对西藏只有宗主权,因此可以解释为西藏不是中国的一部份。1907年大英帝国和俄罗斯帝国签定的《英俄条约》中将北京与拉萨当时的关系定义为“宗主关系”,然此条约从未被中国政府所接受。另外,一部分人一直视清政府为外来政权(如方以智曾经抱怨过清朝的统治),是东北的满人,「并不是中国人」,就像元朝的蒙古人一样。 1911年辛亥革命后,当时位于印度的英国籍总督鼓吹西藏脱离清朝的控制;西藏于1913年宣布独立。虽然西藏表面上顺从国民政府,并派遣国大代表进入南京(其实西藏派出的「国代」相当于驻南京使节),但西藏从1912年到1950年代一直处于国府治权鞭长莫及的半自治空窗期。直到1959年解放军进军拉萨后,中华人民共和国中央政府才重新控制西藏。 2008年10月29日,英国外交大臣戴维·米利班德(David Miliband)正式宣布,英国承认中华人民共和国对西藏的主权。美国与欧盟也承认中华人民共和国对西藏的主权。

印度

锡金邦 紧接着印度1947年的独立,锡金的法王(Chogyal)与印度总理贾瓦哈拉尔·尼赫鲁签订了一个宗主条约。此条约确定锡金为印度的保护国,以换取锡金邦的自治,直到1975年锡金邦的君王被废黜。锡金现为印度人口最少的邦。 不丹 印度现今虽已不干涉不丹外交、国防、通信等方面,但印度仍提供不丹皇家军队很大的协助,并承诺抵御外侮。这是国际政治上一个强国协防弱国的例子。 拉克沙群岛 位于阿拉伯海上,喀拉拉邦西南方的拉克沙群岛是印度最小的联合属地。蒂普苏丹于1787年,统治雅敏迪维群岛(Amindivi)(包含雅敏尼(Amini)、喀德马(Kadmat)、契珥单(Kiltan)、察他喇(Chetlat)及比差(Bitra))。在第三次英祢战争(Third Anglo-Mysore(迈索尔)War)后治权转移至英属印度的南卡纳达区。其他的岛屿成了肯诺(Cannanore)的阿剌克家族(Arakkal)的进贡国。之后英国因阿剌克的欠款接管了这些地区、依附在马卓斯(Madras Presidency)下的玛拉巴(Malabar)区。印度1956年的国家重组法中,将这些岛屿从印度本岛行政单位中划出,结合所有小岛成立新的领域联盟。

南非

在第一次布尔战争(1880年-1881年)之后,南非共和国(又称德兰士瓦共和国,位于今日南非共和国东北)在英国宗主统治下独立。在第二次布尔战争时,南非共和国成了德兰士瓦殖民地,直到1910年成为南非联邦的德兰士瓦省。

美国

美国首都华盛顿哥伦比亚特区,被赋予了特别一定的自治。民选的市长和市议会运行华盛顿和哥伦比亚特区,但宪法上首都是隶属国会管辖。因此,国会具有否决市议会法案和通过市预算的权力。政治理论上,这代表美国国会是哥伦比亚特区的宗主;市议员除了国会议员给予的权力范围以外,没有管理地方的权力。举例来说,美国各州州长都统领各州的国民兵,但在华盛顿哥伦比亚特区的国民兵并不由市长掌控,而是由美国总统统帅。 美国目前依据自由联系协定,负责密克罗尼西亚联邦、马绍尔群岛以及帕劳的防御,任何一方理论上也都可以终止条约。

前苏联

史达林在二战末期挥军控制东欧大片土地,并扶植各地的社会主义政权;后来史达林为了抗衡北大西洋公约组织与欧洲联盟,成立了华沙公约组织与经济互助委员会,变相控制东欧的卫星国(除了希腊,南斯拉夫以及后期和苏联关系破裂的阿尔巴尼亚外),而卫星国由于畏惧史达林的铁腕统治而不得不任由史达林宰割。 苏联军队也曾先后派遣军队进入匈牙利和捷克斯洛伐克境内去镇压反政府示威,直到1989~1990年发生所谓的东欧剧变和苏联解体后,东欧国家才恢复其自主权,而现今大部份东欧国家已是北大西洋公约组织与欧盟的成员国。

其他国家

意大利—— 圣马力诺

意大利—— 梵蒂冈

法国—— 摩纳哥

法国—— 安道尔

西班牙 —— 安道尔

瑞士—— 列支敦士登

新西兰 —— 纽埃

新西兰—— 库克群岛

澳大利亚—— 瑙鲁

印度 —— 不丹

美国—— 帕劳

美国—— 密克罗尼西亚联邦

数据源

↑ 宗主权. 教育部国语推行委员会(编).重编国语辞典修订本. [2011年1月5日] (中文(繁体)‎).

↑ 宗主国. 教育部国语推行委员会(编).重编国语辞典修订本. [2011年1月5日] (中文(繁体)‎).

↑ suzerain.见:霍恩比,李北达.牛津高阶英汉双解词典(4).香港:牛津大学出版社,1997 ISBN 0-19-587421-8, ISBN 9780195874211

1 2 西藏问题从何而来?. 德国之声. 2008-03-18.

↑ Proclamation Issued by His Holiness the Dalai Lama XIII (1913). 1913-01-08. (英文)

↑ Spencer, Richard. UK recognises China's direct rule over Tibet. The Daily Telegraph. 2008-11-05 [2010-07-12].

法法词典

suzeraineté nom commun - féminin ( suzerainetés )

  • 1. histoire : au Moyen Âge qualité de suzerain

    la suzeraineté d'un roi

  • 2. histoire : au Moyen Âge responsabilité en tant que suzerain

    donner à un pays la suzeraineté sur un peuple

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monocristal n. m 单

plisser v. t. 1. 做出褶, 打褶, 打裥:2. 弄, 使起纹, 使起:3. 使起波伏褶v. i. 1. 有褶, 有纹, 有波状褶:2. [罕]起se plisser v. pr. 有褶, 起常见用法

téléacheteur téléacheteur, sen. 电视

indemne a. 1[法]未受失的, 得到赔偿的2丝毫的, 未受伤害的:常见用法

aquilon 朔风,劲风

sectateur sectateur, tricen. m <旧>宗派信徒, 学派信徒

finir 结束,完成

cape n. f. 1斗篷, 披风2包雪茄的最外层烟叶3圆顶礼帽[也称chapeau melon]常见用法

signer v. t. 1. , 在…名: 2. 加以印记:3. [古](督徒)划十字祝福4. 笨拙地仿效; 滑稽地学样:5. 假装, 装作, 装出se signer v. pr. (督徒)划十字常见用法

causerie n.f.1. 交, 闲 2. 漫, 座