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词典释义:
vidéo
时间: 2023-09-22 18:40:51
TEF/TCF
[video]

n.f1 像2 像片,视频常见用法

词典释义

n.f
1
un film tourné en vidéo 像拍的电影

2 像片,视频
regarder une vidéo 看像片



常见用法
regarder une vidéo看像片
une cassette vidéo盘盒式像带
caméra vidéo摄像机
cassette vidéo像带
un montage vidéo象剪辑
regarder une cassette vidéo看像带
un fanatique des jeux vidéo个电子游戏迷
ils sont accros aux jeux vidéo他们沉迷于电子游戏

近义、反义、派生词
助记:
vid看+éo

词根:
vid, vis, voi(r), vu, id(éo) 看,看见

派生:

联想:

联想词
video 视频; infographie 图像; photo <口>拍照; bande-annonce 预告片; audio 音频; visionner 视图; séquence 同花顺子; interview 采访,访问; visionnage 技术审查; diaporama ; teaser ;
当代法汉科技词典
变形容词【电子】视频的, 图像的:signal~视频信号, 图像信号

vidéo adj. 视频的vidéof视频

vidéo promotionnelle 推销像带

vidéo fréquence f. 视频; 视频[率]

amplificateur vidéo m. 视频放大器

bande vidéo f. 影带

circuit vidéo 视频电路

clavier à vidéo jeu (键盘)游戏机

compression vidéo 视频压缩

console vidéo 电子游戏机

disquette de jeu vidéo 游戏卡

disquette de vidéo jeu 游戏卡

enregistrement vidéo 

fréquence vidéo 视频

image vidéo f. 影视图[像]

impulsion vidéo 视频脉冲

jeu vidéo inv游戏(电子)

jeu(x) vidéo m.  (pl)电子游戏机; 游戏机; 电玩机

jeux vidéo 电子游戏

machine à jeu vidéo (整机)游戏机

redresseur à cristal vidéo 晶体视频整流器

transfert vidéo (照相底片转换到电视屏幕)视频转换器

appareil vidéo 影机

短语搭配

regarder des vidéos看录像片

Changer de vidéo切换视频;切换视讯

Redémarrer la vidéo重新启动此视讯播放;重新开始视频播放

regarder une vidéo看一部录像片

regarder une cassette vidéo看一盘录像带

clavier à vidéo jeu(键盘)游戏机

un film tourné en vidéo一部录像拍的电影

ils sont accros aux jeux vidéo他们沉迷于电子游戏

bande vidéo录像带;影带

signal vidéo视频信号, 图像信号

原声例句

Voilà, j'espère que cette vidéo vous a plu, que vous y voyez plus clair, que vous disposez de tous les arguments pour défendre la rotondité de la Terre.

所以,我希望你们喜欢这个视频,能看得更清楚,我希望将有论据来捍卫圆形的地球。

[Jamy爷爷的科普时间]

Je vais vous mettre des images de ce clip, mais malheureusement je peux pas passer la musique, parce que sinon je vais avoir des problèmes avec les droits d'auteur, et peut-être que la vidéo va être interdite.

我要给你看这段短片的图片,可惜的是,我不能放音乐,因为不然的话,我可能会侵犯作者的版权,也许我的这个视频也会被禁。

[innerFrench]

Moi je croyais qu'elle était française, j'ai découvert qu'elle était belge en préparant cette vidéo !

我以为她是法国人,我在准备这个视频时才发现她是比利时人。

[innerFrench]

Si vous regardez cette vidéo, ça veut dire que vous êtes sur YouTube.

如果你在看我这个视频,就意味着你在使用油管。

[innerFrench]

Alors justement, dans cette vidéo, je vais vous présenter 6 médias, qui, à mon avis, Pardon ça, c'était mon chat.

所以在这个视频中,我要给你们介绍六个媒体,在我看来,它们… … 不好意思,刚刚是我的猫。

[innerFrench]

Dans cette vidéo, je vais vous présenter 6 médias, qui, à mon avis, sont supers pour apprendre le français, tout en découvrant des choses passionnantes.

在这个视频中,我要向你们介绍六大媒体,在我看来,它们非常适合用来学习法语,而且同时还能发现一些有趣的事情。

[innerFrench]

C'est un média qui s'appelle Brut, qui a été fondée en 2016 et qui fait seulement des vidéos.

这家媒体的名字是Brut,它成立于2016年,并且只负责拍摄视频

[innerFrench]

Si vous allez voir sur leur chaîne YouTube, vous verrez plein de vidéos sur des sujets très divers.

如果你去看看他们的油管频道,就会看到有关各种话题的大量视频

[innerFrench]

Donc je vous conseille de vous abonner à leur chaîne sur YouTube et aussi de liker leur page sur Facebook, si vous êtes sur Facebook, comme ça, vous allez avoir leurs vidéos dans votre feed pendant toute la journée.

所以,我建议你们订阅他们油管上的频道,并且关注他们的脸书主页,如果你用脸书的话,这样,你一整天都会在推送中看到他们的视频

[innerFrench]

Ils postent une vidéo hebdomadaire, ça veut dire " une vidéo chaque semaine" , dans laquelle ils font une analyse assez détaillée d'un fait d'actualité.

该频道每周发布一个视频,也就是说每周一个视频,在视频中,他们会较为详细地分析一件事实。

[innerFrench]

例句库

Toutes les vidéos virales ne montrent pas nécessairement des bébés rigolant comme des fous ou se faisant des frayeurs, des clips de pop star ou des chatons adorables, le temps de quelques secondes.

所有流传着的视频中并不一定会出现像疯子一样傻笑或者受到惊吓的宝宝,流行明星的短片,或者可爱的猫咪,哪怕几秒钟。

Depuis 2002, l'audio-visuel Yunlian vidéo pour les larges masses de gens sont déterminés à fournir les meilleurs produits audio et vidéo et audio-visuelle des solutions.

自2002年来,筠连新视听影音人立志为广大群众提供最完善的音像产品及视听解决方案。

Caitlin a dit qu'elle demandait toujours l'avis de sa maman avant de poster une vidéo sur Youtube.

凯特琳说,她总是在youtube上传视频之前先征求一下她妈妈的意见。

Division I en 2006 de mettre en place, principale: la production vidéo, la publicité, la conception graphique agent.

我司于2006年成立,主营:影视制作、广告投放、平面设计代理。

C'est un film tourné en vidéo.

这是一部录像拍的电影。

Il est très rare d'avoir affaire à ce genre dde message dans le monde du jeu vidéo, le flux informatif étant habituellement clair et précis.

这是非常罕见的,以处理这种数据交换的信息,视频游戏的世界里,流量信息通常是明确和准确的。

La Société a été fondée en 2005, les ventes des grands professionnels original 9 piles Duracell, largement applicables maquettes d'avion, portail électrique, les microphones sans fil, un jeu vidéo.

本公司成立于2005年,主要专业销售原装金霸王9号电池,广泛适用于航模、电动门、无线麦克风、电动玩具。

Sa plate-forme YouTube a annoncé, mardi 19 avril, que toutes les nouvelles vidéos chargées sur son site seront converties au format ouvert WebM.

其旗下YouTube平台与4月19日宣布,即日起所有新上传到该站的视频将全部转换成WebM格式。

J'ai vraiment fait de l'entreprise principalement engagée dans la série: couleur des cheveux, le printemps, les décors, mèches, fait avec la vidéo, ongles cheveux couverts.

我公司主要经营真发系列:色发、发条、发套、发块、影视用发、指甲盖发。

Une enquête de la police est en cours à Athènes et des experts examinent les enregistrements vidéos des caméras de surveillance des compagnies de livraison de colis.

警方正在雅典范围内对此事件进行调查,专家们也正在研究爆炸所发生邮局的监控录像。

L'avocat de Google a annoncé lors d'une audience dans le procès qui l'oppose à Viacom, que le géant du web préparait un système de filtrage vidéo à destination de son site Youtube.

在一次反对维亚康姆公司(viacom)的诉讼招待会上,GOOGLE公司律师宣布:该因特网巨头将准备对其网站YOUTUBE采用视频过滤系统。

Youtube arrive en seconde position. Si le téléchargement a baissé de près de 80% au bureau entre 2006 et 2010, le partage de vidéos et le streaming ont progressé de 1000%.

Youtube排名第二。2006年至2010年期间,其视频下载量下降了近80%,但视频共享及数据流媒体却上升了1000%。

La dernière fois après la fête de l’école j’ai mis les photos et les vidéo sur un site et ai donné l’adresse aux parents des élèves pour qu’ils puissent télécharger, ils étaient très contents.

上次珈米学校的联欢会后,我把小朋友们的照片放到个人网站上,并把网址传给其他家长让他们下载自己宝贝的照片和录像,大家都好高兴。

Les nouveaux "eViewMeeting plate-forme vidéo" est un produit très puissant, est appelée à devenir une région éloignée d'une force révolutionnaire.

最新推出的《eViewMeeting视讯平台》是一个功能非常强大的产品,必将成为远程办公领域的一个革命性力量。

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Dans cette vidéo, les développeurs expliquent que les personnages ne seront pas seulement des "visages pâles" (Hug) et seulement des SEALs, mais que chacun aura son histoire et importance dans le jeu.

在游戏视频中,游戏开发者注解说游戏中的人物将不单是极少“惨白的面貌” ,也不只出处于海豹突击队,在游戏中每一私人城市有己方的故事,每个人物都很主要。

Automatique de la vidéo, flux d'adaptation, vous pouvez obtenir 24 heures de vidéo.

自动录象,自适应码流,可以实现24小时不间断录像。

Font partie de la télécommande à opérer les voitures électriques, de l'animation produits, tels que la vidéo, au nom de la recherche d'hommes d'affaires des entreprises fournisseurs.

现正部分转向经营电动摇控车,动漫商品,电玩等,代经营商家寻求供货商。

法语百科

La vidéo regroupe l'ensemble des techniques permettant l'enregistrement ainsi que la restitution d'images animées, accompagnées ou non de son, sur un support électronique et non de type photochimique.

Le mot « vidéo » vient du latin « video » qui signifie : « je vois ». C'est l'apocope de vidéophonie ou vidéogramme. Le substantif vidéo s'accorde en nombre, cependant, l'adjectif reste toujours invariable.

Théorie

Balayage

Balayage par entrelacement

L'image d'un téléviseur est une succession de balayages linéaires, partant du haut, et finissant en bas de l'écran. Aux débuts de la télévision, la qualité des éléments phosphorescents du tube était médiocre. De ce fait, quand le faisceau balayait le bas de l'écran, le haut avait déjà disparu, d'où un phénomène de scintillement, ressenti fortement par l'œil humain pour 25 Hz ou 30 Hz. La solution la plus simple eût été d'accélérer la cadence de balayage, mais ceci imposait également d'augmenter la cadence des images, ce qui était coûteux en bande passante. Une solution plus astucieuse fut d'omettre une ligne sur deux dans chaque image, permettant ainsi de doubler la cadence de balayage tout en gardant une même bande passante. Ainsi, une première passe affiche toutes les lignes impaires en deux fois moins de temps que pour une image entière et une seconde passe affiche les lignes manquantes paires : c'est ce que l'on appelle l'entrelacement. On obtient bien le même nombre de lignes de balayage pour une image, et on balaye deux fois l'écran pour afficher une seule image. On désigne par le terme « trame » (« field » en anglais) une passe de balayage. Une image est donc constituée de deux trames, puisqu'il faut deux balayages pour définir l'image (« frame » en anglais).

Les caméras, qui fonctionnent comme un « téléviseur inversé », adoptèrent elles aussi cet entrelacement du balayage. Dans la première moitié du temps d'une image, une 1 prise de vue définit toutes les lignes impaires, et une moitié d'image plus tard, une seconde prise de vue définit les lignes paires. Ce qu'il faut bien comprendre ici, c'est que les deux prises de vues sont distantes dans le temps (d'une moitié d'image). Et même si ces deux prises de vue sont complémentaires d'un point de vue spatial (les deux balayages se complètent dans le cadre), ces deux prises de vue n'affichent pas le même contenu ! Si un sujet se déplace dans le champ, il aura une position différente sur chacune des deux trames : on a alors un effet de zig-zag sur chaque « frame ».

Ce problème est en partie résolu par un dispositif de lames cristallines biréfringentes qui « étalent » les détails en dédoublant les rayons lumineux. Il en découle une perte de définition qui confèrent aux système PAL et SECAM une résolution verticale multipliée par 0,7 (facteur de Kell) et qui n'est plus réellement que de 400 lignes environ.

Balayage progressif

Lorsque l'affichage n'est plus entrelacé, on parle de balayage progressif. C'est le mode de capture choisi pour les films tournés en HD TV ou en D-cinéma destinés à être transférés et projetés en 35 mm.

Les 25 images progressives (25p) confèrent alors aux caméras un temps de pose de 1/25 de seconde ce qui est trop long en termes de résolution temporelle. On préfère alors limiter le temps d'intégration des trames à 1/50 s (obturateur électronique).

Les standards de diffusion couleur

NTSC

PAL

SECAM

pas d'information

Les standards PAL ou SECAM n'ont pas de rapport avec le balayage d'une image, ces standards permettent uniquement d'ajouter la couleur aux images noir et blanc à savoir :

Dans les premiers temps de la télévision, seule la luminance définit l'image par un certain nombre de points horizontaux et aussi par trois facteurs de nuance de gris.

Lorsque la télévision couleur a fait son apparition il a fallu que les téléviseurs n/b puissent tout de même restituer une image, le signal de luminance a été conservé et on a ajouté un signal que le téléviseur noir et blanc ne pourrait distinguer et donc ne pas afficher, même en tant que signal parasite, c'est la compatibilité ascendante ou rétro compatibilité.

On a donc ajouté les deux différences de couleur R'-Y et B'-Y (le ' signifie que les signaux ont subi une correction propre à une courbe de gamma pour pallier, à l'époque, un problème de non-linéarité de restitution des tubes cathodiques) afin, qu'en combinant le tout avec la luminance, qu'on puisse extraire le vert.

Ceci pour la couleur ; maintenant il fallait pouvoir transporter ces deux différences et c'est là qu'un conflit de standard a été déclaré, tous les pays n'ont pas adopté la même façon de transmettre des signaux de chrominance.

En France SECAM (Séquentiel de Couleur A Mémoire), transmission alternée de l'information rouge et bleu

Aux États-Unis et autres pays le NTSC (changement de phase uniquement sur une des différences couleur) : c'est le premier système qui a été mis en place, mais il génère de la diaphotie auquel la France a répondu par le SECAM.

Et le reste du monde, le PAL Phase Altération Line (distinction des deux différences envoyées en même temps et avec des phases différentes).

Le signal de chrominance est ensuite une sous-porteuse de la luminance…

Le nombre de lignes, la vitesse de balayage, le type de signal positif ou négatif à l'émission, font partie des normes suivant le pays et n'a rien à voir avec les standards de diffusion couleur (PAL, SECAM, MESECAM, et NTSC).

Du fait de la capture en deux trames de 1/50 de seconde chacune, c'est le temps de pose en vidéo (25i).

Les capteurs photographiques

Les premières caméras, fonctionnant sur le même principe que les téléviseurs, analysaient l'image formée par l'objectif à l'aide d'un tube cathodique. Depuis la fin des années 1980, elles sont dotées d'un capteur photographique de type CCD ou CMOS.

Définition de l'image et fréquence de balayage

Aspect Ratios et Résolutions
Aspect Ratios et Résolutions

Il existe différents formats d'image vidéo, qui dépendent essentiellement de la fréquence de balayage vertical de l'image.

405 lignes 50 Hz (standard anglais abandonné) noir et blanc

525 lignes 60 Hz : résolution 4/3 utile = 720 x 480 (standard américain) couleur NTSC et PAL-N

625 lignes 50 Hz : résolution 4/3 utile = 768 x 576 (standard européen) couleur PAL, SECAM et NTSC-4.43

819 lignes 50 Hz : résolution 4/3 utile = 1024 x 768 (standard français abandonné) noir et blanc

On peut constater qu'il existe une différence entre le nombre de lignes composant l'image et le nombre de lignes affichées. Ceci représente une différence de 49 lignes en 50 Hz et de 45 lignes en 60 Hz. Ces lignes perdues sont nécessaires, elles représentent le temps nécessaire pour que le faisceau d'électrons balayant le tube cathodique puisse remonter du bas de l'image vers le haut. Ce problème technique n'existe pas avec les panneaux LCD et les dalles plasma, mais il est conservé pour assurer la compatibilité. Les lignes libres sont mises partiellement à profit : on y place les signaux du télétexte, du sous-titrage et aussi le time-code des équipements vidéo professionnels.

Il faut distinguer deux fréquences de balayage de l’image :

Le balayage vertical, qui s'effectue de haut en bas et sert à composer l'image. Il s'effectue 50 ou 60 fois par seconde.

Le balayage horizontal, qui s'effectue de droite à gauche pour chaque ligne de l'image. La fréquence de balayage horizontal est donc égale à la fréquence verticale multipliée par le nombre de lignes et divisée par deux à cause de l'entrelacement.

F_h = \frac{F_v N}{2}

Ce qui donne les valeurs suivantes :

Fh(50 Hz) = 50 x 625 / 2 = 15 625 Hz

Fh(60 Hz) = 60 x 525 / 2 = 15 750 Hz

Ce résultat n'est pas dû au hasard. Si les fréquences horizontales sont presque les mêmes en 50 Hz et en 60 Hz, c'est que cela permet d'utiliser la même circuiterie de balayage horizontal, donc de réaliser des économies.

Couleur

Depuis quelques décennies, les spécialistes connaissaient les particularités spectrales de l'œil humain, qui affichait une très nette préférence pour certaines couleurs. De plus, ils savaient que le spectre chromatique de l'œil peut se décomposer en trois couleurs primaires, qui permettent par mélange de recréer à peu près toutes les autres couleurs du spectre. Le cinéma couleur exploite cela en utilisant des émulsions à plusieurs couches, dont chacune est sensible à une couleur primaire.

Les écrans émettant de la lumière, les ingénieurs utilisèrent la synthèse additive composé de rouge, vert et bleu (à l'inverse le papier absorbe la lumière et utilise la synthèse soustractive composé de cyan, magenta et jaune) Le rouge, vert et bleu sont les couleurs primaire de cette synthèse additive. De la même manière le cyan, magenta et jaune sont les couleurs primaire de la synthèse soustractive.

La prise de vue en couleur s'effectue selon un prisme optique qui répartit la lumière sur trois capteurs, devant lesquels il y a respectivement un filtre rouge, vert et bleu. Ainsi, chaque capteur n'enregistre que les informations de lumière concernant une couleur. Il suffit ensuite d'enregistrer puis restituer les 3 composantes RVB sur un moniteur couleur acceptant les trois entrées RVB : il y a trois signaux à la place d'un seul. Il faut non seulement tripler toutes les liaisons câblées entre les différents équipements, mais aussi tripler les pistes d'enregistrement sur un magnétoscope, tripler tous les équipements de production, jusqu'aux équipements de diffusion hertzienne. Le défi était donc de créer un signal unique englobant trois informations différentes, et qui ne devaient pas se mélanger avant le traitement par le poste de réception.

Le défi était aussi de conserver la totale compatibilité avec les postes noir et blanc encore très présents dans les foyers. Les chercheurs travaillèrent donc dans le but de créer un signal vidéo englobant du rouge, du vert, du bleu, ainsi que du noir et du blanc dans le même « tuyau », sans que ceux-ci se mélangent.

Il était interdit d'avoir une caméra noir et blanc ET une caméra couleur. Il fallait donc fabriquer du noir et blanc à partir des trois composantes RVB. Se basant sur les sensibilités de l'œil aux différentes couleurs, les spécialistes prirent 59 % de vert, 30 % de rouge et 11 % de bleu. Ils venaient d'inventer un nouveau terme : la luminance (Y). Les téléviseurs noir et blanc pourraient donc voir en noir et blanc des images issues de caméra couleur. Comment maintenant rajouter à ce Y les informations de couleurs permettant de retrouver notre RVB original ? Puisqu'il y avait déjà de la lumière (le Y), il fallait « colorier » ce noir et blanc avec des informations de couleurs qui ne contenaient, elles, aucune valeur de lumière, mais uniquement des indications de teinte et de saturation.

Une fois d'accord pour ce noir et blanc colorisé, il fallut trouver l'astuce qui permettrait de transmettre la lumière (Y) et la chroma (C). Des procédés électroniques aux très longs noms virent le jour. Il y a par exemple «modulation d'amplitude en quadrature de phase, à sous-porteuse supprimée». Ces solutions se devaient à la fois de mélanger deux signaux de manière à pouvoir les discriminer à la réception, mais aussi de n'avoir aucune interférence visible dans le spectre du signal noir et blanc.

Ces solutions furent trouvées et appliquées. Ainsi sont nés le NTSC aux États-Unis, le SECAM en France, et le PAL en Allemagne. Le codage permet de transformer du RVB en signal couleur compatible noir et blanc. Le NTSC, le SECAM et le PAL sont trois types de codages différents incompatibles entre eux. Passer d'un type de codage à un autre s'appelle le « transcodage ».

Aucune des trois solutions n'est néanmoins transparente, tant s'en faut. Un signal transcodé souffre d'artefacts plus ou moins visibles selon le codage.

Un signal vidéo codé de la sorte est dit signal composite, car il contient plusieurs sources de nature différente. Les standards vidéo utilisant le composite vont de l'U-MATIC / U-MATIC SP au VHS en passant par le 8mm ou Vidéo 8, le Betamax, le VCR ou encore le V2000. Au vu des dégradations causées par le codage, il devenait urgent de s'en absoudre en production.

Au début des années 1980, Sony mit au point un format vidéo à composantes séparées, constitué de plusieurs signaux distincts, véhiculés par des câbles distincts : le Betacam / Betacam SP. Pour rester compatible avec le noir et blanc, la société évita soigneusement le RVB, et choisit naturellement un format comportant le Y, plus des informations de chrominance véhiculées par 2 signaux : U et V (appelés aussi Cr et Cb).

Ces composantes sont reliées par des formules U = R - Y et V = B - Y, où Y = 0,30R + 0,59V + 0,11B (les coefficients étant différents selon le codage utilisé). Cette transformation de RVB en YUV s'appelle matriçage. Le matriçage est une opération plus simple que le codage qui ne génère pas de dégradation, tout en offrant l'avantage de la compatibilité Y.

Quelques années plus tard, un format grand public apparut : le S-Vidéo ou Y/C, où la luminance Y et la chrominance C (codée en NTSC, PAL ou SECAM) étaient séparées (S-VHS, Hi-8, Super-Betamax). Ce format est de qualité meilleure qu'un format composite, puisque la chrominance n'empiète plus sur la bande de fréquences de la luminance, ce qui pouvait amener à des artefacts colorés sur des détails fins. La résolution horizontale de ces formats pouvait donc être quasiment doublée (400 points/ligne au lieu de 240-250).

L'acquisition vidéo

Introduction

Mémento CCIR 601
Luminance
Y
Chrominance
Cr ---Cb
Bande passante 5,75 MHz 2,75 MHz
Fréquence d'échantillonnage 13,5 MHz 6,75 MHz
Nombre d'échantillon par ligne 8** 432 ---432
Nombre d’échantillons utiles par ligne 720 360 ---360
Structure d'échantillonnage Deux trames entrelacées
Quantification 8 bits 220 niveaux utiles 225 niveaux utiles
Quantification 10 bits 880 niveaux utiles 900 niveaux utiles
Rapport signal sur bruit qualité 8 bits : 56 dB

qualité 10 bits : 68 dB

Codage Binaire Binaire décalé
Débit brut 8 bits : 216 Mb/s

10 bits : 270 Mb/s

Débit net 8 bits : 166 Mb/s

10 bits : 207 Mb/s

Le procédé de l’acquisition vidéo analogique et de sa conversion en numérique peut s’assimiler au passage du langage oral au langage écrit. Pour prendre en note le discours oral d’une personne, cette dernière ne doit pas parler trop rapidement, sinon il devient difficile d’écouter et de transcrire simultanément. La personne pourrait ralentir son débit de parole mais si l’on assimile ces paroles avec le signal vidéo analogique, on comprend aisément que le débit ne peut pas être ralenti. On procède donc à l’échantillonnage du discours, c’est-à-dire que l’on ne saisit que des « morceaux » de message pour les retranscrire par la suite. La précision de la retranscription dépend directement du nombre d’échantillons de discours prélevés. Pour la vidéo, le phénomène est identique : il est nécessaire avant toute chose de connaître le signal et de savoir quels sont les signaux à numériser.

Historique

L’histoire du numérique dans la vidéo commence véritablement de 1972 à 1982. À l’origine équipements de synchronisation, les appareils se sophistiquèrent avant d’entrer dans le milieu professionnel. Dès lors, les industriels prirent conscience de l’avènement de ce nouveau phénomène et présentèrent des normes en matière de numérisation. Une certaine anarchie numérique régna alors sur le marché ce qui força la main au CCIR (Comité consultatif international des radiocommunications) à normaliser un format vidéo en composantes numériques compatible dans le monde entier : cette norme c'est le CCIR 601. Elle spécifie les paramètres de codage de signaux à numériser (échantillonnage, quantification…). Dès lors les innovations ne cessèrent de s’enchaîner pour permettre aujourd'hui à la vidéo numérique de se généraliser dans les centres de production, chaînes TV et régie de post-production pour assister le montage vidéo.

Pourquoi un codage des composantes ?

Le signal vidéo numérique devait, sans aucun doute, être identique pour tous les pays : l’idée était de numériser des données communes aux systèmes 625 lignes (PAL, SECAM) et 525 lignes (NTSC). Le CCIR a donc unanimement décidé de numériser de façon séparée les signaux de luminance (Y) et de chrominance (Cr ; Cb). Un système basé sur le codage numérique des composantes vidéo exclut tous les problèmes qu’auraient pu engendrer un codage de signal vidéo composite et permet une compatibilité à échelle mondiale. Ce système devrait donc apparaître comme étant l’accessoire principal d’un développement de nouveaux équipements, mais aussi et surtout d’un échange international de données, constituant la base de l’audiovisuel : la communication.

L'échantillonnage

L’échantillonnage d’un signal, c'est le découpage en tranches temporelles ou « échantillons » de ce dernier. Il est directement suivi de la quantification qui consiste à convertir la valeur de l'échantillon en valeur numérique représentée par un nombre entier (voir ci-dessous). Il est donc nécessaire que le rythme de découpage (fréquence d’échantillonnage) soit élevé pour pouvoir retranscrire les variations du signal les plus brèves. Car si l’intervalle de temps entre deux échantillons consécutifs est supérieur au temps de la variation la plus rapide du signal d’origine, cette dernière se trouvera perdue et ne sera pas prise en compte dans le signal numérique.

Par conséquent, pour échantillonner un signal, en préservant son information, il est nécessaire de connaître la fréquence la plus élevée à laquelle il est susceptible de varier. Le théorème d'échantillonnage de Nyquist-Shannon établit qu’« un signal dont le spectre est limité à la fréquence Fmax est entièrement défini par la suite de ses échantillons prélevés à des intervalles de temps réguliers de valeur « T » inférieurs à 1/(2 Fmax) ».

Par conséquent, la fréquence d’échantillonnage doit être ƒe > 2 Fmax pour respecter la représentation d’origine. Si cette condition n’est pas remplie, les composantes spectrales répétitives du signal échantillonné ne sont pas assez espacées et se chevauchent. La zone de repliement, appelée aussi « zone d’aliasing », donne naissance à une fréquence parasite se traduisant par un effet de moiré sur l’image. Pour pallier ce problème, un filtre passe-bas (filtre anti-aliasing) est disposé en amont de la conversion. Ce filtre à pente raide rejette les fréquences du signal analogique d’entrée qui sont supérieures à 1/2 ƒe.

Le signal vidéo de luminance possède une bande passante d’environ 6 MHz. Pour que ce signal soit correctement numérisé, sa fréquence d’échantillonnage doit respecter les critères de Shanon et Nyquist, soit : ƒe(Y) > 6 x 2 = 12 MHz

Cependant, pour être utilisée au niveau mondial, ƒe(Y) doit être multiple commun des fréquences lignes des systèmes à 525 et 625 lignes, à savoir 15 625 et 15 734,2 Hz. Le CCIR a donc retenu la fréquence d’échantillonnage suivante : ƒe(Y) = 13,5 MHz. Cette fréquence est égale à 8** fois la fréquence ligne des systèmes à 625 lignes et 858 fois celle des systèmes à 525 lignes (une ligne active contenant 720 échantillons).

Pour les signaux de chrominance, on peut réaliser sans gène visuelle un Sous-échantillonnage, car l’être humain qui est moins sensible aux variations de couleur qu’aux variations d’éclairement. Concrètement, le contour d'un objet paraîtra net si la luminance varie rapidement, mais il n'est pas indispensable que la chrominance varie aussi rapidement. La bande passante pour les signaux de chrominance est d’environ 3 MHz. Le CCIR a décidé de les échantillonner à une fréquence deux fois moindre que celle de la luminance, soit ƒe(Cr) = ƒe(Cb) = 6,75 MHz. Pour ces signaux, il n’y aura donc que 360 échantillons par ligne active.

Ces fréquences d’échantillonnage déterminées par le CCIR s’apparentent aux chiffres 4, 2 et 2. Pour un groupe de 8 pixels (4 pixels par ligne et sur 2 lignes), le chiffre 4 représente le nombre de valeurs indiquées par ligne pour la luminance (13,5 MHz), 2 le nombre de pixels possédant une valeur propre chrominance (6,75 MHz = 13,5/2) sur les lignes paires, et le dernier 2 idem pour les lignes impaires. C’est ainsi que la norme CCIR 601, née de ces études, prit le nom courant de norme 4:2:2.

La périodicité deux trames permet trois types de structures d’échantillonnage : orthogonale, quinconce ligne et quinconce trame. C’est la structure orthogonale qui a retenu l’attention dans la norme 4:2:2. Dans cette structure, la phase de l’horloge d’échantillonnage est identique pour chaque ligne et chaque trame. Les échantillons sont donc situés aux mêmes emplacements d’une ligne à l’autre et d’une trame à l’autre.

La quantification

Chaque échantillon est « pesé », tout comme un aliment, afin d’en déterminer son poids. En numérique, ce pesage est appelé quantification. Il s’effectue, pour reprendre notre analogie, à l'aide d'une balance à deux plateaux : dans un des plateaux se trouve l’échantillon à peser, dans l’autre les poids nécessaires pour trouver l’équilibre. La précision du pesage dépend donc de la valeur du plus petit poids disponible. En vidéo, le poids de l’échantillon est la tension du signal électrique à numériser et la balance un quantificateur. Cet appareil convertit les tensions en valeurs numériques, exploitables par une station de montage virtuelle, par exemple.

Cependant, la quantification ne peut pas représenter parfaitement la tension de l'échantillon du signal analogique d'origine. En effet, un signal analogique (représenté par un nombre réel) peut prendre une infinité de valeurs, or il va être converti en un signal formé d'un nombre fini de valeurs numériques « N » dont chacune est codée sur « n » bits (c'est-à-dire sous forme d'un nombre entier dont la valeur maximale est limitée). Il y aura donc nécessairement, après quantification, une erreur d'arrondi. La précision du signal converti sera donc liée au nombre de valeurs disponibles pour traduire chaque échantillon. L'intervalle situé entre deux valeurs est noté « q » et se nomme « pas de quantification ». À chaque instant « t », l'amplitude du signal se trouvant à l'intérieur d'un échelon est remplacé par la valeur de l'échelon le plus proche. On comprend aisément que plus les pas de quantification sont petits, plus ils sont nombreux sur une plage donnée et donc que plus la précision du signal quantifié est importante (le taux d'erreur de quantification étant déterminé par la relation Terr = 1/2n).

La quantification du signal vidéo est uniforme, linéaire et s'effectue de façon séparée sur Cr et Cb. Initialement fixée sur 8 bits, la quantification du signal vidéo de la norme 4:2:2 est passée à 10 bits. En effet, une quantification sur 8 bits permet de disposer de 2^8 = 256 niveaux numériques (dont 220 utiles pour représenter les niveaux de gris) ce qui n'est parfois pas suffisant. Pour un dégradé de gris du blanc au noir, par exemple, un « effet d'escalier » apparaît après numérisation. De plus, le rapport S/B (signal à bruit) d'une quantification sur 8 bits est de 56 dB alors que les caméras d'aujourd'hui atteignent les 60 dB. Le C.C.I.R. a donc choisi de quantifier le signal vidéo sur 10 bits, ce qui donne 1024 niveaux (dont 880 utiles) soit 4 fois plus qu'une quantification sur 8 bits, et avec pour rapport S/B 68 dB.

Le signal de luminance est toujours positif et ne pose pas de problèmes à numériser, en revanche les signaux de chrominance sont bipolaires. On a donc dû fixer une valeur pour le signal nul : les valeurs au-dessus correspondant à un signal positif et celles au-dessous à un signal négatif. Cette « valeur zéro » a été fixée par le C.C.I.R. à 512 (à mi-chemin entre 0 et 1024).

Le codage de canal

Une fois échantillonné et quantifié, le signal vidéo doit être codé afin d'optimiser son stockage ou sa transmission. Différentes formes de codage existent et présentent chacune leurs avantages et inconvénients. Le but de la manœuvre est donc de choisir le code le plus adapté à l'utilisation. Pour cela, plusieurs codes sont à disposition :

Le code NRZ (Non Retour à Zéro) : une donnée binaire « 1 » engendre un niveau haut de signal et une donnée « 0 » un niveau bas

Le code NRZI (Non Retour à Zéro Inversé) : une donnée binaire « 1 » engendre une transition au milieu de la demi-période d'horloge, une donnée « 0 » n'a aucun effet. Ce type de codage est utilisé en vidéo dans les liaisons série 4:2:2 car il permet de transmettre avec le signal vidéo son signal d'horloge.

Le code Biphase Mark : utilisé pour le signal de LTC des magnétoscopes. Un « 0 » provoque une transition et un maintien du niveau pendant toute la période d'horloge, alors qu'un « 1 » entraîne une transition et un changement de niveau à la moitié de la demi-période d'horloge.

Il existe encore d'autres codes (comme le code Miller ou le code Miller carré) qui ne sont utilisés que dans certains magnétoscopes numériques.

La structure de la ligne numérique

Les lignes analogiques des systèmes à 625 et 525 lignes sont de durées légèrement différentes. Ainsi, la capacité d’une ligne active doit être suffisante pour contenir un nombre suffisant d’échantillons afin de couvrir les lignes des deux systèmes. Le CCIR a choisi 720 échantillons pour le signal de luminance et 360 pour les signaux de chrominance. Ceci est suffisant car les lignes actives analogiques les plus longues sont celles des systèmes à 525 lignes qui nécessitent plus de 710 échantillons pour être totalement analysées. La ligne active 4:2:2 est donc codée sur 1 440 mots (720 x 2). Les signaux permettant de positionner la ligne active numérique sont codés respectivement sur 2** et 24 mots pour les systèmes à 625 lignes et sur 244 et 32 pour les systèmes à 525 lignes. Le front avant des impulsions de synchronisation ligne (SAV) détermine l’arrivée du premier échantillon et la référence de temps pour la conversion analogique-numérique. Le front arrière (EAV) en détermine la fin.

Remarques sur la détection et la correction d'erreurs

Le support d’enregistrement (ou le canal de transmission) peut engendrer des erreurs dans le flux de données numériques. C’est-à-dire qu’une valeur binaire peut prendre une autre valeur (un « 0 » devient « 1 » et vice-versa) ou bien qu’une info peut manquer à un moment donné. Cette erreur peut soit affecter l’image vidéo visible soit les autres signaux vidéo selon les bits qu’elle affecte. Elle peut donc avoir des conséquences plus ou moins importantes d’où l’utilité de les détecter et de les corriger.

La difficulté des systèmes de correction d’erreur réside dans le fait qu’il faut avant tout détecter l’erreur avant de pouvoir la corriger. Pour cela, des données redondantes sont ajoutées lors du codage aux données utiles, selon une loi définie et connue du codeur et du décodeur. À chaque fois que cette loi n’est pas vérifiée au décodage, un processus de correction est déclenché. Si le manque d’information est tel que même les données redondantes ne suffisent pas à retrouver le signal d’origine, des processus de compensation, qui consistent à calculer la valeur moyenne entre échantillons proches, sont exécutés. Le signal ainsi corrigé peut enfin être utilisé par les différents équipements numériques.

Rapport largeur / hauteur

Historiquement, la télévision a été mise au point sur des écrans au format 4/3 (soit un rapport de 1,33/1). Ce format a été choisi car il était celui utilisé par le cinéma lors de la mise au point de la télévision, dans les années 1940. Depuis, le cinéma a évolué, avec des procédés tels que le cinémascope et autres panavision basés sur l'utilisation d'un objectif anamorphoseur, les formats courants au cinéma sont le 1,85/1 et le 2,35/1. Lorsqu'il a été décidé de passer la télévision vers un format panoramique, c'est le format 16/9 qui a été choisi. Il correspond à un rapport d'image de 1,77/1, assez proche de 1,85 et reste un bon compromis entre le 1,33 (barres noires à gauche et à droite) et le 2,35 (barres noires en haut et en bas). Les puristes conservent les barres noires pour voir l'intégralité de l'image, tandis que ceux qui préfèrent profiter du plein écran utilisent le zoom du téléviseur mais perdent par conséquent une partie des bords de l'image.

Formats et standards vidéo

Analogiques

VHS

VHS-C

S-VHS

8mm ou Video 8

Hi-8

Betacam / Betacam SP

U-matic / U-MATIC SP

Betamax

V2000

Bande 1 pouce

Bande 2 pouces

BVU / BVU SP

Numériques

Digital 8

DV ou Digital Video

DVCAM

Betacam SX

Digital-S

IMX

XDCAM

DVCPRO

Betacam numérique

HDV

XDCAM HD

DVCPRO-HD

HDCam

DVD

AVCHD

D1

HDCAM SR

Standards d'enregistrement vidéo

PAL

SECAM

NTSC

HD TV

MAC

Vidéo et informatique

Les affichages informatiques disposent de résolutions spécifiques et de modes de balayage tout aussi spécifiques. Les micro-ordinateurs 8 bits et les premiers 16 et 32 bits étaient destinés à un branchement sur un appareil de télévision, leur sortie vidéo était donc en 740/50 ou 525/60. Les normes utilisées sur PC sont différentes :

CGA 320×200×4c ou **0×200×2c à 60 Hz

Hercules 720x348(N/B) à 72 Hz (?)

EGA **0×350×16c à 60 Hz

VGA **0×480×16c à 60 Hz

Les autres modes d'affichage ne sont pas vraiment normalisés. Les formats d'image standards sont déclinés en un nombre variable de couleurs (16, 256, 65 536, 16 777 216, 4 294 967 296 et plus).

**0 × 480

800 × 600

1 024 × 768

1 152 × 8**

1 280 × 960

1 280 × 1 024

1 600 × 900

1 600 × 1 200

1 920 × 1 080

2 048 × 1 536

2 560 × 2 048

La fréquence de balayage est comprise entre 50 Hz et plus de 120 Hz. Tous ces affichages sont à balayage progressif bien que dans les plus hautes résolutions, il soit possible de trouver des modes entrelacés.

C'est à cause des fréquences de balayage différentes qu'il n'est pas possible de brancher un ordinateur directement sur un téléviseur, cela peut même entraîner la destruction du téléviseur. Par ailleurs, un encodeur couleur (PAL, SECAM ou NTSC) est nécessaire pour réaliser un enregistrement vidéo d'une image informatique. C'est pour cela que certains ordinateurs sont dotés d'une sortie vidéo indépendante de la sortie destinée au moniteur.

Logiciel de montage

中文百科

影片(英语:Video),中国大陆称视像、视讯、视频、录像、**称影片、录影、动态影像、影音,泛指将一系列的静态影像以电信号方式加以捕捉、纪录、处理、保存、发送与重现的各种技术。

影音技术最早是从阴极射线管的电视系统的创建而发展起来的,但是之后新的显示技术的发明,使影音技术所包括的范畴更大。基于电视的标准和基于电脑的标准,被试图从两个不同的方面来发展视频技术。现在得益于计算机性能的提升,并且伴随着数字电视的播出和记录,这两个领域又有了新的交叉和集中。

电脑现在能显示电视频号,能显示基于电影标准的影音文件和串流媒体,和快到暮年的电视系统相比,电脑伴随着其运算器速度的提高,存储容量的提高,和宽带的逐渐普及,通用的电脑应用具备了采集,存储,编辑和发送电视、影音文件的能力。

概论

模拟视频标准在世界各地的分布: 亮绿 - NTSC,黄 - PAL,或即将采用PAL, 橘 - SECAM,橄榄 - 无相关数据 “Video”这个术语是来源于拉丁语的“我能看见”,通常指不同种类的活动画面:数字影像格式,包括:DVD、Quicktime、MP4和模拟信号磁带等,其中包括VHS磁带和Beta带。视频可以通过不同的媒介来记录和传播:包括基于“磁”技术的磁带,磁带通常在拍摄PAL和NTSC制式的模拟摄像机上使用。而使用数字摄像机的时候,除了使用磁带,我们也使用硬盘和闪存卡等其他的载体。视频文档的质素,通常决定于采集的方式和保存的方式,数字电视画面的质素比过往仿真电视高出不少,并逐渐成为电视广播的新标准。 3维视频,于20世纪后期才出现,使用6个或者8个摄录机,实时的测量出拍摄主体的情况,并记录成3维格式,这种技术已经在MPEG-4标准的16章节(Animation Framework eXtension (AFX))规定下来。 在不同的国家,视频(Video)这个词有不同的意义,在英国、澳大利亚、挪威、芬兰、匈牙利和新西兰,video一词通常非正式的指涉录像机与录像带。其意义可由文章前后文来判断。

视频串流的特性

选择一组未处理的影像片段(称为SRC)作为比较基准。

选择处理或传输系统的设置值(称为HRC)

订定如何将处理过的影像呈现给评估者并且收集其评价的科学方法。

邀请足够数量的评估者,通常不少于15人

实施评量

计算每个评估者给予每组不同HRC所打的分数(通常取平均值)

视频格式

新型态数字视频: ATSC(Advanced Television Systems Committee),通行于北美 DVB(Digital Video Broadcasting),通行于欧洲,东南亚,非洲,南美洲 ISDB(Integrated Services Digital Broadcasting),通行于日本 DMB(Digital Multimedia Broadcast),通行于中国内地、香港和澳门

ATSC(Advanced Television Systems Committee),通行于北美

DVB(Digital Video Broadcasting),通行于欧洲,东南亚,非洲,南美洲

ISDB(Integrated Services Digital Broadcasting),通行于日本

DMB(Digital Multimedia Broadcast),通行于中国内地、香港和澳门

模拟视频: MAC(欧洲 - 已淘汰) MUSE(日本的模拟HDTV) NTSC(北美洲,部分南中美洲,日本,**) PAL(欧洲,亚洲,澳洲) PALplus(欧洲),此为PAL延伸标准 PAL-M(巴西),此为PAL的变形 SECAM(法国,前苏联,中非)

MAC(欧洲 - 已淘汰)

MUSE(日本的模拟HDTV)

NTSC(北美洲,部分南中美洲,日本,**)

PAL(欧洲,亚洲,澳洲) PALplus(欧洲),此为PAL延伸标准 PAL-M(巴西),此为PAL的变形

PALplus(欧洲),此为PAL延伸标准

PAL-M(巴西),此为PAL的变形

SECAM(法国,前苏联,中非)

AV端子(1组RCA或BNC)

色差端子(3组RCA或BNC) D端子(日本工业规格所制订的集成型色差端子)

D端子(日本工业规格所制订的集成型色差端子)

S端子(S代表Separated Video, 1组mini-DIN端子)

SCART(通用于欧洲)

DVI(电脑屏幕使用之数字视频端子). HDCP为选项

HDMI(新型数字家电使用之数字影音端子). HDCP为强制功能

RF端子(RF为Radio Frequency之简写,通常为同轴电缆,有以下各种形式) BNC(Bayonet Niell-Concelman connector) C端子(Concelman connector) GR端子(General Radio connector) F端子(常用于美国住宅电视配线) IEC 169-2(最常见于英国) N端子(Niell connector) TNC端子(Threaded Niell-Concelman connector) UHF端子(如PL-259/SO-239) SDI与HD-SDI(Serial Digital Interface)

BNC(Bayonet Niell-Concelman connector)

C端子(Concelman connector)

GR端子(General Radio connector)

F端子(常用于美国住宅电视配线)

IEC 169-2(最常见于英国)

N端子(Niell connector)

TNC端子(Threaded Niell-Concelman connector)

UHF端子(如PL-259/SO-239)

SDI与HD-SDI(Serial Digital Interface)

VGA端子(DB-9/15针脚,电脑屏幕标准端子之一)

Ampex

VERA(BBC实验性实作,1958年)

U-matic(Sony)

Betamax(Sony)

Betacam

Betacam SP

2" Quadruplex videotape(Ampex)

1" Type C videotape(Ampex and Sony)

VCR, VCR-LP, SVR

VHS(JVC)

S-VHS(JVC)

VHS-C(JVC)

Video 2000(飞利浦公司)

Video8

Video Hi8

D1(Sony)

D2(Sony)

D3

D4

D5 HD

Digital Betacam(Sony)

Betacam IMX(Sony)

HDV

ProHD(JVC)

D-VHS(JVC)

DV

MiniDV

MicroMV

Digital8(Sony)

D-VHS

激光影碟(Laserdisc, MCA与飞利浦公司)

DVD(DVD论坛)

FVD(**的工业技术研究院主导开发)

增强型通用光盘(EVD,中国大陆政府推动的格式)

HD DVD(日立与东芝)

Blu-ray Disc(Sony)

CCIR 601(ITU-T)

M-JPEG(ISO)

MPEG-1(ISO)

MPEG-2(ITU-T + ISO)

MPEG-4(ISO)

H.261(ITU-T)

H.263(ITU-T)

H.2**/MPEG-4 AVC(ITU-T + ISO)

VC-1(SMPTE)

Ogg-Theora

法法词典

vidéo nom commun - féminin ( vidéos )

  • 1. audiovisuel document audiovisuel enregistré sur une piste magnétique

    des vidéos en noir et blanc

vidéo nom commun - féminin ; singulier

  • 1. technique qui permet d'enregistrer, de produire et de traiter des images destinées à la télévision

    s'initier à la vidéo

vidéo adjectif ; invariable

  • 1. audiovisuel conçu pour la production et l'enregistrement d'images et de son sur un écran de visualisation

    visualiser un document vidéo

cassette vidéo locution nominale - féminin ( (cassettes vidéo) ) Voir vidéocassette

  • 1. jeu électronique interactif qui contient des images, se joue sur ordinateur ou sur console et dont l'action se déroule sur un écran

    des jeux vidéo d'aventures

jeu vidéo locution nominale - masculin ( (jeux vidéo) )