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词典释义:
sagouin
时间: 2023-09-10 18:06:33
[sagwɛ̃]

n. <口> 1猴, 小猴[指人] 2畜生[骂人话] 3<旧>狨, 狨猴

词典释义
n.
<口> 1猴, 小猴[指人] 2畜生[骂人话] 3<旧>狨, 狨猴
近义、反义、派生词
义词:
cochon,  maroufle,  mufle,  dégoûtant,  souillon,  tamarin
联想词
connard 蠢货,笨蛋; minable 可怜者; boulot 活儿,活计; crétin 呆小者,克者; dégueulasse 的; putain 妓女; merde 粪,大便; grossier 粗的,粗糙的; tordu 弯曲的,扭歪的; vilain 丑的,难看的; bordel 妓院,窑子;
当代法汉科技词典

sagouin m. 狨猴

法语百科

Tamarins, Sagouins

Saguinus Trois sous-espèces de Saguinus fuscicollis Classification selon MSW Règne Animalia Embranchement Chordata Classe Mammalia Ordre Primates Sous-ordre Haplorrhini Infra-ordre Simiiformes Micro-ordre Platyrrhini Famille Cebidae Sous-famille Callitrichinae Genre Saguinus Hoffmannsegg, 1807

Les sagouins (Saguinus) sont un genre de singes du Nouveau Monde (Platyrrhini). Leurs noms vernaculaires sont formés à partir des termes « pinchés » et « tamarins », bien que le terme tamarin puisse lui-même être utilisé génériquement pour les désigner à la place du mot « sagouin », aujourd'hui devenu une insulte désignant une personne malpropre. « Sagouin », attesté depuis le début du XVI siècle, dérive d'un mot portugais, lui-même formé à partir du mot tupi saguim qui signifie tout simplement singe. Le vocabulaire moderne a retenu cet étymon à travers le mot saï qui se réfère à une espèce de capucin du genre Cebus.

Les callitrichidés les plus primitifs ?

Il existe très peu de fossiles « convaincants » de la famille des callitrichidés (Micodon kiotensis du Miocène moyen en Colombie, Patasola magdalena et Lagonimico conclucatus), si bien que la reconstruction de l’histoire de leur évolution relève de la spéculation. À la lueur d’analyses d’ADN, les proto-tamarins représenteraient les callitrichidés les plus primitifs à partir desquels auraient évolué les proto-petits singes-lions qui auraient migré vers l’est du continent sud-américain où ils furent isolés dans des forêts-refuges pour aboutir aux formes modernes (genre Leontopithecus), tandis que le stock restant en Amazonie aurait donné naissance aux ouistitis. De leur côté, les ouistitis colonisèrent l’est du Brésil (Callithrix) dans la Mata Atlântica, l’Amazonie centrale (Mico) et la haute Amazonie (Cebuella). Parallèlement, les tamarins (Saguinus) se diversifièrent dans le bassin amazonien en suivant le même processus de nanisation qui a conduit à l’émergence de diverses adaptations comme la modification des ongles en griffes.

Plus frugivores que les ouistitis

Les tamarins sont à peine plus grands que les ouistitis (20 à 30 cm pour 350 à 600 g). Leur principale différence se situe au niveau des dents. Les ouistitis ont des incisives bien développées, aussi grandes que les canines, à l’aide desquelles ils font saigner les arbres à gomme. Ils plantent leurs incisives supérieures dans l’écorce et gougent de bas en haut avec les incisives inférieures en forme de biseau. Chez les tamarins, les canines du bas sont longues et divergentes, les incisives sont courtes et droites, si bien qu’ils ne peuvent pratiquer de telles incisions. De plus, leur mâchoire a la forme d’un U et non d’un V comme chez les ouistitis. Dans les conditions rudes du centre et du Nordeste brésiliens, la sève est un aliment énergétique de substitution qui a permis aux ouistitis de coloniser ces régions. Ce ne fut pas l’orientation choisie par les tamarins beaucoup plus frugivores.

Régime alimentaire

Toutefois, les tamarins sont des consommateurs de gomme pourvu que les exsudats soient naturellement disponibles (désagrégation de l’écorce, percements effectués par les insectes). Ils pourraient profiter du travail préliminaire effectué par les ouistitis, mais parce qu’ils sont des concurrents directs avec un régime alimentaire proche, tamarins et ouistitis du genre Mico occupent le plus souvent des aires géographiques distinctes en Amérique du Sud, à l’exception du Tamarin à selle (S. fuscicollis) qui côtoie l'Ouistiti à queue noire (Mico melanurus) et l’Ouistiti du Rondônia (Callithrix emiliae) à l’est de sa distribution et du Tamarin à mains noires (S. niger) qui partage le territoire du Ouistiti argenté (Mico argentatus). En fait, c’est le minuscule Ouistiti pygmée (Cebuella pygmaea), sympatrique de sept espèces de tamarins et en particulier du Tamarin à selle sur toute sa distribution, qui les approvisionne en gomme ! Ce type de comportement relève du commensalisme.

Habitat

Les tamarins fréquentent la forêt humide tropicale de plaine sauf les pinchés d’Amérique du sud qui sont des hôtes réguliers de la forêt sèche. Ils affectionnent la forêt secondaire riche en insectes et en enchevêtrements de lianes pour se cacher. À leur menu figurent moult fruits mûrs et arthropodes, la part du nectar et des exsudats végétaux augmentant lors de la saison sèche. Ce régime hautement nutritif et calorique s’avère indispensable pour un animal de petit format doté d’un transit intestinal rapide. La gomme constitue une source importante d’eau, de minéraux et de nutriments durant la saison sèche et le début de la saison humide. De plus, elle apporte du calcium aux femelles gestantes et lactantes.

L'expérience du partage

Les tamarins occupent des domaines de 20 à 100 ha et plus, parcourant au moins 1,2 km par jour, soit beaucoup plus que n’importe quel autre callitrichidé. Ils vivent en petits groupes mixtes incluant des individus non apparentés. Une unique femelle reproductrice supprime les cycles ovulatoires de ses rivales et s’accouple avec plusieurs mâles, mais chez deux espèces (S. fuscicollis et S. mystax) de rares cas de double mise bas ont été observés. La femelle met au monde des jumeaux une fois l’an, avec un pic de naissances entre novembre et mars pour les espèces de Haute Amazonie et en avril-juin pour les espèces répandues au nord de l’Amazone. La gestation et surtout l’allaitement ont un coût énergétique très élevé, c’est pourquoi les autres membres, surtout les mâles adultes, participent au transport et à l’élevage de la progéniture. Cette aide parentale est vitale non seulement pour la mère, soulagée d’un fardeau qu’elle ne saurait assumer seule, mais aussi pour les assistants eux-mêmes qui acquièrent ainsi une expérience de la solidarité et du partage.

Une profusion de coloris

On connaît 17 espèces de tamarins (genre Saguinus). Toutes sont allopatriques, à l’exception de la plus petite d’entre elles, le Tamarin à selle (S. fuscicollis), qui vit en sympatrie avec trois autres espèces de tamarins. Les tamarins arborent une gamme de crinières, toupets, crêtes, moustaches et de franges. La prodigieuse variété de leurs coloris, qui contraste avec la forte stabilité chromosomique du genre, met en lumière le principe de métachromisme, modification évolutive de la couleur des poils et de la peau chez les mammifères.

Le casse-tête de la classification

Classiquement, on distinguait 2 sous-groupes de tamarins en fonction de leur face (critère arbitraire) mais des analyses génétiques récentes (Tagliaro, Schneider et al.) ont montré que la taille était un meilleur critère pour leur discrimination.

On distingue d’une part la radiation des petits tamarins, composée du Tamarin à selle (S. fuscicollis), du Tamarin blanc (S. melanoleucus), du Tamarin à manteau noir (S. nigricollis), du Tamarin du Río Napo (S. graellsi) et du Tamarin à manteau doré (S. tripartitus). Ce sont les tamarins à bouche blanche, caractérisés par un museau blanc.

La radiation des grands tamarins est plus complexe avec d’une part la section des tamarins moustachus, caractérisés par des poils blancs plus ou moins longs de chaque côté de la bouche, Tamarin à moustaches (S. mystax), Tamarin labié (S. labiatus) et Tamarin empereur (S. imperator), et d’autre part deux autres sections davantage apparentées entre elles, celles des tamarins à face nue : la première est représentée par les trois espèces de pinchés colombiens et panaméens, le Pinché à nuque rousse (S. geoffroyi), le Pinché à crête blanche (S. oedipus) et le Pinché aux pieds blancs (S. leucopus), et la seconde par les cinq espèces du nord de l’Amazone : le tamarin à mains dorées (S. midas), le Tamarin noir (S. niger) – au sud de l’embouchure de l’Amazone, le Tamarin bicolore (S. bicolor), le Tamarin à face nue de Martin (S. martinsi) et le Tamarin à face marbrée (S. inustus). Le dernier cité est original par sa face partiellement dépigmentée, d’où son nom latin.

Une distinction géographique permet de mieux saisir leur diversité : Les tamarins les plus septentrionaux sont les pinchés, qui occupent Panamá et le nord de la Colombie. Les autres tamarins à face nue occupent le nord du continent sud-américain (Guyana-Surinam-Guyane-nord du Brésil) presque toujours au nord de l’Amazone. Tous les tamarins à face velue occupent la haute Amazonie (Colombie-Équateur-Pérou-Bolivie-ouest du Brésil), quasiment toujours au sud de l’Amazone.

Des études morphologiques comparatives ont conduit plusieurs auteurs à suggérer que le Tamarin à manteau noir (S. nigricollis) serait le prototype pour toutes les autres espèces, à partir duquel deux lignes phylogénétiques basées sur le Tamarin à moustaches (S. mystax) et le Tamarin à mains dorées (S. midas) auraient divergé.

Groves distingue pour sa part six sous-groupes : la section « nigricollis » (avec S. nigricollis, S. graellsi, S. fuscicollis, S. melanoleucus et S. tripartitus), la section « mystax » (avec S. mystax, S. pileatus', S. labiatus et S. imperator), la section « midas » (avec S. midas et S. niger), la section « bicolor » (avec S. bicolor et S. martinsi), la section « oedipus » (avec S. oedipus, S. geoffroyi et S. leucopus) et la section « inustus » (avec le seul S. inustus).

Le groupe des pinchés

Le groupe oedipus a été particulièrement bien étudié. Un temps, certains auteurs assignèrent un genre différent (Oedipomidas) à ces trois espèces de tamarins nord-colombiens et panaméens caractérisées par une crête et une face nue. En France, on les appelle pinchés plutôt que tamarins.

Les pinchés ne sont pas amazoniens. En Colombie, ils disposent d’une aire très limitée, la Tierra caliente, une zone chaude et humide sur le littoral caraïbe de la Colombie, aire grignotée par les cultures vivrières.

Les pinchés sont les plus carnivores des callitrichidés. Ils mangent grenouilles, souris et perruches. En captivité, l’introduction d’un aliment inconnu (comme du poisson à la place de la viande) entraîne l’adoption rapide d’un nouveau comportement alimentaire, comportement transmis aux nouveau-nés.

Le pinché a des sens aiguisés, notamment l’ouïe, la vue et l’odorat. Il pousse des trilles sonores et retentissants, d’où son surnom de singe-rossignol. Son chant débute par un ‘dididi’ aigu puis se poursuit par de longs sons flûtés entrecoupés de trilles : il va crescendo dans l’aigu, à un rythme de plus en plus rapide. Le chant sert de délimiteur territorial. En cas d’excitation, le pinché produit des roucoulements graves et sonores. Pour défier un rival, le pinché utilise son visage. Il hérisse sa crinière et avance les lèvres. Le front baissé forme un bourrelet recouvrant presque les yeux. La défense territorial passe par une répartition nette des rôles, propre aux pinchés. Les mâles patrouillent le domaine, pourchassent les intrus et les défient visuellement tandis que les femelles délimitent davantage leur territoire par un marquage olfactif.

Hors de la période de reproduction, le pinché ignore largement les conflits et la violence. Le groupe amical s’entraide dans les tâches quotidiennes et les membres montrent leur affection mutuelle. Le père aide la mère pour le transport des enfants, mais aussi les frères et les sœurs, qui acquièrent ainsi un savoir-faire indispensable pour devenir un bon parent. Ce comportement augmente considérablement le potentiel reproductif de l’espèce, la femelle dominante pouvant être enceinte de nouveau seulement deux à quatre semaines après la mise bas. La haute fréquence des transferts entre groupes d’individus des deux sexes, adultes ou jeunes, suggère que les parents n’élèvent pas forcément leurs propres enfants. Un étranger sera le bienvenu (même si parfois il sera vertement chassé). Il pourra, s'il le veut, participer à la reproduction et à l'élevage des petits. « Ces primates ont inventé le kibboutz », affirme l'éthologue Frans de Waal. Les pinchés font partie des rares primates, comme le gibbon et le chimpanzé, qui pratiquent le partage de la nourriture. Chez le pinché aux pieds blancs (Saguinus leucopus), les individus se portent même au secours de leurs congénères blessés.

Chasseurs d'insectes

Le primatologue P. A. Garber a identifié trois stratégies de capture des insectes chez les tamarins. La première est propre au tamarin à selle (S. fuscicollis), et peut-être au tamarin à manteau noir et au tamarin bicolore : elle consiste à capturer des invertébrés cryptiques plutôt grands à toutes les strates en utilisant le plus souvent une posture d’accrochage vertical.

La deuxième stratégie, pratiquée par les trois espèces de tamarins moustachus qui vivent en sympatrie avec le tamarin à selle (tamarin à moustaches, tamarin empereur et tamarin labié), consiste à exploiter les insectes sur les feuilles et les branches uniquement dans la canopée basse et moyenne.

Un troisième modèle, celui du pinché à nuque rousse (S. geoffroyi), est la chasse des proies en se dissimulant (pelage cryptique), les insectes étant saisis sur les feuilles dans la basse canopée ou les fourrés.

Des tamarins malins

Tamarin à moustaches
Tamarin à moustaches

P.A. Garber et F.L. Dolins (1996) ont réalisé une expérience intéressante dans une forêt du Pérou pour mettre en valeur les qualités de cognition du tamarin à moustaches (S. mystax). Ils ont approvisionné des plateformes avec des bananes vraies et fausses selon un horaire alterné de façon que les plateformes ayant de vraies bananes le matin n’en aient plus l’après-midi et vice-versa. Les primates eurent vite fait de comprendre le manège : lorsqu’ils visitaient de bon matin une plateforme proche contenant de vraie bananes, il n’y revenait plus durant le reste de la journée et tentaient leur chance ailleurs. Inversement, si cette plateforme proche contenait de faux appâts, ils n’omettait pas de revenir plus tard dans la journée pour avoir leur récompense. Ces règles de décision étaient prises et vécues au jour le jour par les tamarins mais ne se reportaient pas d’un jour à un autre.

Associations de bienfaiteurs

Le tamarin à selle (S. fuscicollis) vit en sympatrie avec trois espèces de tamarins de plus grand format que lui (tamarin à moustaches, tamarin empereur et tamarin labié) avec lesquels il forme assez souvent des groupes mixtes stables et permanents qui défendent un domaine commun. C’est le cas à l’extrême nord de la Bolivie entre le tamarin à selle de Weddell (S. f. weddelli) et le tamarin labié de Geoffroy (S. labiatus labiatus). Selon le principe d’exclusion compétitive, le tamarin à selle n’entre pas en concurrence avec eux : il se nourrit souvent plus bas dans les arbres, sur des branches différentes, a un mode de déplacement personnel et utilise sa propre stratégie de recherche des insectes. Dans une étude menée au nord-est du Pérou par D.A. Nickle et E.W. Heyman, le tamarin à selle se mouvait souvent près du sol alors que le tamarin à moustaches évoluait entre 4 et 15 m de hauteur. Dans une étude menée en Amazonie brésilienne par C. A. Peres, plus de 40 % des insectes capturés par le tamarin à selle, comme les orthoptères du genre Tettigonia, avaient été dérangés par les tamarins à moustaches au-dessus de leurs têtes.

Ces associations ont pour but de diminuer les effets de la prédation. Ainsi, le tamarin à selle s’inquiète davantage des prédateurs terrestres et le tamarin à moustaches qui évolue plus haut dans les arbres surveille constamment les prédateurs aériens. À eux deux, ils couvrent tous les cas d’attaque potentielle. De même, le tamarin à selle comprend et répond aux cris d’alarme du tamarin empereur (S. imperator) et vice versa. Le tamarin à selle cohabite également avec le callimico (Callimico goeldii) mais n’entre pas en compétition avec ce dernier du fait de sa plus petite taille, le callimico étant davantage végétarien et mangeant des insectes plus conséquents.

Lorsqu’il ne vit pas en sympatrie avec un autre tamarin (nord-ouest de sa distribution), comme le long du Río Nanay au Pérou, le tamarin à selle forme des supergroupes lors de la recherche alimentaire, un moyen efficace d’accroître la vigilance globale. L’association en groupes mixtes constituerait donc une stratégie anti-prédateur alternative plus avantageuse pour le tamarin à selle, qu’il adopterait dès qu’il en la possibilité.

En référence à Guillaume d'Allemagne

Le Tamarin empereur (Saguinus imperator) a été ainsi baptisé par le primatologue Goeldi car ses très longues moustaches lui rappelaient celles de l’empereur Guillaume d’Allemagne. Les formidables bacchantes blanches de ce primate, qui lui descendent en arche jusqu’aux épaules, jouent un rôle dans la parade amoureuse. Elles sont déjà assez développées chez les jeunes !

Liste des espèces

Selon la troisième édition de Mammal Species of the World, de 2005 :

genre Saguinus groupe de Saguinus midas Saguinus midas — Tamarin aux mains rousses Saguinus niger — Tamarin noir groupe de Saguinus nigricollis Saguinus nigricollis — Tamarin à manteau noir Saguinus nigricollis nigricollis Saguinus nigricollis hernandezi Saguinus graellsi — Tamarin du Rio Napo Saguinus fuscicollis — Tamarin à tête brune, Tamarin à selle Saguinus fuscicollis fuscus Saguinus fuscicollis lagonotus Saguinus fuscicollis nigrifrons Saguinus fuscicollis leucogenys Saguinus fuscicollis illigeri Saguinus fuscicollis fuscicollis Saguinus fuscicollis avilapiresi Saguinus fuscicollis cruzlimai Saguinus fuscicollis primitivus Saguinus fuscicollis orientalis Saguinus fuscicollis mura Saguinus fuscicollis weddelli Saguinus melanoleucus — Tamarin blanc Saguinus melanoleucus melanoleucus Saguinus melanoleucus crandalli Saguinus melanoleucus acrensis Saguinus tripartitus — Tamarin à manteau doré groupe de Saguinus mystax Saguinus mystax — Tamarin à moustaches Saguinus mystax mystax Saguinus mystax pluto Saguinus pileatus — Tamarin à calotte rouge, Tamarin à coiffe rouge Saguinus labiatus — Tamarin labié Saguinus labiatus thomasi Saguinus labiatus rufiventer Saguinus labiatus labiatus Saguinus imperator — Tamarin empereur Saguinus imperator imperator Saguinus imperator subgrisescens groupe de Saguinus bicolor Saguinus bicolor — Tamarin bicolore Saguinus martinsi — Tamarin à face nue de Martin Saguinus martinsi ochraceus Saguinus martinsi martinsi groupe de Saguinus oedipus Saguinus oedipus — Tamarin à crête blanche, Pinché, Pinché à crête blanche Saguinus geoffroyi — Tamarin de Geoffroy, Pinché de Geoffroy Saguinus leucopus — Tamarin aux pieds blancs, Pinché aux pieds blancs groupe de Saguinus inustus Saguinus inustus — Tamarin à face marbrée

groupe de Saguinus midas Saguinus midas — Tamarin aux mains rousses Saguinus niger — Tamarin noir

Saguinus midas — Tamarin aux mains rousses

Saguinus niger — Tamarin noir

groupe de Saguinus nigricollis Saguinus nigricollis — Tamarin à manteau noir Saguinus nigricollis nigricollis Saguinus nigricollis hernandezi Saguinus graellsi — Tamarin du Rio Napo Saguinus fuscicollis — Tamarin à tête brune, Tamarin à selle Saguinus fuscicollis fuscus Saguinus fuscicollis lagonotus Saguinus fuscicollis nigrifrons Saguinus fuscicollis leucogenys Saguinus fuscicollis illigeri Saguinus fuscicollis fuscicollis Saguinus fuscicollis avilapiresi Saguinus fuscicollis cruzlimai Saguinus fuscicollis primitivus Saguinus fuscicollis orientalis Saguinus fuscicollis mura Saguinus fuscicollis weddelli Saguinus melanoleucus — Tamarin blanc Saguinus melanoleucus melanoleucus Saguinus melanoleucus crandalli Saguinus melanoleucus acrensis Saguinus tripartitus — Tamarin à manteau doré

Saguinus nigricollis — Tamarin à manteau noir Saguinus nigricollis nigricollis Saguinus nigricollis hernandezi

Saguinus nigricollis nigricollis

Saguinus nigricollis hernandezi

Saguinus graellsi — Tamarin du Rio Napo

Saguinus fuscicollis — Tamarin à tête brune, Tamarin à selle Saguinus fuscicollis fuscus Saguinus fuscicollis lagonotus Saguinus fuscicollis nigrifrons Saguinus fuscicollis leucogenys Saguinus fuscicollis illigeri Saguinus fuscicollis fuscicollis Saguinus fuscicollis avilapiresi Saguinus fuscicollis cruzlimai Saguinus fuscicollis primitivus Saguinus fuscicollis orientalis Saguinus fuscicollis mura Saguinus fuscicollis weddelli

Saguinus fuscicollis fuscus

Saguinus fuscicollis lagonotus

Saguinus fuscicollis nigrifrons

Saguinus fuscicollis leucogenys

Saguinus fuscicollis illigeri

Saguinus fuscicollis fuscicollis

Saguinus fuscicollis avilapiresi

Saguinus fuscicollis cruzlimai

Saguinus fuscicollis primitivus

Saguinus fuscicollis orientalis

Saguinus fuscicollis mura

Saguinus fuscicollis weddelli

Saguinus melanoleucus — Tamarin blanc Saguinus melanoleucus melanoleucus Saguinus melanoleucus crandalli Saguinus melanoleucus acrensis

Saguinus melanoleucus melanoleucus

Saguinus melanoleucus crandalli

Saguinus melanoleucus acrensis

Saguinus tripartitus — Tamarin à manteau doré

groupe de Saguinus mystax Saguinus mystax — Tamarin à moustaches Saguinus mystax mystax Saguinus mystax pluto Saguinus pileatus — Tamarin à calotte rouge, Tamarin à coiffe rouge Saguinus labiatus — Tamarin labié Saguinus labiatus thomasi Saguinus labiatus rufiventer Saguinus labiatus labiatus Saguinus imperator — Tamarin empereur Saguinus imperator imperator Saguinus imperator subgrisescens

Saguinus mystax — Tamarin à moustaches Saguinus mystax mystax Saguinus mystax pluto

Saguinus mystax mystax

Saguinus mystax pluto

Saguinus pileatus — Tamarin à calotte rouge, Tamarin à coiffe rouge

Saguinus labiatus — Tamarin labié Saguinus labiatus thomasi Saguinus labiatus rufiventer Saguinus labiatus labiatus

Saguinus labiatus thomasi

Saguinus labiatus rufiventer

Saguinus labiatus labiatus

Saguinus imperator — Tamarin empereur Saguinus imperator imperator Saguinus imperator subgrisescens

Saguinus imperator imperator

Saguinus imperator subgrisescens

groupe de Saguinus bicolor Saguinus bicolor — Tamarin bicolore Saguinus martinsi — Tamarin à face nue de Martin Saguinus martinsi ochraceus Saguinus martinsi martinsi

Saguinus bicolor — Tamarin bicolore

Saguinus martinsi — Tamarin à face nue de Martin Saguinus martinsi ochraceus Saguinus martinsi martinsi

Saguinus martinsi ochraceus

Saguinus martinsi martinsi

groupe de Saguinus oedipus Saguinus oedipus — Tamarin à crête blanche, Pinché, Pinché à crête blanche Saguinus geoffroyi — Tamarin de Geoffroy, Pinché de Geoffroy Saguinus leucopus — Tamarin aux pieds blancs, Pinché aux pieds blancs

Saguinus oedipus — Tamarin à crête blanche, Pinché, Pinché à crête blanche

Saguinus geoffroyi — Tamarin de Geoffroy, Pinché de Geoffroy

Saguinus leucopus — Tamarin aux pieds blancs, Pinché aux pieds blancs

groupe de Saguinus inustus Saguinus inustus — Tamarin à face marbrée

Saguinus inustus — Tamarin à face marbrée

中文百科

柽柳猴属是一类与松鼠大小相仿的新世界猴,属于卷尾猴科,与狮面狨属是近亲。

分布于中美南部(哥斯达黎加)到南美中部(亚马逊盆地和南玻利维亚)的热带雨林或开阔林区。树栖,白天活动。群居,每群为三到九名成员。

杂食性动物,以水果、蜘蛛、昆虫、小脊椎动物和卵为食。

典型的孕期为140天,每胎2仔。公猴负责照顾小猴。断奶期为三到四个月,完全成熟要到出生后的第二年。圈养条件下寿命可达18年。

分类

赤掌柽柳猴 Saguinus midas

黑柽柳猴 Saguinus niger

黑须柽柳猴 Saguinus nigricollis

纳波河柽柳猴 Saguinus graellsi

棕须柽柳猴 Saguinus fuscicollis

白须柽柳猴 Saguinus melanoleucus

金须柽柳猴 Saguinus tripartitus

长须柽柳猴 Saguinus mystax

红帽柽柳猴 Saguinus pileatus

白唇柽柳猴 Saguinus labiatus

皇柽柳猴 Saguinus imperator

黑白花狨 Saguinus bicolor

马氏柽柳猴 Saguinus martinsi

绒顶柽柳猴 Saguinus oedipus

棉冠獠狨 Saguinus geoffroyi

白足柽柳猴 Saguinus leucopus

烙印柽柳猴 Saguinus inustus

法法词典

sagouin nom commun - masculin, féminin ( sagouine, sagouins, sagouines )

  • 1. personne malpropre ou sans soin (familier; péjoratif)

    c'est du travail de sagouin

  • 2. ignoble individu (familier; péjoratif) [Remarque d'usage: le féminin est rare; emploi injurieux fréquent]

    espèce de sagouin!

sagouin nom commun - masculin ( sagouins )

  • 1. zoologie petit singe d'Amérique du Sud à longue queue non préhensile

    les petits cris d'une bande de sagouins

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