Francisco de Zurbarán, Saint Hugues au réfectoire des Chartreux, 1630 - 1635, Musée des beaux-arts de Séville.
Les confréries sont des communautés destinées à favoriser une entraide fraternelle ou à perpétuer une tradition. Cette forme d'association est attestée depuis le XIII siècle. La confrérie est en général dirigée par un grand maître.
En France, toutes les confréries furent abolies au moment de la Révolution française, par un décret en date du 18 août 1792, qui abolissait en outre les congrégations religieuses.
En Espagne, il subsiste de nombreuses confréries (cofradias ou hermandad) perpétuant une tradition religieuse.
Histoire
En Occident
Procession de la confrérie des Pénitents blancs d'Avignon, par Pierre Grivolas
Les confréries des métiers sont des institutions de tradition romaine. Déjà le roi Numa rangea, en effet, tous les artisans de Rome en autant de confréries qu'il y avait de professions dans la ville; elles avaient chacune un dieu de l’antiquité pour patron. Les lois de Justinien en font mention : elles défendent aux confréries des métiers d’avoir d’autre objet que l’exercice des principes religieux et le soulagement des pauvres. Les confréries françaises des métiers étaient des œuvres toutes de charité et d'assistance, dont faisaient partie tous les gens du métier. Chacune de ces associations était une sorte de société religieuse de secours mutuels, alimentée surtout par les amendes, les parts de droits d’entrée, d’apprentissage, les dons volontaires. Elle secourait les orphelins, les vieillards pauvres, les veuves et au besoin, faisait les frais des mariages et des funérailles.
Les confréries de métier ont été par la suite des groupements constitués à la fin du Moyen Âge (XIVetXV siècles en général) dans le cadre des diverses manifestations de la solidarité entre égaux qui tendait à remplacer les liens de protection caractéristiques de l'époque féodale.
Les confréries se différencient des corporations par plusieurs aspects :
un recrutement non exclusif (même une confrérie dite « de métier » ne se limite pas aux membres de son métier). Voir les confréries d'artisans, par exemple, appelées dans le passé guilde, ou corporations ;
une primauté du lien sur le cadre. Là où la corporation forme une universitas structurant un corps social, la confrérie relie avant tout des individus entre eux ;
un rôle essentiel du processus d'intercession. La confrérie médiévale n'a pas pour vocation de promouvoir le culte chrétien (ce rôle lui sera dévolu à la période moderne). Par contre, les confrères accomplissent une pratique religieuse plus ou moins régulière ayant pour « but » d'obtenir l'intercession du saint patron de la confrérie. L'avantage de la prière confraternelle sur la pratique solitaire est que la somme des prières de tous les confrères bénéficie individuellement à chaque confrère. On peut en citer quelques-unes : Confrérie de la Passion, Confrérie des Charitables de Saint-Éloi et plus récemment Confrérie de charité.
Dans le monde musulman
Les confréries musulmanes ont souvent popularisé deux notions assez étrangères à l'Islam, l'amour mystique de Dieu (Allah) et le culte des saints. Voir Confréries soufies, zaouïa, et aussi confrérie du Sénégal, bektachi, chadhili, yesevis, derviche, séfévides,
Confréries contemporaines
Confréries militaires
En France, le bataillon des canonniers sédentaires de Lille est l'unique descendant des confréries militaires. Créée le 2 mai 1483, la « confrérie des Canonniers et couleuvriniers » de Lille est alors appelée confrérie de Sainte Barbe. Son nom actuel lui est donné par Napoléon Bonaparte en 1803, en récompense de sa résistance face aux Autrichiens lors du siège de Lille de 1792.
Dans l'Espagne médiévale, une Hermandad, signifiant « fraternité », désigne une confrérie d'hommes armés formée contre le meurtre et le pillage, et qui fut plus tard organisée administrativement.
Dans les Pays-Bas des époques médiévale et moderne, une schutterij est une milice citoyenne destinée à protéger la ville ou la cité d'une attaque, d'une révolte ou d'un incendie, comme la confrérie des arbalétriers de saint Sébastien, appartenant à la Garde civique d’Amsterdam, peinte par Bartholomeus van der Helst (1653).
Confréries religieuses
Le terme de « confrérie », au sens religieux, existe toujours. Dans le passé, les confréries étaient fréquemment des associations d’entraide, soit affiliées à une église, soit formées de membres d'une même profession. Dans ce cas, ce sont plutôt des corporations. Au XVIII siècle encore, on dénombrait pratiquement une confrérie par paroisse, notamment à la campagne. Parmi les confréries qui existent toujours, il y a par exemple :
Confréries de pénitents :
Les « Beubeux de Mons »
Confrérie de la Charité de Giverville, en 1865
Confrérie de la miséricorde. À Mons, la confrérie de la Miséricorde ou confrérie de Saint-Jean Décollé, dite des « Beubeux » défile dans la Procession du Car d'Or. Cette confrérie de pénitents visite les prisonniers, organise des conférences, aide les plus démunis. L'Archiconfrérie de la Sainte-Croix de Nice Sociétas Gonfalonis ou Société du Gonfalon, plus connue sous le nom de confrérie des pénitents blancs, est une confrérie de pénitents fondée au début du XIV siècle. Depuis 1817 elle est reconnue d'utilité publique. Elle s'occupe de gestion d’hôpitaux et de soins aux malades. L'Archiconfrérie des pénitents bleus de Nice ou la Société du Saint-Sépulcre ou vénérable archiconfrérie des pénitents bleus de Nice est une confrérie de pénitents d’inspiration franciscaine, fondée au XV siècle et toujours active aujourd’hui. Elle s'est longtemps impliquée dans le soin des lépreux, la gestion d’hôpitaux, d’un mont-de-piété et d’un orphelinat pour filles, mais la première mission charitable établie par ses fondateurs est l'engagement pour la Terre sainte.
Confrérie de la miséricorde. À Mons, la confrérie de la Miséricorde ou confrérie de Saint-Jean Décollé, dite des « Beubeux » défile dans la Procession du Car d'Or. Cette confrérie de pénitents visite les prisonniers, organise des conférences, aide les plus démunis.
L'Archiconfrérie de la Sainte-Croix de Nice Sociétas Gonfalonis ou Société du Gonfalon, plus connue sous le nom de confrérie des pénitents blancs, est une confrérie de pénitents fondée au début du XIV siècle. Depuis 1817 elle est reconnue d'utilité publique. Elle s'occupe de gestion d’hôpitaux et de soins aux malades.
L'Archiconfrérie des pénitents bleus de Nice ou la Société du Saint-Sépulcre ou vénérable archiconfrérie des pénitents bleus de Nice est une confrérie de pénitents d’inspiration franciscaine, fondée au XV siècle et toujours active aujourd’hui. Elle s'est longtemps impliquée dans le soin des lépreux, la gestion d’hôpitaux, d’un mont-de-piété et d’un orphelinat pour filles, mais la première mission charitable établie par ses fondateurs est l'engagement pour la Terre sainte.
Hevra kaddisha. Société du dernier devoir en France, pluriel hevrot kaddisha, est une société librement structurée mais assez organisée et fermée, faisant office de pompes funèbres, composée de membres Juifs, qui s'occupent de préparer les corps des défunts (Juifs) conformément aux rites de la Halakha (Loi juive) et veillent à ce qu'ils ne soient pas désécrés (volontairement ou non) jusqu'à l'enterrement. D'autres confréries, caritatives chrétiennes, ont également pour objectif d'assurer l'enterrement aux défunts.
Confrérie saint Sébastien de Rheinfelden (de). Elle est née en 1541 comme confrérie pendant l'épidémie de peste à Rheinfelden et est nommé d'après saint Sébastien, protecteur contre la peste.
Confrérie Cornélius : une Confrérie Cornélius (de) a pour objectif d'honorer la mémoire du pape Corneille († vers 253), le vingt et unième pape. On connaît en tout 23 confréries Cornélius, dont dix-neuf aux Pays-Bas, sept en Allemagne et six en Belgique. La plupart se trouvent dans des commune qui possède une église dont le patron est saint Corneille.
Procession de la confrérie du Saint-Sang à Bruges en mai 2015
Archiconfrérie Saint-Michel (de). L'archiconfrérie, de son nom complet Bruderschaft des hl. Erzengels und Himmelsfürsten Michael, est une association catholique d'ecclésiastiques et laïcs qui ont pour objectif est la vénération de l'archange Michel. Fondée en 1693, elle a eu, à son apogée au XVIII siècle, jusqu'à 100 000 membres ; la noblesse était surreprésentée. Elle en compte actuellement environ 800.
Confrérie de saint Matthieu (de). Une telle confrérie est une confréries de pèlerinage. Depuis le XI siècle, ces confréries font des pèlerinages vers le sanctuaire de cet apôtre, l'abbaye Saint-Matthias de Trèves, qui est supposée conserver des restes de l'apôtre Matthieu. La tradition des pèlerinage est toujours vivante.
Confrérie du Rosaire : les confréries du Rosaire sont des associations catholiques réunissant des personnes pour prier le Rosaire.
Compagnie du Saint-Sacrement : c'était une société catholique fondée en 1630 par Henri de Levis, duc de Ventadour, et dissoute par Louis XIV en 1666.
Confrérie du Saint-Sang. La Confrérie noble du Saint-Sang à Bruges, fondée peu après 1400, est la plus ancienne confrérie religieuse belge. Elle emmène lors de la Procession du Saint-Sang chaque année au mois de mai la relique du Saint Sang rapportée de Terre Sainte.
Orthodoxe Fraternität in Deutschland (de). C'est le nom d'une confrérie pan-orthodoxe portée principalement par des laïques qui réunit des chrétiens orthodoxes et des amis de l'orthodoxie chrétienne.
Confréries de la semaine sainte
Nazarenos de la Hermandad de la Carretería lors de la Semana Santa à Seville
À Séville, durant les huit jours de la Semaine sainte, soixante confréries (Hermandades et Cofradías) sortent en procession dans les rues de la ville. dédiés à la Passion du Christ, 60 confréries (Hermandades et Cofradías) sortent en procession pour se rendre à la Cathédrale, conclure leur station de pénitence, avant de revenir vers leur point de départ.
À Viveiro, ville de Galice en Espagne, durant la Semana Santa de Viveiro, nom officiel de la célébration religieuse de la semaine sainte, huit confréries (Hermandades et Cofradías) sortent en procession dans les rues de la ville.
À Palencia, il existe huit confréries (la plus ancienne fut fondée en 1407 et s'appelle la Cofradía del Santo Sepulcro, San Juan Bautista y Archicofradía de las Cinco Llagas de San Francisco) qui dirigent les processions. Elles possèdent environ quarante chars (les pasos) qui défilent, durant la Semaine sainte, depuis le Samedi de la Passion jusqu'au Dimanche de Pâques.
À Braga, au Portugal, la Semana santa est la procession religieuse la plus importante de la ville, et l'une des plus célèbres de Portugal. Durant les huit jours dédiés à la Passion du Christ, les confréries (confrarias) sortent en procession pour se rendre à la cathédrale, et revenir vers leur point de départ. Chacune de ces congrégations conduit lors de son long cheminement ses pasos, autels portés à dos d'hommes.
Confréries caritatives
La Confrérie Saint-Christophe (de) est une association de l'« amour chrétien du prochain ». C'est une association purement caritative, de grande envergure, avec plus de 18 000 membres en 2011. Parmi les membres illustres, il y a Juan Carlos d'Espagne, Beatrix des Pays-Bas, des membres de la famille royale saoudienne ou les princes du Liechtenstein . Le siège de la confrérie est l'Hospice Saint-Christophe à Arlberg (de) au Tyrol.
Confrérie Kaland (de) désigne une confrérie de bourgeois aisés ayant pour objectif des bonne œuvres, et étaient largement répandues dans de nombreuses villes au Moyen Âge. Le mot Kaland vient du mot latin kalendae. Il désigne le premier jour du mois, et fait référence à l'usage des membres d'une confrérie Kaland de se retrouver régulièrement ce jour-là.
La Confrérie de l'Arche (ou Confrérie de l'Arche du Saint-Esprit, ou encore Confrérie du Saint-Esprit) est une œuvre caritative fondée au XII siècle. Composée uniquement de laïcs, la confrérie de l'arche du Saint-Esprit fut créée par Guy de Montpellier dans le but de réunir toutes les personnes souhaitant aider les pauvres, les malades et les orphelins. Il fonda aussi à la même période l'Ordre des Hospitaliers du Saint-Esprit.
Confréries civiles
Ce sont bien entendu les loges maçonniques qui constituent les confréries les plus connues.
Confrérie de la Cuillère, ligue chevaleresque, vers 1527-1536.
Confrérie corporative
Les guildes de Saint-Luc ou gildes de Saint Luc (aussi appelées corporations, confréries ou compagnies de Saint-Luc) étaient des organisations corporatives strictement réglementées de peintres, de sculpteurs et d'imprimeurs, actives depuis le XIV siècle en Italie (Florence), dans les Pays-Bas (Bruges, Anvers, Utrecht, Delft ou Leyde), les pays rhénans et la France. Elles prirent ce nom en référence à Saint-Luc l'évangéliste, le saint patron des peintres.
Confréries vénitiennes
Les confréries vénitiennes sont des scuole (singulier scuola ; vénitien schola, pl.schole). Ces institutions de la république de Venise étaient consacrées aux corporations d'arts, de métiers et à la dévotion des patrons de ceux-ci.
La scuola Grande de San Rocco était l'une des plus riches Scuole de Venise, une institution prestigieuse reconnue par le Conseil des Dix, dont le rôle était de lutter contre les épidémies de peste et destinée à aider la population.
Les autres scuole se répartissaient en : les schole grandi : les associations de charité les plus importantes dans la cité; dotées de grande capacité financière et socialement très importantes vu le grand nombre d'affiliés; les schole picole : dites petites pour les différencier des grandes, elles réunissaient obligatoirement tous les artisans du même art ou métier; leur nombre fut important. Les arts furent en outre subdivisés par sestiere et ensuite par quartier, donnant ainsi des sièges ou église de réunion différents. les schole nationali : les nationales furent les associations réservées aux nombreuses communautés étrangères qui vivaient à Venise, où elles tenaient souvent aussi une base commerciale propre, le fontego. les schole de devozion: les écoles de dévotion furent des associations de citoyens qui se réunissaient à des fins de charité ou pour des raisons d'assistance mutuelle entre les affiliés ; ils se distinguaient à leur tour en fraternelles, compagnies, sovvegni, ces schole sont également subdivisés par sestiere et par quartier, déterminant leur siège ou église de réunion.
les schole grandi : les associations de charité les plus importantes dans la cité; dotées de grande capacité financière et socialement très importantes vu le grand nombre d'affiliés;
les schole picole : dites petites pour les différencier des grandes, elles réunissaient obligatoirement tous les artisans du même art ou métier; leur nombre fut important. Les arts furent en outre subdivisés par sestiere et ensuite par quartier, donnant ainsi des sièges ou église de réunion différents.
les schole nationali : les nationales furent les associations réservées aux nombreuses communautés étrangères qui vivaient à Venise, où elles tenaient souvent aussi une base commerciale propre, le fontego.
les schole de devozion: les écoles de dévotion furent des associations de citoyens qui se réunissaient à des fins de charité ou pour des raisons d'assistance mutuelle entre les affiliés ; ils se distinguaient à leur tour en fraternelles, compagnies, sovvegni, ces schole sont également subdivisés par sestiere et par quartier, déterminant leur siège ou église de réunion.
Confréries de dégustation
Confréries gastronomiques internationales
La Guilde internationale des fromagers dite confrérie de Saint Uguzon
Confréries bachiques ou vineuses françaises
Défilé de la Commanderie des Costes du Rhône
Commanderie des Costes du Rhône
Confrérie de la Saint-Vincent et disciples de la Chanteflûte.
Confrérie des Chevaliers du Tastevin.
Confrérie des Fins Gousiers d'Anjou.
Confrérie Royale du Château de la Fenouillime à Fleury d'Aude.
Confréries gastronomiques françaises
Chaque année à Charleville-Mézières le premier dimanche de mai se déroule le festival des confréries.
Confrérie de la cerise de Venasque
Confrérie des Gençanaires
Confrérie du Diamant noir et de la Gastronomie
Confrérie des chevaliers du taste-fromage de France.
Confrérie du Landenon.
Confrérie de la cerise de Venasque
Confrérie de la Fenouillime à Fleury d'Aude
Confrérie de la figue noire de Caromb
Confrérie de la Fraise de Carpentras
Confrérie de la Prune et de la Quetsches Lorraine à Farébersviller
Confrérie de la tête de veau
Confrérie de l'Académie universelle du cassoulet.
Confrérie de l'ail de Piolenc
Confrerie de l'Escargot Ariégeois
Confrérie de l'Or blanc à Salins-les-Bains.
Confrérie des Bois et Plants de Vigne de Caromb
Confrérie des chevaliers des rillettes sarthoises à Mamers
Confrérie des chevaliers du Brie de Melun.
Confrérie des Chevaliers du camembert
Confrérie des chevaliers du Goûte-andouille, à Jargeau.
Confrérie des Chevaliers du Goûte-Boudin
Confrérie des chevaliers du taste-oignon de Mantes
Confrérie des Chevaliers Taste-Fesses de Montmartre
Confrérie des Fins Goûteurs de Charolais
Confrérie des Gençanaires à Riom-ès-Montagnes
Confrérie des rillons et rillettes de Touraine.
Confrérie des traducteurs
Confrérie du Gâteau Basque à Cambo-les-Bains
Confrérie du cassoulet de Castelnaudary
Confrérie du Cervelas Aiglon, à L'Aigle.
Confrérie du Club Sandwich (Réservée aux femmes)
Confrérie du Diamant noir et de la Gastronomie à Richerenches, confrérie nationale de la truffe, présidée par un Périgourdain.
Confrérie du dindon de Varaignes
Confrérie du pâté aux pommes de terre bourbonnais à Montmarault
Docte Collège des Maîtres de la Truffe et du Foie gras du Périgord
Ordre de la Confrérie des Gastronomes du Puy-de-Dôme
Ordre du Melon de Cavaillon
Confrérie de la fraise de Carpentras
Confrérie du dindon de Varaignes
Confrérie de la figue noire de Caromb
Ordre du Melon de Cavaillon
Confrérie de l'ail de Piolenc
Confréries gastronomiques belges wallonnes et bruxelloises
Confrérie de Jean de Nivelles
Confrérie de la bière Betchard de Tubize
Confrérie de la Cervoise d'Anthines
Confrérie de la Djaye de Tellin
Confrérie de la fraise de Votem
Confrérie de la Gaufre liégeoise "La Strème"
Confrérie de la Seigneurie du remoudou
Confrérie de l'Ordre du Cochon Piétrain
Confrérie de l'ortie
Confrérie dè Magneu Makêye
Confrérie dèl Crolèye djote di Warou
Confrérie del Seigneurie de Vervî-riz (dôrêye)
Confrérie des Blancs Gilets Mougneux d'Hatches de Grez-Doiceau
Confrérie des Champignons de Folx-les-Caves
Confrérie des Chevaliers de la Coutellerie de Gembloux
Confrérie des Chevaliers de Porte-Cheville (Saucisse de Morteau)
Confrérie des chevaliers del Fricassèye de Chèvremont
Confrérie des Gentes Dames de la tarte aux Macarons de Ciney
Confrérie des Hostieux Moines de l'Abbaye de Villers-la-Ville
Confrérie des Magneûs d'Parbolèts d’Bwès-Borsu (Pomme de terre + apéritif)
Confrérie des Maîtres Brasseurs et Distillateurs de Wallonie
Confrérie des Mollassons de Warnant
Confrérie des Mougneûs d'Vête Trëpe d'Orp-le-Petit
Confrérie des Poires de Saint R'Mèy
Confrérie des Sossons d'Orvaulx (Orval)
Confrérie des vignerons du Petit-Bourgogne
Confrérie des Vins de Fruits d'Ottignies
Confrérie du Francs Thour Nostre Dames de Chiney (Ciney)
Confrérie du Gay Boulet
Confrérie du Grand Apier de Tilf
Confrérie du lev'gos
Confrérie du Maitrank (Arlon)
Confrérie du Stofé de Wavre
Confrérie du Tire-Bouchon de Rixensart
Confrérie Tchantchès (Liège)
Confrérîye dèl Târte al Djote (Nivelles)
Confrérîye dèl Târte au Crastofé (Ittre)
Confrériye Li Pireye di Licint
Confrérye del Blanke Doreye de Djodogne
Consœurie des Secrets de Dame-Gertrude (Nivelles)
Gilde Saint-Christophe de Racour
Les Compagnons du Witloof d'Evere
Ordre de la Caricole de Bruxelles
Ordre des Kuulkappers de Saint-Gilles
Ordre du Blanc bleu belge
Ordre du Faro de Bruxelles
Ordre du Malt de Hannut
Autres confréries wallonnes
Confrérie des archers de Sainte-Christine
Confrérie de Saint-Vincent
Confrérie des Clawtî Benne-Houssèye
Confrérie des Disciples de Charlemagne
La Confrérie du Duché D'Austrasie
Autres confréries belges
Confrérie Nationale des Chauves de Belgique
Ordre de Manneken-Pis de Bruxelles
Ordre des Moustaches de Bruxelles
Estudiantines
Très répandues dans le système universitaire anglosaxon ainsi qu'en Belgique, il en existe aussi ailleurs.
Confréries de fiction
La notion de confrérie a également été reprise dans des œuvres de fiction telles que romans, bandes dessinées, jeux de rôle et dans l'humour populaire, par exemple :
Confrérie des mauvais mutants.
Confrérie des Assassins (Assassin's Creed).
Confrérie des Pirates (Pirates des Caraïbes : Jusqu'au bout du monde).
Confrérie du Nod (Command and Conquer).
Confrérie des maris trompés.
Confrérie de l'acier (Fallout).
Confrérie noire (The Elder Scrolls).
Confrérie "BETA" (American Pie 6 : Beta House).
Confrérie des Braves (Amos Daragon)
L'ordre des ours (Avalon High - Un amour légendaire)