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词典释义:
homophonie
时间: 2024-07-10 17:58:55
[ɔmɔfɔni]

n.f. 1. 〔语〕同音异 2. 〔乐〕主调音乐;唱,

词典释义
n.f.
1. 〔语〕同音异
2. 〔乐〕主调音乐;唱,
La musique antique française ne connaissait, semble-t-il, que l'homophonie.法国古代音乐乎只有

近义、反义、派生词
词:
polyphonie
联想词
analogie ,相; phonétique 语音学; prononciation 宣布,宣告; mélodie 旋律,曲调; syllabe 音节; locution 短语; étymologie 词源学; conjonction 连接,连结,结合; graphie 拼写法,书写法,书写符号; orthographe 缀字法; ponctuation 标点;
短语搭配

La musique antique française ne connaissait, semble-t-il, que l'homophonie.法国古代音乐似乎只有齐奏。

法语百科

En linguistique, l’homophonie est une variété d’homonymie désignant le rapport entre deux mots différents possédant la même prononciation — cf. phonétique. L’homophonie se distingue en cela de l’homographie, qui elle, désigne le rapport entre deux mots différents possédant la même orthographe. L’homophonie est très fréquente en français (car elle peut se produire avec quasiment tous les mots, même les plus courants) et est la source de fautes d’orthographe très fréquentes :

  • Par exemple en français, « ferment » (conjugaison de « fermer » à la troisième personne du pluriel du présent de l’indicatif) et le nom masculin « ferment » (homophone du participe présent « fermant ») sont homographes mais pas homophones, tandis que les mots « mer », « mère » et « maire » sont homophones mais pas homographes.
  • Le cas le plus courant en français de prononciations identiques se produit avec les accords au féminin et/ou au pluriel de nombreux mots, car ces accords, même s’ils se différencient orthographiquement, ne se différencient pas toujours phonétiquement. C’est également très fréquent dans les formes conjuguées du même verbe (notamment avec tous les verbes réguliers du premier ou second groupe). Mais, dans tous ces cas, ce sont des formes du même mot, pas des mots différents.

Homophonie et homonymie

Deux mots différents qui sont à la fois homophones et homographes sont des homonymes vrais :

Par exemple en français, « suis » désigne deux homonymes vrais car il peut être la forme conjuguée des verbes « être » et « suivre » à la première personne du présent de l’indicatif (mais aussi à la deuxième pour le second). Par ailleurs, ces homonymes vrais sont tout autant homophones de la forme verbale « suit » (issus du même « suivre », à la troisième personne du présent de l’indicatif), ainsi que du nom commun féminin « suie », avec lequel ils n’entretiennent du reste aucune parenté étymologique, comme c’est déjà le cas entre « être » et « suivre ».

Homophonie et paronymie

On parle parfois aussi d’homophonie entre deux ou plusieurs mots (ou expressions) quand ces mots (ou expressions) ont des prononciations normalement différentes phonétiquement mais suffisamment proches (paronymes) pour être parfois confondues phonologiquement suivant les accents régionaux, ou quand ils sont prononcés dans une autre langue qui ne fait pas de différence claire entre plusieurs phonèmes, ou quand la prononciation de la graphie est incertaine dans cette langue. Mais on devrait plutôt parler dans ce cas de paraphonie :

C’est le cas souvent de certains noms propres étrangers tels que les paronymes Holland, Hollande, Åland et Oland en français, qui sont souvent paraphones, et dont l’orthographe peut varier en raison de lettres normalement inconnues en orthographe purement française, selon différents modèles de francisation, ce qui conduit alors à des prononciations très différentes sans qu’on puisse savoir quel nom est réellement prononcé.

D’autres cas de paraphonie en français se produisent par exemple avec les noms masculins « mat » et « mas » (la prononciation de ce dernier varie suivant les locuteurs, certains faisant la différence en prononçant le ‘s’ final et d’autres pas, ou en prononçant le second avec un ‘a’ antérieur).

Un cas de paraphonie liée à l’évolution de la phonétique de la langue française se produit entre les verbes conjugués paronymes « chantais » et « chantai » (ce dernier était normalement prononcé comme les homophones « chanté » et « chanter », pour indiquer ici l’indicatif passé simple à la première personne du singulier, mais est maintenant le plus souvent confondu comme avec les homophones « chantais », « chantait » et « chantaient », qui indiquent l’indicatif imparfait et dont le premier est aussi conjugué avec la première personne du singulier). Ce cas produit alors une confusion facile des temps et est la cause de fautes d’orthographe assez courantes.

Le même cas de paraphonie se reproduit en français entre le conditionnel présent et l’indicatif futur, par exemple avec les paronymes « chanterais » (ou ses homophones vrais « chanterait » et « chanteraient » tous prononcés comme « chantrè ») et « chanterai » (normalement prononcé comme « chantré »), et produit la même confusion des temps.

En outre, la distinction phonétique entre le ‘a’ antérieur et le ‘a’ postérieur tend à disparaître phonétiquement en français courant au profit de la voyelle antérieure, transformant une paronymie en homophonie (par exemple entre l’adjectif « las » normalement prononcé postérieur, mais souvent prononcé comme les « la » et « là », deux homophones vrais toujours prononcés antérieurs), ce qui peut produire des ambiguïtés de compréhension (par exemple « je suis las », postérieur, indique ma fatigue mais si on le prononce antérieur, on confond la phrase avec « je suis là » qui indique ma présence en un lieu).

Par ailleurs, on remarque également une tendance à l’ouverture généralisée des ‘o’ fermés lorsqu’ils se trouvent entravés en syllabe finale. Ainsi de « zone », « cône », « axiome », « tome », « cosmos », mais aussi de « faute, « chaume », « royaume », « heaume », etc., dont le [o] s’ouvre en [ɔ] dans la langue populaire. Des couples paraphoniques tels que « sotte »/« saute », « cotte »/« côte », « roc »/« rauque », « pomme »/« paume », « homme »/« heaume », « bosse »/« Beauce », « Paul »/« Paule », etc., glissent donc tous vers l’homophonie. Le registre soutenu conserve néanmoins clairement ces différences.

Enfin, notons la confusion de plus en plus fréquente entre les sons vocaliques nasaux [ɛ̃] et [œ̃] qui tendent dans la prononciation parisienne à se fondre en un son unique [æ̃], beaucoup plus ouvert. Celle-ci produit alors des couples d’homophones tel que « brin »/« brun ». La distinction des deux sons continue cependant d’être attestée dans de nombreuses régions et villes françaises, comme à Toulouse, par exemple.

Homophonie en littérature

Certains écrivains, comme Raymond Roussel ou Alphonse Allais, ou les membres de l’Oulipo ont fait de l’homophonie soit un principe de construction fictionnelle (Roussel, dans Impressions d'Afrique, ou l’Oulipo, dans Troll de tram), soit un jeu poétique (Allais et ses distiques homophoniques ou poèmes holorimes), soit encore un déplacement dans un autre univers sémantique (cf. la prière Notre Auber qui êtes Jussieu d’Hervé Le Tellier). Nadia Roman s’adresse aux enfants avec Le Scriptophone et ses homophones.

Le fou littéraire Jean-Pierre Brisset, dans son ouvrage « La Grande Nouvelle » (1900), postulait sérieusement une loi linguistique étonnante : l’homophonie entre mots ou idées prouverait un rapport entre eux :

« Toutes les idées que l’on peut exprimer avec un même son, ou une suite de sons semblables, ont une même origine et présentent entre elles un rapport certain, plus ou moins évident, de choses existant de tout temps ou ayant existé autrefois d’une manière continue ou accidentelle. »

Il réussissait à concevoir par ce procédé que l’Homme descend de la grenouille.

Plus récemment, loin de cette hypothèse, le poète Pierre Guéry, dans son livre Erotographie (Biliki, 2007), choisit d'user souvent d'homophonies et parfois d'holorimes pour aborder, sous forme d'aphorismes, de fictions éclairs ou de poèmes en prose, des thèmes homoérotiques :

« entrepôt, entre peaux, attraction, érection, éjection. déjections. pâture, morsure, blessure ornementale. pâture, mort sûre, orne mentale. »

« le manque ça vit de l'amour qui ample lit, à vide d'illusions. »

Homophonie en musique

En musique, le mot peut avoir trois significations :

Homophonie peut tout d'abord désigner une musique collective à l'unisson. Dans ce cas, le mot est synonyme de monodie, et s'oppose à la polyphonie et à l'harmonie.

Par exemple, le chant grégorien est homophone.

Dans la musique vocale d'ensemble, homophonie peut également signifier que les différentes voix d'une pièce musicale chantée, articulent les mêmes syllabes en même temps.

Par exemple, un choral est homophone, alors qu'une fugue ne l'est pas.

Enfin, homophonie peut désigner le rapport entre deux notes rendues synonymes par le biais du tempérament égal. Dans ce cas, le terme est synonyme d'enharmonie.

Par exemple, do♯ et ♭ sont des notes homophones.
中文百科

同音异义语(Homophone),指一个词语的发音与另外一个词语相同,但意义却不同。这些词可能写法相同,以中文而言,例如「杜鹃」一词,可以指一种鸟类,也可以指杜鹃花;也可能写法不同,例如制服、制伏等等。写法相同的同音异义语同时也是同形异义语。在表音文本中,同音异义语也可以指与其他词组或字母发音相同的词组或字母。

英文词汇「Homophone」的字源是希腊文的「homo-」 (ὁμο-,相同),以及「phōnḗ」 (φωνή,发声)。反义词为「heterophone」,即为多音字。

同音异义语例子(普通话)

意义、异议、意译

堵住、赌注

过度、过渡

隐情、引擎

请客、顷刻

迷路、麋鹿

由于、鱿鱼

印尼、印泥

制服、制伏

台风、台风 (简体中文是相同的)

手势、首饰、守势

容易、溶液

行李、行礼

交代、胶带、交待

悲剧、杯具

枇杷、琵琶

双关语

刘禹锡〈竹枝词〉:东边日出西边雨,道是无晴还有晴。(「晴情」双关。)

〈子夜歌〉 乘月采芙蓉,夜夜得莲子。(「芙蓉、夫容」,「莲子、怜子」双关。) 前丝断缠绵,意欲结交情。春蚕易感化,丝子已复生。(「丝思」双关。)

乘月采芙蓉,夜夜得莲子。(「芙蓉、夫容」,「莲子、怜子」双关。)

前丝断缠绵,意欲结交情。春蚕易感化,丝子已复生。(「丝思」双关。)

对联

在对联中,将一个字或几个字形、字义不同而读音相同的字,分别安排在一副对联内,特别称之为「异字同音」联。例如明代杨继盛题镇江焦山联:「焦山洞里住椒山;扬子江头渡杨子」,即运用了「扬杨」同音、「焦椒」同音。

法法词典

homophonie nom commun - féminin ( homophonies )

  • 1. linguistique identité de prononciation de mots ou de lettres

    il y a homophonie entre les lettres "f" et "ph"

  • 2. identité de son de deux notes de musique différentes

    il y a homophonie entre "si dièse" et "do" au piano

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