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词典释义:
Éden
时间: 2023-09-26 16:05:54
[edεn]

n. m. (词首大写)伊甸园; 乐园, 乐土, 优美迷的住处

词典释义
n. m.
(词首大写)伊甸园; 乐园, 乐土, 优美迷的住处
近义、反义、派生词
近义词:
jardin,  paradis,  oasis,  eldorado,  pays,  pays de cocagne
反义词:
enfer,  calvaire,  géhenne
联想词
Eden 伊甸园; paradis 天堂; jardin 园子,菜园,花园; Genèse ,产,诞; verger 果园; pommier 苹果树; enfer 地狱;
原声例句

UÉtemel Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder.

上帝把人带来,安置在伊甸园里,养育和看护他。

[法语综合教程4]

Et l'Éternel Dieu le chassa du jardin d’Éden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris.

因而上帝把人赶出了伊甸园,让他去耕地,他就是从地里来的。

[法语综合教程4]

Vous avez raison, dit Pangloss ; car, quand l’homme fut mis dans le jardin d’Éden, il y fut mis ut operaretur eum, pour qu’il travaillât ; ce qui prouve que l’homme n’est pas né pour le repos.

“你说得很对:上帝把人放进伊甸园是叫他当工人,要他工作的;足见人天生不是能清闲度日的。”

[憨第德 Candide]

Et l'Éternel Dieu le chassa du jardin d'Éden, pour qu'il cultivât la terre, d'où il avait été pris.

现在恐怕他伸手又摘生命树的果子吃,就永远活着。

[创世纪 La Genèse]

Puis l'Éternel Dieu planta un jardin en Éden, du côté de l'orient, et il y mit l'homme qu'il avait formé.

随后耶和华在伊甸园的东边造了一个花园,把所造的人安置在那里。

[创世纪 La Genèse]

Puis, Caïn s'éloigna de la face de l'Éternel, et habita dans la terre de Nod, à l'orient d'Éden.

于是该隐离开耶和华的面,去住在伊甸东边挪得之地。

[创世纪 La Genèse]

Remarquez, reprit John Mangles, que dans quatre ou cinq jours nous serons à Éden.

“而且,不要忘记,4~5天之后,我们就可以到达艾登城。”船长又说。

[格兰特船长的儿女 Les Enfants du capitaine Grant]

Aussitôt, le mail-coach reprit à droite la route circulaire qui prolongeait les rivages de la baie, et se dirigea vers la petite ville d’Éden, distante de cinq milles.

所以,爵士又命令邮车向右转,向离此地9里的艾登城进发了。

[格兰特船长的儿女 Les Enfants du capitaine Grant]

Bien entendu, je dois planter encore plus d'arbres et étendre la surface de ce jardin d'Éden.

当然,我还要种更多的树,扩大这个伊甸园的面积。”

[《三体》法语版]

Il leva la tête. Le soleil s’était couché depuis longtemps déjà et le jardin d’Éden apparaissait maintenant trouble sous les dernières lueurs du crépuscule.

他抬头看看,太阳已经落下去一会儿了,伊甸园在暮色中渐渐模糊。

[《三体2:黑暗森林》法语版]

例句库

L'Éternel Dieu prit l'homme, et le plaça dans le jardin d'Éden pour le cultiver et pour le garder.

耶和华神将那人安置在伊甸园,使他修理看守。

法语百科

La Chute de l'homme par Lucas Cranach, illustration du XVI siècle

Le jardin d'Éden (héb.גן עדן, jardin des délices) (ara.عَدْن, جَنَّة عَدْن, عدن, jardin des délices) est le nom du jardin merveilleux où la Genèse (chapitres 2 et 3) place l'histoire d'Adam et Ève. Il est souvent comparé au Paradis.

Étymologie

L'origine du terme « Éden » - qui signifie « délice » en hébreu - pourrait être le terme akkadien « edinu », qui lui-même dérive du sumérien « e-din ». Ces deux mots désignent en akkadien « plaine » ou « steppe ». Or le verbe akkadien namu — qui signifie « qui habite la steppe » — rend très plausible un usage littéraire figuré : l'écriture mésopotamienne du mot recourt à l'association NA-ME « homme-être » ou au signe NAM. Le sens propre de ce signe NAM(-TAR) renvoie « aux destins » qui, selon la mythologie mésopotamienne, sont inscrits par les dieux sur une tablette. Cependant, la critique moderne pointe le fait que l'emploi de la tournure « à l'orient d'Éden » ou « à l'orient, en Éden » semble privilégier un usage géographique du terme plutôt que métaphorique.

Signification d'Éden et lien avec la notion de Paradis

Vision traditionnelle du lien

Le mot « paradis » (hébreu פרדס, PaRDeS) est utilisé comme synonyme de Gan Eden, terme qui possède des connotations similaires en vieux persan (référence à un « verger clôturé» ou «un terrain de chasse délimité » ).

Ce mot apparaît plusieurs fois dans la Bible hébraïque :

dans le Cantique des Cantiques 4:13 : « Tes fruits sont un pardes de grenadiers, avec les fruits les plus excellents, etc. »

dans l'Ecclésiaste 2:5 : « Je me fis des pardessim et des vergers, et j'y plantai des arbres à fruit de toute espèce. »

dans Néhémie 2:8 : « ... et une lettre pour Asaph, garde du jardin du roi, afin qu'il me fournisse du bois de charpente, etc. »

dans le Cantique de Salomon, il s'agit clairement d'un « jardin », et dans deux autres cas d'un « parc ».

Relectures et ré-interprétations du Lien

C'est à partir de la période post-exilique, dans la littérature apocalyptique et les Talmuds, que le « paradis » sera associé au jardin d'Éden, dans son entendement terrestre comme céleste.

Vision du Nouveau testament chrétien

Dans le Nouveau Testament chrétien, le « paradis » est associé au domaine des bénis (par opposition au domaine des damnés) parmi ceux qui sont déjà morts. Le jardin des Hespérides grec possède des affinités avec le concept chrétien du jardin d'Éden, et à partir du XVI siècle, l'association totale sera évidente, notamment dans le tableau de Luc Cranach (voir illustration). Dans celui-ci, seule l’action qui se tient identifie le cadre comme distinct du jardin des Hespérides, et de ses pommes d'or.

Relecture par les anthropologues

Selon certains anthropologues, le jardin d'Éden n'est pas à prendre comme un lieu géographique, mais plutôt un lieu de mémoire culturelle d'« une époque plus simple », où les hommes vivaient de la générosité divine (les chasseurs et cueilleurs dits « primitifs » le réalisant supposément sans peine) par opposition au « labeur » de l'agriculture (que les peuples « civilisés » ont l'obligation de faire, par « définition »). Cependant, le Livre de la Genèse formule clairement que la culture, voire l'agriculture, existait aussi bien avant qu'après la vie dans le jardin ; la frustration et la peine furent ajoutées à son travail en punition de la désobéissance de l'homme pour avoir mangé le fruit de l'arbre de la connaissance du bien et du mal.

Les anthropologues voient donc l'humanité comme se souvenant culturellement d'un ancien passage de désorganisation primitive (une vie facile) vers l'ordre de la civilisation (perçu comme une souffrance), alors que les érudits juifs comme chrétiens perçoivent dans le récit de la Genèse l'exact inverse : l'expulsion d'un couple (et non de l'humanité) d'un « jardin » ordonné et civilisé (l'homme vivant en harmonie non seulement avec lui-même mais avec les animaux et parlant directement avec Dieu) vers une jungle sauvage, la chasse et la cueillette étant une condition plus primitive de lutte, de mort, une nouvelle lutte incessante pour la survie.

Toutefois, ces deux vues s'accordent sur le point que l'homme se remémore une vie meilleure (un thème également retrouvé dans l'Âge d'or gréco-romain, bien que sa description n'ait que peu de points communs avec le Gan Eden), de culture facile pour les croyants, de chasse et de cueillette pour les académiciens. Ainsi entendu, l'Éden n'est qu'une métaphore, sans rapport avec la réalité, en vue de rationaliser - sinon justifier - l'existence de la souffrance quotidienne.

L'Éden comme « prison dorée »

D'autres, comme l'écrivain Ann Druyan, adoptent une vue plus cynique de la question et trouvent l'Éden effrayant. Plutôt qu'un « paradis », le Gen Eden serait le lieu d'un crime, où un dieu/parent dysfonctionnel n'a créé des « enfants » que pour les châtier :

« Il est déconcertant qu'Éden soit synonyme de paradis alors que, si l'on y pense, c'est plutôt une prison à haute sécurité et une surveillance 24 h/24. C'est un endroit horrible. Adam et Ève n'ont pas d'enfance. Ils s'éveillent adultes… Ils n'ont jamais eu de mère… Leur père est une voix terrifiante, désincarnée, qui est furieuse avec eux dès l'instant de leur premier éveil. »

Localisations putatives

Les théologiens chrétiens indiquent souvent que ce jardin n'a jamais eu d'existence terrestre propre : en ce sens, le jardin d'Éden, ne peut être qu'une « image du paradis céleste sur Terre ».

Cela n'a pas empêché que quantité d'hypothèses soient avancées, parfois sans beaucoup de rapport (voire aucun) avec le texte biblique.

Source biblique

Éden tel que dépeint par Hieronymus Bosch dans le Jardin des délices, faisant figurer un bestiaire fantastique.

La plupart situent Éden dans le Moyen-Orient, près de l'ancienne Mésopotamie, même si le livre de la Genèse ne livre que peu d'informations sur le jardin lui-même.

Éden abritait l'Arbre de la Vie, l'Arbre de la connaissance du bien et du mal qui porte des fruits (des « pommes » selon la tradition orale, bien que le mot n'apparaisse à aucun endroit : poma signifie « fruits » de manière générale en latin), ainsi qu'une végétation luxuriante et variée, suffisant à pourvoir aux besoins d'Adam et Ève. Seuls les versets 2:10-14 semblent contenir un indice assez vague quant à la localisation :

« Un fleuve sortait d'Éden pour arroser le jardin, et, de là, il se divisait en quatre bras. Le nom du premier est Pishôn ; c'est celui qui entoure tout le pays de Havilah, où se trouve l'or. L'or de ce pays est pur ; on y trouve aussi le bdellium et la pierre d'onyx. Le nom du second fleuve est Guihôn; c'est celui qui entoure tout le pays de Coush (Éthiopie ? Hindi Kush ?). Le nom du troisième est Hiddèkel ; c'est celui qui coule à l'orient d'Ashour (l'Assyrie, donc le Tigre). Le quatrième fleuve, c'est l'Euphrate. »

Selon le Texte, le fleuve irrigue Éden puis se divise en quatre branches : Hiddekel, Euphrate, Pishon et Gihon. Si les deux premiers correspondent de l'avis général au Tigre et à l'Euphrate, l'identité des deux autres rivières n'est pas résolue à ce jour. Le jardin d'Éden, réputé proche des sources du Tigre et de l'Euphrate, devrait se situer selon des narrateurs originels établis dans la terre de Canaan (selon la tradition juive, Adam et Ève sont enterrés dans la caverne de Makhpela, à Hébron) dans les monts Taurus, en Anatolie.

Des photos prises par satellite de ces régions montrent deux lits de rivière asséchés dont l'embouchure devait aboutir dans le golfe Persique, où se déversent également le Tigre et l'Euphrate. Toutefois, ce point ne serait que la « bouche » de ces rivières, non leur « source ».

Localisations associées à l'histoire mésopotamienne

Liban

Le prophète Ézéchiel mentionne que les arbres dans le jardin d'Éden viennent du Liban (Ez 31,15-18). Basé sur une analyse de ce chapitre, Terje Stordalen a suggéré « une identification apparente de l'Éden et le Liban dans Ézéchiel 31 » et des relations symboliques entre Éden et le Liban. John Pairman Brown a écrit « il semble que le Liban est un placement alternatif dans le mythe phénicien (comme dans Ez 28,13, III.48) du jardin d'Éden » et Paul Swarup aborde également les connexions entre le Paradis, le jardin d'Éden et les forêts du Liban (éventuellement utilisé symboliquement) au sein d'écrits prophétiques. Edward Lipinski et Peter Kyle McCarter ont suggéré que le Jardin des dieux (sumérien paradis), l'équivalent sumérien du jardin d'Éden, se rapporte à un sanctuaire de montagne dans le Liban et l'Anti-Liban gammes. Laura gondin :

L'épopée de Gilgamesh

David Bensoussan propose de situer le jardin d'Éden dans les monts Ararat, en établissant des rapprochements entre le récit de la Genèse et le mythe sumérien de Gilgamesh.

Sumer et Dilmun

Les premiers Sumériens vécurent dans les plaines, situées dans le sud de l'actuel Irak. Certains historiens, travaillant à partir des horizons culturels du sud de Sumer, où l'on retrouve la source la plus précoce de légendes extra-bibliques, portent leur attention sur l'entrepôt datant de l'âge de Bronze, situé dans l'île de Dilmun (l'actuel Bahreïn) au sein du golfe Persique. Cette île est décrite comme « l'endroit où se lève le soleil » et « la Terre des Vivants ».

Le récit babylonien de la Création, Enûma Elish, présente des parallèles marqués avec le récit de la Genèse. Après son déclin, vers 1500 av. J.C., l'île de Dilmun fut dotée d'une réputation de paradis perdu, si emplie de perfections que cela aurait pu, selon ces historiens, influencer l'histoire du jardin d'Éden et conduire certains exégètes à situer le jardin d'Éden dans le centre de commerce de Dilmun.

Autres localisations citées

L'archéologue David Rohl a récemment estimé la localisation d'Éden dans le nord-ouest de l'Iran : selon lui, le jardin est une vallée située à l'orient du mont Sahand, près de Tabriz. Il énumère plusieurs similitudes géologiques entre cet endroit et les descriptions bibliques, ainsi que des parallèles linguistiques lui semblant décisifs. Cet endroit fut ensuite colonisé par les Mèdes avant qu'ils ne fondent l'empire perse.

Des auteurs littéralistes estiment que le monde du temps d'Éden a été détruit et remanié par le Déluge, qu'il est donc impossible de localiser Éden dans une géographie post-diluvienne.

D'autres voient l'Éden en Éthiopie, à Java, au Sri Lanka, dans les Seychelles, dans le Brabant (selon l'humaniste Bécan), voire à Bristol en Floride, ou encore au Yémen (et sa capitale Aden), appelé l'Arabie Heureuse dans l'antiquité, où seraient enterrés selon des traditions orales Caïn et Abel.

Certains tentent d'établir un lien avec la cité engloutie d'Atlantis.

Le Sundaland, en mer de Chine méridionale est souvent cité. Cependant, si c'est le cas, il ne peut y avoir identité entre le Tigre et l'Euphrate de la Genèse et les cours d'eau actuels. Dans cette vision des choses, ces derniers auraient été renommés d'après ces premiers par les descendants de Noé revenus au Moyen-Orient. Cette solution peut sembler séduisante, mais elle est en contradiction avec la Bible elle-même, qui décrit les pays traversés par ces fleuves comme des pays du Croissant fertile.

Selon le Mormonisme

Selon les Mormons, la configuration des continents fut entièrement modifiée six générations après le Déluge (Gn 10,21-25), et les pays et rivières décrits dans la Genèse ont été totalement délocalisés. C'est pourquoi ils supposent que le jardin d'Éden se trouve actuellement dans l'enceinte de la ville Independence, située dans l'État du Missouri (où elle est toujours gardée, non par des chérubins, mais par un archange). Independence est pour cette raison l'un des lieux les plus saints du monde.

Quant au Tigre, à l'Euphrate et à tous les lieux mentionnés au début de la Genèse, il s'agirait de terres et rivières entièrement différentes, ultérieurement renommées d'après des paysages plus familiers du Proche-Orient de l'après-Déluge.

Représentation de l'Éden dans l'art

Le Paradis terrestre, Les Très Riches Heures du duc de Berry, musée Condé, Ms.65, folio 25

Le jardin d'Éden fit l'objet de fréquentes représentations dans des enluminures et tableaux comme le Sommeil d'Adam (ou la Création d'Ève), la Tentation d'Ève par le Serpent, la Chute de l'Homme, ou encore l’Expulsion. La scène du Jour de la Nomination en Éden fut moins souvent représentée. Michel-Ange a dépeint une scène du jardin d'Éden sur le plafond de la chapelle Sixtine.

Dans le registre poétique, le gros de l'action du Paradise Lost de Milton se produit dans le jardin d'Éden.

La chapelle Saint-Nicolas du palais épiscopal de Die est décorée d'une mosaïque des quatre fleuves du jardin d'Éden, datant du XII siècle.

Les fonts baptismaux de l'église Notre-Dame du Léman située à Thonon-les-Bains sont décorés par une mosaïque représentant les quatre fleuves du jardin d'Éden.

中文百科
希罗尼穆斯·波希所描绘的伊甸园
希罗尼穆斯·波希所描绘的伊甸园

伊甸园(希伯来语:גן עדן),根据《圣经·创世记》记载,耶和华上帝照自己的形像造了人类的袓先,男的称亚当,女的称夏娃,安置第一对男女住在伊甸园中。伊甸园在圣经的原文中含有快乐,愉快的园子的意思(或称乐园)。《圣经》记载伊甸园在东方,有四条河从伊甸流出滋润园子。这四条河分别是幼发拉底河、底格里斯河、基训河和比逊河。现存的只有前两条。

上帝的原本旨意是要他们生儿育女,遍满地面,使整个地球都成为伊甸园。但后来夏娃受撒旦(蛇)的哄诱,偷食了知善恶树所结的果子,也让亚当食用,上帝知道后,遂将二人逐出伊甸园,又在伊甸园东边安设基路伯(天使)和发出火焰转动的剑,把守生命树的道路。

今天西方人士谈及的乐园,想到的就是伊甸园。

圣经根据

“ 耶和华神在东方的伊甸立了一个园子,把所造的人安置在那里。耶和华神使各样的树从地里长出来,可以悦人的眼目,其上的果子好作食物。园子当中又有生命树和分别善恶的树。有河从伊甸流出来,滋润那园子,从那里分为四道:第一道名叫比逊,就是环绕哈腓拉全地的。在那里有金子,并且那地的金子是好的;在那里又有珍珠和红玛瑙。第二道河名叫基训,就是环绕古实全地的。第三道河名叫底格里斯,流在亚述的东边。第四道河就是幼发拉底河。耶和华神将那人安置在伊甸园,使他修理,看守。耶和华神吩咐他说:「园中各样树上的果子,你可以随意吃,只是分别善恶树上的果子,你不可吃,因为你吃的日子必定死!」 ” ——《创世记》第2章参

地点

有人认为伊甸园位于今天土耳其东南部的库尔德斯坦,它是底格里斯河和幼发拉底河发源的地区。此处哥贝克力山丘发现哥贝克力石阵,遗址可以追溯到一万年以上,被视为可能的伊甸园。 也有人认为在今天伊拉克第二大城市巴士拉以北74公里处的Qurna,那里也是旅游景点。 另外两种说法是现今中国四川地区、乌克兰北边边境。

法法词典

éden nom commun - masculin ( édens )

  • 1. lieu enchanteur ou privilégié (soutenu) [Remarque d'usage: par exagération] Synonyme: paradis

    un éden ignoré fut leur destination

Éden nom commun - masculin ; singulier

  • 1. religion : dans l'Ancien Testament paradis terrestre d'où le premier homme et la première femme ont été chassés par Dieu à la suite du péché originel

    le jardin d'Éden

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