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词典释义:
diviser
时间: 2023-09-10 08:41:41
TEF/TCF常用TEF/TCF专四
[divize]

v. t. 1. , 开, 划; 等:2. 隔开, 隔3. [转]使裂, 使不和, 使有歧:4. [数]除:se diviser v. pr. 1. , 成, 开:2. [转]裂, 歧常见用法

词典释义


v. t.
1. 开, 划; 等
diviser un terrain 划一块土地
diviser la circonférence en 360 degrés 把圆周等成360度
machine à diviser [机]度机
diviser une tâche entre plusieurs ouvriers 把一项任务配给几个工人


2. 隔开,
3. [转]使裂, 使不和, 使有歧:

Voilà la question qui nous divise. 这就是造成歧的问题所在。
Diviser pour régner. [谚]而治之。


4. [数]除:
diviser un nombre par un autre 用另一数除一数



se diviser v. pr.
1. 成, 开:
la méthode de l'analyse dialectique “un se divise en deux” “一为二”的辨证析方法
L'année se divise en douze mois. 一年成12个月
route qui se divise 岔的路


2. [转]裂,

常见用法
diviser 25 par 5 25除以5

近义、反义、派生词
助记:
divis 割+er动词后缀

词根:
divid, divis, devis

派生:
  • division   n.f. 开,划除,除法

联想:

近义词:
disperser,  dissocier,  distribuer,  classer,  débiter,  découper,  démembrer,  dépecer,  fractionner,  fragmenter,  graduer,  morceler,  partager,  répartir,  scinder,  sectionner,  sérier,  tronçonner,  déchirer,  désunir

se diviser: se ramifier,  se scinder,  se heurter,  s'opposer,  se partager,  éclater,  dédoubler,  séparer,  segmenter,  ramifier,  bifurquer,  

反义词:
adapter,  apparenter,  cimenter,  conjuguer,  rassembler,  grouper,  lier,  réunir,  unir,  accorder,  accordé,  assembler,  associer,  associé,  attacher,  attaché,  bloquer,  composé,  concilier,  composer
联想词
séparer 使开,使离; multiplier 增加,增多; rassembler pr 合,结; regrouper 合,再合; décomposer 解; réunir ; réduire 减低; fusionner 使合并,使融合; isoler 孤立; répartir 配; dissocier 使解,使离;
当代法汉科技词典
1. v. t. 【机械】 度机
2. v. t. 【数学】除:~un nombre par un autre用另一数除一数

diviser vt除

poupée (diviseuse optique, à diviser optique) 光学度头

短语搭配

machine à diviser【机械】分度机

route non divisée无分隔带道路

route qui se divise分岔的路

propriété foncière divisée en lots分成小块的田产

Voilà la question qui nous divise.这就是造成我们分歧的问题所在。

route divisée分隔行驶道路

Diviser pour régner.〈谚语〉分而治之。

diviser un terrain划分一块土地

diviser pour régner分而治之

tête à diviser【机械】分度头

原声例句

Pour comparer à des émissions de CO2 annuelles, divisons le tout par un nombre d'années.

为了比较每年的二氧化碳排放量,用某几年把它们分开。

[« Le Monde » 生态环境科普]

L'expérience bouleversante se divise et se fragmente de sorte que les émotions, les sons, les images, les pensées et les sensations physiques prennent une vie propre.

令人震撼的经历分裂并碎片化,以至于情感、声音、视觉、思想和体感都有了自己的生命。

[心理健康知识科普]

Une fois que vous connaissez bien votre table, il faut utiliser une grille divisée en 4 secteurs.

一旦你熟悉了,就需要使用一个分为四个部分的网格。

[硬核历史冷知识]

Que dorénavant, une ligne de démarcation divise la France en deux zones, une zone dite « occupée » et une zone dite « libre » .

从现在起,一条分界线将法国分为两个区域,一个是占领区,一个是自由区。

[德法文化大不同]

Un cancer se déclare quand le programme comporte un défaut, la cellule change d'aspect et se divise beaucoup plus qu'elle ne devrait.

当程序有缺陷时,癌症就会爆发,细胞会改变外观并分裂得比它应该的要多得多。

[你问我答]

Dans la plupart des trains, les voitures de 1ère et 2e classe sont divisées en compartiments de six ou huit places respectivement. Les voyageurs qui n'aiment pas rester éveillés toute la nuit peuvent prendre des couchettes dans les wagons-lits.

大部分的火车中,一等座和二等座的车厢分别有6、8个座位。不喜欢一整晚都醒着的旅客们,可以买卧铺车厢的票。

[北外法语 Le français (修订本)第二册]

Une discussion confuse suivit. Le directeur, pour tâcher de les diviser, interpella Pierron, qui se déroba, en bégayant.

接着是一片混乱的争论。经理为了分化代表们,设法让皮埃隆说话,皮埃隆躲躲闪闪,支吾其词。

[萌芽 Germinal]

Au total, la France est divisée en 22 régions et 96 départements.

法国一共被为22个大区和96个省。

[北外法语 Le français (修订本)第二册]

Je nous vois nous diviser pour tout et parfois perdre le sens de notre Histoire.

我看到我们将一切都划分开,有时候会失去对我们历史的认知。

[法国总统马克龙演讲]

Je le veux pour nous tous Français parce qu'un peuple qui se divise à ce point, qui ne respecte plus ses lois et l'amitié qui doit l'unir est un peuple qui court à sa perte.

我希望为每一个法国人都找到出路。因为一个分裂的、不再尊重法律和他们之间友谊的公众,将注定走向灭亡。我希望我能够做到。

[法国总统马克龙演讲]

例句库

Mes amis français se divisent généralement en deux camps.

我身边的法国朋友大致分成两派。

Toute chose se divise en deux.

所有事物都是一分为二的。

On divise un gâteau en six parts égales.

我们把一块蛋糕六等

On divise le gâteau en huit parts égales.

我们把一块蛋糕平分成8份。

La politique de Pékin enflammeParis, divise politiques et intellectuels et fait voler les clivages enéclats. Passage en revue des pros et des antis.

北京的政策“点燃”了巴黎,政客们与知识分子们之间的意见分歧冲破了党派之别。请看支持者与反对者的理论。

La principale société est divisée en publicité, commerce électronique, de planification et d'autres départements.

公司主要分为广告、电子商务、策划等部门。

Le sujet divise en Europe, où les pays qui ont encore une industrie de la chaussure, comme l Italie, sont favorables à la prolongation, contrairement aux pays libéraux du Nord (Royaume-Uni, Suède...).

欧洲国家对这项提案意见不一:国内仍有制鞋业的一些国家,如意大利,赞成延长征税;而北部的“自由派”国家(英国、瑞典等)则表示反对。

La société est divisée en trois grandes entreprises section: Tout d'abord, la machine-outil branche Equipements: 38 nationaux de haute qualité machine-outil usine de Zibo agent.

公司三个重要业务科:一、机床设备科:全国三十八家名优机床厂在淄博总代理。

D'information de l'entreprise est divisée en interne, avant-vente de conseil, de marketing, de vente, la mise en uvre, le Ministère du service après-vente de plus de 10 départements.

公司内部分为信息部、售前咨询部、市场部、销售部、实施部、售后服务部等10多个部门。

SELON CETTE TYPOLOGIE,LES IMPOTS SONT DIVISES EN 4 PARTIES:IMPOT SUR LE REVENU,IMPOT SUR LES SOCIETES,IMPOT SUR LA DEPENSE ET IMPOT SUR LE CAPITAL.

根据这种分类方法,税收被分为4个部分:所得税,公司税,消费税和资产税。

La publication est divisée en plusieurs sections en vue de promouvoir l'amour de la vie et l'amour pour le contenu de la position.

刊物分为〈爱着〉〈忙着〉〈快乐着〉〈活者〉〈痛着〉〈思想着〉几个版块,以关爱生命伸张爱情为内容定位。

Le relief de la France se divise en deux grands ensembles.

法国的地貌分为两部分。

Les activités de la "Rue de Shanghai"àLille se divisent en trois essentielles parties:"vitrines de paysage","Présentation de la culture de commerce et de tourisme"et "Représentations artistiques".

法国里尔"上海街"活动,主要由三大板块组成:一是景观装置展示,二是商旅文化推介,三是文艺演出活动。

Corée du Sud est la nouvelle série de soluble dans l'eau, le ciment à base de polymère, qui est divisée entre le type de DAS100-DAS900 type.

韩国新国际系列产品是水溶性、水泥基的高分子聚合物,其类型分为DAS100-DAS900型。

La Seine se longe de 776 km, elle traverse tout Paris en divisant la ville en deux parties, où se trouvent les 32 ponts qui soulignent la beauté de cette rivière.

塞纳河长776公里,她横穿巴黎并把巴黎分成两部分。32座桥横跨这条美丽的河流。

Mais, en réalité, le « Pacific rail-road » se divise en deux parties distinctes : « Central Pacific » entre San Francisco et Ogden, et « Union Pacific » entre Ogden et Omaha.

实际上,太平洋铁路是分成两个不同的线段:旧金山到奥格登属于中央太平洋铁路公司,奥格登到奥马哈属于合众太平洋铁路公司。

Il divisa ses élèves en deux groupes égaux, les fit installer dans deux salles différentes, puis félicita les élèves dun groupe pour leur travail et blama ceux de lautre groupe.

他的学生分成两组,分在两个不同的教室,一个教室就是不停的表扬他们,而另一个教室就是不停的责骂他们。

D'après ce calendrier traditionnel, l'année chinoise se divise en 12 lunaisons qui commencent chacune sur une nouvelle lune et durent de 29 à 30 jours.

按照传统历法,中国的一年分为由每个新月开始的12个农历月,每个月持续29至30天。

Je viens dire aux Chinois, la France veut montrer l'exemple, nous allons diviser par 4 nos émissions de gaz à effet de serre, mais la France seule ne peut rien.

我只是告诉中国,法国就是一个例子,我们将4我们的温室气体排放,但法国便可以什么也不做。

C'est la borne qui divise les deux bourgs.

这是划分两个乡镇的界石。

法语百科
Division en tant que partage. Illustration de 20÷4 : partage d'un ensemble de 20 pommes en 4 parts égales.
Division en tant que partage. Illustration de 20÷4 : partage d'un ensemble de 20 pommes en 4 parts égales.

La division est une opération mathématique qui à deux nombres a et b associe un troisième nombre (loi de composition interne), appelé quotient ou rapport, et qui peut être noté :

a:b ; a÷b (obèle) ; a/b (barre oblique, fraction en ligne) ; (fraction).

Dans une première approche, on peut voir la quantité a÷b comme une séparation de la quantité a en b parts égales. Mais cette approche est surtout adaptée à la division entre nombre entiers, où la notion de quantité est assez intuitive. On distingue couramment la division « exacte » (celle dont on parle ici) de la division « avec reste » (la division euclidienne).

D'un point de vue pratique, on peut voir la division comme le produit du premier par l'inverse du second. Si un nombre est non nul, la fonction « division par ce nombre » est la réciproque de la fonction « multiplication par ce nombre ». Cela permet de déterminer un certain nombre de propriétés de l'opération.

De manière plus générale, on peut définir le quotient y = a/b comme étant la solution de l'équation

b×y = a.

Ceci permet d'étendre la définition à d'autres objets mathématiques que les nombres, à tous les éléments d'un anneau.

Problématique

La division sert :

à faire un partage équitable entre un nombre de parts déterminé à l'avance, et donc à déterminer la taille d'une part. Par exemple :

Question : Si on répartit équitablement 500 grammes de poudre de perlimpimpin entre huit personnes, combien chacune d'elle obtiendra-t-elle ?
Réponse : \dfrac{500}{8} = 62,5, chacun obtient 62,5 grammes de poudre de perlimpimpin

à déterminer le nombre de parts possible, d'une taille déterminée à l'avance. Par exemple :

Question : Si on répartit 500 grammes de poudre de perlimpimpin par tranche de 70 g, combien de personnes pourra-t-on servir ?
Réponse : \dfrac{500}{70} = 7,14\ldots , on pourra servir 7 personnes et il restera de quoi servir 1/7 de personne (≈ 0,14).

La multiplication est également l'expression d'une loi proportionnelle. La division permet donc « d'inverser » cette loi. Par exemple, on sait qu'à un endroit donné, le poids P (force qui tire un objet vers le bas, exprimée en newtons) est proportionnelle à la masse m (quantité de matière, exprimée en kilogrammes), le coefficient de proportionnalité étant appelé « gravité » g :

P = m×g

Un pèse-personne mesure la force qui lui est exercée, donc P ; la gravité étant connue, on peut en déduire la masse d'une personne en inversant la loi par une division :

m = P/g.

Dans le même ordre d'idée, dans le cas d'un mouvement rectiligne uniforme, la distance parcourue d (en kilomètres) est proportionnelle au temps t (en heures), le coefficient étant la vitesse moyenne v (en kilomètres par heure) :

d = v×t.

On peut inverser cette loi pour déterminer le temps qu'il faut pour parcourir une distance donnée à une vitesse moyenne donnée :

t = d/v.

De manière plus générale, la division intervient dans l'inversion d'une loi affine, c'est-à-dire du type

y = ax + b

ce qui donne si a est non nul

x = (y - b)/a

Par ailleurs, on peut approcher la plupart des lois par une loi affine en faisant un développement limité à l'ordre 1. La division permet donc d'inverser une loi de manière approximative : si l'on connaît la valeur de ƒ et de sa dérivée en un point x0, on peut écrire « autour de ce point »

y = ƒ(x) ≈ ƒ(x0) + ƒ'(x0)×(x - x0)

et ainsi inverser la loi :

x \simeq x_0 + \frac{f(x) - f(x_0)}{f'(x_0)}
f^{-1}(y) \simeq x_0 + \frac{y - f(x_0)}{f'(x_0)}

Ceci est par exemple utilisé dans l'algorithme de Newton, qui recherche les zéros d'une fonction :

f^{-1}(0) \simeq x_0 - \frac{f(x_0)}{f'(x_0)}

Vocabulaire et notations. Historique

Le symbole actuel de la division est un trait horizontal séparant le numérateur (dividende) du dénominateur (diviseur). Par exemple, a divisé par b se note \dfrac ab.

Le dénominateur donne la dénomination et le numérateur énumère : \dfrac 34 indique qu'il s'agit de quarts, et qu'il y en a troistrois quarts.

Diophante et les Romains, au IV siècle écrivaient déjà des fractions sous une forme semblable, les Indiens également au XII siècle et la notation moderne fut adoptée par les Arabes.

Le symbole « : » a été plus tard utilisé par Leibniz.

Les fabricants de calculatrices impriment l'obèle ÷ ou la barre oblique / sur la touche « opérateur division ». L'utilisation de ces symboles est plus ambiguë que la barre de fraction, puisqu'elle demande de définir des priorités, mais elle est pratique pour l'écriture « en ligne » utilisée en imprimerie ou sur un écran.

Dans les publications scientifiques, on utilise plus volontiers les notations fractionnelles. La notation avec les deux-points est souvent utilisée pour représenter un rapport de quantités entières ou de longueurs.

Aujourd'hui en France, en classe de 6 de collège, les notations ÷, : et / sont utilisées, car la division a pour les élèves un statut d'opération. Une nuance de sens est communément admise :

a ÷ b et a : b désignent une opération (non effectuée), et le vocabulaire approprié est dividende pour a et diviseur pour b ;

et a / b désignent l'écriture fractionnaire du résultat de cette opération, et le vocabulaire approprié est numérateur pour a et dénominateur pour b.

Mathématiques et langue française

On peut diviser une entité en un nombre de parties dont l'addition donne cette entité, par un moyen implicite ou explicite.

Ainsi, on peut :

diviser un gâteau en deux parts, par un coup de couteau

simplement diviser un gâteau en deux [parts, par un moyen quelconque]

diviser 1 en 2 demis, par la représentation mentale mathématique que l'on s'en fait

simplement diviser 1 en 36

etc.

On peut également diviser par dichotomie ou par malice, mais diviser par 2 est un concept mathématique :

\dfrac ab = c : « a divisé par b est égal à c ».

Définition

Approche élémentaire

On commence par définir la division « avec reste » entre nombres entiers naturels. Cette division peut s'approcher de manière intuitive par la notion de « partage, distribution équitable », et donne une procédure de calcul.

Cette notion permet déjà de mettre en évidence le problème de la division par zéro : comment partager une quantité en 0 part ? Cela n'a pas de sens, il faut au moins une part.

Puis, on définit la notion de nombre décimal, et l'on étend la procédure de calcul en l'appliquant de manière récursive au reste, voir la section ci-dessous Division non abrégée. Cela permet de définir la notion de nombre rationnel.

La notion de partage convient encore mais est plus difficile à appréhender. On peut imaginer des portions de part, donc diviser par des nombres fractionnaires : diviser une quantité par 0,1 (1/10), c'est dire que la quantité initiale représente 1/10 part, et donc trouver la taille d'une part complète. Diviser une quantité par un nombre négatif, cela revient à calculer la taille d'une part que l'on enlève.

Les nombres réels sont construits à partir des rationnels. Un nombre irrationnel ne peut pas se concevoir comme une quantité ; par contre, il peut se voir comme une proportion : le rapport entre la diagonale d'un carré et son côté, le rapport entre le périmètre d'un cercle et son diamètre. Dès lors, la division ne peut plus être définie comme un partage, mais comme la réciproque de la multiplication.

Avec cette définition, on ne peut toujours pas diviser par 0 : puisque 0×a = 0 pour tout nombre, il existe une infinité de réciproques. On peut aussi — puisque diviser par un nombre revient à multiplier par son inverse — voir ce problème comme celui de la limite en 0 de la fonction inverse ƒ(x) = 1/x : elle a deux limites, –∞ à gauche et +∞ à droite.

Le fait « d'étendre » les nombres réels en incluant des « pseudo-nombres infinis », +∞ et –∞ (droite réelle achevée), ne règle pas le problème, puisque reste le problème du signe.

La notion de division est donc fondamentale en algèbre et en analyse.

Définition complète

Étant donné un anneau intègre (A, +, ×), la division sur A est la loi de composition : , notée par exemple « ÷ », telle que ,

a ÷ b = c si et seulement si b × c = a.

L'intégrité de l'anneau assure que la division a bien un résultat unique. Par contre, elle n'est définie que sur si et seulement si A est un corps commutatif, et en aucun cas définie pour b = 0.

Si la division n'est pas définie partout, on peut étendre conjointement la division et l'ensemble A : dans le cas commutatif, on définit sur une relation d'équivalence par

(a,b)\sim(a',b')\iff a\times b' = a'\times b

et on écrit

a ÷ b la classe de (a,b) dans l'anneau quotient.

Cet anneau quotien est un corps dont le neutre est la classe 1 ÷ 1. C'est ainsi que l'on construit en symétrisant pour la multiplication (ou à partir de en symétrisant l'addition).

Cette définition ne recouvre pas celle de division euclidienne, qui se pose de manière analogue mais dont le sens est radicalement différent.

Dans l'idée, elle sert aussi à inverser la multiplication (dans a, combien de fois b). Le problème de définition ne se pose plus, puisque \forall (a,b)\in \mathbb{N}\times(\mathbb{N\{0\}), \{n\in\mathbb{N}\ |\ b\times n \leqslant a\} est une partie de \mathbb{N} non vide et majorée, qui admet donc un plus grand élément.

Cette division, fondamentale en arithmétique, introduit la notion de reste. Néanmoins, comme pour toutes les divisions, le b de la définition ne peut être zéro.

Propriétés

La division n'était pas à proprement parler une opération (loi de composition interne, définie partout), ses « propriétés » n'ont pas d'implications structurelles sur les ensembles de nombres, et doivent être comprises comme des propriétés des nombres en écriture fractionnaire.

Non-propriétés

non commutative car

non associative car

Remarques

pseudo-élément neutre à droite : 1

pseudo-élément absorbant à gauche : 0

égalité de fractions de même dénominateur en général (qui découle de la construction de )

de même dénominateur

en général (qui découle de la construction de )

ordre et sont dans le même ordre que a et c

Algorithmes de la division de nombres décimaux

Division non abrégée

Division non abrégée de 23 par 6.
Division non abrégée de 23 par 6.

L'algorithme de division non abrégée, encore appelé division longue, sert à déterminer une écriture décimale du quotient de deux nombres entiers. C'est une extension de la division euclidienne (voir Poser une division > Généralisation en arithmétique). D'un point de vue pratique, il consiste à continuer la procédure, en « descendant des zéros », les nouveaux chiffres calculés s'ajoutant après la virgule. Cela se justifie par

\frac{a}{b} \times 10^n = \frac{a\times 10^n}{b} \Longrightarrow
\frac{a}{b} = \frac{a\times 10^n}{b} \div 10^n

n est le nombre de décimales que l'on veut. Ainsi, on ajoute n zéros à droite du numérateur, on effectue une division euclidienne classique, puis sur le quotient obtenu, les n derniers chiffres sont après la virgule.

Notons que l'on a intérêt à calculer la n + 1 décimale pour savoir dans quel sens faire l'arrondi.

Par exemple, pour calculer 23÷6 avec deux décimales, la procédure revient à calculer 2 300÷6 ( = 383, reste 2) puis à diviser le résultat par 100 (ce qui donne 3,83).

Cette procédure se généralise au quotient de deux nombres décimaux ; cela se justifie par :

\frac{a}{b} = \frac{a \times 10^n}{b \times 10^n}

n est un entier positif tel que a×10 et b×10 soient des entiers ; on peut par exemple prendre le plus grand nombre de décimales dans les nombres a et b.

Deux situations peuvent se présenter :

on finit par avoir un reste nul : on obtient donc un nombre décimal ;

on finit par retomber par un reste qui est déjà apparu auparavant : la division « ne se termine pas », elle boucle à l'infini ; dans ce cas, le quotient est un rationnel non décimal, et on peut prouver que son développement décimal admet une période, dont la longueur est strictement inférieure au diviseur.

Dans une division non exacte a÷b, (a et b étant deux nombres entiers, b non nul), si on note q_p et r_p respectivement le quotient et le reste obtenus en poussant les itérations jusqu'à obtenir p chiffres après la virgule du quotient, on obtient un encadrement ou une égalité :

\dfrac ab \approx q_p à 10^{-p} près ou q_p <\dfrac ab < q_p+10^{-p}

et

\dfrac ab = q_p + \dfrac {r_p \cdot 10^{-p}}{b}

Un nombre irrationnel (réel, sans être rationnel) ne peut s'écrire sous forme de fraction, par définition. C'est par contre la limite d'une suite de nombres rationnels (voir Construction des nombres réels).

Division de nombres codés en binaire

La division en système binaire est une opération fondamentale pour l'informatique.

Division euclidienne binaire

On considère dans un premier temps des entiers naturels (positifs). La division se fait de la même manière que la division euclidienne.

Soient deux nombres a et b de n bits. La notation a(i) désigne le i-ième bit (en partant de la droite, notés de 0 à n - 1), a(i:j) désigne les bits situés entre les positions i et j. La fonction suivante calcule le quotient Q et le reste R, en pseudo-code :

fonction [Q, R] = diviser(a, b)
  si b == 0 alors
    génère l'exception "division par zéro" ;
  fin
  Q := 0 ; R := a ;      // initialisation
  pour i = n-1 → 0
    si a(n:i) >= b alors
      Q(i) = 1 ;         // i-ème bit du quotient
      R = a(n:i) - b ;   // reste
    fin
  fin
  retourne [Q, R] ;
fin

On cherche une portion de « bits forts » (chiffres de gauche) de a qui est supérieure à b ; si l'on n'en trouve pas, alors le quotient garde la valeur 0, et le reste R prend la valeur a (puisqu'au final il est constitué de tous les chiffres de a). Si à un certain rang i on a a(n:i) ≥ b, alors du fait du système binaire, la réponse à

en a(n:i) combien de fois b

est nécessairement « une fois » : en base 10, la réponse est entre 1 et 9 = 10 - 1 ; ici, elle est entre 1 et 1 = 2 - 1. On a donc le i-ème bit du quotient qui vaut 1 ; le reste R à cette étape est la différence.

Ce pseudo-programme n'est pas optimisé pour des raisons de clarté ; une version plus efficace serait :

fonction [Q, R] = diviser(a, b)
  si b == 0 alors
    génère l'exception "division par zéro" ;
  fin
  Q := 0 ; R := 0 ;    // initialisation
  pour i = n-1 → 0
    R = décalage_à_gauche_de_bits(R, 1) ; // équivaut à rajouter un 0 à droite
    R(1) = a(i) ;      // le bit de poids faible de R est le i-ème bit du numérateur
    si R >= b alors
      Q(i) = 1 ;       // i-ème bit du quotient
      R = R - b ;      // reste
    fin
  fin
  retourne [Q, R] ;
fin

Cet algorithme marche également avec les nombres décimaux codés en virgule fixe.

Pour les nombres décimaux codés en virgule flottante, il suffit de voir que :

\frac{a \cdot 2^m}{b \cdot 2^n} = \frac{a}{b} \cdot 2^{m - n}

donc on fait la division des mantisses (qui sont des décimaux codés en virgule fixe) d'un côté, et la différence des exposant (qui sont des entiers).

On voit que l'on ne fait appel qu'à des fonctions élémentaires — comparaison, décalage, assignation, soustraction — ce qui permet de le mettre en œuvre de manière simple dans un microprocesseur.

Méthodes lentes

Dans la division euclidienne de a par b, pour des nombres représentés en base B (B = 2 en binaire), à l'étape i :

on considère le reste de l'étape précédente, Ri - 1 ;

on détermine le i-ème chiffre du quotient en partant de la gauche, donc le chiffre j = n - i en partant de la droite : Qn - i ;

le nouveau reste vaut

Ri = B×Ri - 1 - Qn - i×b.

Cette construction par récurrence constitue la base des méthodes dites lentes.

Connaissant Ri - 1, on suppose que Qn - i = 1, on a alors

Ri = 2×Ri - 1 - b.

Si la valeur trouvée est négative, c'est que Qn - i = 0. Par rapport à la procédure euclidienne, plutôt que de prendre les chiffres de gauche du numérateur, on ajout des 0 à droite du dénominateur. À la première étape, on en ajoute autant que le nombre de bits n servant à coder les nombres (il faut donc un espace mémoire double), puis on multiplie le numérateur par 2 jusqu'à vérifier la condition. Cela donne en pseudo-code (on omet le test de division par zéro) :

fonction [Q, R] = diviser(a, b)
  R := a              // valeur initiale du reste
  b := décalage_à_gauche_de_bits(b, n) 
  pour i = n-1 → 0 
    R := décalage_à_gauche_de_bits(b, 1)
    si R >= b alors
      Q(i) := 1       // le i-ème bit de i est 1
      R = R - b
    sinon
      Q(i) := 0       // le i-ème bit de i est 0
    fin
  fin
fin

Lorsque l'on optimise l'algorithme pour réduire le nombre d'opérations, on obtient le pseudo-code suivant.

fonction [Q, R] = diviser(a, b)
  R := a              // valeur initiale du reste
  b := décalage_à_gauche_de_bits(b, n) 
  pour i = n-1 → 0 
    R := 2*R - b      // le reste décalé est-il supérieur à b ?
    si R >= 0 alors
      Q(i) := 1       // le i-ème bit de i est 1
    sinon
      Q(i) := 0       // le i-ème bit de i est 0
      R := R + b      // on restaure la valeur du reste en gardant le décalage
    fin
  fin
  retourner[Q, R]
fin

Du fait de la dernière instruction de la boucle, on qualifie cette méthode de « division avec restauration ».

La méthode peut être améliorée en générant un quotient utilisant les nombres +1 et -1. Par exemple, le nombre codé par les bits

11101010

correspond en fait au nombre

11111111

c'est-à- dire à

11101010
-00010101
---------
  11010101

La méthode est dite « sans restauration » et son pseudo-code est :

fonction [Q, R] = diviser(a, b)
  R[0] := a
  i := 0
  tant que i < n
    si R[i] >= 0 alors
      Q[n-(i+1)] := 1
      R[i+1] := 2*R[i] - b
    sinon
      Q[n-(i+1)] := -1
      R[i+1] := 2*R[i] + b
    fin
    i := i + 1
  fin
  Q = transforme(Q)
  retourner[Q, R]
fin

La méthode de division SRT — du nom de ses inventeurs, Sweeney, Robertson, et Tocher —, est une méthode sans restauration, mais la détermination des bits du quotient se fait en utilisant une table de correspondance ayant pour entrées a et b. C'est un algorithme utilisé dans de nombreux microprocesseurs. Alors que la méthode sans restauration classique ne permet de générer qu'un bit par cycle d'horloge, la méthode SRT permet de générer deux bits par cycle.

L'erreur de division du Pentium était due à une erreur dans l'établissement de la table de correspondance.

Méthodes rapides

Les méthodes rapides consistent à évaluer x = 1/b, puis à calculer Q = a×x.

La méthode de Newton-Raphson consiste à déterminer 1/b par la méthode de Newton.

La méthode de Newton permet de trouver le zéro d'une fonction en connaissant sa valeur et la valeur de sa dérivée en chaque point. Il faut donc trouver une fonction ƒb(x) qui vérifie

f_b(x) = 0 \Longleftrightarrow x = 1/b

et telle que l'on puisse effectuer l'itération

x_i = x_{i - 1} - \frac{f_b(x_{i - 1})}{f'_b(x_{i - 1})}

sans avoir à connaître 1/b. On peut par exemple utiliser

ƒb(x) = 1/x - b

ce qui donne

xi = xi - 1(2 - b·xi - 1)

Pour des raisons d'économie de calcul, il vaut toutefois mieux utiliser l'écriture

xi = xi - 1 + xi - 1(1 - b·xi - 1)

Pour initialiser la procédure, il faut trouver une approximation de 1/b. Pour cela, on normalise a et b par des décalages de bits afin d'avoir b compris dans [0,5 ; 1]. On peut ensuite prendre une valeur arbitraire dans cet intervalle — par exemple b ≈ 0,75 donc 1/b ≈ 1,33…, ou encore 1 ≤ 1/b ≤ 2 donc 1/b ≈ 1,5 —, ou bien faire le développement limité de 1/x en un point — par exemple en 0,75 (1/b ≈ 2,66… - 1,77…×b) ou en 1/1,5 (1/b ≈ 3 - 2,25×b). On retient souvent l'approximation affine

x_0 = \frac{48}{17} - \frac{32}{17}b\ (\simeq 2,82 - 1,88 b)

les valeurs de 48/17 et de 32/17 étant précalculées (stockées « en dur »).

Cette méthode converge de manière quadratique. Pour une précision sur p bits, il faut donc un nombre d'étapes s :

s = \log_2 \left ( \frac{p + 1}{\log_2 17} \right )

(arrondi au supérieur), soit trois étapes pour un codage en simple précision et quatre étapes en double précision et double précision étendue (selon la norme IEEE 754).

Voici le pseudo-code de l'algorithme.

fonction [Q] = diviser(a, b)
  e := exposant(b)       // b = M*2^e (représentation en virgule flottante)
  b' := b/2^{e + 1}      // normalisation ; peut se faire par un décalage de e+1 bits à droite
  a' := a/2^{e + 1}      // 0.5 <= b <= 1 ; a'/b' = a/b
  X := 48/17 - 32/17*b'  // initialisation de la méthode de Newton
  pour i = 1 → s         // s précalculé en fonction du nombre p de bits de la mantisse
    X := X + X*(1 - b*X)
  fin
  Q := a'*X
  retourne[Q]
fin

La méthode de Goldschmidt est fondée, elle, sur la considération suivante :

\frac{\mathrm{Q}}{1} = \frac{a}{b}

donc, il existe un facteur F tel que b×F = 1, et ainsi a×F = Q. Notons que F = 1/b.

Le facteur F est évalué par une suite (Fk) :

Fk = fk×fk - 1×…×f1 = ∏(fi)

telle que la suite (bk) = Fk×b converge vers 1. Pour cela, on normalise la fraction pour que b se trouve dans ]0 ; 1], et l'on définit

fi + 1 = 2 - bi.

Le quotient final vaut

Q = Fk×a.

Notons que l'on a

Fi + 1 = fi + 1×Fi ;
bi + 1 = fi + 1×bi.

Cette méthode est notamment utilisée sur les microprocesseurs AMD Athlon et suivants.

La méthode binomiale est similaire à la méthode de Goldschmidt, mais consiste à prendre pour suite de facteurs fi = 1 + x avec x = 1 - b. En effet, on a :

\mathrm{Q} = \frac{a}{1 - x} = \frac{a(1 + x)}{(1 - x)(1 + x)} = \frac{a(1 + x)}{1 - x^2}
\mathrm{Q} = \frac{a(1 + x)(1 + x^2)}{1 - x^4} = \frac{a(1 + x)(1 + x^2)(1 + x^4)}{1 - x^8} = \cdots

suivant la formule du binôme de Newton.

Si l'on normalise b pour qu'il soit dans [0,5 ; 1], alors x est dans [0 ; 0,5] et à l'étape n, le dénominateur 1 - x est égal à 1 avec une erreur de inférieure à 2, ce qui garantit 2 chiffres significatifs.

Cette méthode est parfois désignée comme « méthode IBM ».

Division d'objets autres que des nombres réels

On peut donc définir la division x = a/b pour tout ensemble muni d'une multiplication, comme étant la solution de l'équation.

x×b = a

Nous allons voir l'exemple des nombres complexes, des polynômes et des matrices.

Division complexe

Commençons par la notation polaire. Soient deux nombres complexes z1 = r1e, z2 = r2e. La division complexe

x = z1/z2

est donc définie par

x×z2 = z1

Si on note x = re, alors l'équation devient

rr2e = r1e

soit

rr2e = r1e

donc

\left \{ \begin{align}
r r_2 =\ & r_1 \\
\theta + \theta_2 =\ & \theta_1
\end{align} \right .
\Longrightarrow
\left \{ \begin{align}
r =\ & \frac{r_1}{r_2} \\
\theta =\ & \theta_1 - \theta_2
\end{align} \right .

Ceci n'est défini que si r2 ≠ 0 c'est-à-dire z2 ≠ 0

On peut donc écrire

\frac{r_1 \mathrm{e}^{\mathrm{i}\theta_1}}{r_2 \mathrm{e}^{\mathrm{i}\theta_2}} =
\frac{r_1}{r_2} \mathrm{e}^{\mathrm{i}(\theta_1 - \theta_2)}

Voyons maintenant la notation cartésienne. On a z1 = a + b×i et z2 = c + d×i, et x = e + f×i. L'équation de définition

x×z2 = z1

devient

(e + f×i)×(c + d×i) = a + b×i
ec - fd + (de + cf)i = a + b×i

soit

\left \{ \begin{align}
ec - fd =\ & a \\
de + cf =\ & b
\end{align} \right .
\Longrightarrow
\left \{ \begin{align}
e =\ & \frac{ac + bd}{c^2 + d^2} \\
f =\ & \frac{bc - ad}{c^2 + d^2}
\end{align} \right .

qui est défini si c + d ≠ 0, c'est-à-dire si |z2| ≠ 0, ce qui équivaut à dire que z2 est non-nul.

On peut donc écrire

\frac{a + b\times \mathrm{i}}{c + d\times \mathrm{i}} =
\frac{ac + bd}{c^2 + d^2} + \frac{bc - ad}{c^2 + d^2}\mathrm{i}

Une mise en informatique « brute » de la méthode de calcul peut mener à des résultats problématiques.

Dans un ordinateur, la précision des nombres est limitée par le mode de représentation. Si l'on utilise la double précision selon la norme IEEE 754, la valeur absolue des nombres est limitée à environ [10 ; 10]. Si le calcul génère une valeur absolue supérieure à 10, le résultat est considéré comme « infini » (Inf, erreur de dépassement) ; et si la valeur absolue est inférieure à 10, le résultat est considéré comme nul (soupassement).

Or, la formule ci-dessus faisant intervenir des produits et des carrés, on peut avoir un intermédiaire de calcul dépassant les capacités de représentation alors que le résultat final (les nombres e et f) peuvent être représentés. Notons que dans la norme IEEE 754, 1/0 donne Inf (+∞) et -1/0 donne -Inf (-∞), mais en mettant un drapeau indiquant l'erreur « division par zéro » ; le calcul de 1/Inf donne 0.

Si par exemple l'on met en œuvre cette formule pour calculer

(1 + i)/(1 + 10i), on obtient 0 alors que le résultat est environ 10 - 10i (ce qui est représentable) ;
(1 + i)/(10 + 10i), on obtient NaN (résultat d'une opération 0/0), alors que le résultat est 10 (représentable) ;

Ces erreurs sont dues au calcul de (10) et de (10).

Pour limiter ces erreurs, on peut utiliser la méthode de Smith, qui consiste à factoriser de manière pertinente :

\frac{a + b \times \mathrm{i}}{c + d \times \mathrm{i}} = \left \{ \begin{align}
\text{si }|d| \ll |c|\text{ : } & \frac{a + b(d/c)}{c + d(d/c)} + \frac{b - a(d/c)}{c + d(d/c)}\mathrm{i} \\
\text{si }|d| \gg |c|\text{ : } & \frac{a(c/d) + b}{c(c/d) + d} + \frac{b(c/d) - a}{c(c/d) + d}\mathrm{i} \\
\end{align} \right .

En effet, dans le premier cas, |d/c| < 1 donc |x(d/c)| < x (x = a, b, d), donc la méthode est moins sensible aux dépassements.

Division matricielle

La multiplication matricielle n'étant pas commutative, on définit deux divisions matricielles.

Division à droite

Soit A une matrice de dimension m×n et B une matrice de dimension n×p, alors on appelle « division à droite de A par B » et on note

X = A/B

la matrice de dimension m×p vérifiant l'équation :

XB = A

Théorème — Si B est une matrice régulière (matrice carrée inversible), alors X = A/B est équivalent à X = AB

Division à gauche

Soit A une matrice de dimension m×n et B une matrice de dimension m×p, alors on appelle « division à gauche de A par B » et on note

X = A\B

la matrice de dimension n×p vérifiant l'équation :

AX = B

Si la matrice A n'est pas de rang maximal, la solution n'est pas unique. La matrice AB, où A désigne la matrice pseudo-inverse, est la solution de norme minimale.

Théorème — Si A est une matrice régulière (matrice carrée inversible), alors X = A\B est équivalent à X = AB

On a par ailleurs :

B/A = (A\B).

Division de polynômes

On peut défnir la division de polynômes à la manière de la division euclidienne :

\mathrm{A} = \mathrm{B} \times \mathrm{Q} + \mathrm{R}
deg(R) < deg(B)

où Q et R sont des polynômes ; Q est le quotient et R est le reste.

On peut également appliquer la méthode de construction des nombres rationnels aux polynômes, ce qui permet de définir de manière formelle une fraction de polynômes. Mais il ne s'agit pas là d'un « calcul » de division, il s'agit de définir un nouvel objet mathématique, un nouvel outil.

中文百科
20 \div 4=5

数学中,尤其是在基本计算里,除法可以看成是「乘法的逆运算」。有时也可以解释成「重复的减法」。除法运算的本质就是「把参与运算的除数变为 1,得出同比的被除数的值」。

如果

a \times b = c

而且 b 不等于零,那幺

a = c \div b 。上面等式中,a 叫做商数,b 叫做除数,c 叫做被除数

如果除式的商数(a)必须是整数,则称为带余除法,与相差的数值,称为余数(d) 。

c \div b = a \cdots d

这也意味着

c = a \times b + d

在高等数学(包括在科学与工程学中)和计算机编程语言中,等式有时也写成“”。如果我们不需要知道确切值或者留待以后引用,这种形式也常常是称之为分数的最终形式。寻找整数商数(a)的函数为“div”,寻找余数(d)的函数则为“mod”。

大部分的非英语语言中,也写成。英语中冒号的用法请参照比例。

通常不定义除以零这种形式。

整除

整除是数学中两个自然数之间的一种关系。自然数 a 可以被自然数 b 整除,是指b是a的因数,且 a 是 b 的整数倍数,也就是 a 除以 b 没有余数。 因数判别法可参照整除规则。 表示法 表示 b 整除 a,即 a 是 b 的倍数,b 是 a 的因数。 举例 15 可以被 5 整除,记作 。 20 不能被 6 整除(因为余数为 2)。记作。在 | 的上面加一个向左的点即表示不整除,正如 ≠。

除法计算

根据乘法表,两个整数可以用长除法(直式除法)笔算。如果被除数有分数部分(或者说时小数点),计算时将小数点带下来就可以;如果除数有小数点,将除数与被除数的小数点同时移位,直到除数没有小数点。 算盘也可以做除法运算。 长除法 长除法俗称「长除」,适用于正式除法、小数除法、多项式除法(即因式分解)等较重视计算过程和商数的除法,过程中兼用了乘法和减法。 长除法格式示意图: ←此处填写商数 ← 37 为除数,1260257 为被除数 ←自第一个最接近除数 37 的倍数的位数开始求商 ←相减得余数 15,再将上方的 0 取下补为 150,继续求商。       :       :    (重复求商方法)       :       : ←除至余数为 0 时的商数即为解答。 短除法 短除法是长除法的简化版本。在短除法里,被除数放中央,其旁有一L型以示短除,被除数左侧为除数,下侧为商,省去了逐层计算的麻烦。

法法词典

diviser verbe transitif

  • 1. être la cause d'un désaccord parmi (les membres d'un groupe)

    le projet divise les étudiants • diviser pour mieux régner

  • 2. partager ou séparer (quelque chose en plusieurs parties)

    les malfaiteurs ont divisé les otages en deux groupes

  • 3. réduire selon un ratio (égal à quelque chose)

    la compagnie a dû diviser par cinq ses prévisions de croissance

  • 4. établir le rapport arithmétique (d'un dividende par un diviseur)

    diviser le montant par le taux de conversion officiel

se diviser verbe pronominal de sens passif

  • 1. être composé de (plusieurs parties) [Remarque d'usage: la préposition "en" introduit le complément d'agent]

    le cerveau se divise en deux hémisphères

  • 2. être séparé de manière à former (plusieurs groupes) [Remarque d'usage: la préposition "en" introduit le complément]

    les élèves se divisent en trois équipes

  • 3. être en proie à des dissensions

    la classe politique se divise

  • 4. se reproduire à l'identique par séparation

    les cellules se divisent par mitose

  • 5. former un embranchement

    à cet endroit, la route se divise et il faut prendre à droite

  • 6. mathématiques admettre un nombre (égal à quelque chose) comme diviseur et donner un reste égal à zéro

    un nombre entier se divise par deux s'il est pair

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