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畜牧业
时间: 2024-02-07 04:24:00

chù mù yè élevage

词典释义
chù mù yè
élevage
原声例句

Est-ce que vous faites un peu d’élevage ?

您是否也从事畜牧业呢?

[法语综合教程2]

L'exploitation du bois, bien sûr, et puis l'élevage.

当然,有木材开采,然后是畜牧业

[Jamy爷爷的科普时间]

Selon les régions, l’élevage est pratiqué pour la production laitière ou pour la viande.

根据不同的地区,畜牧业区分产奶或产肉。

[法语词汇速速成]

Les filières d'élevage sont très dépendantes des céréales pour nourrir les animaux, en particulier les volailles et les porcs.

畜牧业十分依赖谷物来喂养家畜,尤其是家禽和猪。

[法语悦读外刊 · 第五期]

La population locale qui vit beaucoup de l'élevage réagit vivement à chaque nouveau lâcher d'ours et tente de l'empêcher.

比利牛斯山区的居民在很大程度上以畜牧业为生,因此他们对每次棕熊放归行动反应激烈,试图加以阻挠。

[法语专四听写训练]

Elles représentent 25 % des chefs d'exploitation, avec une présence plus forte dans l'élevage.

他们占农场经理的25%,在畜牧业中占有更强的地位。

[ABC DALF C1/C2]

Malgré la dureté du climat, ces communautés trouvent refuge à l'intérieur des fjords et y développent avec succès agriculture et élevage.

尽管气候恶劣,但维京人群体在峡湾内找到了避难所,并成功地在那里发展了农业和畜牧业

[Pour La Petite Histoire]

Un développement du numérique qui dope aujourd'hui la croissance du pays, jusque dans des secteurs complètement inattendus, comme ici, l'élevage.

数字化发展现在正在推动该国的增长,即使是在完全出乎意料的部门,例如这里的畜牧业

[法国TV2台晚间电视新闻 2023年3月合集]

Ses habitants pratiquent l’agriculture, l’élevage, mais leur richesse repose aussi sur le contrôle du commerce fluvial entre la Seine et ses affluents.

其居民从事农业,畜牧业,但他们的财富也基于塞纳河与其支流之间河流贸易的控制。

[TV5每周精选 2014年4月合集]

Sur les parcelles qui leur seront attribuées, les paysans vont pratiquer notamment l'élevage à petite échelle, produire du lait ou cultive des vergers.

在分配给他们的土地上,农民将进行小规模的畜牧业,生产牛奶或种植果园。

[RFI简易法语听力 2013年12月合集]

例句库

L'élevage industriel couvre 70% de la surface des terres agricoles.

畜牧业占用了世界70%的农业用地。

Les outils manuels à usage exclusivement agricole, zootechnique, forestier, de pêche et pisciculture.

农业、畜牧业、林业、渔业和养鱼业专用手工工具。

Les évaluations des retombées sur l'élevage étaient souvent contradictoires.

畜牧业评估的结果往往相互矛盾。

Le secteur de la pêche est également actif et il existe un petit secteur d'élevage.

还有蓬勃的渔业部门和养育一些畜牧业

Nous avons également agrandi nos pâturages et nos élevages et accru nos capacités de pêche.

我们还发展了农业、畜牧业和渔业能力。

L'école agricole néo-calédonienne de Pouembout (province du Nord)

该领土的畜牧业生产仍然以肉牛饲养为主。

Les mesures signalées portent tant sur les cultures que sur l'élevage.

所包括的措施包括农业和畜牧业生产作业。

La pêche est une des activités économiques les plus importantes à Anguilla.

畜牧业生产和节省饲料的新技术也正在发展。

L'industrie de l'élevage, si vitale, a été particulièrement dévastée à cette occasion.

尤其是在经济上非常重要的畜牧业遭到巨大破坏。

Ces programmes intègrent l'hydraulique pastorale, la foresterie et l'agriculture.

这些方案也包含畜牧业用水、林业和农业的内容。

L'économie était dominée par la petite agriculture, la foresterie, la pêche et l'élevage.

经济主要是小规模农业、林业、渔业和畜牧业

D'une façon générale, les Hema sont réputés pratiquer l'élevage et les Lendu l'agriculture.

一般说来,人们认为赫马族从事畜牧业,伦杜族主要从事农业。

La participation de l'élevage au produit intérieur brut agricole est comprise entre 13 et 16 %.

畜牧业占国内农业生产总值的份额为13%至16%18。

Pour le secteur agricole, les mesures signalées portent tant sur les cultures que sur l'élevage.

所通报的农业部门措施包括与农业和畜牧业有关的活动。

On observe souvent le même gaspillage dans les opérations d'élevage intensif.

在与密集型畜牧业有关的用水方面,往往存在类似效率不高的情况。

Le secteur primaire doit son dynamisme aux sous-branches «cultures de rente», «élevage» et «forêt germe».

第一产业的活力有赖于经济作物、畜牧业和林业等分部门。

On estime que le sous-secteur de l'élevage assure 15 % du PIB et 33 % du PIB agricole.

畜牧业约占国内生产总值的15%,农业国内生产总值的33%。

L'économie de Rodrigues est essentiellement fondée sur l'agriculture, l'élevage, la pêche et les travaux manuels.

罗德里格斯岛的经济主要以农业、畜牧业、渔业和手工业为基础。

Quelles que soient les raisons, les femmes pastorales elles-mêmes acceptent la mutilation génitale.

无论出于何种原因,畜牧业地区的妇女本身就支持这种残害切割女性生殖器官的做法。

Source : Ministère de l'agriculture, de l'élevage et de la pêche.

农业、畜牧业和渔业部。

法语百科

Élevage bovin extensif à Tjärstad en Suède (**), par Johan Krouthén (1858–1932)

L’élevage, ou vacherie en français cadien, est l'ensemble des activités qui assurent la multiplication des animaux souvent domestiques, parfois sauvages, pour l'usage des humains.

Histoire

Origines

Allégorie de l'élevage.
Allégorie de l'élevage.

Les premiers hommes vivaient de cueillette, de la pêche et de chasse. Le passage d'une stratégie d'exploitation directe de l'environnement à l'agriculture et à l'élevage est généralement présenté comme naturel, mais on connait peu les pratiques intermédiaires qui pourraient expliquer le glissement de l'une à l'autre. Ainsi, il y a bien un mystère de l'apparition de l'élevage, dont l'explication a peut-être été trouvée chez les aïnous avec leur rituel de l'ours : l'élevage pourrait avoir été un produit d'un rituel sacrificiel, un animal, élevé comme un membre de la famille et en son sein, servant aux sacrifice lorsqu'un rituel l'e**ge. La domestication donnant alors (ou non) un résultat en fonction de l'animal utilisé ; loup conduisant à l'apparition du chien, bovin sauvage aux bovins domestiques, ou ours chez les aïnous, ce qui ne mène à rien de matériellement utilitaire mais fournit une piste explicative. Des peintures murales de la civilisation mycénienne montrent que les animaux sont associés à la chasse, ainsi qu'à la tauromachie.

Premières traces

Vaches et moutons en pâture.

Les premières traces d'élevages d'herbivores découvertes en Mésopotamie datent de 9000 av. J.-C.. L'homme, dès 3000 ans av. J.-C. a contribué à introduire des espèces plus ou moins domestiquées hors de leur zones naturelle de répartition, jusque dans les îles en Europe de l'Ouest, modifiant ainsi leurs caractéristiques écopaysagères premières. L'élevage semble s'être beaucoup développé au Néolithique (dont en Europe et en France, dans le nord du pays par exemple), mais il semble longtemps coe**ster avec la chasse. Dans la vallée de l’Aisne les archéologues ont trouvé des traces ou indices d'élevage et d'exploitation animale durant au moins 1000 ans durant l'âge du bronze.

Durant l'antiquité

L'élevage se poursuit durant l'Antiquité et l'antiquité tardive (Bas Empire et Haut Moyen Âge). Durant le début du Moyen Âge en Europe, la consommation de viande semble avoir été relativement importante, au moins pour la partie la plus riche de la population. Fernand Braudel écrivait que « Des siècles durant, au Moyen Âge, elle (L'Europe) a connu des tables surchargées de viandes et des consommations à la limite du possible ». L'élevage fournissait d'autres ressources telles que le lait, le cuir, le boyau, la laine et la graisse, des outres.... Il permit une civilisation de l'objet au **II siècle : le cuir était transformé en chaussures ; le parchemin était de la peau traitée. La laine alimentait l'industrie drapière. Les boyaux et les cornes entraient dans la fabrication d'instruments de musique, d'outils, d'armes, etc.

Les paysans utilisent la force des animaux pour les travaux agri***** : bœufs et chevaux tirent la charrue ou la herse. Ils réalisent les corvées de charrois (transport de vin, de blé, de bois, de paille). Les chevaux étaient parmi les biens les plus précieux des chevaliers et des armées. Plus tard, ils ont halé les navires et péniches sur les fleuves. Certains moulins ont longtemps utilisé leur force de travail. L'élevage fournit aussi; de manière indirecte ou direct; des fumures pour amender les terres dans les systèmes dites de polyculture-élevage.

Au XX siècle

on s'interroge sur l'importance des conditions d'élevage des animaux dès les années 1920, ce qui n'empêchera pas le développement d'un élevage industriels critiqué pour sa déshumanisation et certaines maltraitances faites aux animaux. La mécanisation entraine une forte intensification des élevages dans les pays industrialisés.

Au début du X** siècle

Dans le monde : Selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (la FAO en anglais), le cheptel bovin mondial continue à progresser (10 millions de têtes en 2001, ce qui devrait se traduire par 2 à 3 % d'augmentation de la production de viande). La production ovine mondiale était de 7,9 millions de tonnes et le cheptel porcin (en progression de 2 % en 2001) a atteint 923 millions de têtes. C'est le porc qui est le plus consommé au monde, surtout en Asie (59 % du cheptel en 2001, avec une demande en progression) ; le Japon est en 2001 le 1 importateur au monde (plus de 700.000 t/an) de viande de porc.

Dans l'Union européenne (UE-15), c'est le cheptel porcin qui domine (125 millions de têtes vers 2001), détenu à 20,7 % par l'Allemagne, 19 % par l'Espagne, 12 % par la France et 10,4 % par le Danemark. Le cheptel ovin n'atteint lui que 95 millions de têtes ; on le trouve essentiellement au Royaume-Uni (29 %), en Espagne (25,4 %), en Italie (11,6 %) et en France (9,8 %). 82,8 millions de têtes de bovins suivent, principalement élevés en France (plus du quart du total européen de l'UE-15 avec 25,35 %), devant l'Allemagne (17,58 %) et le Royaume-Uni (12,8 %), aucun des 13 autres États-membres ne produisant plus de 10 % du total. Les caprins sont moins nombreux (11,2 millions de têtes). La volaille est aussi une filière importante (6,2 millions de têtes).

Caractéristiques

Viande.
Viande.
Laine de mouton.
Laine de mouton.

Les diverses activités mises en œuvre pour l'élevage incluent notamment la gestion de la production des animaux adultes pour les multiplier, et leur fournir gite, nourriture, soins, en vue de leur utilisation et/ou de leur production.

Les produits de l'élevage impliquent :

les animaux eux-mêmes (nouvelles générations pour le renouvellement des troupeaux, animaux de repeuplement de territoire de chasse ou de pêche, animaux de compagnie) ;

les produits et sous-produits agri***** carnés pour l'alimentation humaine ou animale : viande, mou, abat, poisson, coquillages, lait, œufs, miel ;

des produits et sous-produits agri***** non alimentaires : poils, laine, cuir, plumes, duvet, fourrure, corne, soie, etc. ; fumier, lisier, farines animales ;

une force de travail : animal de trait, chien berger, de handicapé, de garde ou policier, furet de chasse, etc.

L'élevage s'applique généralement aux espèces d'animaux domestiques, mais pas exclusivement. On élève aussi des animaux non domestiqués d'origine sauvage, par exemple les visons. Il fait appel à un certain nombre de sciences et de techniques dont : la sélection, l'organisme génétiquement modifié (OGM), l'alimentation animale, la médecine vétérinaire, et la zootechnie, notamment.

Actuellement, l'élevage peut également avoir pour objectifs de contribuer à la préservation de paysages ouverts, de milieux naturels (comme les zones humides par exemple), de pâtures à vocation de protection des sols et de puits de carbone ; à la préservation des espèces et des races domestiques à faible rendement menacées de disparition (élevage conservatoire) ; et aux loisirs (animaux de compagnie et de concours, colombophilie, etc.)

Un recensement effectué en 2006 par la FAO compte, dans le monde, 17 milliards de poulets, 1,8 milliard de moutons et de chèvres, 1,4 milliard de bovins, un milliard de cochons et un milliard de canards.

Problèmes liés

Exemple d'élevage hors-sol, des veaux en batterie.

La généralisation puis surtout l'industrialisation rapide de l'élevage au XX siècle n'a pas été sans impacts négatifs sur l'environnement, et pose des questions nouvelles dans les domaines de la zootechnie, de l'éthique, du droit, de la biosécurité et de la santé alimentaire et santé environnementale ; en particulier. Ceci concerne aussi l'aquaculture, dont les effets doivent être mis en balance toutefois avec l'effondrement d'une partie importante du "stock" en raison de la surpêche, que certains estiment être un collapsus écologique des écosystèmes littoraux, toute en tenant compte qu'elle a augmenté la demande en pêche minotière qui contribue massivement à la surpêche);

Parmi les problèmes les plus souvent cités, il est question des méthodes de sélection et de l'insémination (souvent contrainte ou totalement artificielle) appauvrissant la diversité génétique et favorisant la consanguinité des animaux au sein des espèces et souches élevées, et favorisant potentiellement les zoonoses dans un contexte de mondialisation de l'élevage. Le pâturage sur les lieux d'anciennes forêts peut avoir un impact irréversible sur la biodiversité forestière, à échelle humaine de temps, même si la forêt repousse sur le même site. La diffusion dans les pays riches de l'élevage hors-sol est un facteur de bouleversement des paysages (les cultures industrielles de soja et maïs remplacent les pâtures qui étaient des puits de carbone, des filtres pour l'eau). La diffusion planétaire de l'élevage en batterie (élevages de plus de 10 000 à 50 000 volailles, qui semblent avoir eu un rôle dans la diffusion du virus H5N1 et d'autres pathogènes),

Le centre-sud de l'Amérique du Sud (Argentine) - notamment à cause de l'élevage - serait le premier secteur d'émission de méthane de l'hémisphère sud. Le CH4 est en tant que gaz à effet de serre un puissant facteur de Dérèglement climatique.

La possibilité de fortement stimuler la production laitière des bovins ou la production de viande par l'usage d'additifs alimentaires ou l'utilisation d'hormones de croissance (somatotropine bovine essentiellement), la possibilité d'utiliser des hormones (injection de mélatonine) ou d'un éclairage artificiel forçant les animaux à se reproduire à des périodes qui ne sont pas naturelles), ou encore la possibilité de cloner des animaux ou de les modifier par génie génétique sont à l'origine de questions sociétales nouvelles, et parfois à l'origine de conflits commerciaux actuellement principalement gérés par l'OMC. À titre d'exemple, des laboratoires ont réussi à produire par génie génétique des hormones de synthèse (ex somatotropine bovine recombinée) dont les effets de perturbateur endocrinien sur la santé des consommateurs sont discutés. L'usage de farines animales dans l'alimentation d'herbivores a été à l'origine de la diffusion d'un prion pathogène à l'origine de la maladie de la vache folle.

Les méthodes modernes d'élevage (aliments à base de maïs et soja, farines de poisson, ainsi que la consommation de fuel, eau, pesticides et autres intrants à forts impacts environnementaux en amont) ont eu des effets économiques et sociaux (le nombre d'emplois nécessaires pour produire une tonne de viande a fortement baissé depuis le **X siècle) et des effets sur l'empreinte écologique. La diffusion dans l'environnent de résidus de médicaments vétérinaires via les urines et excréments (lisiers, fumiers) à partir d'élevages (notamment de bovins ou de porcs et à partir des piscicultures) est un problème émergent, qui semble déjà avoir des effets importants. La consommation de viande augmente fortement dans les pays émergents et notamment en Chine et que « l'homme consomme annuellement plus de 53 milliards d'animaux par an (dans l'ordre : poulets, canards, porcs, lapins, dindes, moutons, chèvres, bovins et chevaux) ». Ce qui, en Occident représente « 98 % de la totalité des animaux avec lesquels les humains sont en interaction. (...) Les abattoirs américains tuent plus de 23 millions d’animaux par jour (...) Selon les estimations de l’ONU (FAO), la production mondiale de viande et de lait doublera d’ici 2050 ». Une question abordée par les éthiciens est celle de la condition animale, que certains traitent de manière plus générale dans la question de la « responsabilité morale des humains à l'égard des animaux. »

Impacts environnementaux

L'élevage génère de nombreux impacts environnementaux, directs ou indirects, immédiats ou différés estimés importants par l'ONU, et son agence la FAO qui le rappelle régulièrement. « Le risque de zoonoses s’intensifiera à l’avenir, compte tenu de la montée démographique et de la croissance de la population animale, des changements dynamiques de la production animale, de l’émergence de réseaux agro-alimentaires mondiaux et de l'accroissement sensible de la mobilité des hommes et des marchandises (...) la concentration excessive d’animaux dans de grandes unités de production industrielle est à éviter, et il faut envisager des investissements pour renforcer la biosécurité et améliorer la surveillance des maladies afin de sauvegarder la santé publique » que la production intensive de viande et de lait génèrent en amont des impacts environnementaux sur les sols, l’air, l’eau et les écosystèmes.

L'un des problèmes est l'émission de gaz à effet de serre par les animaux élevés, par la filière viande, et par les cultures qui alimentent ces animaux et qui contribuent à la déforestation, c'est-à-dire au recul des puits de carbone et d'écosystèmes qui stabilisaient le climat et les microclimats, et les experts pensent que la demande mondiale en protéines pourrait encore croître de 50 % de 2010 à 2020. L'Organisation mondiale de la santé animale (OIE) a annoncé en 2010 qu'elle allait réunir des experts pour étudier les impacts de l’élevage sur les écosystèmes et les changements climatiques. Selon le dernier rapport de la FAO (2014) l'industrie de l'élevage est responsable de 14,5% des émissions de Gaz à Effet de Serre. Le précédent rapport de la FAO en 2006 avançait le chiffre de 18%.

Contrôles

En raison des risques de zoonoses et de maladies induites par des viandes ou conserves avariées, ou de trafics d'hormones, la filière et la commercialisation des viandes font l'objet de certains contrôles.

En France, en 2011, à la demande du gouvernement, deux ministères (agriculture & environnement) ont demande au CGEDD et au CGAAER de faire des propositions de simplification des dossiers et les contrôles opérés dans les élevages. Un rapport a synthétisé les propositions d’un groupe de travail ayant associé les organisations professionnelles agri***** et les administrations concernées. Ce rapport (56 pages) a été rendu aux ministres en janvier 2012, et rendu public le 8 mars 2012, 4 jours après la fin du salon de l'agriculture. Le rapport, intitulé "Simplification des dossiers et des contrôles environnementaux en élevage" (56 pages), synthétisant les propositions d’un groupe de travail ayant associé les organisations professionnelles agri***** et les administrations concernées, contient des propositions de simplification de procédure (ex : possibilité de déposer le dossier sous forme numérique) et des propositions visant à limiter les possibilités de recours (des préfets notamment) ou visant à allonger les délais entre eux contrôles des élevages (un contrôle qui pourrait être porté à tous les 10 ans, avec des délais allongé de 5 à 7 ans si l'agriculteur est certifié ou adhère à de bonnes pratiques. Le contrôle périodique présenté par ce rapport comme "ayant d'abord une vocation pédagogique", et pouvant être à rapprocher des "régimes à adhésion volontaire : certification environnementale et charte des bonnes pratiques d'élevage en particulier"; Il utiliserait la documentation laissée chez l'éleveur (p. 15 du rapport). Une certification environnementale à 3 conditions pourrait valoir contrôle. Selon ce rapport, concernant la « vérification de l'e**stence de capacités de stockage suffisantes pour les effluents d'élevage, la charte des bonnes pratiques est plus précise que le contrôle périodique : même si le technicien est invité à faire preuve de compréhension, il doit relever l'absence de capacité de stockage, ce que le contrôle périodique ne fait pas ». En cas d'adhésion à la charte, le rapport propose d'utiliser pour le contrôle périodique les documents remis à l'éleveur à l'issue de l'audit charte (et réciproquement) (...) en recherchant « en priorité à élargir la reconnaissance que donne pour l'éleveur la participation à la charte ».

Types

Élevage pastoral, ancestral et nomade, relevant du système d'élevage extensif ;

Élevage traditionnel, associé à la culture des sols, assurant l'autosuffisance générale ou partielle ;

Élevage bio, axé sur la production d'origine animale et sa commercialisation avec un minimum souhaité d'effet négatif sur l'environnement ;

Élevage conventionnel, axé sur la production d'origine animale (viande, lait, œuf...) et sa commercialisation à grande échelle ;

Élevage intensif ou industriel, conventionnel, axé sur le ma**mum de rentabilité ;

Mini-élevage : élevage familial ou à petite échelle, encouragé dans les villages isolés ou défavorisés pour remplacer la cueillette et le braconnage.

Élevages spécialisés

Élevage bovin (vaches et zébus)

Élevage ovin (moutons)

Élevage caprin (chèvres)

Élevage équin (chevaux)

Élevage porcin (porcs)

Élevage avicole (oiseaux)

Élevage canin (chiens)

Élevage félin (chats)

Élevage des animaux à fourrure

中文百科
英国牧牛场
英国牧牛场

**放牧的牦牛群

1887年时美国的牛仔
1887年时美国的牛仔

畜牧业是繁殖、饲养陆地动物和鸟类的行业,一般分为饲养业和驯养业,不包括水生生物的饲养管理。畜牧业是人类生产中最古老的产业,目前在世界各地的许多大学中,都有关于畜牧业的学科。人类进行畜牧的目的主要是从被畜牧的动物身上获取食物、皮毛等原材料,但也有为了保护某些濒临灭绝的动物种群而对其进行畜牧的例子。

起源

在新石器时代人类驯养野生动物时逐渐成型。畜牧业的起源和农业一样,并不发生在某一特定地区,而是分散在世界各地的古人类文明各自独立发展出来的。因此由于各地的生态、气候条件存在诸多差异,导致了不同地区最初开始畜牧的动物种类有所不同。随着迁徙和通商的日渐发展,地区特有的驯养动物逐渐扩散到世界的其他适宜它们繁衍的地区。如中原地区的牛 羊原来就是中东地区输入的。

畜牧对象

畜牧业在世界各地饲养多种不同的动物,在汉语中,饲养之家禽、畜,简单的分法为:两脚称之为家禽,包括鸡、鸭、鹅等;四脚称之为家畜,包括猪、牛、羊等。家畜比较普遍的有养猪、羊、牛、山羊、马等,此外在**,饲养牦牛;在内蒙和中东,饲养骆驼;在南美洲,饲养骆马、羊驼和天竺鼠,在中国东北和欧洲北部,饲养驯鹿。家禽的饲养主要有鸡、鸭、鹅等,在北美洲对火鸡的饲养也是一种重要品种。

畜牧业和粮食供应

畜牧业对粮食的巨大需求也会对人类的粮食供应产生冲击。美国种植的粮食作物中有一大部分是作为畜牧业的饲料使用的,畜牧业对饲料的需求上涨会造成极需外来粮食进口的第三世界粮食供应短缺而引发人道主义危机。

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